Le Gage Suite : Le Bureau Du Directeur

Je frappais doucement à la porte du Directeur Mr Michel après avoir été convoqué par son épouse Mme Claire.

- Entrez Mademoiselle Nathalie, nous vous attendions; me dit Mr Michel. Mon épouse m’a informé de votre conduite inacceptable pour notre établissement. Nous tenons à obtenir des explications.

- Je lui expliquais que mon retard était bien involontaire car la montre ne marchait pas et que c'était Stéphane qui avait profité de la situation lors de ma 1ère punition. Je lui racontais avoir alors été punie une 2ème fois par Mr Serge.

- Je constate que vous n’avez pas tenue compte de votre 1er avertissement. De plus nous ne supportons absolument pas que vous puissiez rejeter la faute sur vos camarades. Aussi, votre attitude mérite une punition.

- Encore, pensais-je mais ne dis rien.

Mme Claire s’était placé derrière moi et me dit de me mettre à quatre pattes après avoir enlevé mes vêtements. Je me retrouvais complètement nue, les seins pendant dans le vide. Je sentie une claque sur mes fesses.

- Écartes tes cuisses.

Je m’exécutais toute excitée de la situation. Mr Michel se plaçait devant moi à genoux et me présenta sa belle grosse bite. Je m’empressais de la prendre dans ma bouche quand je sentie soudain quelque chose défoncer ma chatte. Mme Claire avait mis un gode ceinture et était entrain de me buriner.

- Ne t’inquiètes pas ma petite salope tous tes trous vont être satisfait.
Je me laissais faire quand on me demanda de faire un demi-tour sur moi-même. Mr Michel m’enfonça sa bite avec une telle brutalité que je faillis perdre l’équilibre. Mme Claire se trouvait devant moi et me demanda de lui sucer son clito. Jamais je n’avais fait une telle chose. Mais j’entrepris avec plaisir de la lécher et de jouer avec son clito.

Et puis Mr Michel me demanda de changer de place. Il voulait voir sa femme et moi entrain de nous gouiner.

Je dû écarter les jambes pendant que Mme Claire approchait de moi. Sa Chatte se colla à la mienne et le contact de nos 2 chattes que s‘embrassaient, se caressait mutuellement me fit jouir. Elle pris un autre gode qu‘elle enfonça dans sa chatte et enfonça l‘autre extrémité dans mon trou.. Mr Michel nous observait tout en se branlant. J’aimais le voir comme ça.
Je dû me remettre à quatre pattes. Ma croupe bien en l’air et pendant que Mme Claire me caressait mon cul je suçais goulument Mr Michel. Elle enfonça un doigt dans mon petit trou vierge. Après l’avoir humidifié de ma mouille. Elle prit un gode anal et me l’enfonça doucement. Ce ne fut pas très agréable. Elle me dit de me détendre et me caressa en même temps ma chatte.

Mr Michel passa derrière moi et remplaça le gode par sa bite. Cette dernière était bien plus épaisse que le gode et sa pénétration me fit encore plus mal mais je me détendis et pris même du plaisir. Mme Claire repris un gode qu’elle me fourra dans la chatte. Je me faisais prendre par mes deux trous en même temps et j’adorais. Je jouis encore une fois incroyablement fort. Je n’avais jamais connu une telle chose. Mr Michel se retira et vint gicler sur mon cul. Mme Claire me répartissait ce foutre sur mes fesses et me fit lécher ses doigts avant de m’embrasser.

J’étais couchée par terre comme une salope pleine de foutre et tous mes trous défoncés. Mais qu’est-ce que c’était bon.

Mr Michel me demanda de me relever et de retourner dans ma chambre.

Lorsque je voulais reprendre mes vêtements, Mme Claire m’en empêcha.

- non sans les habits pour que chacun puisse voir que vous avez été punie mademoiselle. J’espère que tout cela vous a servie de leçon. Allez-vous amuser avec vos camarades avant de rentrer chez vous.

En effet, je savais que toute cette expérience allait s’arrêter ce soir et qu’il faudrait demain retourner au monde réel. Une chose était sure : ce week-end avait été un des meilleurs de ma vie.

Je retournais donc dans ma chambre et fut surprise que tout le monde m’y attendais. Lorsque l’on me vit apparaitre, mes amis vinrent m’accueillir en me caressant. Jamais autant de mains ne s’étaient posées sur moi. Ils me firent terminer le week-end comme il avait commencé. Je dois l’avouer j’ai aimé être une chienne.