Na Leslie Tr 56
Leslie à Paris P563 - Emilie, suite.
Le lendemain.
Le lendemain, alors que dans ma chambre tranquillement installée sur mon lit entrain de lire, Emilie frappe à la porte et entre sous prétexte de discuter avec moi, ayant des questions à me poser.
Je suis allongée sur le dos et elle sest assise sur le bord du lit, restant muette et attentive attendant quEmilie entame la conversation. Nous sommes restées ainsi pendant un instant en nous regardant et en repensant à nos caresses dhier, je sens quEmilie à du mal à entamer la conversation alors je lui dis :
- Emilie, tu as quelque chose à me demander ?
- Oui, Leslie, me dit-elle, mais je nose pas car cest très particulier.
Ses yeux mobservent et elle rajoute :
- Leslie, jai envie de toi, mais jai été déflorée par une brute et jai un mauvais souvenir et maintenant jai peur.
Emilie se met à pleurer à chaudes larmes, je lattire alors vers moi et la fait allongée à mes côtés, sa tête sur ma poitrine.
Je tente de la consoler en la caressant tendrement et en lui disant des mots doux et en la rassurant en lui disant :
- Cest normal davoir un peu mal la première fois, mais il faut avoir confiance, tous les hommes ne sont pas des brutes.
Enfin ces phrases idiotes qui nous viennent dans de pareils moments.
Doucement mes caresses se font plus pressantes, caressant le dos puis son visage, et descendant sur ses fesses pour simplement les effleurer.
À un moment je lui relève la tête et lembrasse sur la joue, puis naturellement nos bouches se sont rencontrées, puis sans un mot nous nous sommes déshabillées et un fois nues face à face Emilie me dit :
- Leslie, fait moi lamour !
Emilie sallonge sur mon lit les jambes écartées, indécente, je pose ma bouche sur son sexe et la lèche quelque temps la faisant gémir de plaisir, je la doigte dun doigt et elle jouit une première fois, menserrant la tête de ses jambes dans une contraction violente.
Puis je remonte alors lentement, lui embrassant le ventre, les seins et termine en lembrassant à pleine bouche, et tandis que nous échangeons ce baiser, je guide mon sexe vers sa vulve, une fois mon gland positionner à lentrée de ses lèvres intimes je reste un instant immobile attendant son regard de consentement.
Cest elle qui relevant dun coup son bas ventre sembroche sur mon membre accompagné dun soupir de plaisir, puis me tenant par les hanches elle mattire à elle pour que je me plante en entier dans son sexe humide et brulant.
Pénétrée, Emilie soupire, je reste au fond delle immobile quelques instants puis commence de lents va et viens. Emilie secoue la tête de droite à gauche en soupirant :
- Ohh, comme cest bon, oui Leslie jouis en moi.
Elle sent mon plaisir venir et contracte ses muscles autour de mon sexe en répétant :
Viens, jouis en moi.
Je jouis alors au plus profond delle lentraînant dans une nouvelle jouissance.
Nous sommes restés unis un long moment nous regardant dans les yeux, Emilie les yeux plein de larmes trésaille au moindre mouvement de mon corps en elle, puis doucement je mallonge auprès delle.
Nous sommes restées ainsi pendant un long moment, allongée nues côte à côte savourant le plaisir sue nous venions davoir, puis Emilie se redressant se pencha sur moi et membrassa sur la bouche, puis quittant mes lèvres sa bouche embrassa ma poitrine, agaça un instant mes tétons et descendit le long de mon ventre avec sa langue jusquà mon nombril.
Descendant encore elle arrive alors à mon sexe quelle prend dans sa bouche et commence à le sucer Progressivement elle le prend entièrement dans sa bouche et pendant ce temps je lui caresse les fesses et le sillon.
A un moment elle abandonne mon sexe pour me lécher avec sa langue la base de mes bourses et sinsinuer jusquà mon anus quelle caresse du bout de la langue, surprise je la laisse faire car son geste me procure beaucoup de plaisir, sans pudeur Emilie continua à lécher longuement ma rosette.
De mon côté, après lui avoir caressée la vulve et le clitoris de mon doigt, je mattarde sur son anus, Emilie frémit et se cambre, mais je sens Emilie consentante alors je lui introduis un doigt dans le cul, Emilie sursaute en poussant un petit gémissement.
A son tour, comme par provocation elle menfonce un doigt dans le cul en reprenant sa fellation de plus belle.
Je bande et suis excitée comme une folle, je me relève et la fait mettre à genoux sur le lit, puis je me place derrière et après lui avoir lécher le petit trou je place mon gland à lentrée de son étroit conduit.
Emilie trésaille et se retournant me dit :
- Non pas là, Leslie, cest trop étroit et je suis vierge de ce côté.
- Emilie, lui dis-je, tu en as envie je le sens.
- Oui cest vrai jen ai envie, mais
Mon gland est posé sur son illet et je pousse doucement, Emilie se contracte et refuse de sabandonner à cette pénétration, je pousse encore et son illet souvre, je la pénètre lentement jusquà passer le gland, Emilie souffle et gémis en disant :
- Ohhh, ohhh, tu ne mécoutes pas, tu me dilates, ohhh, comme cest gros, doucement, doucement.
Mais Emilie ne se dérobe pas à la pénétration après avoir passée le gland je ressors doucement, puis rentre à nouveau un peu plus profondément, je recommence plusieurs fois pour finalement être entièrement en elle.
Emilie gémit, je commence alors à imprimer un rythme régulier de va et viens, son corps se détend et tandis que je la sodomise, Emilie se caresse le clitoris du bout des doigts, elle crie sans sarrêter, je sens Emilie se contracter et partir dans une fabuleuse jouissance, son corps est couvert de perles de sueur, les orgasmes se répètent et Emilie nen finit pas de crier, je sens la jouissance monter en moi et tandis quun râle sort de ma gorge je jouis au fond du petit cul dEmilie.
Tétanisées et ivres de plaisir, nous nous affalons sur le lit, fatiguées mais heureuses.
Durant son séjour à Paris Emilie est venue me rejoindre chaque nuit, elle est devenue une fervente partisane de la sodomie et une fellatrice hors paire, Laure durant le séjour dEmilie à passée ses nuits entre amants et amantes nous laissant tranquilles pour la bonne cause et le jour du départ Emilie est partie heureuse et rayonnante avec le désir de revenir dès que possible.
A suivre
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