Marie Et Sa Fille Linda (Première Partie)
Marie et Linda
Lhistoire qui va suivre est totalement vraie. Elle continue aujourdhui encore. Lauteur nen est pas le héros. Il nest pas Rafik,, le « je » de lhistoire qui est racontée à la première personne du singulier. En fait, il sagit de lhistoire dun ses amis très proches. Il ne pouvait pas le nommer pour ne pas compromettre et Marie et Linda, qui existent réellement et dont les prénoms ont bien entendu été changés. Lauteur sest donc approprié lhistoire pour la raconter à la première personne.
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Première partie : Meriem / Marie
Javais revu Meriem, trente ans après notre première rencontre, au cours dune fête quorganisait un ami commun, haut fonctionnaire, dans un grand hôtel sur les hauteurs dAlger, pour les fiançailles de sa fille. Je lavais connue, alors quelle venait juste davoir vingt-ans et quelle entreprenait des études de médecine. Jétais moi-même étudiant (en sciences économiques) et javais la chance de disposer de lappartement que mes parents mavaient laissé, au centre dAlger, alors queux étaient partis jouer aux gentlemen-farmers, à une cinquantaine de kilomètre de là.
Jorganisais régulièrement des petites fêtes (à lépoque, on appelait cela des boums) entre amis, où chacun venait avec sa copine ou son copain (selon quil était garçon ou fille) pour séclater en dansant, chantant et plus
si affinité.
Meriem, que javais tout de suite appelée Marie (par référence à la vierge Marie), participait à la fête pour la première fois. Elle avait accompagné une amie commune, elle aussi étudiante en médecine, qui lavait convaincue de venir passer un agréable après-midi, à danser et samuser avec une bande de jeunes super sympas. Cétait une belle plante très brune, avec des rondeurs qui damneraient un saint. Ce qui était exceptionnel chez elle, cétait sa forte carrure, ses épaules larges et une poitrine arrogante dont les seins pointaient fièrement de dessous une chemise en coton, dont les deux premiers boutons étaient volontairement dégrafés, pour exciter le quidam qui la regardait.
Je remarquais, en apercevant le dessus de ses seins mats, quelle ne portait pas de soutien-gorge. Et malgré cela, malgré leurs dimensions monumentales, ses seins navaient aucun besoin dêtre soutenus pour pointer vers lavant comme deux gros obus menaçants. Le reste du corps était du même calibre : des hanches proéminentes, étroitement serrées dans un jean délavé très collant et un fessier rond et bombé qui poussait vers larrière, à limage de ceux des femmes africaines. Elle avait dimmenses yeux en forme damandes, de couleur marron foncé, presque noirs, qui devaient briller comme des lucioles la nuit. Son visage était rond, avec un petit nez bien droit et une bouche qui semblait obscène, tant elle ressemblait à un superbe sexe féminin, en attente de pénétration.
Cétait cette image qui mavait poursuivi tout au long de laprès-midi, tandis quelle dansait (rock, jerk et toutes sortes de danses occidentales modernes) et se tortillait de manière tellement lascive et sensuelle, que presque tous les garçons sétaient arrêtés de danser pour ladmirer. Visiblement, elle aimait leffet quelle produisait : le désir chez les garçons et la jalousie chez les filles, qui voyaient en elle une concurrente, avec laquelle elles ne pouvaient pas rivaliser. Cétait une vraie machine à faire bander les hommes.
Jétais obnubilé par cette bouche et ces lèvres qui éveillaient en moi des tonnes de fantasmes. Mais ce jour là, étant avec une copine, qui était devenue ma maîtresse quelques jours auparavant, je métais contenté de parler avec Marie, de la complimenter sur sa beauté et surtout sur la sensualité torride qui émanait delle et de lui donner rendez-vous ici même, pour le lendemain. Elle ne dit ni oui, ni non et me laissa avec mes doutes, toute la nuit et la matinée du lendemain.
Elle vint tout de même, en début daprès-midi, mais avant quil ne se passe quoi que ce soit entre nous, elle me refroidit en mannonçant quelle était vierge (« de partout », ajouta-t-elle) et quelle était décidée à le rester jusquà sa nuit de noces.
- Que peut-on faire ensemble ? Lui-dis-je dun ton plein de reproches. Jai passé lâge des bisous et caresses superficielles.
- Fellation et cunnilingus ! répondit-elle dun ton provoquant, et le regard moqueur.
- Tu as déjà fait cela ?
- Non, mais je veux apprendre ! Jai vraiment envie de toi. Tu es beau et viril. Je suis sûr que tu es membré comme un âne. Karima (lamie qui lavait amenée à la fête) ma affirmé que tu as une réputation de grand baiseur qui donne beaucoup de plaisir à ses maîtresses. Il parait même que, malgré ta jeunesse, tu collectionnes les maîtresses.
Je la regardai avec plus dintérêt. Je regardai surtout cette bouche denfer. Jimaginai mon membre, qui avait atteint des dimensions extrêmes, tant il était excité, pénétrer entre ses lèvres et aller se loger au fond de sa gorge ; je limaginai entrain de le faire aller et venir dans sa bouche, en le titillant avec sa langue, tout en caressant mes couilles.
- Suce-moi lui ordonnai-je en la forçant à sagenouiller devant moi.
Elle sagenouilla sans un mot, abaissa le pantalon de pyjama sur mes genoux et attrapa mon manche avec sa main droite.
- Il est superbe ! Jaurai tant aimé quil soccupe de méclater lhymen.
Sans plus attendre, elle entreprit de me faire une fellation, quelle voulait exemplaire. Au début, elle eut un peu de mal à sy prendre correctement ; elle me faisait mal avec ses dents. Je le lui dis. Elle se corrigea immédiatement et mit tant dapplication à ce quelle faisait quau bout de très peu de temps, elle trouva le rythme quil fallait et me donna tant de plaisir que javais failli lui éjaculer plusieurs fois dans la bouche.
Elle savait interpréter mes soupirs et mes gémissements, ainsi que les quelques crispations que javais quand elle oubliait ses dents et que celles-ci raclaient la hampe de mon engin. Elle comprenait, à la pression que faisaient mes mains sur sa nuque, quelle devait accélérer ou au contraire ralentir le rythme du va-et-vient. Elle savait aussi que je voulais aller jusquau fond de sa gorge : elle sy prit à plusieurs fois mais arriva au but, après avoir failli vomir plusieurs fois. Elle finit par shabi à la présence de lengin dans sa bouche et sa gorge et commença alors à samuser à faire monter mon plaisir et à lamener à la limite de lexplosion. Elle sentait instinctivement à quel moment il fallait ralentir pour faire durer le plaisir, pour reprendre le mouvement de plus belle, à la fin de lalerte à léjaculation.
Jétais aux anges ! Je ne disais plus rien. Je me laissais manuvrer par Marie et attendais avec impatience, le moment où elle voudra bien que je jexplose dans sa bouche et la remplisse dun sperme abondant et épais. Sperme que je décidai quelle avalera jusquà la dernière goutte. Je voulais jouir dans sa bouche, pas à lextérieur. Cétait cela ma victoire. Et de fait, au bout dune éternité, elle décida quelle mavait fait assez attendre et accéléra le rythme jusquà entendre limmense râle de jouissance qui sortit de mes poumons et accompagna les quatre ou cinq jets de sperme que je lui envoyai à intervalles de quelques secondes. Le premier jet, elle le prit directement au fond de sa gorge et eut du mal à lingurgiter. Elle le fit tout de même, en ayant un petit hoquet. Les autres jets se répandirent dans sa bouche et elle fit tout pour ne pas laisser une seule goutte séchapper à lextérieur.
A la fin de lopération elle arrêta le mouvement de sa tête, sortit mon sexe, encore tout dur, de sa bouche, continua un moment à le masturber, tout en me regardant droit dans les yeux, quémandant des félicitations.
- Cétait bon, nest-ce pas ? Je suce bien ? Tu es satisfait de moi ?
- Oh oui ! Jai eu limpression que tu as fait cela toute ta vie. Déshabille-toi, que jadmire ton corps. Je veux te voir nue. Je te promets que je ne tenterai rien qui te fasse perdre ton « innocence » !
En un tour de main, elle enleva, sa chemise en coton et son jean et se retrouva avec seulement sa petite culotte transparente, dun blanc immaculé. Elle était superbe : ses seins étaient gonflés et pointaient vers moi comme des canons. Je ne pouvais mempêcher denvoyer mes deux mains vers eux pour les palper et les caresser. Elle aima immédiatement cela ; elle le montra en esquissant un large sourire de satisfaction et en poussant sa poitrine vers lavant, pour que mes mains aient une meilleure emprise. Je moccupai un moment de ses tétons que je me mis à palper délicatement entre trois doigts qui les enroulaient, en lui faisant pousser des petits gloussements de plaisir.
- Cest délicieux ! Continue, ne tarrête pas. Jaime quon me caresse les seins. Ils sont très sensibles. Je sens que je mouille à force dêtre excitée. Tète-moi !
Jenlevai les doigts de ma main droite de son téton et me mit à téter ce sein si ferme et si doux.
- Cest bon ! Continue comme cela !
Après un moment, je passai au sein gauche, tout en reprenant les caresses sur le droit. Elle était au paradis. Elle gémissait tout doucement, en me caressant les cheveux et en maintenant ma tête pour que je ne cesse pas mes suçons. Au bout dun moment, tout en continuant à la téter, jenvoyai ma main gauche en exploration vers son bas ventre et son entrecuisse. Au contact de son pubis, je la sentis se raidir : soit elle avait peur que je fasse pénétrer mes doigts dans sa chatte ; soit quelle nattendait que cela.
Pour en voir le cur net, je retirai ma tête de sa poitrine, la regardai dans les yeux et lui ordonna de sallonger sur le lit et denlever sa culotte.
- Je vais te rendre la monnaie à la fellation de tout à lheure ! Je vais te sucer la chatte. Mais dabord je veux la regarder et ladmirer. Je suis sûr quelle est superbement belle !
Elle neut aucune hésitation et en même temps quelle sallongeait sur le grand lit installé au bout de la grande chambre, elle enleva sa petite culotte, ouvrit grandement ses jambes et, provocante, elle me laissa admirer une chatte qui avait la même couleur mate que le reste de son corps, entièrement épilée, bombée et brillante de mouille. Elle me regardait en souriant et entreprit douvrir avec ses doigts les grandes lèvres longues et lippues pour me laisser regarder et admirer lintérieur de sa chatte : deux petites lèvres rouge vif, un clitoris de même couleur, dune taille impressionnante et une entrée de vagin plus sombre dans laquelle apparaissaient quelques plis dune sensualité torride.
Mon sexe était en émoi. Il voulait pénétrer dans ce paradis. Je me raisonnai en me rappelant ma promesse de ne pas la dépuceler. Je me rapprochai delle lui fit relever ses jambes pour les lui faire poser sur sa poitrine et mit ma tête entre ses fesses, que sa position avaient mis en évidence. Je lançai ma bouche et ma langue à lassaut de cette merveilleuse chatte. Elle dégageait une agréable odeur musquée qui ajoutait une forte dose dintensité à mon émoi. Jembrassai ses grandes lèvres, quavec deux doigts jécartais pour avoir accès aux petites lèvres, au clitoris et à lentrée du vagin. Je léchai, suçai et tétai les petites lèvres et le clitoris. Jessayai denvoyer ma langue au plus loin dans sa chatte ; je voulais y rencontrer son hymen ; il était trop loin et je ne pu latteindre. Avec la langue je faisais des va-et-vient à lentrée de son étroit tunnel et jouait avec son clito.
Elle aimait cela et me le montrait en gigotant et bougeant ses hanches pour accompagner les mouvements de ma bouche et des ma langue et en poussant des gémissements, dont elle narrivait plus à contrôler lintensité. Ses mains se faisaient de plus en plus pressantes sur ma nuque et ses hanches se soulevaient de manière saccadée, pour mieux coller à ma bouche.
- Maman ! Maman ! Cest bon ! Cest du miel ! Du sucre ! Bois mon jus ! Bois tout mon jus ! Ne laisse rien séchapper ! Je coule ! Je sens que je vais jouir ! Je vais jouir dans ta bouche ! Je jouiiiiiis !
Elle déchargea dans ma bouche des litres de cyprine que je bus avec délectation. Elle saffaissa totalement sur le lit et me tira par la tête pour je vienne mallonger auprès delle. Elle avait lair dune lionne rassasiée. Elle avait un sourire béat dune femme qui venait de recevoir le cadeau de sa vie. Elle mavoua que cest la première fois quelle jouissait autrement que par la masturbation.
- Jamais un garçon ne ma fait ce que tu viens de me faire. Je me suis laissée caresser les seins et même la chatte, à travers la culotte, mais jamais encore je navais été sucée comme cela. Cétait merveilleux ! Il faut que lon recommence.
- Mais moi jai encore envie de faire lamour ! Mentendis-je lui dire, comme si je lui en faisais le reproche.
Elle mattira vers elle et me donna un baiser torride et mouillé, qui au lieu dapaiser mes sens, na fait que les allumer encore plus. Je me mis à genoux devant elle pour lui montrer létat de mon excitation et la force de lérection de mon sexe.
- Oh ! fit-elle, comme pour se moquer de moi. Il est encore plus grand que tout à lheure ! Je laime, tu sais ! Dommages quil ne puisse pas me défoncer la vulve. Viens, approche-toi, je vais te faire jouir avec mes mains. Jai déjà masturbé un garçon à la fac et il a joui comme un fou.
Je mapprochai et me positionnai à côté delle comme elle me lordonnait. Nous étions maintenant côte-à-côte, moi à sa droite, elle à ma gauche. Elle commença à porter ses doigts à sa chatte pour y recueillir ce quelle y trouva de cyprine visqueuse et men enduisit le sexe. Elle recommença lopération plusieurs fois jusquà ce que ma verge soit complètement mouillée et soit devenue glissante. Elle entreprit alors de me masturber consciencieusement, en faisant aller et venir sa main le long de la hampe jusquà dépasser le gland, partie la plus excitable du pénis, et revenir sur la hampe et ainsi de suite. Elle avait la science innée de la masturbation masculine. Elle savait dinstinct quand il fallait serrer le sexe, relâcher létreinte, accélérer le mouvement ou le ralentir. En même temps quelle me masturbait, de sa main gauche, elle entreprit de se caresser la chatte. De temps en temps, elle tournait vers moi son visage pour me lancer un superbe sourire aguichant et moqueur.
- Comme cela tu ne seras pas le seul à jouir ! Cest bon comme cela de me masturber en tenant ton immense queue dans mon autre main. Je limagine dans ma chatte et ce me fait encore plus bander. Je sens que je ne vais pas tarder à décharger. Je veux que nous jouissions ensemble ; en même temps. Je veux que tu éjacules sur moi ; sur mes seins, sur mon visage. Je veux être remplie de sperme. Je sens que je vais jouir tout de suite.
Elle accéléra le mouvement de ses doigts sur ses petites lèvres et son clitoris, lâcha mon gourdin, que je repris immédiatement pour continuer moi-même la masturbation, et lâcha un long râle de plaisir. Son orgasme navait ni la force, ni la qualité de celui quelle avait eu quelques temps auparavant avec le cunnilingus, mais elle semblait sen satisfaire. Elle se tourna vers moi pour me faire face et dune voix rauque et un peu fatiguée, elle mordonna :
- Ejacule sur moi ! Asperge-moi de foutre !
Je ne me fis pas prier pour obéir à cet ordre. Jaccélérai le mouvement de va-et-vient de ma main sur ma verge, tout en regardant sa chatte qui dégoulinait encore de mouille. Je sentais que lorgasme allait arriver, aussi fort quun torrent impétueux. Je poussai un long râle de jouissance et expulsai une première giclée de sperme brûlant qui alla se loger sur sa poitrine, entre ses seins. Elle entreprit aussitôt de létaler avec ses doigts afin den recouvrir totalement chacun de ses seins, des tétons jusquà la base.
Entretemps, une deuxième giclée arriva qui alla sur son visage. Je voulu quelle boive directement celles qui allaient venir. Japprochai mon dard de sa bouche, lui ordonnai de louvrir et lui envoyai les deux dernières giclées à lintérieur, et lui demandant de les avaler. Ce quelle fit avec une gourmandise non feinte.
- Jai envie de rester comme cela, avec ton sperme sur ma poitrine et mon visage. Jaimerai garder le plus longtemps possible ton odeur sur moi et le souvenir de ce qui vient de se passer.
Elle quitta lappartement à la tombée de la nuit, en me promettant de revenir souvent. Elle revint en effet plusieurs fois. Nous fîmes lamour de la même manière autant de fois. A chaque fois, jétais un peu déçu de ne pas pouvoir aller au fond des choses avec elle, mais je me satisfaisais assez de la manière dont cela se passait. Jétais heureux davoir la primeur du corps de cette déesse si sensuelle. Pour mon équilibre sexuel, javais une maîtresse attitrée, que je trompais sans vergogne avec Marie. Puis un jour, elle mapprit quelle venait de se fiancer avec un collègue, étudiant en médecine en fin de cursus, et quelle allait se marier lété suivant. Je savais pertinemment que cela devait arriver. Je nen souffris donc pas trop ; sauf que jétais réellement jaloux de ce mari qui allait faire à ma belle ce quelle minterdisait de lui faire. Le jour de ses noces, auxquelles, perfidement, elle minvita à participer, je métais enivré, croyant pouvoir chasser limage dun autre homme entrain de posséder le corps de Marie. Cela mavait rendu malade, sans pour autant chasser limage du corps de ma belle soffrant avec volupté à un autre.
Nous ne nous revîmes plus pendant trente ans. Javais presque oublié lexistence de Marie, jusquà ce fameux jour où nous nous rencontrâmes par hasard à cette fête de fiançailles. Elle était venue avec son mari, un grand gaillard, aussi blond que Marie était brune, et sa fille Linda qui devait avoir dix-huit ans. Elle me présenta à lun et lautre, en qualité de frère dune ancienne camarade de Lycée avec laquelle elle était très liée. Elle était vêtue dune de ces tenues traditionnelles algéroise (un Karakou noir, brodé de fils dor et un saroual en satin noir, échancré sur les côtés jusquà une dizaine de centimètres au dessus des genoux) qui accentuait ses formes toutes en rondeurs quelle avait gardées intactes. Mon regard était attiré comme par un aimant par ses genoux ronds et le début de ses cuisses qui apparaissaient subrepticement sous son saroual. Elle sen rendit très vite compte et me fit un sourire tellement aguicheur, que je sentis comme une agréable décharge électrique au niveau de mon échine.
Un tas de souvenirs coquins me remontaient à la tête et je sentais en moi un émoi qui me chatouillait le bas-ventre et commençait à réveiller mon sexe. Son mari fut appelé par un jeune homme qui avait besoin de quelque chose et nous laissa seuls sa femme et moi. Sa fille Linda nous avaient quittés quelques minutes auparavant pour aller danser et se trémousser sur une musique Kabyle endiablée.
- Quest-ce que tu deviens ? Minterrogea-t-elle !
- Je suis entrepreneur en bâtiment, répondis-je. Et toi ?
- Jai ouvert un cabinet de cardiologie dans un quartier populaire.
- Ça marche bien pour toi ? Tu as beaucoup de patients ?
- Pas mal ! Je nai pas à me plaindre
Nous continuâmes ainsi à parler de choses et dautres sans oser aborder le sujet qui nous taraudait ; ou du moins qui me taraudait moi. Je lui fis des compliments sur sa beauté qui était restée intacte. Lui posait des questions sur ses s (elle en avait trois : un garçon de vingt-deux ans, une fille de vingt ans et la dernière, Linda que javais vue auparavant, dix-huit ans).
- Et toi, tu es marié ? Tu as des s ?
- Non je suis toujours célibataire. Aucune femme raisonnable ne veut lier sa vie à la mienne. Je suis resté bohémien dans lâme et continue, comme auparavant, à papillonner dune fleur à lautre. En vérité, je nai pas encore rencontré lâme sur, celle avec qui je nhésiterai pas à déposer les bagages.
Nous vîmes son mari au loin qui revenait vers nous. Cela mit fin à notre discussion. Mais avant quil ne parvienne jusquà nous, elle me demanda mon numéro de téléphone, pour le cas où elle aurait besoin de mappeler. Je lui refilai discrètement ma carte de visite, quelle mit vite dans son sac, avant de lancer un sourire éblouissant à son mari qui venait de nous rejoindre. Je pris congé deux en faisant une bise amicale à Marie et en serrant la main de son mari.
Je ne restai pas longtemps à la fête. Je fis juste un tour à lintérieur de la salle, allant à la recherche de mon ami pour le féliciter et prendre congé de lui. Au passage, je remarquai un groupe de jeunes, garçon et filles, qui faisaient un boucan denfer en dansant avec la fiancée. Au milieu deux, Linda, la fille de Marie, qui se trémoussait telle une diablesse au milieu du groupe. Elle avait ceint un foulard autour de ses hanches et dansait une de ces danses kabyles presque érotiques, tant elle était pleine de sensualité. Dansée par des filles ou des femmes, la danse kabyle consiste à bouger les hanches et les fesses à un rythme endiablé, laissant le reste du corps pratiquement immobile. De temps en temps, la danseuse faisait un petit pas de côté et se remettait à faire jouer ses hanches et son fessier. Quand la femme, ou la fille, était belle et avait des hanches et un fessier développés, cela créait une ambiance dun érotisme torride. Et cétait le cas avec toutes ces jeunes filles, y compris la fiancée, qui se trémoussaient au milieu de la piste.
Je quittais lendroit en gardant limage du petit cul de Linda qui se balançait au rythme du bendir et de la zorna et celle de sa mère dont je me remémorai la beauté et la sensualité dantan. Nayant rien dautre à faire, je me décidai à aller au lit assez tôt, pour être en forme le lendemain, car même si cétait un vendredi, donc jour férié, une dure journée de travail mattendait. La sonnerie du téléphone me réveilla vers minuit.
- Allo, Rafik ! Cest moi, Meriem
-
.
- Meriem ! Marie, quoi ! Je tai réveillé, je vois. Excuse-moi. Il fallait que je te parle ! Mon mari est entrain de dormir. Tu sais depuis laprès-midi, je narrête pas de penser à toi et de me remémorer tout ce que nous avons vécu ensemble. Tu peux me rejoindre demain matin dans mon cabinet ? Il faut absolument que je te parle dune chose super importante pour moi.
- De quoi sagit-il ?
- Viens demain et tu le sauras !
Elle raccrocha immédiatement, sans me laisser le temps de linterroger plus et de connaître le fin mot de lhistoire. Je passai le reste de la nuit sans pouvoir me rendormir à réfléchir à ce que pouvait bien mijoter Marie.
Le lendemain vers dix heures, je sonnai à la porte de son cabinet médical, qui se trouvait au premier étage dun immeuble dhabitation. Elle vint mouvrir, vêtue dune blouse blanche de médecin, sans manches et qui sarrêtait au dessus des genoux. Jétais sûr quelle ne portait aucun vêtement en dessous, hormis un soutien gorge et une petite culotte, dont japercevais les contours à travers le léger tissu de la blouse. Comme cela, elle était à croquer. Je me rendais compte quelle était restée aussi désirable quelle létait, une trentaine dannées auparavant. Elle avait juste un peu grossi au niveau de la taille et des hanches. Elle devait certainement faire beaucoup de sport pour maintenir une telle forme physique.
Elle me prit par la main pour me faire entrer et mamener vers une salle aménagée en chambre de repos, avec un immense sofa, deux fauteuils individuels, une petite armoire, une table basse et, dans le coin un petit réfrigérateur. Elle mexpliqua quelle passait la plupart de son temps au cabinet et quand elle avait un peu de temps libre, elle venait se reposer dans cette chambre. Malgré sa tenue super aguichante, qui ne cachait presque rien de son anatomie et dont la position assise accentuait limpudeur, elle était restée sage.
- Il faut que je texplique ce qui marrive. Après cela, si je ne te dégoûte pas, je moffrirai à toi sans aucune retenue.
-
. (Je restai silencieux, ne sachant que répondre à cette entrée en matière)
- Tu te rappelles que je me suis mariée très jeune, pendant que jétais encore étudiante. Javais rencontré Mustapha, qui terminait ses études en médecine, et parce quil était beau, bien de sa personne, de bonne famille et quil avait une situation assurée, javais accepté de lépouser. Physiquement aussi, il me plaisait. Il était grand et fort et surtout, il était blond. Il ressemblait à un gaouri (un européen). Au début tout allait bien : cest un homme gentil, toujours de bonne humeur et large desprit. Nous avons fait très vite des s qui ont immédiatement pris toute la place dans la famille.
- Tu veux dire que sexuellement, ce nétait plus le nirvana.
- En fait cela ne la jamais été. Malgré son apparente virilité, Mustapha na jamais été ce que lon peut appeler un obsédé du sexe. Il sest toujours contenté de relations classiques, la nuit dans le noir. Avec lui, aucune fioriture, aucune fantaisie au lit. Et surtout rien qui fasse un accroc à la morale.
- Tu veux dire que pendant trente ans, tu tes contentée de la position du missionnaire, la nuit dans le noir. Je ne te crois pas. Je pense bien connaître tes penchants en matière dérotisme. Il est impossible que tu sois restée sage pendant tout ce temps.
- Et bien si ! Pendant trente ans, jai rongé mon frein en me lançant à corps perdu dans le travail. Mon mari lui-même est un obsédé du travail (et de largent que cela lui rapporte !). Il a ouvert un cabinet de gastronomie en haute Kabylie et y travaille toute la semaine. Il ne rentre à la maison que le week-end (parfois même pas !). A ce moment, il prend son petit plaisir avec moi et me laisse complètement insatisfaite. Il marrive souvent, après cette frustrante petite partie de jambes en lair, de me lever daller dans la cuisine chercher une grosse carotte ou un concombre et daller dans la salle de bain pour me faire plaisir.
- Tu es sûr quil na pas une autre femme au bled ?
- Je ne crois pas. Il est comme cela, il na besoin pour jouir que déjaculer ; et en ces moments là, il ne pense quà lui; le plaisir quil doit à sa partenaire nexiste pas.
- Ce nest pas normal dêtre aussi con avec une belle plante comme toi, aussi sensuelle et aussi prête à faire de folies au lit. Cest du moins comme cela que je tai connue, et il me semble impossible que tu aies changée à ce point.
- Et bien si ! Ou plutôt non, car jai toujours en moi ce besoin de me faire du bien avec un homme. Mais je te jure que pendant tout ce temps, je suis restée bien sage. Je travaille beaucoup et je gagne beaucoup dargent. Je crois que jen ai fait une espèce de compensation : largent contre le plaisir et le bonheur dune relation amoureuse. Mais hier, quand je tai revu, toutes mes frustrations sont remontées à la surface. Le passé est revenu, et avec lui le désir de rattr le temps perdu. Dès que je tai vu, jai pris la décision de reprendre notre relation, là où on lavait laissée, il y a trente ans.
- Et tu étais assurée que jaccepterai sans problèmes ?
- Oui, quand tu mas dit que tu étais toujours célibataire et donc libre. Je me suis rappelée combien tu me trouvais belle et désirable. Jai vu dans tes yeux que je te plais encore, même si jai vieilli et grossi.
- Tu es toujours aussi belle quavant ! Peut-être même plus, parce que plus mûre !
- Tu veux encore de moi ? Tu veux encore me faire lamour et me donner le même plaisir quavant ? Je ten prie ne me dis pas non !
- Je ne peux pas dire non à une si belle femme. A condition que tu acceptes absolument tout ce que je demanderai ; même les choses qui te paraîtront bizarres ou immorales. Tu sais que jai toujours été plus ou moins pervers dans mes relations amoureuses ; cest comme cela que je prends le plus de plaisir. Contrairement à ton mari, je ne peux pas me contenter de grimper sur toi et de faire quelques allers-retours dans ton intimité. Je te veux corps et âme ; totalement soumise ; comme une chienne ! Tu veux être ma chienne ? Mobéir au doigt et à lil ?
- Oh oui ! Mille fois oui ! Je suis déjà complètement mouillée, rien quà cette idée dêtre ta chienne ! Tu veux voir ?
- Non ! Je veux que tu commences par me déshabiller lentement, en commençant pas mes souliers.
Elle se leva du sofa sur lequel elle était assise et vint se mettre à genoux devant moi. Elle délaça ma chaussure droite et lenvoya balader à lautre bout de la pièce ; me souleva le pied pour ôter la chaussette, quelle jeta elle aussi au loin. Elle passa à lautre pied pour faire la même chose. Elle leva la tête pour sassurer que jétais satisfait de la voir aussi soumise. Je lui fis signe de se lever et de môter la chemise. Elle le fit en dégrafant lentement les boutons un à un, en sortant les pans du pantalon et en lenlevant complètement, en caressant au passage ma poitrine velue.
Elle passa ensuite au pantalon dont elle défit la ceinture, dégrafa le bouton et ouvrit la braguette. Au passage, elle massa furtivement mon sexe, comme pour vérifier quil a toujours envie delle, comme il y a trente ans. Elle abaissa le pantalon sur mes cuisses en profitant pour me palper les fesses et faire passer ses doigts sur le renflement que faisait mon sexe sur le devant de mon slip. Elle me fit lever tour à tour la jambe droite puis la jambe gauche pour ôter le pantalon et le jeter par terre, à lautre bout de la pièce.
Je restais ainsi en slip, le sexe dressé comme un mât de tente. Je lui fis signe en silence denlever le dernier rempart qui cachait mon intimité. Ce quelle fit en un tour de main. Mon slip alla rejoindre le pantalon, par terre, à lautre bout de la chambre. Elle resta un moment à contempler lanimal tendu et dur comme une pierre, à passer sa main droite pour en faire le tour et à le caresser doucement comme si elle avait peur de le prendre totalement en main.
- Pendant trente ans, je nai pas arrêté de penser à ce manche, sa taille et à sa force. Pendant trente ans jai eu des rêves érotiques dans lesquels il me prenait de partout. Jai même rêvé une fois quil me frappait au visage, parce quil était furieux que je laie quitté.
Je ne répondis rien ; je me contentai de lui faire signe de me sucer. Elle ne se fit pas prier. Elle entreprit de me faire une fellation denfer. Pendant quelle me branlait, léchait et tétait, je retrouvais toutes les sensations que javais, il y a trente ans, quand elle me suçait. Je retrouvais cette bouche humide, chaude et suave ; cette gorge profonde et accueillante ; cette langue agile et enveloppante ; cette main droite qui accompagne mon pénis, comme pour une masturbation complémentaire ; cette main gauche caressant et palpant sans discontinuer mes couilles ; et le clapotis que faisant mon manche en mouvement dans sa bouche dégoulinante de salive. Je retrouvais cette image impudique, mais tellement belle, de ces lèvres allant et venant sur mon manche, avec de temps en temps ce regard qui se lève comme pour sassurer quelle était sur la bonne voie et quelle me donnait un maximum de plaisir.
Rien navait changé. Jai retrouvé tout ce que javais perdu, il y a si longtemps. Je sentais le plaisir envahir tout mon corps, me titillant léchine et me faisant mal au bas ventre. Je sentais la jouissance arriver à toute allure, comme un torrent qui dévale une pente. Dun côté, je ne voulais pas jouir immédiatement ; je voulais faire durer ce plaisir de baiser Marie par la bouche. Dun autre côté, je voulais la remplir immédiatement de mon foutre abondant, épais et brûlant ; jétais pressé de lui faire boire mon sperme et de lui en verser sur le visage, le cou et la gorge ; de la voir le ramasser avec ses doigts et les lécher avec ravissement.
Je ne pus tenir longtemps. Marie sentit mon corps se raidir et ma respiration saccélérer ; elle comprit que la jouissance nallait pas tarder à arriver. Elle accéléra le va-et-vient de sa bouche, et celui de la main qui accompagnait la fellation et, au bout de quelques secondes, ce fut comme une explosion. Jexpulsai une grosse giclée de sperme dans sa gorge, quelle avala sans problème : elle fit sortir mon sexe de sa bouche quelle laissa grande ouverte, tout en continuant à le masturber, jusquà ce quil lâche une deuxième, puis une troisième et une quatrième giclée. Elle en avala une partie ; le reste alla se répandre sur son visage, ses yeux, son cou et sa poitrine.
Elle arrêta la masturbation et lécha ce qui restait de sperme sur mon sexe. Jétais au paradis. Je regardais ma belle étaler le sperme quelle avait reçu sur la poitrine de manière à recouvrir totalement ses seins. Ramasser avec ses doigts le foutre quelle avait sur la figure et les lécher en me lançant un regard amusé et provocant. Quand elle eut fini, elle me lança :
- Cest ce que tu voulais que je te fasse, nest-ce pas ? Je ne tai pas laissé le temps de me le demander. Jai devancé tes désirs ? Je suis restée telle que tu mas laissée, nest-ce pas ? Dis-moi que tu as aimé.
- Jai adoré. Lève-toi maintenant et déshabille-toi. Je vais tenculer.
Cétait très facile pour elle de se déshabiller: il lui suffisait de dégrafer quatre boutons et de faire glisser sa blouse pour se retrouver en culotte et soutien gorge à balconnets. Elle enleva ces derniers en moins de temps quil ne faut pour le dire et me présenta un corps presque parfait, nétait un peu dembonpoint qui alourdissait sa taille et des hanches plus larges que celles quelle avait dans sa jeunesse. Mais cela la rendait encore plus désirable.
Tout en se débarrassant de sa blouse et de ses sous-vêtements, elle protesta un peu (pour la forme) en disant quelle navait jamais été sodomisée et quelle navait pas trop envie de commencer.
- Noublie pas que tu as promis de ne rien me refuser. Tu ne vas pas commencer ! Car si cétait le cas, on arrête tout de suite. Tu as promis dêtre ma chienne et dobéir à tout ce que je tordonnerai de faire.
- Excuse-moi ! Je ne recommencerai pas. Jai trop envie de tappartenir. Ordonne et je tobéis.
- A quatre pattes à travers le lit ! Je vais moccuper de tes fesses et de ton anus. Jen avais tellement eu envie. Maintenant que loccasion se présente, je ne vais pas men priver. Je vais téclater le cul et je vais jouir en toi comme une bête. Je vais certainement te faire mal au début, mais je suis convaincu que tu finiras par aimer et en redemander.
Je la fis se mettre en position, à quatre pattes à travers le lit, les hanches remontées au maximum pour être à la hauteur de mon pubis et me permettre de la tirer en restant debout. Je lui écartai les fesses pour dégager sa rondelle, quelle avait très brune et très serrée. Javais en même temps une vue imprenable sur les grandes lèvres de sa chatte. Ces lèvres et cette chatte que javais adoré sucer. Je lui écartai les grandes lèvres pour plonger deux doigts dans sa chatte. Jallai y chercher un peu de son liquide et enduisis son anus pour le lubrifier au mieux. Je my repris à plusieurs reprises, jusquà ce que trois de mes doigts aient pu pénétrer à lintérieur de son boyau, sans trop defforts.
Je me positionnai derrière ma belle, pris mon engin dans ma main droite et le plaçai à lentrée de son anneau. Jagrippai ses hanches et exerçai une légère poussée pour ne pas trop lui faire mal. Le gland pénétra avec difficulté, en la faisant crier de douleur.
- Aie !!! Doucement ! Tu mas éclaté le cul ! Noublie pas que je suis vierge de ce côté !
Je ne prêtai aucune attention à ses protestations et continuai à pousser de manière à aller jusquau fond de son boyau. Ce nest que quand mon pubis vint cogner contre ses fesses que je mis fin à la poussée. Je marrêtai un instant avant de faire le chemin inverse jusquà lentrée de lanus. Jentrepris un va-et-vient, avec un peu de délicatesse au début, puis de plus en plus fort jusquà la piner sans aucune retenue et avec violence.
Elle commença par crier de douleur puis petit à petit, elle shabitua et ses cris se transformèrent progressivement en gémissements où se mêlaient plaisir et douleur. Je lançai ma main droite vers sa chatte et y fit pénétrer deux doigts pour la masturber en même temps que je lenculai. Elle apprécia cette nouveauté et me le fit savoir en lançant un « Ouiii ! » sonore et en commençant à bouger ses hanches de manière à accompagner et mes coups de boutoir et le mouvement de mes doigts dans sa chatte.
- Continue ! Ne tarrête pas ! Cest merveilleux dêtre enculée et masturbée en même temps ! Tu es le Diable en personne ! Tu es entrain de me faire adorer la sodomisation ! Baise-moi encore ! Après tu vas me sucer ma chatte, comme avant nest-ce pas ?
Je commençai à avoir envie déjaculer. Je lui dis que je ne vais pas tarder à linonder de sperme. Tout en lui parlant, jaccélérai le mouvement de mon sexe dans son boyau et de mes doigts dans sa chatte. Sa respiration et ses gémissements, comme les miens, saccélérèrent. Puis dans un râle denfer je lâchai une première giclée de sperme dans son cul ; pendant quelle, elle prit la main qui la masturbait et lui fit accélérer le mouvement de manière à ce quau moment même où javais fini déjaculer, elle partit dans une jouissance tellement sonore, que tout le voisinage avait dû lentendre. Elle saffala, fourbue sur le lit, mentraînant avec elle. Je restai ainsi un moment sur son dos, reprenant mon souffle. Je sortis mon sexe, maintenant totalement ramolli, la retourna et lui demandai de sasseoir sur le bord du lit et de me nettoyer le manche avec sa langue et ses lèvres.
- Cest sale ! Je ne peux pas faire cela ! Noublie pas que je suis médecin !
- Marie ! Criai-je faisant semblant dêtre en colère, noublie jamais ta promesse de ne jamais rien me refuser !
Vaincue et soumise, elle se mit à nettoyer consciencieusement mon vit avec langue. Elle avala tout ce quelle ramassait entre le reste de foutre et les produits de son cul. De temps en temps, elle me jetait un coup dil inquiet. Je trouvai cette situation tellement érotique, que mon sexe, pourtant à bout de force, eut une nouvelle érection (pas très forte). En voyant cela, Marie lintroduisit totalement dans sa bouche pour le nettoyer quelques mouvements dallers-retours. Elle sarrêta au bout denviron une minute, sortit lengin de sa bouche et fière comme si elle venait daccomplir un exploit, me fit un sourire éclatant et dit :
- Je suis douée, nest-ce pas !
Ce nétait pas une question, cétait une affirmation. Et cétait vrai quelle était douée, elle qui navait jamais été sodomisée jusque là. Et je ne parle pas de lopération de nettoyage du sexe plein de sécrétions. Harassée et heureuse elle saffala sur le lit avec sur les lèvres un sourire béat dune lionne repue. Elle avait les jambes ouvertes qui se balançaient en dehors du lit et la mettait dans une position presque obscène, avec sa chatte exposée à lair libre, ouverte et dégoulinante de mouille. Jadorai limage de cette femme nue, les cuisses ouvertes, les jambes se balançant dans le vide en dehors du lit et la chatte totalement offerte. Je me mis à genoux entre ses jambes et entamai un cunnilingus forcené. Je léchai, suçai, tétai et mordillai le clitoris qui avait gardé sa fermeté dil y a trente ans.
Le désir de ma belle se réveillait doucement et allait crescendo. Elle gigotait, gémissait et criait de ne pas marrêter, tout en appuyant sur ma tête, comme pour la faire pénétrer totalement dans sa chatte. Au bout dun moment, ses gémissements saccélérèrent et devinrent de plus en plus sonores. Ses mains se crispèrent encore plus sur ma tête et ses hanches se soulevèrent le plus haut quelles purent, puis elle lâcha un immense râle de plaisir et déchargea avec force dans ma bouche. Elle déchargea des quantités incroyables de cyprine quelle me criait davaler.
- Bois, mon amour ! Bois mon jus ! Ne laisse rien se perdre ! Je taime tellement !
Totalement fourbue, elle relâcha tous ses muscles et senfonça dans le lit. Le temps de reprendre son souffle, elle prit ma main et me força à venir mallonger près delle et membrassa tendrement sur la bouche. Cest à cet instant que je me rendis compte que je ne lavais pas encore embrassé ; embrassé comme autrefois, de ce type de baiser torrides et mouillés capables à eux seuls de donner un maximum de plaisir. Je me dis en moi-même que la prochaine fois, je lembrasserai ainsi et je la baiserai par son con en la prenant en levrette. Mais pour linstant, jétais trop fatigué pour faire autre chose que dormir dans ses bras. Ce que je fis presque instantanément. Je ne sais combien de temps elle et moi dormîmes.
Quand je me réveillai, je maperçus quelle avait les yeux ouverts et quelle me regardait tendrement, comme elle aurait regardé dormir un bébé.
- Bonjour mon amour ! Tu as lair fourbu ! Ta chienne est à la hauteur, nest-ce pas ! Il est maintenant temps de manger quelque chose avant que tu ne partes. Linda ne tardera pas à arriver ; elle a été rendre visite à une copine et doit venir vers quatorze heures pour rentrer à la maison avec moi.
Elle prépara un repas froid, léger et rapide avec ce quelle avait dans le réfrigérateur. Nous mangeâmes avec appétit et allâmes ensemble prendre une douche fraîche pour nous redonner du tonus. Nous nous rhabillâmes, moi avec les habits quelle mavait enlevée tantôt, elle, en remettant les sous-vêtements quelle portait à mon arrivée et en allant chercher dans larmoire un tailleur de couleur marron et de coupe classique. Vêtue comme cela, elle retrouvait un air sérieux, que renforçaient des lunettes à montures dacier. Rien ne pouvait indiquer que cette femme, qui redevenait subitement « le docteur Meriem », venait de passer près de trois heures à faire lamour comme une folle avec son amant.
- Au revoir mon amour. Promets-moi que nous nous reverrons bientôt ! Dis-moi que tu ne pourras plus te passer de ta chienne. Elle, elle restera toujours à ta disposition. Jai passé une journée inoubliable avec toi. Jen veux dautres et encore dautres
jusquà ma mort.
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