La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1426)
chienne Kajira (devenue chienne Cataleya) au Château (suite de l'épisode précédent N°1425)
Ce fut les douces caresses du Maitre sur ma tête qui me réveilla
- Ma belle esclave, tu Me sembles assez reposée, alors tu vas aller dans le chai du Château qui se trouve près de la crypte, pour toccuper de lérection de Mon Majordome laquelle, je ne doute pas, tu sauras lui provoquer avec ta bouche de pute. Et quand il se sera bien vidé dans un de tes trous de chienne en chaleur de son choix, tu resteras dans le chai à Mattendre en position de levrette car jai envie de Moccuper de toi, en cette soirée, ordonna le Maitre.
Je me prosternais une dernière fois et me déplaçais en quadrupédie jusquau chai en descendant prudemment les escaliers en pierre étroits en colimaçon. Quand je fus arrivée au chai, il y avait déjà Walter en train de se faire sucer par un esclave mâle. Dès quil me vit, il congédia lesclave qui, sans un mot, sen alla. Le Majordome se retrouva donc devant moi, sa grosse verge déjà bien dure par la fellation de lesclave et sans attendre, il se planta dans ma bouche mempoignant les cheveux pour imposer son geste.
- Vient par-là, la chienne, vient finir le travail de bouche de cet esclave insignifiant, salope, et donne-moi du plaisir, tu es là pour ça
Walter prit possession de ma cavité buccale de ses mains pour imprimer son propre rythme, senfonçant plus profondément en moi en gorge profonde. Il me baisa littéralement la bouche et me mit à quatre pattes, bien cambrée pour que je continue à le sucer. Je sentis alors une présence derrière moi que je navais pas entendu venir. Des mains caressaient mon cul nu et bien arrondi et je les reconnus tout de suite, cétaient les mains de Monsieur le Marquis. Puis je sentis Sa Verge raide au gros gland du Maitre prendre possession de ma chatte sans préambule. Le Noble baisa mon sexe alors que javais la bite du Majordome en bouche.
Alors que jétais sodomisée dans cette saillie bestiale, prise par deux de mes orifices, celui du cul et bouche, le troisième allait très tôt être rempli car je sentis tout dun coup un gros gode vibrant me pénétrer ma chatte dégoulinante de cyprine. Le Châtelain le mit alors de suite en route et ce gode continua de me prendre la chatte allant et venant tenu par Sa main énergique. Mes trois trous étaient donc bien remplis en même temps et cétait vraiment délicieux de me sentir remplie de partout, je me sentais à ma place, juste un objet de plaisir, utilisée pour vider des couilles. Mais durant ce moment bestial de baise aux pénétrations, buccale, vaginale et anale simultanées, je neus pas le droit de jouir, ny étant pas autorisée, il métait difficile de me retenir et je fis dextrêmes efforts pour y parvenir car la forte envie était au rendez vous. Ils accentuèrent la virile et profonde cadence pour enfin éjaculer en même temps, et après un long et si sublime moment, éjaculer dans ma bouche et dans ma chatte dans des longs jets de sperme chaud. Comme dans un accord entendu entre eux deux, une fois quils eurent joui, ils restèrent bien plantés en moi, le Noble au fond de mon cul, le Majordome dans ma bouche et le gode vibrant dans ma chatte continuait à vibrer tout au fond de mon vagin mais sans faire daller-retour
Personne ne bougeait, tous les deux immobiles dans mes trous et le silence se fit quand je sentis la main claquante du Maître me fesser le cul.
- Depuis ton retour de Chine, tu as fait Ma fierté. Tu as su te retenir de jouir, tu as su Me satisfaire, quoi quil ten coute, à être baisée, enculée et bien plus encore, dans les bordels de Pékin et ici avec Mes Invités et sans jamais rien dire, très obéissante et dressée en une vraie putain que tu es pour Moi. Et surtout, tu as suivi Mes directives à la lettre sans jamais faillir. Je suis donc extrêmement fier de toi, Ma chienne. Cette nuit, pour te récompenser, tu passeras la nuit dans Ma chambre, enchainée au pied de mon lit. Tu as quelque chose à me dire avant dy aller, Ma chienne !
- Maitre, que pourrais-je dire si ce nest un immense merci de me dresser, et de faire de moi une meilleure esclave pour Vous. Depuis que je suis à Vos pieds, je revis et jai trouvé ma place qui me sied si bien, celle dune esclave, prête à tout pour Vous satisfaire et Vous servir dans cette univers quest la D/s et qui me permet de vivre ma propre Nature soumise. Je naspire quà rester à Vos pieds tout le reste de ma vie. Et depuis le début de mon éducation, jai déposé à Vos pieds ma vie entière et comme dit précédemment mes sentiments et tout mon amour pour Vous, Maitre tant Vénéré et Adulé. Je suis à Vous, toute à Vous, rien quà Vous
- Bien, Ma belle Cataleya, il est temps pour nous daller dormir. Viens avec Moi, allons dans Ma chambre
Le Maitre accrocha la laisse à mon collier noir ébène pour me faire sortir à quatre pattes par une ancienne porte latérale située sur un mur de côté du chai et donnant directement à lextérieur, pour memmener pisser dehors dans le parc.
Le matin, ce fut esclave Matthieu qui fut venu me réveiller et déposer le petit déjeuner sur le bureau du Maitre. Il était entièrement nu et encagé et portait un épais collier métallique autour du cou. Nous attendions que Maitre se réveille pour grimper, comme exigé la veille, sur Son lit et Lui faire Sa fellation matinale. Ce fut le cas donc dès son réveil qui ne tarda pas. Puis une fois quil avait joui dans ma bouche, il mordonna en me tendant une clé, celle de la cage de chasteté du soumis présent, de sucer cet esclave Matthieu pour le faire éjaculer. Aussi cest ce que je fis en bonne chienne obéissante après lui avoir ôté sa cage. Il ne lui fallut pas longtemps pour se décharger dans ma bouche, visiblement en manque déjaculation par une abstinence e. Puis je dus remettre moi-même la cage au soumis et rendre la clé au Noble. Ensuite, Maitre exigea à lesclave Matthieu de me branler par ses doigts et de me doigter allègrement tout en me léchant mon clitoris et de me faire jouir à son tour, ce quil fit mais uniquement quand le Noble en aurait lordre.
Attendant cette autorisation à lorgasme, je dus donc retenir ma jouissance au maximum pendant que Maitre enculait esclave Matthieu par de puissants coups de reins. Et cest au moment où Maitre jouit profondément dans le cul desclave Matthieu que jeus lautorisation de jouir sous les doigts et la bouche de ce dernier. Je pus donc jouir en même temps que Maitre. Une fois terminée, cest mon frère de soumission qui nettoya la verge du Maitre après que le soumis eut bu ma fontaine de cyprine. Puis le Châtelain prit Son copieux petit déjeuner, nous à Ses pieds, mangeant en quadrupédie, chacun dans notre gamelle. Quand on eut fini, on attendait à genoux Ses Exigences.
- Mon chien, retourne aux cuisines, porter mon plateau et demande à Walter de te trouver de loccupation à lentretien du Château. Quant à toi, Ma chienne, debout contre le mur que je fasse rougir ton cul et ton dos de salope et je ne veux pas tentendre.
Sans un mot, je me positionnai donc comme exiger sans un bruit. Maitre commença avec le martinet pour chauffer mon cul et mon dos. Par la suite, Il attrapa la badine pour frapper plus fort et plus durement, alors que je retenais mes cris et mes gestes pour rester immobile. Une cinquantaine de coups de badine, puis 50 coups de fouet se fit sentir sur mon corps nu. Ce fut dur et délicieux à la fois pour moi et très excitant de subir juste pour Le plaisir du Maitre. Entre chaque instrument, Il venait passer Ses mains sur mon dos et sur mon cul et ne manquait pas de venir fouiller mon entrecuisses afin dy vérifier son taux dhumidité abondant, ce qui me donner encore plus envie de Le satisfaire dans ce quIl me faisait subir. Quand Le Maitre passe Ses mains sur mon corps, jai limpression que la douleur senvole, et le plaisir est démultiplié quand Le Châtelain en profite pour vérifier mon excitation et me faire lécher Ses doigts de ma mouille de trainée. Il inséra donc une fois de plus, deux doigts dans mon sexe dégoulinant pour me doigter sauvagement la chatte et bestialement cette fois. Je dû me retenir pour ne pas jouir tellement cétait bon de Le sentir en moi, étant toujours bien mouillée et excitée.
Cette séance de fouettage avait, à lévidence, redonné de la vigueur au sexe du Maître, de nouveau très excité par Ses pulsions de Domination qui lui provoquaient toujours de fulgurantes érections. Alors le Maître, bandant de nouveau, me prit en levrette, à même le sol, comme une vulgaire chienne de rue dans une baise bestiale et bien profonde. Cest dans ces moment-là que je me sens pleinement à ma place, animalisée et prise comme un simple objet de plaisir pour Le Maitre. Il me pilonna, me baisa, me laboura la chatte par de virils et puissants coups de reins, sans prêter attention à moi, réduite à un simple trou pour Sa noble Verge...
Au bout dun moment, Il se vida dans ma chatte sans me donner lautorisation de jouir. Je Lui nettoyais de nouveau Son Vit avec ma bouche de salope, sans soccuper de moi. Une fois finie, Le Maitre quitta Sa chambre et me laissa seule durant une heure à genoux en position dattente immobile. Cest Walter qui vint me chercher et me conduisit dans son bureau. Jattendis aussi à genoux durant encore une heure quil termine son travail avant dêtre amenée dans une pièce que je ne connaissais absolument pas dans le Château où attendaient des hommes. Je ne sais pas sils étaient soumis ou pas. On mattacha à une sorte de chaise de gynéco et les hommes soccupèrent de moi durant des heures. Je fus baisée, godée par tous mes trous, que ce soit mon cul, ma chatte ou ma bouche, aucun de mes orifices de chienne ne fus laissé à labandon...
A un moment, on me banda les yeux et je sentis sur moi une brulure de cire, ce nétait pas douloureux à proprement parlé, juste une agréable sensation de chaleur, pour la masochiste que je suis, et qui se répandait sur mon corps nu, plus douloureux au niveau de mes tétons et de ma chatte trempée. Ensuite, ils menlevèrent la cire à coups de martinet et de cravache, sans que je némette aucun son, ayant reçu lexigence de ne rien dire, ni de bouger. Quand ils eurent fini, on me détacha et enleva mon bandeau pour venir me pisser dessus et plusieurs hommes venaient se branler et se vider dans ma bouche, sur mes seins, sur mon visage, partout où cétait possible, me trainant de putain, de trainée, de vide-couilles, de sac à foutre et jen passe. Tous ces mots avaient le don pour mexciter, je dois bien lavouer
Un des hommes mexigea de me branler le clito en me doigtant moi-même ma chatte, ce que je fis avec un immense plaisir excitant. Il ne me fallu pas longtemps avant davoir de nouveau envie de jouir
(A suivre
)
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