Une Ballade À Vélo

Une ballade à vélo
On faisait une ballade ce jour là à vélo dans la forêt près de chez nous. Le soir commençait à descendre lentement. Au beau milieu d'une montée particulièrement raide, je sens mon épouse qui montre des signes de faiblesse. Je la rejoins, me place à ses côtés et commence à la pousser. La jupe courte qu'elle porte laisse voir une petite culotte blanche. Les fesses se balancent de part et d'autre de la selle. Chantal ne sait pas que l'on voit tout. On est seuls sur la petite route de campagne, et je me surprends à imaginer les fesses nues sur cette selle. Personne alentour et l'idée me prend de la décider d'enlever sa culotte.
Après bien du mal elle accepte. Je la lui prends et la mets dans ma poche. Elle remonte sur le vélo et penchée sur son guidon, toute son intimité est exposée. Chantal a le sexe rasé mais a gardé à ma demande les poils de son pubis. Quand elle pédale en danseuse, les poils apparaissent au dessus de ses lèvres ouvertes au bout de son sillon fessier. En roulant au moindre coup de vent ses fesses et ses cuisses sont éclaboussées de lumière. Une nouvelle côte et je descends pour pousser. Je ne peux m'empêcher de lui peloter le cul et les cuisses.
Soudain j'aperçois, aux détours d'un virage, un groupe de trois coureurs à pied qui se dirigent vers nous. Chantal ne les a pas encore vus et ils nous rattnt lentement. Quand elle les aperçoit, il est trop tard. Ils nous rejoignent. A notre hauteur, il leur est facile de deviner ce qui se passe : une femme se balade à vélo le cul nu. Ses fesses ne sont pas cachées malgré la courte jupette ; moi je pousse mine de rien.
A peine dépassés, on les entend qui rigolent derrière nous. Je sens ma femme toute rouge de honte, qui sent les regards sur son cul. Elle est humiliée de se faire surprendre ainsi comme une vulgaire salope obsédée sexuelle, elle qui s'est toujours refusée de se libérer de ses tabous. Bien souvent elle m'a taxé de pervers quand je l’incitais à répondre à mes fantasmes.

Et là maintenant elle est prise pour une petite pute et moi cela me mets immédiatement dans érection fantastique que j'ai du mal à cacher dans mon survêtement. Soudain, on comprend, au son de leurs voix et des grossièretés qu’ils disent, qu’ils ont fait demi-tour et reviennent vers nous. Ils envoient des vannes pas très fines tout en se maintenant derrière nous. Puis on les entend qui nous rejoignent. La montée est forte, on avance lentement.
On en voit un qui nous double et se retourne pour voir Chantal de face. Il affiche un sourire moqueur.
Les deux derniers restent derrière pour profiter plus longtemps de la situation.
J'ai peur.
Alors le premier se retourne tout en courant et propose de m'aider à pousser. Chantal panique. Sans attendre ma réponse, un d'entre eux passe de l'autre côté du vélo et prenant la selle en main se met également à pousser. Celui de droite, m’écarte et fait de même. Celui de devant s'arrête et passe derrière pour regarder. Ils rigolent maintenant tandis que je les laisse partir devant. Chantal n'ose bouger mais je sens qu'elle essaie d'accélérer pour s'échapper. Je suis à distance sur mon vélo. Chantal accélère toujours mais les mains maintiennent le vélo par la selle. Elle est en plus à bout de souffle et exténuée. Soudain cédant à une peur panique, me sentant éloigné, elle se lève en danseuse pour essayer de fuir. Comme cela, elle s’offre nue, fesses et sexe, aux regards des trois hommes qui la maintiennent.
Me voyant sans réaction, celui de droite abandonne la selle et pose sa main sur les fesses qui dandinent devant ses yeux. Alors ma femme a un geste brusque de retrait et se met à crier, ce qui a pour effet d'exciter son violeur qui se saisit cette fois de son sexe à pleine main. Chantal se débat, le vélo tombe avec Chantal. Les trois hommes la relèvent et l'entraînent vers le bas-côté de la route. Quand je les rejoints, elle est allongée par terre sur le dos et maintenue jambes et bras écartés par les eux plus grands. Le troisième est entre ses cuisses et lui malaxe son sexe dans lequel il a introduit un doigt. Il lui fait mal. Chantal se débat et me voyant me supplie d'intervenir. Mais bien vite elle s'aperçoit que ce spectacle me comble et comme les violeurs elle comprend que je participe à son viol. D'ailleurs j'ai sorti mon sexe et je me branle violemment devant ce spectacle des trois hommes qui violent ma femme. Maintenant on lui relève son maillot de sport, elle apparaît en soutien gorge comme seul vêtement avec sa jupe relevée. Celui qui est entre ses cuisses a déjà sorti son sexe et il le présente à l'entrée du ventre offert. Chantal se débat mollement comme résignée. Son sexe luisant de sécrétions trahit son excitation. L'homme à une belle bite et d'un coup sec il pénètre le sexe ouvert. Il exécute des mouvements rapides et très vite éjacule en râlant. Il se retire, du foutre dégouline du sexe ouvert débordant du ventre rempli, bourré. Aussitôt, sans attendre, le second prend sa place. J’imagine qu’il va avoir encore moins de mal à s’enfoncer dans le sexe baveux du foutre de son pote.
Déjà, Chantal semble moins contrainte et même donne quelques premiers signes de plaisir.
Le troisième a décidé de se faire sucer. Il présente sa bite devant la bouche de mon épouse qui finit par s'en saisir et se mettre à la sucer. J'ai comme l'impression que plus que de moins en moins résignée ma femme commence à prendre goût à la situation. Ils ne la tiennent plus et c’est elle qui branle la bite qu’elle est en train de sucer.
Celui qui se propose de la baiser la prend par les hanches et sans ménagement la retourne sur le ventre. Il lui soulève les reins pour bien exposer son cul qui l'a tant excité tout à l'heure. Il lui écarte les fesses pour bien jouir de la vue du petit trou. Avec un doigt il enduit l'orifice avec du sperme de son copain récolté dans la chatte dégoulinante et présente sa bite pour enculer mon épouse. Je le vois qui pousse et force car elle est très étroite en cet endroit. Il lui demande de se détendre et de pousser pour s’ouvrir à sa bite. Et Chantal passe une main et écarte ses fesses pour faciliter la sodomie. L’homme appuie sa pression, force encore tandis que Chantal grimace mais ne se dérobe pas poussant son cul au devant de la queue qui tente de la pourfendre, l’écarteler. Et soudain je vois la colonne de chair disparaître d’un seul coup entre ses reins. Après quelques va et vient brefs et profonds son violeur finit crier et par se répandre dans ce cul ouvert. C'est le moment que choisit son compère pour éclater dans la bouche qui lui suce sa queue. Chantal avale la totalité de la semence en regardant son violeur dans les yeux.
Repus les trois hommes se relèvent, moi j'ai réussi à jouir deux fois. Ils se rajustent et s'éloignent rapidement après un bref salut en guise d'excuse. Chantal me regarde crevée, elle ne semble pas m'en vouloir car évidemment elle a pris son pied. On se rhabille et on rentre sans un mot. Bien souvent par la suite nous avons fait l'amour en nous parlant de ce moment vécu ensemble au détour d'un chemin.
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AL