Pris Par Plusieurs Mecs
Jaime bien être attaché et il marrive de mattacher tout seul.
Ce vendredi, après une semaine éreintante, je vais sur une petite ile de la rivière voisine.
Cest une ile accessible à pied avec de leau jusquà la poitrine.
Dans mon sac à dos, tous ce quil faut pour passer une bonne soirée bien calme.
Des cordes, dont plusieurs préparées en bracelets, des serre-câbles, une pince coupante et une bouteille deau congelée avec une ficelle prise dans la glace.
Dans la partie aval de lile, il y a quelques petits bancs de sable et cest là que je choisi de minstaller.
Je me baigne nu et profite des derniers rayons de soleil.
Je suspends la bouteille à une branche haute et attache la pince coupante à la ficelle qui sort du goulot.
Compte tenu de la chaleur, la glace va fondre assez vite mais comme la bouteille conserve leau glacée, la fonte va être ralentie, je pense que cela va durer 5 à 6h avant que la glace laisse tomber la pince qui servira à me détacher.
Avec des cordes je mattache les chevilles écartées le plus possible à une longue branche qui trainait au sol.
Je me passe un bracelet de cordes autour des épaules, un peu comme un sac à dos, je lai préparé pour être le plus serré possible.
Jécoute une dernière fois sil ny a pas de pêcheurs ou de baigneurs attardés qui trainent mais comme cest assez loin dun village et quil ny a pas vraiment daccès facile, je nattends pas longtemps avant de passer un bracelet de corde autour de mes poignets dans mon dos et de le fermer inéluctablement avec un serre-câbles que je passe autour des cordes entre mes poignets
Je ne peux déjà plus me libérer, je suis obligé dattendre que la glace fonde dans la bouteille et laisse tomber la pince coupante.
En me tortillant beaucoup, je réussi à passer un long serre-câbles le long de mon dos derrière le bracelet entourant mes épaules puis à le refermer en le passant entre mes poignets.
Je peux maintenant remonter mes poignets dans mon dos, entre mes épaules
je ne tire pas trop fort car je sais que jai longtemps à attendre mais mes poignets sont quand même résolument relevés.
Avec de la peine je me tourne sur le ventre, cest plus confortable, et il ne reste plus qua attendre
malgré la chaleur un frisson parcourt mon corps
Le soleil se cache derrière les arbres, cela fait certainement 3h que je suis là, je jette un coup dil sur la bouteille, la glace prend son temps pour fondre
ça ne fait rien, jai le temps
Je crois que je me suis assoupi un moment
ce sont des cris qui me réveillent
des voix dhommes
ils sont apparemment sur lile et je ne les ai pas entendus venir.
Un regard sur la bouteille, la pince coupante est toujours là haut
jespère que ces mecs vont bientôt repartir sans me voir.
Au lieu de ça, les voix se font plus fortes, jentends maintenant franchement des pas sapprocher.
Je regarde inquiet dans la direction des voix, japerçois plusieurs silhouettes.
Je ne peux rien faire, je tire sur les cordes, jessaie de ramper, je ne peux pas bouger dun centimètre.
- Henri, vient voir ce qui est là, un homme attaché
à poil, je ne sais pas sil vit encore.
Ils sapprochent les deux de moi, mobservent
- Il est vivant, il faut le détacher.
Les autres du groupe les ont rejoints, ils sont une dizaine.
Celui qui ma découvert se baisse pour me détacher les chevilles quand du fond du groupe lun dentre eux dit :
- Attend un moment, tu vois ça, une bouteille avec une ficelle prise dans de la glace à laquelle une pince coupante est attachée
je crois que le mec sest attaché tout seul et attend que la pince tombe pour se détacher.
- Tu crois ?
- Regarde toi-même
- Alors
cest toi qui tes attaché ou bien quelquun dautre ?
- Foutez-moi la paix, cassez-vous !
- Je crois que monsieur à envie que nous le laissions seul, et nous qui sommes venus pour faire une bonne fête
quest que vous en pensez ?
- Des mecs comme ça, je leurs donne une trempe.
Je lobserve et vois quil retire sa ceinture.
- Dépêche-toi
Et déjà sa ceinture claque fortement sur mes fesses, je me débats autant que je peux pour éviter ses coups qui se suivent rapidement.
- Alors, tu te lèves ou je continue.
- Je ne peux pas me lever mais arrête tes conneries
- Mes conneries ? Tiens, tiens
mettez le debout
Dit-il à ses collègues.
Deux dentre eux me soulèvent, je suis debout, les jambes très écartées.
Je continue quand même à me défendre du plus que je le peux.
- Monsieur peut beaucoup trop bouger, je trouve
Une main se saisi du serre-câbles qui remonte mes poignets dans mon dos et tire dessus, mes poignets sont maintenant montés entre mes épaules
ça me fait mal.
- Arrête, ça me fais mal les bras et les épaules
- Si tu peux encore gueuler comme ça cest que je peux encore tirer
Chose dite, chose faite, il tire tellement quil me soulève du sol, mes poignets sont bloqués entre mes épaules, je ne peux plus les bouger.
- Comme ça, tu vas voir ce que cest que de prendre une volée
- On va taider
Je les vois retirer tous leur ceinture et sapprocher de moi, les coups commencent à pleuvoir me faisant crier.
Je me tords de douleur, je me laisse tomber à genoux.
Ils me remettent debout, prennent une corde qui trainait encore par terre et la passe entre mes poignets puis par-dessus une branche darbre
Ils me suspendent sur la pointe de mes pieds qui senfoncent dans le sol mou
mes mains sont encore plus tirées entre mes épaules et là, jai vraiment mal maintenant.
- Arrêtez maintenant
jai trop mal aux bras
- On veut seulement soccuper de tes fesses.
Les coups de ceintures recommencent à pleuvoir et je ne peux plus y échapper
Sur les fesses, le dos, le ventre, la poitrine
entre les mes cuisses qui sont grandes ouvertes
partout en même temps.
Je me tortille encore plus de douleur, mes pieds ne touchent même plus le sol
Il y en a un qui semble être plus vicieux que les autres, un coup de ceinture sabat violemment sur mon sexe puis un autre et encore
je nen peux plus, je hurle de douleur
- Je crois que monsieur en a assez, quest-ce quon fait de lui ?
- Laisse tomber
- Jai envie de pisser, on pourrait lui pisser dessus
- Oui
pourquoi pas
Ils détachent la corde qui me suspend à la branche et me laisse tomber sur le ventre.
Celui qui a envie de pisser sapproche de moi, ouvre sa braguette et murine sur le dos.
- Moi aussi jai envie de pisser
- Et moi aussi
- Allez, on va tous lui pisser dessus
En quelques instants, je sens plusieurs jets de pisse se déverser sur moi, ils me pissent sur la tête, les épaules et le dos.
Un me pisse sur les fesses, il vise ma fente.
- Tu me donnes une envie, mettez-le à genoux
Rapidement, je me retrouve à genoux, lun me tient par la corde passée autour de mes épaules qui me font mal mais joublie cela rapidement
un jet de pisse arrose mon visage.
- Tiens lui la tête, jai envie de lui pisser dans la gueule.
- Non
pas ça
Je nai pas le temps de finir ma phrase, quon matt dune main par les cheveux pour me maintenir la tête et de lautre me presse sur le menton pour mouvrir la bouche
je ne veux certainement pas me laisser pisser dans la bouche
je serre mes dents lune contre lautre.
Je me défends comme je le peux
- Il ne veut pas se laisser faire
Ce nest pas grave, tu vas voir
Je prends un coup de pied entre les jambes sur les ufs
alors là je louvre ma bouche mais de douleur
- Tu vois, il ny a pas de problème et je suis sure que monsieur va même boire ma pisse sil ne veut pas que je recommence.
Je sens la pisse couler sur mon visage, mes yeux et finalement il vise ma bouche qui se rempli de ce liquide chaud qui me dégoûte
je nai pas envie davaler cette cochonnerie mais je nose pas non plus la recracher.
Je sens une main se poser sur mes ufs qui me font encore mal
- Tu veux que je passe un massage à ma façon ?
Bien sur que non, je me résigne à lui obéir et avale ce liquide qui mécure.
- Ma nana me taille des pipes superbes, vous croyez quil est meilleur quelle ?
- Non, je nen peux plus et je ne suis pas un PD
- Ça ne fait rien, il ne faut pas être un PD pour sucer une queue
tu ouvres la bouche, la referme avec beaucoup de précaution autour de ma bite et tu aspires
tu va voir, ce nest pas sorcier
- Non, sil vous plait
pas ça
Il sapproche de moi, son sexe dans la main
- Allez, suce
Et comme je ne veux pas obtempérer, une ceinture claque de nouveau sur mes fesses me ramenant à la réalité : je ne peux pas me défendre
Jouvre la bouche et il pointe son sexe entre mes lèvres
il va et vient jusquau fond de ma gorge, sur ma langue, pousse sa verge bien dure à lintérieur de mes joues, matt par les cheveux et dun coup je sens des giclées de son sperme couler dans ma bouche
jarrive à lui échapper, je crache autant que je peux
ça me coule sur le menton
- Il a lair de faire ça bien
allez suce moi aussi
Un autre vient en face moi je dois le sucer
que je le veuille ou pas
je nai pas le choix
Plusieurs dentre eux sapprochent de moi
sortent leur verge de leur pantalon et se masturbent autour de moi qui suce
Un éjaculateur précoce marrose le visage de son sperme
puis un autre pendant que celui que je suce vide ses ufs au fond de ma gorge
À peine sest-il retirer quune autre verge entre dans ma bouche
je nai même pas eu le temps de cracher le foutre de lautre.
Je dois les sucer les uns après les autres
ils aspergent mon visage de sperme qui ruisselle sur mon ventre
je nose même plus ouvrir les yeux.
Je ne sais pas combien de temps cela dure
mes bras sont endoloris de douleur
je ne sais même pas combien ils sont
une dizaine surement
mais il y en a qui doivent revenir plusieurs fois se faire sucer
- Il mexcite ce mec
jai envie de lenculer
- Non !
Ils me penchent en avant, les fesses en lair
Je nai aucune envie dêtre sodomisé et me laisse glisser sur le ventre
Ce qui ne sert pas à grand-chose
ses copains me remettent à genoux
il sempare de mes ufs, tire sur mon sac, y enroule une cordelette quil noue solidement et fixe lautre extrémité à la branche qui maintien mes chevilles écartées puis il mappuie sur le dos pour me pousser en avant et tire sur mes ufs.
- Si tu ne veux pas que je tarrache les couilles tu as intérêt à bien me montrer ton cul
Mes fesses sont complètement ouvertes
il me colle une grande claque sur le séant, écarte encore plus mes fesses
il est à genoux derrière moi
le salop
Il plante son gland sur mon petit trou que je serre le plus possible
- Il est bien serré, au lieu de te branler comme ça, envoie-lui une bonne giclée entre les fesses.
Il masse maintenant mon petit trou avec ses doigts et ce liquide chaud et visqueux qui coule entre mes fesses.
Il entre un doigt dans mon trou
il force pour y entrer un deuxième et probablement un troisième
Je nai plus de force pour résister dautant plus quil me pousse encore plus en avant pour me faire plus mal aux ufs.
Impitoyablement, je sens sa verge entrer dans mon petit trou
il va et vient jusquà ce que je cesse de serrer mon trou
- Tu as aussi envie ?
- Je nai jamais bourré dhomme mais il faut bien essayer une fois.
Ils me prennent lun après lautre
mon petit trou est ouvert à toutes les verges
les minces et les grosses, les longues et les courtes
- Eh, Jean, tu ne veux pas essayer ?
- Non, merci
les mecs, ce nest pas ma tasse de thé
- Tu ne vas quand même pas faire la fine bouche
on va taider
Pendant quun continue à me prendre jentends une courte bagarre derrière moi et Jean qui crie parce quil veut quon lui foute la paix.
- Tu vois bien Jean, tu bandes déjà
- Allez sort de là, cest au tour de Jean maintenant.
Apparemment, ils se sont mis plusieurs après Jean, le tienne fortement et lapproche de mon petit trou en guidant sa verge bien dure dans mon petit trou et le pousse fortement contre mes fesses il me semble que cest lui qui a la verge la plus grosse et en même temps la plus longue, elle rempli mon trou complètement.
Il se débat, sort presque de mon trou mais ses copains le repousse de plus belle
je sens ses testicules claquer contre les miens.
- On va leur attacher les couilles ensemble.
Chose dite, chose faite
une cordelette senroule autour de nos sacs
jusquà ce quils soient allongés au maximum, de la base de nos sexe jusquaux ufs.
Jean ne peux plus sortir de moi
ses tentatives pour essayer ne font que tirer sur nos ufs, en vérité, il ne peut plus que aller et venir dans mon trou et ses copains lénerve probablement encore plus pour quil bouge encore plus
ils lui attachent également les mains dans le dos et samusent de lui
- Eh, jai encore envie dêtre pompési déjà je ne peux plus lenculer
Et il sallonge en face de moi et me force à la sucer de nouveau
ils viennent les uns après les autres et je dois continuer à les pomper pendant que Jean se débat furieusement dans mon trou et tire férocement sur nos sacs.
Je ne sais pas combien de temps cela a duré
je me rappelle seulement que longtemps après que la pince coupante ait tombé sur le sol ils samusaient encore avec moi
Jean avait été libéré mais ils mutilisaient maintenant comme pute à deux trous.
Lorsquils mon détaché, je suis tombé par terre, épuisé de fatigue et je me suis endormi jusquau matin
Au réveil, jétais nu sur la petite plage et jai tout dabord pensé que javais rêvé mais mon petit trou ma fait me souvenir que tout cela cest bien passé.
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