L'Homme De La Plage
LHOMME DE LA PLAGE
Je nai pas pu résister à lenvie de vous faire partager mes expériences de cet été lors de nos vacances les rendant inoubliables....
Elles vous paraîtront peut être inventées, et pourtant elles sont réelles mais racontées seulement maintenant alors certains moments sont peut être améliorés. Est ce le fait dêtre née en 69 mais les choses du sexe mont toujours intéressé, je ne suis pas une obsédée mais jaime bien. Depuis mon mariage avec Olivier jai mis quelques coups de canifs dans le contrat, mais rassurez vous lui aussi. Nous avons parlé une fois car un de mes partenaires se faisait trop pressant et plus du tout discret je nai pas voulu entrer trop dans les détails, ni dans le nombre de relations cela reste mon jardin secret. Olivier cest cru obligé daller plus loin dans sa confession.
Mais faisons les présentations, moi cest Muguette, pourquoi Muguette parce que je suis née le 1er Mai 1969, mon vrai prénom est Christine. Blonde, cheveux courts pour les vacances, visage fin avec une fossette au menton, les yeux en amande de couleur verts, je mesure 1.70 M, pour 53 Kg, petits seins fermes 85 B. Pour faire plaisir à mon mari je me suis fait faire par lesthéticienne lavant-veille de partir plus que le maillot il ne me restait quune petite toison courte taillée en V partant du haut de mon sexe et ne mesurant pas plus de 5 cm. Le soir en découvrant mon intimité aussi dégagée mon mari eu une érection instantanée, il ma fait lamour immédiatement très fort, pour mon plus grand plaisir. Mon mari se prénomme Olivier = Olive 1.80 mètre très légèrement enveloppé 85 kg, les tempes et les cheveux grisonnant, il vient davoir 43 ans, cest ce quon appelle un bel homme. Il sait attirer le regard des femmes.
Cette année nous sommes dans le sud à VIC la GARDIOLLE village qui se trouve entre Sète et Palavas les Flots. Mon père habite ici après une vie sentimentalement compliquée, il nous prête sa maison, lui en profite pour faire une randonnée moto jusque lIrlande.
Chaque jour nous allons à la plage des Aresquiers, plage avec un coin naturiste. Mon mari et moi sommes des adeptes du bronzés nus.
En cette deuxième quinzaine dAoût, la plage nest pas trop fréquentée. Ce Jeudi 20 nous arrivons vers 10 heures du matin le soleil est chaud, Olive installe un parasol, étend les rabanes et les serviettes. Je me déshabille entièrement et me mets les jambes à lombre casquette sur la tête et lunette de soleil ainsi équipée je peux lire tranquillement lhomme à lenvers de Fred Vargas.
Au bout dune heure ayant chaud jenfile mon petit slip de bain, et me dirige vers la mer. La fraîcheur de leau me fit tressaillir, javance doucement cette plage est en pente douce et permet de rentrer à son rythme. Leau marrive maintenant au niveau du nombril je décide de me mouiller la nuque, je m étends sur le dos et nage vers un banc de sable qui se trouve à 150 mètres du rivage. Arrivée, je me relève et marche pour me réchauffer avant de repartir vers la plage.
Ayant pied je me redresse, je marche vers le rivage, un homme très bronzé vient dans ma direction. Ce qui attire particulièrement mon attention cest la taille de son sexe, pas par la longueur mais surtout par la largeur. Je mimagine ce quil doit être en érection ce qui me fait rougir. Je me retourne lhomme continue à avancer, je le reluque, de belles fesses rebondies, le côté pile vaut bien le côté face. Il plonge et part en crawl. Je ne sais pourquoi mais poussée par la curiosité je plonge à mon tour et nage derrière lui. La brasse permet davoir la tête hors de leau. Lhomme se tient immobile au milieu du banc, il semble mattendre, les mains posées sur ses hanches jessaie de dévier ma trajectoire mais le courant me pousse vers lui. Enfin jai pieds, je me relève, face à lui leau découvre ma poitrine, mes pointes de seins dressées, je me sens impudique face à cet inconnu, je ne vais pas comme une collégienne mettre mes mains pour la cacher.
Je peux maintenant le dévisager, grand mais pas trop, 40 45 ans, visage taillé à la serpe, deux grands yeux bleus des cheveux noirs longs pour un homme, une barbe de trois jours, musclé mais pas trop, lui donnent un certain charme. Nous échangeons quelques banalités sur le temps quil fait, la température de leau, le calme de lendroit. Je ne suis pas trop à mon aise, troublée, ne sachant plus quoi dire, dans une gerbe deau je repars en dos crawlé. Je me dirige vers notre parasol, métends sur ma serviette, à côte de mon mari allongé sur le dos, retire mon bas de maillot. Je pose ma main sur son ventre, il sursaute, me regarde, je me rapproche et me calle le dos contre lui et je lui raconte ce quil vient de se passer.
Il a un fantasme, il souhaite que je fasse lamour avec un autre homme devant lui. Nous avons parlé souvent lors de nos ébats, moi ce que je souhaite cest quil fasse aussi lamour avec cet homme là devant moi. Jhésite quand même à franchir le pas, pas par timidité, mais surtout par peur dabîmer notre couple, comment allons nous réagir. Nous navons connu que des liaisons extraconjugales.
Si nous trouvons la bonne personne la première partie du scénario est acquise, mais je ne désespère quau cours de laction nous allions jusquau bout de nos fantasmes Il a déjà goûté à son propre sperme en me léchant les doigts ou ma chatte après lamour. Et lorsque je lui fais une fellation je lui mets un doigt ou deux pour le sodomiser, il en tire un grand plaisir, jai même réussi à lui enfiler l Happy duo quil ma acheté, il a eu un extra orgasme anal, depuis il en redemande.
Ce jour là rien quen lui racontant, je sens mon sexe se gonfler de désir et commencer à perler. Je ne suis pas la seule à être émoustillé par mon récit, quelque chose de dur sérige contre mes fesses. Se pressant contre moi ses mains prennent possession lune dun sein, lautre de mon entre mes jambes. Je le repousse gentiment et lui montre mon bel inconnu qui sort de leau et qui se dirige vers sa serviette, elle est à une cinquantaine de mètres de nous. Nous le voyons sessuyer et sallonger, mais je me pose une question : est il seul ?
Jhésite à me lever est à marcher sur la plage dans sa direction, je demande à mon mari sil ne veut pas, sa réponse est : « non»
Le marchand de thé et de beignets passe près de nous, il se dirige dans la direction de linconnu je renfile précipitamment mon slip, prend de largent est cours après. Il vient de dépasser mon inconnu lorsque je le ratt, lui demande un thé, il me répond mais je nentends pas, je regarde ailleurs. Il me sert tout en me parlant, je ne suis pas attentive, il continue son chemin, je suis seule maintenant mon thé à la main à regarder. Il nest pas seul, mai ce nest pas un femme qui laccompagne, cest un autre homme, ils sont assis et mon sauveur passe de la crème solaire dans le dos de son compagnon. Je fais un gros effort pour repartir ne pouvant détacher mes yeux de la scène. Olivier me dit : « alors
-Alors
et bien il nest pas seul
-Elle est comment
-Ce nest pas elle mais lui !! »
Olive sourit.
« Il ny a rien de risible la dedans ce sont deux amis il fait chaud et il lui passe de la pommade, tu me le fais bien et moi aussi. »
Un peut grognon je me replonge dans mon bouquin, le repas de midi expédié je me baigne avec Olive, nous jouons un bon moment dans leau. Une fois revenu nous reprenons, moi ma lecture et lui ses mots croisés, ou ses sudokus. Tout à coup un petit coup de coude me fait sursauter, cest mon inconnu et son ami, ils passent devant sans nous prêter attention, je les détaille, autant mon inconnu est sportif, autant lautre petit et sec, le contraste est frappant.
Olive : « On ne peut pas dire que tu lui as fait de leffet, il ne te voie même pas et pourtant il ne passe même pas à un mètre de nous.
-Et alors ils parlent entre eux
-Oh rien cest pour parler. »
La journée sachève tranquillement et nous retournons à notre chez nous.
Le lendemain je guette, personne, ni le Samedi ni le Dimanche. Mais le lundi alors que je ny crois plus, en arrivant à la plage, je le vois marchant devant nous, seul. Ni une ni deux je lui emboîte le pas à distance correcte. Il repère un endroit sans galets et pose sa serviette, je fais signe à mon mari pour quil nous installe près de lui, ce quil fait. Nous prenons notre temps, nous le voyons se dévêtir complètement. Je me déshabille, mais pour une fois je le fais debout dos à lui, je me retourne quune fois nue, mais loupé il regarde en direction de Pallavas les sky surfeurs, je massieds a sa droite.
Depuis que je suis assise je me demande comment engager la conversation, mais un bref fort coup de vent vient à mon aide. Notre parasol senvole, il se met à rouler vers lui, je me lève pour le rattr, il larrête.
« Oh cest vous décidément vous êtes toujours là pour me secourir»
Dans un grand éclat de rire il avance et le replante
« Je ne vous ai pas reconnu, nous ne nous sommes pas vu longtemps lautre jour, pourtant je garde un agréable souvenir de notre premier contact. »
Je lui présente
« Olivier mon mari mais je lappelle Olive
-Moi, cest Muguette et vous
-Stéphane mais tous mes amis mappelle Stéph. »
Nous rapprochons nos serviettes et discutons de différents sujets, famille, travail, logement, amis. Au fur et à mesure, les confidences se font sur des sujets plus personnels voir plus intimes. Il nous apprend quil est divorcé, a comme nous deux s et un bon copain, ils se connaissent depuis longtemps. Cest a cause de lui quil a divorcé, son épouse ayant apprit quil avait une liaison avec un homme. Paolo est depuis toujours célibataire mais en plus des hommes il fréquente aussi des femmes cest suivant lhumeur du moment, ils leurs arrivent même de chasser seuls ou ensemble.
Là en a entendant ses mots je regarde Olive, lui prends la main, la serre fort, il me répond de la même façon. Nous nous sommes compris ce sera peut être avec Stéph ?
Midi, Olive part prendre la glacière dans la voiture, Stéph me propose de nous baigner. Je veux saisir mon slip de bain, mais il men empêche.
« Non ce nest pas la peine, maintenant on se connaît, tu verras cest plus agréable. »
Nous nous levons et allons dans leau comme à chaque fois la différence de température fait réagir mes pointes de seins, ça le fait rire, il men pince les bouts. Nous nageons jusquau banc, et là chahutons comme des s sappuyant sur la tête pour faire couler lautre, ses mains en profitent pour ségarer sur mon corps. Mais ce quil préfère cest me soulever et me lancer dans leau, ou encore quand jécarte les jambes et quil passe entre, mais comme par hasard à chaque fois il me fait basculer et nous roulons dans leau. De loin nous voyons Olive qui attend et décidons de partir vers lui, il me devance facilement. Me voyant arriver nue il écarquille les yeux mais ne dit rien. Le repas se passe bien laprès midi aussi, nous nous sentons proche de Stéph surtout moi.
Seize heures arrive je lui propose de venir prendre un rafraîchissement ou une douche chez nous, sans hésiter il accepte. A ce moment je me demande ce quil va se passer dans les minutes suivantes, si cétait une bonne idée. Dans la voiture, Olive me demande :
« Tu cherches quoi au juste à lexciter comme ça?
-Jai envie de lui, depuis quil est près de nous, ma culotte est toute mouillée, mets ta main, si tu le veux, je fais lamour avec lui, dès que nous sommes à la maison
-Tu le veux
-Oh oui, depuis le temps que tu as envie de me voir le faire, tu ne peux pas dire non, pas aujourdhui?
-Sans contre partie de ma part
-Tu as vu comme elle est large, pour moi ça passera sans problème côté face tellement je suis excitée, mais je nessaierai pas aujourdhui le côté pile, chaque chose en son temps, et pourtant jaime ça. Toi fais comme tu veux ?
-Je vais regarder pour après cela dépendra de la tournure des événements.
-Tu me laisseras faire
-Je te fais confiance tu sauras mener la situation suivant tes envies. »
Nous stoppons devant la maison, il se gare près, nous descendons et rentrons, la tension monte un peu. Je dépose les affaires dans lentrée, mes deux hommes vont sur la terrasse, je reviens avec trois verres les dépose sur la table basse le dos vers eux sans plier les jambes, ma tunique de plage remonte, ils peuvent voir le bas de mes fesses, ma culotte je me retourne.
« Messieurs à la vôtre»
Nous sirotons nos verres, assise dans un fauteuil face à eux jen rajoute dans la provocation, écartant mes jambes ou croisant les genoux, puis mon verre fini.
« Qui veut prendre une douche avec moi ? »
Stéph ce lève, il plonge ses yeux dans les miens, mes yeux lui répondent : « Fais de moi ce que tu veux ». Il me sourit tendrement me prend la main je le guide vers la douche Olive nous suit. Nous rentrons dans la douche italienne, ma tunique de plage tombe je retire ma culotte. Stéph. se déshabille rapidement, il profite de linstant où jouvre les robinets pour passer ses deux bras autour de mon cou. Je me colle à lui, je tourne la tête et lembrasse à pleine bouche faisant tourner ma langue, voulant en connaître chaque coin, je me retourne et le regarde dans les yeux, je passe ma langue entre mes lèvres plusieurs fois très rapidement, je bouge langoureusement, son sexe est bandé contre mon ventre. Je me dégage de son étreinte en maccroupissant et je me tourne vers Olive.
Il empoigne mes mains, dun mouvement circulaire les fait sélever au-dessus de ma tête. Il me maintient les poignets, mattire contre lui, me presse contre sa poitrine. Je le regarde, il mencourage, je peux aller jusquau bout. Il bande, il a envie de me voir baiser avec Steph. Je lui murmure :
« Je taime »
Steph. matt par les hanches, et essaie de me faire revenir face vers lui. Je ne le désire pas je veux rester contre Olive, quil voie mon visage pour cette première fois, quil participe lui aussi à ce moment tant attendu. Un sexe dur et brûlant se presse contre mes fesses. Je le sens palpiter, agité de contractions involontaires. Je veux le sentir en moi. Je veux quil me comble, quil me dilate, je veux quil me fasse connaître de merveilleuses sensations au fond de mon ventre, son sexe est maintenant au niveau de mon entre jambe, jajuste son membre entre mes fesses, jaccentue mon déhanchement. Jécarte un peu mes jambes, cest gros, jeffectue un mouvement davant en arrière glissant dessus. Je le sens à bout.
Je suis est prête maintenant, je me penche en avant, jécarte les jambes, il sappuie contre moi, son phallus brûlant de désir glisse entre mes fesses, il passe et repasse plusieurs fois, du bas du dos à mon clitoris dressé, frotte contre ma toison pubienne. Il simprègne de mes sécrétions, il répète encore et encore ce parcours, il me dilate patiemment avant dy passer son gland. Enfin, il sarrête au bord, je nose plus bouger, mes bras enserrent le dos dOlive qui me caresse les seins, mes tétons sont durs, tous mes sens sont en alerte, je suis prête à jouir. Steph senfonce en moi, jouvre grand la bouche, mes yeux se mouillent, mes ongles griffent le dos dOlive qui peut suivre la progression du sexe de Stéph en moi à la pression que jexerce dans son dos, jai limpression dêtre déchirée en deux, écartelée, jai mal, je crie mais je recule pour labsorber en entier.
Arrivé au fond il simmobilise, mon appréhension du début est remplacée par une satisfaction évidente. Je nose pas bouger, son épaisseur marrache maintenant des larmes de bonheur, il ressort lentement de mon antre bouillant il ne laisse que son gland à lentrée de ma chatte, il effectue quelques mouvements en appuyant un peu plus a chaque fois, alternant avec de courts temps morts afin que nos deux sexes fassent connaissance et sapprécient.
Alors commence linexorable mouvement de son piston libérant en moi à chaque passage des vagues de frissons qui me secouent le corps Chacune de ses amples poussées me soulèvent, je laccompagne. A chaque pénétration je mouvre davantage, son mouvement ample et régulier. memporte dans un tourbillon de sensations qui me laissent proche de la perte de conscience. Il circule maintenant librement en moi, épais, me procurant ce que jattends de longues et profondes pénétrations qui font monter lentement mais sûrement mon plaisir. Il se penche sur moi, saisit mes seins, les caresse, en pince les tétons qui se sont tendus, je magite en tout sens, a chaque poussée de mon amant je réplique par un cri, ma chatte qui est en train de se liquéfier, jexplose. Il reste en moi attend que je me calme et se retire la queue bien raide, il na pas joui.
Jai envie folle de continuer, je veux quil se déverse en moi, lâchant Olive je lattire par la main, lemmène dans notre chambre, lui demande de se mettre sur le dos, je lenjambe, le chevauche, prend son sexe et le met à lentrée de ma caverne damour, je lavale lentement, le gland disparaît puis réaparait de ma chatte inondée de plaisir. Je me masturbe avec le bout de sa queue, en insistant sur mon clitoris, je vois bien quil en veut plus, alors je me laisse tomber, mes fesses écrasent ses testicules. Sa bite est fichée en moi jusqu'à la garde. Je reste ainsi un moment, contractant mes muscles vaginaux pour mieux le sentir encore. Nous nous regardons ravis, nos sexes sont enfin à lunisson.
Mon bassin se met à onduler, je me donne totalement, je monte, descend tantôt profondément, tantôt juste en en me mettant sur le bout et jeffectue de petits mouvements rotatifs, ou alors davant en arrière, puis je menfonce complètement sur son pieu avec un « Ah « de bonheur, je lui fais lamour à ma cadence passant de phases lentes à rapides. Mes seins dansent, je ferme les yeux, plus rien ne compte pour moi ma bouche cherche lair, la sueur me coule dans le dos. Jappuie mes bras sur son torse, je me creuse, jarrondis mon dos pour pouvoir pleinement profiter de cette queue qui me fouille délicieusement et profondément. Il me saisit par la taille mattire contre lui, il décide de passer à la vitesse supérieure ses mouvements saccélèrent, je suis remplie divinement. A chaque coup quil me donne un petit cri séchappe de ma bouche, il sent que je vais partir de nouveau. Il prend mes fesses entre ses mains et me fait monter et descendre, je subis son rythme, en gémissant, mécroulant sur lui je colle ma bouche à la sienne, je lembrasse amoureusement, laccompagnant dans ses va et vient en me creusant un maximum, Il a deviné à mes mouvements que le moment est proche. Il accélère le va-et-vient ce qui me comble divinement. À chaque mouvement, je donne un coup de reins pour quil aille au plus profond de moi. Je laisse à nouveau échapper un cri, des spasmes me secouent le corps, je jouis pleinement il mimmobilise, la puissance de ses jets déclanche en moi un violent orgasme qui métourdit..
Je ne sais combien de temps nous sommes restés soudés lun à lautre. Je suis bien dans les bras de cet homme. Toutes mes appréhensions ont disparues, je nai quune envie cest de continuer, il est encore en moi, inoffensif. Alors je roule sur le côté, labandonne, de ma chatte sécoule tout le bonheur que je viens davoir.
La tension retombe, Olive me regarde, il ne peut pas croire que cette femme au dos luisant quil vient de voir jouir aussi fortement est la sienne. Mais je suis heureuse, comblée je ne sais quelle conduite adoptée, je vais sous la douche, me sèche et je passe ma tunique. Il mattend dans sur la terrasse, je lembrasse amoureusement. Steph arrive, je sers trois verres, nous buvons en silence encore imprégné de laction passée. Je prends la parole :
« Steph cest la première fois que nous faisons cela, jai beaucoup hésité, mais je ne regrette pas davoir attendu, je suis prête à recommencer mais cette fois il faut que vous participiez tous les deux, si tu le veux et si tu peux mais avant la fin de la semaine car nous devons partir Dimanche. Olive voulait me voir faire lamour avec un autre, cest fait, ce que je souhaite cest de le voir avec un autre, mais avec toi ça ne parait pas possible tu es trop large.
-Avec moi je sais les personnes hésitent à se faire sodomiser, mais ce nest pas un souci, mon pôte Paolo, mon maître cest avec lui que jai découvert le plaisir au masculin, comme moi il est bi, et en plus monté normalement alors si vous voulez comme ce soir il dîne chez moi, je lui en parle et si il est dispo je vous appelle.
-Ok quen dis tu Olivier
-En premier que tu as été formidable, je ne suis pas prêt doublier cette journée, et en deux Pourquoi pas.
-Alors ça marche. »
Sur ces paroles Steph voyant lheure bien avancée part chez lui à Montpellier. Je nai pas eu le temps de fermer la porte quOlive :
« Alors ?
-Ecoute cétait formidable, mieux que je navais pu imaginer, me sentir dilatée comme ça, sentir son sexe emprisonné dans le mien, frottant contre les parois, ses coups, contre mon utérus, la puissance de ses jets, mont fait grimper aux rideaux. Toute à lheure quand je tai regardé tu ne mas pas empêché, tu mas même encouragé jétais folle de bonheur. Jai passé un super moment, je comprends que pour toi ce nétait facile de me voir mabandonner à ce point avec un autre.
-Oui je vous ai observé, je ne me suis pas manifesté même quand tu las emmené dans la chambre, cétait fascinant et merveilleux de te voir prendre autant de plaisir dans les bras dun autre, un plaisir que je maperçois ne tavoir jamais procuré à ce niveau là.
Avec toi jai énormément de plaisir, mais là, les vacances la disponibilité, et puis lattrait de la nouveauté ont fait que cétait super, et je ten remercie de mavoir offert un pareil moment.
Vient jai trop envie de toi »
Olive nattend pas darriver jusque notre chambre, il me bascule sur le canapé, mécarte, il me prend dun coup, senfonce en moi jusquau moment ou nos ventres se touchent. Son excitation est elle quil narrive pas à se contrôler, il éjacule rapidement. Nous dînons sommairement dun gaspacho et de fruits, le repas est juste terminé quil mentraîne à nouveau mais cette fois dans la chambre. Il a hâte de reprendre possession de son bien, de marquer son territoire, je mallonge sur le dos, jécarte mes cuisses, je tends mon ventre vers sa queue, la saisit et lintroduit en moi il glisse dans son propre sperme. Je le laisse faire, petit à petit je sens une douce chaleur menvahir mais il se fige au fond de moi et trop rapidement éjacule. Il reste sur moi essaie de continuer mais son sexe ramollit et sort tout seul de ma chatte. En colère il se met sur le côté, après ma séance de laprès midi cest fade, je reste sur le dos pensive, je mendors.
Le matin lorsque je me réveille, je suis seule dans le lit, jentends dans la cuisine bouger des ustensiles et une bonne odeur de pain grillé mattire, je me lève. Olive a tout préparé, a peine assise quil me dit
« Je me suis conduit comme un con hier soir tu men veux
-Mais non cest logique, tu mas vue autrement, cest pour ça que jhésitais à le faire devant toi, mais au fait Steph a-t-il téléphoné ?
-Oui ils peuvent Jeudi, ils passeront Mercredi en fin daprès midi à la plage afin que nous connaissions son copain. On continue ?
-Comme tu veux mon chéri, à toi de choisir,
-Jai encore envie de voir avec lui, tu es si belle quand tu jouis, il y aura son copain il voudra certainement faire lamour avec toi, tu auras trois hommes à ta disposition, moi je ne sais pas si je franchirai le pas, tout dépendras de Paolo et comment se passera la soirée, mais je suis très tenté.
-Toi aussi tu auras trois personnes et puis tu as raison nous verrons bien le moment venu.
-Mais que faisons nous, le temps nest pas terrible, les entrées maritimes nous apportent de la grisaille, et si nous visitions larrière pays ?
-Très bonne idée, ça nous changera les idées. »
Nous partons découvrir larrière pays, le village de la Couvertoirade un petit village médiéval, (à découvrir le château construit au XIIème siècle par les Templiers ainsi que les imposantes fortifications érigées par les Hospitaliers appartenant au célèbre Ordre du même nom.) Ce bourg de 150 habitants est situé à quelques kilomètres de l'autoroute A75. Au retour nous arrêtons au Lac de Salagou, et rentrons vers 19 heures.
Le mercredi le soleil fait son retour, le matin nous flemmardons un peu, et faisons quelques provisions de fruits et légumes. Nous déjeunons au frais sur la terrasse, de grillades, arrosé dun petit rosé bien frais. Vers quatorze heures, nous partons à la plage, tous les coins de sable sont pris, nous nous installons sur les galets à la lisière de la végétation. Nous somnolons sous leffet du rosé et de la chaleur. Je me lève nue Olive et surpris, mais apprécie, nous allons nous baigner. Au retour installé sur nos serviettes nous discutons de la suite que nous envisageons. Steph et Paolo arrivent tout sourire, mettant ainsi fin à notre dialogue, nous nous levons pour les accueillir, les deux hommes membrassent chaleureusement et serrent la main dOlive.
Ils se déshabillent, Steph sassoit à côté de moi, Paolo, près de mon mari, ils discutent comme deux vieux copains. Dun regard jinvite Steph à se lever, je descends vers leau, il me prend le bras et mattire au-delà du rideau de végétation, je le suis sans hésitation, me doutant de ce qui va se passer. Nous marchons une dizaine de mètres, il me désigne un endroit une fois sur place je maperçois que nous sommes à labri des regards. Ma main pend le long de sa cuisse, lui saisit sa queue, qui instantanément se met à durcir, je veux cette grosse chose en moi. Je mallonge sur le dos à même le sable, jondule du bassin, lascive, jécarte mes jambes de façon obscène, je linvite à venir en moi. Il sallonge sur moi en appuie sur ses bras. Son sexe est contre mon ventre il se recule, le bout de sa queue trouve naturellement lentrée, jécarte avec mes doigts les lèvres de ma chatte, dun seul mouvement il senfonce en moi lentement. Je ne peux mempêcher de regarder son sexe qui me pénètre. Je suis tellement mouillée quil rentre comme dans du beurre, remplie comme jamais je mabandonne à sa pénétration qui est douce mais qui devient de plus en plus vive, il se recule au maximum pour me pénétrer plus violemment, je magrippe à son torse, noue mes jambes dans son dos, je me retiens de crier, cette fois encore cest jouissance sur jouissance, nen pouvant plus je lui demande de venir. Des jets brûlant buttent au fond de mon sexe, Le plaisir ma tétanisée au moment où il sest déversé en moi.
Nous récupérons, nous relevons, et courrons vers la mer, leau nous fait du bien, nous retournons vers nos deux compères, ils nont pas eu lair de sapercevoir de notre longue absence. Steph se saisit de ma serviette, messuie, je fais pareil avec lui, nous reprenons part à la conversation. Le soir arrive, nous leur proposons de passer à la maison mais ils ne peuvent pas, mais nous confirme pour le lendemain, rendez-vous chez nous à dix neuf heures. Nous repartons tous ensemble, arrivé aux voitures nous nous embrassons tous et regagnons nos domiciles. Dans la voiture je ne peux mempêcher de raconter mon incartade à Olive, il cest aperçu de notre absence, en a fait part à Paolo qui en riant lui a décrit ce que nous devions faire, il a ajouté :
« Tinquiète nous nous rattrons demain tous les deux
-A bon parce que demain ?
-Et oui demain je franchis la ligne. »
Enfin jeudi, je range, fais de la place dans le salon, dispose des coussins, ouvre le canapé lit, ne laissant que deux fauteuils, débarrasse le lit mettant quun drap. Olive lui prépare de petits plats qui serviront à lapéritif et pour combler une petite faim. Ça y est tout est prêt à part nous, nous nallons pas à la plage aujourdhui, nous prenons soin de nous.
Dix neuf heures arrive, un peu anxieux nous faisons les cent pas dans le salon, jetant des regards pour voir si tout est bien prêt, oui tout est en ordre. Le coup de sonnette attendu arrive, nous ouvrons, ils sont là tous les deux, lun avec un gros bouquet de fleurs lautre avec un magnum de champagne bien frais. Paolo louvre et nous trinquons à notre soirée, je passe un plateau, plein de toasts, nous nous observons, qui va se décider. Olive place dans le poste un CD mentraîne nous dansons, ils se rapprochent, nous séparent. Je me retrouve avec Paolo, tout de suite il se colle contre moi, cest un bon danseur, je le suis, il me parle, doucement son accent est chantant, ce quil me dit me trouble, il membrasse, sa langue me fouille, tourne, suce, aspire. Je ne maperçois pas quil a fait glisser la fermeture de ma robe bustier, il sécarte de moi je me déhanche, elle tombe. Il se colle de nouveau à moi, je suis seulement vêtue de mon string.
Jévite de regarder mon mec, ce quil fait, je m'en moque, je veux juste prendre et donner du plaisir à mon amant du moment qui ne perd pas de temps. Il sait aussi se servir de ses mains, jai limpression davoir dix cavaliers, je ne sais plus ou jen suis. Nous sommes près du canapé lit, il me pousse contre, je massieds dessus, il se met contre moi, mallonge, se mains se mettent à effleurer ma peau, sattardant aux endroits stratégiques, sa bouche vient les aider, je suis embrassée partout, mes pieds, mes jambes, lintérieur de mes cuisses, mon ventre, mes hanches, entre mes seins, sur mes seins, il sattarde sur les pointes, puis le cou, la bouche, le nez, les lobes doreilles, et derrière, sur mon front, puis il passe dun endroit à un autre Mon excitation grandie, mon string est tout mouillé et il ne ma pas encore touché le sexe.
Je suis électrisée par ses caresses, sa main se promène maintenant sur mon string, écarte lélastique, je laide en me soulevant à dégager ce dernier rempart. Elle reprend son parcours en commençant par l'intérieur des cuisses, le creux entre la cuisse et le sexe, le sillon de la cuisse au bas du ventre, le bas du ventre, La puissance et la vitesse de ses caresses passant progressivement du plus doux au plus fort et du plus lent au très rapide. Je mabandonne, il approche de mon sexe, ses doigts écartent mes lèvres gonflées et humides ils arrivent maintenant à mon bouton. Lattaque mené sur mes seins, mes fesses, mon sexe, fait naître en moi une divine chaleur qui augmente crescendo. Je le laisse faire, sa bouche se colle sur mon sexe, sa langue me fouille avec douceur, jadore quand on me lèche. Je lui caresse les cheveux, je presse sa tête pour accen la pression je m'ouvre le plus possible, cest si bon cette caresse-là, mon bassin sanime. Il me lèche, souffle sur mon sexe, aucun endroit nest oublié, je gémis, mes mains se crispent sur sa tête, il aspire mon bouton, cest trop fort, je crie, je lui repousse sa tête, il sécarte de moi.
Je lui tends les bras, il se déshabille rapidement, sallonge sur moi, il mécrase. Mes lèvres le couvrent de baisers son visage. Il se colle un peu plus contre moi son sexe bandé, est dur et brûlant. Je le sens palpiter, contre mon ventre. Un petit mouvement du bassin et son sexe a pris toute sa place dans le mien. Ca y est, il est en moi, cest absolument divin je le sens glisser, il me lime lentement, longuement, progressivement, puissamment, amoureusement. Il ne bouge plus, profite de la chaleur de mon fourreau. On se regarde dans les yeux, je me sens bien. Cest alors quil accélère le mouvement, ses coups de reins sont maintenant plus rapides, je gémis daise. Le pubis de mon amant claque contre le mien, son sexe me défonce littéralement nous faisons lamour ainsi durant de longues minutes. Mes orgasmes s'enchaînent les uns derrière les autres, mon sexe coule comme une fontaine, , mon souffle plus court, mon vagin qui se contracte par saccades lui sont des indices, dun nouvel orgasme plus fort il accélère je crie la jouissance et le plaisir de mon premier orgasme de la soirée. Ma jouissance à répétition ma rendu folle de désir, un sourire illumine son visage je nai maintenant qu'une envie : oh oui, jai encore envie de faire l'amour avec lui.
Paolo veut se retirer, je le retiens, cest trop bon, il sait jouer de son sexe comme un virtuose sait jouer avec son archet sur un violon, il ma fait gémir sur tous les tons de la gamme, quel talent ce type quel plaisir il sait donner à ses partenaires. Je me suis ouverte au maximum, je remonte mes cuisses et noue mes jambes sur les fesses de mon amant. Je creuse mon ventre et le projette vers lui afin daugmenter mes sensations. Je resserre mes muscles sur son membre, je le masse longuement. Il me montre une chose que je ne croyais pas possible, Olive entrain de sucer un mec et quel mec vu la grosseur de Steph mais comme un expert il arrive à lamener à lorgasme, nous voyons son visage se crispé, il lui donne un coup de rein qui fait basculer sa tête en arrière, il éjacule en poussant un cri rauque. Nous nous accordons une pause, mais très vite la fête continue.
Paolo se retire de moi, il sallonge sur le dos, ses pieds reposant au sol, je viens sur lui, je me mets sur le bout. Jenfonce sa queue en moi, je remonte. Jai les fesses en lair, mon petit trou est prêt à recevoir Olive qui simpatiente. Il passe son sexe entre mes fesses lenduit de mon jus, le pose sur mon illet et rentre délicatement, il senfonce et stop. Coincée entre ces deux sexes, je serre et desserre mes muscles intimes ils apprécient mes contractions, nous parvenons enfin à trouver la bonne mesure mes hommes bougeant de façon alternative ils essaient de mamener vers le plaisir mais je me contracte le plus fort que je peux de façon a terminer, Olive est le premier ce qui déclenche léjaculation de Paolo. On saffale sur le lit. Cest ma première double pénétration, expérience intéressante mais pas facile dexécution, je reste sur ma faim mais pas longtemps, car mon homme très en forme veut me prendre mais au travers de Steph., qui est surpris, moi aussi.
Je me mets à mon tour au bord du lit, jambes pendantes. Steph se place entre mes jambes, et me pénètre d'un coup sec, rageur, il me veut pour lui seul. Je pousse un cri pourtant Paolo ma bien préparé, il attend blotti au fond de moi. Mais très vite cest un mélange de douleur vive et de volupté qui sempare de moi. Il effectue plusieurs va et vient, Olive le saisit par les hanches et sintroduit dans son anus. Steph mène le combat entre nous trois.
Son pénis en moi se retire et revient, recommence, je réplique a ses coups par des gémissements qui révèlent un plaisir total. Je suis grande ouverte pour favoriser sa pénétration, mes mains se crispent sur ses fesses lattirant au plus profond de moi. La cadence augmente, son sexe me pénètre complètement puis sort pratiquement entièrement, les mains de Steph pressent mes seins, je me cambre pour quil rentre plus loin. Excitée comme je le suis, et les va-et-vient puissant de son sexe me font rapidement jouir, je bredouille des phrases incompréhensibles, je crie, je hurle, je plante mes ongles dans le dos de Steph, il éjacule puissamment en moi, je crie plus fort que je ne lai jamais fait.
Olive aussi a joui dans lanus de Steph il se retire le premier le sexe gluant, sapproche de moi ravi, nous nous embrassons.
Une toilette simpose, et une petite dégustation de produits, la nuit sera longue. Mais quarrive til a mon homme a-t-il pris un excitant ? il na quune envie cest de se faire ses trois autre partenaires, il met Paolo debout au bord du lit, il se met a quatre pattes devant lui, invite Steph a se placer derrière lui. Il embouche Paolo, Steph lui dilate sa rondelle méthodiquement, approche son gland et précautionneusement il senfonce en lui. Olive sarrête ouvre grand la bouche, hurle. Steph stop, attend un signal puis reprend sa progression, millimètre par millimètre il avance jusquau moment ou son ventre bute sur les fesses de son partenaire. Olive minvite a venir sous lui et a le sucer car il bande comme jamais, je mexécute, cest pour moi fabuleux et émouvant de le voir ainsi pris de partout, jessai de lui donner le maximum de plaisir mais la concurrence est rude. Notre Quatuor émet toutes sortes de sons, Olive est secoué de spasmes, il prend son pied.
Vous décrire les merveilleuses sensations que jai connues cette nuit là dans les bras de mes hommes mest difficile. Je peux seulement vous dire que je fus comblée par la puissance de Steph et par la perfection du style de Paolo, mon mari aussi. Tous nos orifices furent de nombreuses fois utilisés par nos amants attentifs, pleins dimagination et infatigables. Nous avons reçu et aussi donné beaucoup de plaisir. A quelle heure avons-nous arrêté je ne sais pas mais après quelques heures de sommeil je me réveille seule, le sexe et les fesses endolories, Olive prépare le petit déjeuner. Nos amis se lèvent à leur tour prennent une douche avalent rapidement un café et partent.
Nous les revoyons le Samedi à la plage, les invitons à boire un verre avant notre départ, le lendemain mais ils ne peuvent pas. Je suis un peu triste car jaurais bien refait une soirée avec eux. Nous avons échangés nos coordonnées, je souhaite que nous nous retrouvions rapidement mais de toute façon je sais déjà ou nous passerons nos prochaines vacances, si mon père ne peut nous héberger, Paolo dispose dun bungalow au bout de son jardin.
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