Marie Et Sa Fille Linda (Deuxième Partie)
Deuxième partie : Linda, la fille de Marie
Notre histoire à Marie et à Moi dura longtemps, et nous remplissait de bonheur. Javais arrêté de papillonner et me contentais de lamour que me donnait mon adorable Marie. Jétais même devenu un amant jallais écrire un mari, tant elle métait devenue indispensable fidèle. Je ne lavais pas trompée, pendant tout ce temps là. Elle suffisait à mon bonheur.
Et puis, environs une année plus tard, notre relation prit une tournure que ni elle ni moi navions prévue. Nous continuâmes à nous rencontrer, soit dans son cabinet, soit dans mon appartement, à faire lamour sans retenue et à nous aimer comme des fous. Puis un jour, elle vint chez moi avec un air tellement défait que jétais certain quil lui était arrivé quelque chose de grave.
- Quest-ce qui se passe ? Lui lançai-je effrayé. Ton mari a appris notre liaison ?
- Non, mais cela ne tardera pas. Linda a tout découvert ; elle nous a vus la dernière fois au cabinet. Elle ma raconté quelle était entrée (elle possède la clé du cabinet) et quelle avait assisté à nos ébats ; quelle avait tout vu et tout entendu. Elle me menace maintenant de tout raconter à Mustapha ; je lai suppliée, jai pleuré, je lui ai promis de lui offrir tout ce quelle désirait. Rien à faire ; elle ne veut rien savoir.
- Tu veux dire que rien de matériel ne lintéresse pour pouvoir la faire taire ? Ni une belle robe, ni un voyage, ni une nouvelle voiture ?
- Non ! Ce quelle veut est tellement inimaginable, que je nose même pas ten parler.
- Vas-y, je suis prêt à tout entendre et si cest une chose qui dépend de moi, je te promets de ne pas hésiter pour accepter.
- Non, je ne crois pas que ce quelle demande pourra tagréer ; du moins, si tu maimes, comme tu dis maimer.
- Ne me fais pas languir ! Lâche la nouvelle ! Que veut Linda ?
- Toi !
-
- Tu as bien compris Linda te veut toi ! Elle veut devenir ta maîtresse, comme moi.
- Essaie de la raisonner. Dis-lui que je ne peux pas aimer une fille qui utilise un tel chantage. Dis-lui que cest immoral ; quelle ne peut pas avoir le même amant que sa mère. Que je suis un homme sans morale. Que je la ferais souffrir. Que je suis un papillon volage. Que sais-je encore.
- Je lui ai déjà dis tout cela. Je lui ai dit pire encore. Mais rien ne fonctionne. Elle ma donné jusquà demain pour que je ten parle et te convainc à accepter le deal. Que dois-je faire ? Sil te plait aide-moi ! Je ne veux pas détruire mon foyer : jai de la tendresse pour mon mari et jaime mes s. Je ne peux pas me permettre de tout détruire. Jai trop investi dans ma famille pour la détruire comme cela. Mon mari ne me pardonnera jamais de lavoir trompé ; surtout sil apprend létendue de mon amour pour toi. Aide-moi !
- Franchement je ne vois pas comment. Peut-être que si je lui parlais, je pourrais la convaincre quelle fait fausse route.
- Cest ce que jattendais que tu me dises. Mais têtue comme elle est, je suis sûre que tu ne pourras pas la convaincre. Il ne restera quune chose à faire à ce moment : accepter son diktat.
- Tu veux dire que tu es daccord pour quelle devienne ma maîtresse !
- Oui !
- Mais qui te dit que moi jaccepte ; que je sois capable de coucher avec elle et den tomber amoureux. Imagine quelle saperçoive que je nai aucune envie delle et que je sois incapable de la rendre heureuse, quest-ce qui lempêchera de se venger, en allant tout raconter à son père ?
- Tu es un homme ! Et un homme qui aime les femmes ; Linda est très belle.
Je ne savais plus quoi penser. Dun côté jaimais sincèrement Marie et je ne voulais pas quelle souffre. Dun autre je nacceptais pas de me soumettre à un chantage, même si ce chantage là, na que des avantages. Linda était réellement belle. Je me rappelais lémoi qui mavait envahi quand je la regardais danser pendant la fête. Mais elle était encore trop jeune : javais cinquante ans et elle un peu plus de dix-neuf ans.
Nous nous séparâmes, Marie et moi, sans avoir eu le cur de faire lamour, mais en ayant pris la décision que je parlerai à Linda et que jessaierai de lui faire changer davis. Elle dira à sa fille que finalement elle acceptait quelle me rencontre et que si elle arrivait à me séduire, elle accepterait de lui céder sa place auprès de moi. Quel dilemme !
Je nai pas quitté la maison de toute la journée. Je nai pas été au travail. Jai simplement téléphoné à ma secrétaire pour lui dire de reporter la réunion que javais programmée pour laprès-midi et lui ai dit que je devais mabsenter quelques jours pour résoudre quelques petits problèmes personnels. Je suis resté au lit toute la journée à retourner le problème dans tous les sens, afin de lui trouver une solution convaincante. En vain !
Je me suis endormi vers trois heures du matin. Je fus réveillé vers dix-heures par la sonnerie, forte et insistante, de la porte. Je me levai, encore tout ensommeillé, en pantalon de pyjama et tee-shirt et allai ouvrir. Je tombai nez-à-nez sur une star de cinéma : Linda, portant un long manteau noir, fait dun tissu léger et moulant, qui couvrait tout son corps et descendait jusquà ses chevilles. Son visage était maquillé avec goût, mettant en valeur son teint clair et lumineux, ses immenses yeux bleus et une bouche qui était la réplique parfaite de celle de sa maman : sensuelle à faire bander un mort !
Elle tenait beaucoup de choses de sa mère, mais cétait surtout la sensualité torride quelles dégageaient toutes les deux qui les unissaient.
Quant elle entra dans lappartement, avant même que je linvite à le faire, il se produisit comme un miracle : la maison toute entière en fut illuminée. Ce nétait certainement quune vue de mon esprit encore endormi, mais cela montrait à quel point sa beauté était lumineuse.
- Bonjour, fit-elle, un sourire narquois sur les lèvres. Jespère que je ne tai pas réveillé.
- Non, jétais levé depuis longtemps, mentis-je effrontément.
- Je sais bien que ce nest pas vrai. Tu as tout de lhomme qui a mal dormi et qui a été réveillé en sursaut. Va prendre ta douche pendant que je nous prépare un petit déjeuner. Je suis moi-même à jeun.
-
.. ? (Je ne sus pas quoi dire, bien que je voyais quelle prenait ses aises et la direction des évènements)
Elle se débarrassa du long manteau qui couvrait tout son corps, du cou jusquaux chevilles, et je découvris, estomaqué, quelle ne portait en dessous quune petite robe, bleu-pétrole, faite dans un tissus en coton très fin, qui lui arrivait à mi-cuisses et qui mettait en valeur son superbe corps de vamp. La robe était tellement moulante quelle laissait voir les formes dun corps parfait, tout en rondeurs bien placées et aux proportions idéales. Les souliers à hauts talons quelle portait lagrandissaient, galbaient encore plus ses longues jambes, accentuaient les rondeurs de son fessier et lobligeaient à redresser léchine de manière à mettre en évidence sa superbe poitrine. Quelle beauté !
Je quittai rapidement les lieux, les laissant à la disposition de la nouvelle fée du logis, et partit me débarbouiller. Je mattardai dans la salle de bain, prenant une douche bien chaude, me rasant et me lavant les dents. Je maspergeai même dune lotion après rasage que jutilisai très rarement, tant le délicat parfum quelle dégageait était tenace et durait toute une journée.
Après avoir changé de tee-shirt et mis un pantalon de jogging propre, je rejoignis Linda dans la cuisine. Elle avait fini de préparer le petit déjeuner avec ce quelle avait trouvé dans le réfrigérateur et dans les placards. Elle lavait posé, en mattendant, sur la table qui trônait au milieu de la pièce. Elle était debout, me faisant face et me regardait de manière effrontée, droit dans les yeux.
- Je crois quil ne manque rien pour le petit déjeuner. Je nai pas trouvé de croissants ; je les ai remplacés par des biscottes.
Et elle sassit sur une des chaises et, sans autre forme de procès, se mit à servir du chocolat au lait, bien chaud et dégageant un arôme agréable, dans le bol qui métait destiné, puis dans le sien. Elle beurra une première biscotte et me la tendit pour que ce soit moi qui mange le premier. Je la lui pris des doigts, frôlant au passage sa main. Je reçus une petite décharge électrique qui mit mon bas ventre en émoi. Elle narrêtait pas de me regarder, tout en mangeant en silence et avec appétit. Je mangeai aussi en silence. Je ne voulais rien dire. Jattendais que ce soit elle qui commence. Ce nest que quand tous les deux nous avions finis de manger, quelle sétait levée pour servir un café noir bien tassé quelle avait préparé en même temps que le petit déjeuner, quelle ouvrit la bouche pour dire :
- Tu es beau ! Tu me plais comme jamais un garçon ne ma plu, ni ne ma excitée.
- Mais je pourrai être ton père. Si je métais marié à lâge de trente ans, jaurai pu avoir une fille de ton âge !
- Pauvres arguments ! Je te croyais plus intelligent ! Quest-ce que lâge a à avoir là dedans ? Tu es à la force de lâge ! Tu es beau ! Tu es fort ! Tu es viril ! Je ne cherche pas à tépouser ! Je veux seulement vivre le grand amour avec toi ! Ne me dis surtout pas que tu nes pas digne de confiance, que tu es un coureur impénitent, que tu me laisseras tomber dès que tu auras assouvi tes bas instincts ! Tout cela maman me la déjà assez ressassé ! Je vous ai vu, maman et toi faire lamour comme des bêtes ! Jai vu tout le bonheur que tu lui donnes! Javais bien remarqué que maman avait beaucoup changé depuis environ un an. Elle a une mine plus épanouie et réjouie ; elle rit beaucoup, contrairement à avant où elle faisait tout le temps la tête. Elle est devenue la joie de vivre personnifiée. Ce nest que quand je vous ai vus ensemble, que jai vu tout lamour quelle te portait et que tu semblais lui porter, que jai compris que cétait toi la cause du changement. Je veux ma part de bonheur !
- Écoute-moi, petite sotte ! Tu me plais, plus quaucune autre fille ne ma jamais plus ! Je serai le plus heureux des hommes davoir une maîtresse telle que toi. Tu es belle, avec des rondeurs qui damneraient un saint. Tu sembles super-sensuelle et prête à toutes les expériences érotiques. Quel est lhomme qui serait assez bête pour refuser ce don du ciel. Mais cest à toi de réfléchir, de penser à ton avenir, au moment où tu devras fonder un foyer, à celui où tu tomberas amoureuse de lhomme de ta vie. Si tu cèdes maintenant à de simples envies, aussi fortes et irrépressibles soient-elles, tu le regretteras au moment des choix de vie sérieux. Tu regretteras de nêtre plus vierge ; tu regretteras davoir perdu un temps précieux à la poursuite de chimères.
- Arrête tes leçons de morale ! Cela ne prend pas sur moi. Je suis assez grande pour savoir ce qui est important dans ma vie. Aujourdhui ce qui est important, cest toi ! Et rien dautre ne compte. Tait-toi et embrasse-moi ! Fais-moi grimper aux rideaux ! Rends-moi heureuse comme tu las fait avec maman ! Dailleurs, moi je ne veux pas te voler à maman ; je veux simplement ma part de bonheur. Vous pouvez continuer à vous voir et à faire lamour. Mais je ne veux pas être oublié dans le partage.
Vaincu par ses arguments, je la pris par les épaules, la contempla en silence quelques secondes et lattira contre moi pour la serrer très fort. Elle sabandonna en posant sa tête au creux de mon épaule. Nous restâmes comme cela un long moment, avant que je ne sente son ventre frotter contre le mien et un de ses genoux sinsinuer entre mes jambes, en me faisant presque perdre léquilibre. Je me rattrapai à la table de la cuisine et, commençant à être fortement excité, je lai éloignée de quelques centimètres pour la regarder dans les yeux, cherchant à y lire ce quelle attendait de moi.
Elle me lança un merveilleux sourire, tendit son visage vers moi et moffrit ses lèvres. A partir de là tout bascula. Je ne contrôlai plus rien. Un baiser torride sensuivit, avec à la clé, un duel de langues remporté haut la main par ma partenaire ; un baiser avec des litres de nos salives mélangées, que lun et lautre bûmes avec délectation. Un baiser qui dura une éternité et dont nous sortîmes à bout de souffle et, pour moi, un sexe tellement tendu, quil faillit sortir du pantalon de jogging que je portais.
Je la pris dans mes bras, la soulevai du sol en lemportai dans la chambre à coucher. Je la déposai en position assise au bord du lit. Je me mis à genoux devant elle pour la contempler, comme on contemplerait une uvre dart, exceptionnelle et délicate. Javais du mal à lentreprendre, comme javais entrepris sa maman, une trentaine dannées auparavant. Il restait en moi une trace de scrupule, que je voulais absolument effacer avant de mabandonner au désir de la posséder.
- Tu sais, lui dis-je, jai vraiment honte de moi. Et si on arrêtait maintenant. Il ne sest encore rien passé de grave et dirrémédiable entre nous. Soyons sages ; peut-être que demain tu auras changé davis.
- Tais-toi ! répondit-elle en colère et finit ce que tu as si bien commencé ! Fais-moi connaître le septième ciel ! Fais de moi une femme épanouie ! Rends-moi heureuse ! Cesse tes simagrées !
Tout en parlant elle se leva, releva les pans de sa petite robe, la fit passer au dessus de sa tête et resta devant moi toute nue avec seulement une petite culotte, elle aussi de couleur bleu-nuit.
- Que penses-tu de ce que tu vois ? Nest-ce pas que je suis belle ? Que je suis à croquer ?
Alors croque-moi !
Je me relevai et tendit les bras pour lattirer contre moi. Jétais vaincu et plus rien ne comptait plus que ce corps de déesse que je voulais posséder ; que jallais posséder. Je pris sa tête entre mes mains et partis à la recherche de sa bouche pour un autre baiser torride ; quelle me rendit avec la même fougue. Tout en lembrassant, je me mis à lui caresser un de ses merveilleux seins, si fermes et si soyeux. Je la sentis qui frissonna au contact de ma main sur son sein. Elle aimait être caressée à cet endroit. Jéloignai légèrement ma tête de son visage pour mieux la regarder prendre du plaisir à mes caresses. Je me mis à caresser les deux seins à la fois, en moccupant en priorité de ses tétons quelle avait tellement sensibles, quau moindre toucher, elle poussait un petit gémissement de contentement.
Elle avait fermé les yeux et était entrée en elle pour savourer son plaisir. Elle avait sur les lèvres un sourire de bonheur qui me rendit moi aussi très heureux. Jétais heureux de rendre heureuse ma belle sauvageonne. Un moment, je retirai une de mes mains de sa poitrine pour commencer à lui caresser son ventre plat et surtout son bas ventre et son pubis, à travers le tissu de la petite culotte. Elle ouvrit un instant les yeux, regarda ma main qui cherchait à pénétrer à lintérieur de lélastique de sa culotte, eut un sourire de béatitude et les referma pour se mettre à lécoute de ses sens.
Ma main pénétra à lintérieur de sa culotte et se mit à caresser son mont de vénus bombé, ferme et à la peau de soie. Il ny avait aucune trace de poils. Elle avait dû sépiler très soigneusement le matin même. Quelle sensation de douceur javais sous ma main ! Ma belle commençait à gémir de manière inconsciente. Elle écoutait ses sensations et les vivait pleinement. De temps en temps, elle prenait ma main restée sur son sein et lobligeait à le caresser plus profondément. Elle navait pas peur que je lui fasse mal en palpant trop fort ses seins. Au contraire, cétait ce quelle voulait.
Elle était maintenant sur le point de chavirer. Se gémissements se faisaient plus forts et plus sonores. Elle gigotait en bougeant son bas ventre comme pour minviter à pousser ma main plus bas et à aller à la recherche de sa chatte. Nous étions toujours debout devant le lit. Jarrêtai subitement de lui caresser la poitrine et retirai ma main de dessous sa culotte. Elle poussa un petit cri de réprobation quelle arrêta très vite, quand elle comprit ce que je voulais lui faire. Je me mis à genoux devant elle, mit deux doigts de part et dautre de lélastique de sa culotte et abaissai cette dernière jusquà ses pieds. Elle resta ainsi complètement nue, les cuisses encore serrées, mais laissant voir le début de renflement de sa chatte.
En la poussant légèrement vers le lit, je lui fis comprendre que je voulais quelle sasseye et quelle ouvre ses cuisses pour me laisser voir sa chatte et me laisser moccuper delle. Elle ne se fit pas prier. Elle posa ses fesses sur le rebord du lit et sallongea sur le dos, me présentant une merveilleuse chatte que lon dirait dessinée par un artiste figuratif. Aucune trace de poils ; des grandes lèvres de couleur sombre, dodues et longues, se terminant par une petite ouverture en triangle.
Je mis mes doigts pour caresser les grandes lèvres, tester leur fermeté et les écarter pour avoir accès à ses petites lèvres dun rouge très vif, brillantes de mouille et laissant entrevoir un petit clitoris, rouge vif lui aussi et une entrée de grotte plus sombre et mystérieuse. Ma belle se crispa légèrement au moment où je mis mes doigts sur ses grandes lèvres, mais se relaxa très vite à la douceur des caresses que je leur appliquai. Cest très peu de dire que ma merveilleuse amante avait la chatte sensible. Elle répondait à chaque caresse par un petit gémissement de plaisir, des gigotements et des contorsions de ses hanches. Elle aimait mes caresses et le montrait sans fausse honte.
Pour linstant, elle ne parlait pas. Comme pour les caresses sur ses seins, ou ailleurs sur son corps, elle fermait les yeux et entrait en elle-même pour mieux être à lécoute de ses sensations. Elle nextériorisait son plaisir que par des petits gémissements, inaudibles au départ, mais qui se faisaient de plus en plus sonores, au fur et à mesure quaugmentait le plaisir quelle prenait.
Les caresses que jappliquais à sa chatte étaient encore superficielles ; je ne voulais pas dépuceler ma belle par accident avec un doigt. Je voulais offrir sa fleur à mon sexe, qui avait maintenant atteint des dimensions phénoménales, était devenu aussi dur quune pierre et piaffait dimpatience de faire son nid dans cette chatte si belle et si accueillante. Mais avant dentamer quoi que ce soit pour mon propre plaisir, je voulais offrir à ma belle un orgasme monumental avec ma bouche. Je me rappelai combien sa maman aimait que je la fasse jouir avec ma bouche, combien elle appréciait le cunnilingus. Jétais sûr quil en allait de même pour Linda.
Pour men assurer, je plongeai ma tête entre les cuisses de mon amante et allai poser ma bouche sur les grandes lèvres, que je commençai par embrasser comme on embrasserait les lèvres de la bouche. Linda aima immédiatement ce que je lui faisais et me le montra en appuyant sur ma nuque pour empêcher ma tête de quitter ce lieu paradisiaque. Avec la langue, jécartai les grandes lèvres pour prendre possession des petites, de son clito que je suçai et titillai avec le bout de ma langue et de lentrée de son vagin dans laquelle jenvoyai ma langue, tel un petit sexe qui cherchait à la pénétrer profond. Au passage, je ramassai et avalai tout ce que je pouvais du liquide quelle secrétait en abondance.
Sa chatte avait la même odeur enivrante de musc que celle de sa maman et son jus avait aussi le même goût salé et légèrement acidulé. Ma belle était déjà au septième ciel. Elle bougeait ses hanches au rythme de mes coups de bouche et de langue. A travers mes oreilles, totalement bouchées par ses cuisses refermées sur ma tête, jentendais comme venant de très loin, ses gémissements qui devenaient de plus rauques et sonores. Elle relevait ses hanches très haut pour aider ma langue à aller le plus loin possible dans son vagin. Cétait comme si elle cherchait à se faire dépuceler par ma langue.
Au bout dun moment, je sentis que tous ses muscles étaient tendus comme des cordes darcs et que la jouissance allait arriver comme une rivière en furie. Cétait exactement ce qui arriva, quand elle se mit à pousser un râle dune intensité et dune sonorité que je navais encore jamais entendues dune femme qui jouissait. Elle déchargea dans ma bouche une tonne de cyprine, que je dégustai avec gourmandise. Sa jouissance dura longtemps ; on aurait dit quelle avait eu plusieurs orgasmes, les uns derrière les autres. Quand elle eut fini de décharger, elle relâcha tous ses muscles, desserra ses cuisses pour libérer ma tête et senfonça dans le lit, fourbue et heureuse. Je me levai pour me mallonger à ses côtés et la regarder vivre son bonheur. Elle avait fermé les yeux et continuait de sourire aux anges dune manière complètement inconsciente.
Je lai prise dans mes bras pour lallonger complètement sur le lit, dans le sens de la longueur, et lenlaçai en lui caressant tendrement la nuque et les cheveux. Elle sortait petit à petit de son nuage, ouvrit les yeux et me lança son merveilleux sourire, qui était en même temps une preuve de son bonheur et un remerciement pour moi qui lavait amené à cet état de béatitude.
- Je nai jamais joui autant, me dit-elle de sa petite voix. Jusquà maintenant les seules jouissances que jai eues, je me les suis procurée avec mes doigts, quand je me masturbais. Mais quelle différence ! Jattends la suite. Jattends les orgasmes que me procurera ton sexe. Dailleurs je veux le voir tout de suite. Laisse-moi te déshabiller. Jai toujours rêvé de déshabiller un homme et de me retrouver en face dun immense sexe en érection. Mets-toi debout pour que je tenlève tes habits.
Je me levai et me mis debout à côté du lit. Elle vint me rejoindre et commença à faire passer par-dessus ma tête le tee-shirt que javais gardé sur moi depuis la douche. Elle séloigna de quelques centimètres pour regarder mes épaules, ma poitrine et mes muscles pectoraux.
- Tu es superbe. Tu es fort et viril. Je naime pas les poils, mais ceux que tu as sur la poitrine me font bander.
Elle me caressa les épaules, la poitrine et fit descendre sa main sur mon ventre. Je me mis en attente de sentir cette main pénétrer à lintérieur du pantalon de jogging et aller à la rencontre de mon engin, qui bandait tellement quil me semblait quil nallait pas tarder à exploser. Elle ne laissa pas sa main aller jusque là. Elle préféra mattr par la taille et se mettre à promener ses lèvres sur ma poitrine et mon ventre. Son haleine chaude et la douceur de ses lèvres sur ma peau ont encore accru mon désir delle, alors que je croyais avoir atteint le maximum possible du désir. Et quant elle sortit sa langue et que, de sa pointe, elle se mit à titiller tour à tour mes tétons et mon nombril, je ne pouvais plus tenir. Je le lui dis.
- Je sens que je ne pourrai pas tenir plus longtemps et que je vais te culbuter tout de suite et te défoncer la vulve ! Regarde dans quel état tu as mis mon membre !
Elle jeta un il curieux au devant de mon pantalon et avec un sourire ironique sur les lèvres, elle me dit quelle allait soccuper de lui. Elle rentra deux doigts de part et dautre de mon pantalon de jogging et dun geste brusque elle labaissa jusquaux genoux, accompagné du slip quelle emmena avec lui. Elle resta quelques secondes à admirer lanimal, me lança un regard coquin et égrillard et me dit, moqueuse :
- Tu vas certainement me avec un tel engin ! Mais quelle belle mort que celle-là !
Elle le prit dans une main, eut du mal à en faire le tour, se mit à genoux et le couvrit de baisers. Elle sortit le bout de sa langue pour le titiller et puis à le lécher plus franchement. Mon membre et moi étions aux anges. La sensation que faisaient ces lèvres et cette langue sur mon sexe me transportait aux portes du paradis. Jattendais avec impatience le moment où elle ouvrira la bouche, écartera les dents et fera pénétrer le monstre à lintérieur et le poussera jusquau fond de la gorge. Quand elle le fit, un long gémissement de plaisir sortit de ma bouche. Elle lentendit certainement, puisquelle sarrêta, sortit le sexe de sa bouche et leva la tête pour menvoyer son merveilleux sourire lumineux. Cétait comme si elle me disait :
- Tu vois, je sais aussi bien faire que maman !
Elle remit le monstre dans la bouche, le poussa lentement au fond de la gorge et le fit revenir jusquà lentrée. Elle lui fit refaire le chemin inverse et petit à petit elle entreprit un mouvement de va-et-vient de plus en plus rapide. Bien quelle nait jamais pratiqué la fellation, elle savait dinstinct comment sy prendre. Elle savait utiliser sa langue pour accroître la sensation de plaisir et ses mains pour masturber le membre et caresser les testicules. Si bien que très rapidement -létat dexcitation extrême aidant- je lâchai en criant de plaisir une première rasade de sperme qui alla directement au fond de sa gorge et son estomac. Elle neut pas la possibilité davaler directement la deuxième et la troisième rasade, que jenvoyai pour partie à lintérieur de la bouche et pour lautre sur le visage, les cheveux et le cou.
Il me restait encore du sperme que jenvoyai sur ses seins. Mon Dieu quelle était belle ainsi, avec du foutre sur tout le corps ! Mon Dieu ce que je pouvais aimer cette fille qui était entrain de ramasser avec sa main le sperme quelle avait sur le visage et quelle léchait goulument comme si cétait du miel !
- On dirait du miel, fit-elle en me regardant avec son regard coquin et moqueur. Tu mas fait prendre une douche de sperme. Je suis aussi bien que maman, nest-ce pas ?
Cette obsession de ressembler à tout prix à sa maman, commençait à magacer, bien que dun côté jen étais heureux. Linda était vraiment la fille de Marie. Elles avaient la même sensualité et le même désir de rendre heureux leur amant de cur. En faisant lamour à la fille, je retrouvais la mère, trente années plus tôt. Et cela me rendait heureux. Cétait comme si le temps sétait arrêté pendant trente années et reprenait aujourdhui son cours normal. Cétait ma vengeance à moi sur tout le temps que javais perdu sans Marie.
Il me fallait maintenant passer aux choses vraiment sérieuses : le dépucelage de Linda. Elle-même semblait attendre cela avec impatience. Elle sétait allongée sur le lit, dans le sens de la longueur, les jambes légèrement ouvertes et à demi reliée, exposant à mon regard sa magnifique chatte palpitante.
- Quattends-tu pour faire de moi une femme ? Jai hâte de sentir ton sexe exploser ma chatte ! Viens vite ! Regarde comme elle tremble dimpatience ! Comme elle est ouverte ! Comme elle appelle au secours !
- Jarrive, mon amour !
Je me positionnai entre ses jambes que je lui fis écarter encore plus, tout en les lui remontant, genoux pliés, sur son ventre. Elle était si belle dans cette position impudique de fille heureuse doffrir sa fleur au pilon qui allait la défoncer et lensanglanter. Elle eut tout même la présence desprit que javais totalement perdue de me demander de prendre un préservatif dans la boite qui se trouvait, elle le savait, dans le tiroir de la table de nuit. Je tendis la main pour sortir la boite de préservatifs du tiroir et la lui tendit pour quelle soccupe elle-même de la corvée den sortir un, de déchirer son emballage et de me lenfiler. Elle fit tout cela avec des gestes rapides et précis, semblant prendre du plaisir à lenfiler sur mon engin qui narrêtait plus de palpiter, tant il était excité.
Je me repositionnais entre ses jambes quelle remit toute seule dans la position que je voulais quelle prenne et me mis à lui caresser les petites lèvres avec mon sexe, pour la faire mouiller le plus possible. Je me rendis vite compte que mouillée, elle létait à lexcès. Mais je ne voulais pas la pénétrer tout de suite. Je voulais le faire progressivement de manière à la déchirer sans trop de brutalité. (Javais pourtant envie dy aller franchement et de lui éclater lhymen comme une brute. Je crois quau fond de moi, javais gardé cet atavisme, ethnique ou social, qui faisait que lhomme na de plaisir sexuel que dans la brutalité).
Je me retins et me mis à la caresser avec douceur avec mon pénis. Je le faisais aller et venir le long de la fente formée par les grandes lèvres, le faisant légèrement pénétrer à lintérieur entre les petites lèvres pour aller titiller son clitoris. Elle appréciait et le montrait en gémissant et en bougeant doucement ses hanches. Elle avait encore fermé les yeux pour mieux profiter du plaisir quelle prenait. De temps en temps, je faisais pénétrer lengin à lintérieur du vagin et allais cogner sur la fine membrane de son hymen. Je la sentais se crisper, craignant la forte douleur de la déchirure. Je le retirai rapidement, et la sentais se détendre, soulagée de voir séloigner linstant fatidique.
Je reprenais mes caresses sur la surface de sa chatte, sur son clitoris et à lentrée du vagin. Je recommençais plusieurs fois le manège daller titiller son hymen, sans le perforer, si bien quau bout de la sixième ou septième fois, quand mon sexe entrait en contact avec sa membrane, elle ne se crispait plus. Elle se laissait aller totalement au plaisir de mes caresses, en gémissant de plus en plus fort et en bavant dexcitation. Jallai souvent cueillir un peu de cette bave sucrée, en lembrassant tendrement sur la bouche et en la ramassant au passage. Comme chaque fois quelle prenait du plaisir, elle fermait les yeux et ne disait rien. Elle se contentait de se trémousser et de gémir de plus en plus fort.
Ny tenant plus, je profitais du relâchement de tous les muscles de son corps, pour donner une forte poussée du bassin et faire sauter lobstacle qui interdisait lentrée du fond du vagin. Je sentis lhymen se déchirer sous la forte poussée de mon sexe et ma belle pousser un petit cri de douleur quelle réprima très vite. Je voyais, à la grimace quelle faisait, quelle avait eu très mal et quelle avait toujours mal mais elle ne voulait pas que jarrête. Elle sagrippait à ma taille et tirait très fort, pour que menfonce plus en elle.
Je restai un long moment au fond de son vagin, sans bouger. Je voulais donner un peu de temps à la douleur pour quelle sestompe et pour que son vagin étroit, visqueux, doux et chaud shabitue à la présence de lintrus. Je commençai un lent mouvement de va-et-vient dont je limitai volontairement lamplitude dans un premier temps. En remontant le sexe, je ne dépassai pas la limite de lhymen blessé. Je voulais dabord quelle apprécie et aime ce gros sexe qui se promène lentement au fond de son vagin et qui savait, malgré sa force, être très doux. Elle aimait et le montrait en me tirant de plus en plus fort par la taille pour me faire comprendre que je devais aller au plus profond de son tunnel fond et ne pas arrêter daller et venir en elle.
Elle avait maintenant ouvert les yeux et regardait avec avidité la partie de mon gros engin qui entrait et sortait de sa chatte. Un moment, sa main droite lâcha ma taille et alla à la rencontre du monstre qui entrait et sortait dentre ses grandes lèvres. Elle voulu lattr pour je ne sais quel objectif - peut-être pensait-elle quelle pouvait lenfoncer plus profond - mais se rendit vite compte que si elle lattrapait, elle lempêcherait de continuer à la piner si profond. Elle remit donc sa main sur ma taille et tira sur elle encore plus fort.
Son plaisir était fort, mais elle sentait quil lui manquait quelque chose de fondamental : accroître lamplitude de mes va-et-vient dans son vagin. Elle utilisa la prise quelle avait sur ma taille pour pousser très fort au moment où mon sexe remontait et lui fit dépasser la limite que je ne voulais pas franchir pour ne pas réveiller la douleur de la déchirure de lhymen. Elle arrêta un cri de douleur au moment où il allait sortir de sa bouche et me fit un sourire un peu crispé pour minviter à continuer.
- Continue ! Plus fort ! Plus vite ! Je nai plus mal ! Vas-y, vas-y ! Vas-y plus fort ! Laisse faire ton gros zob ! Il est fort ! Il est gros ! Il fait très mal ! Mais il est doux ! Plus vite ! Plus vite !
Et en même temps quelle parlait, elle accompagnait le mouvement de mes hanches avec ses bras qui voulaient mobliger à aller plus au fond de sa chatte et à accélérer le rythme de mes va-et-vient dans son tunnel. Je ne prenais plus aucune précaution ; jy allai en puissance en ahanant comme un bûcheron, accompagnant ainsi les hurlements de ma belle, dont je ne savais pas si cétait de douleur ou de plaisir. Probablement les deux à la fois, car à aucun moment elle ne me demanda de marrêter ou ne fit un geste qui me poussât à le faire.
Elle gémissait de plus en plus fort, en criant de continuer. Elle bougeait ses hanches au rythme de mes coups de boutoir et au bout dun moment, elle arrêta de crier, de parler et de gémir, tout en continuant à tirer sur ses bras pour que je narrête pas de la piner en force. Son visage se figea, ses lèvres devinrent toutes blanches, ses yeux se voilèrent et, finalement, elle poussa un long râle de mourante et déchargea toute leau de son corps en hurlant :
- Je jouis ! Je jouis ! Je jouis !
Elle relâcha dun coup tous ses muscles et senfonça, épuisée, au fond du lit. Jétais encore en elle et continuai un tout petit moment à aller et venir. Puis je marrêtai, sortit mon sexe, encore tout raide, de sa chatte. Il était enduit dun sang rouge vif, sang qui perlait aussi dentre ses grandes lèvres. Elle ouvrit les yeux pour regarder le sang et eut un superbe sourire qui signifiait quelle était heureuse dêtre devenue une femme. Je lui donnai un tendre baiser sur la bouche, en lui murmurant que je laimais infiniment et que jétais heureux et fier davoir été son premier homme.
- Et le dernier ! Toi tu nas pas joui ! fit-elle. Tu nas pas éjaculé ! La capote est vide et ton sexe est encore debout ! Pourquoi ? Ce nétait pas bon ?
- Non cétait délicieux ! Il me fallait plus de temps pour jouir ! Noublie pas que je me suis vidé deux fois tout à lheure. Nous avons encore beaucoup de temps devant nous. Ne ten fait pas, je vais me rattr très rapidement Maintenant que tu nes plus vierge, ce sera plus facile pour moi de prendre mon pied dans ta chatte. Elle va mappartenir complètement et jen userai et en rai jusquà ce que toi tu en aies assez.
- Jamais je nen aurai assez ! Je tappartiendrai pour toujours.
- Et si on mangeait quelque chose ! Proposai-je. Repose-toi, pendant que je nous prépare un petit en-cas.
Je me levai, fis un peu de toilette et alla dans la cuisine préparer un repas léger : steak, frites, salade verte et fruits de saison. Tout cela était au frigo (y compris les frites surgelées) et ne me prit pas plus dune vingtaine de minutes. Je revins dans la chambre avec un immense plateau que je posai sur la table basse qui se trouvait dans la chambre. Je tirai le tout au pied du lit et demandai à Linda de sassoir sur le bord du lit, à mes côtés, et de manger. Linda, toujours dans son impudique nudité, vint se mettre à côté de moi (javais remis le pantalon de jogging) et se mit à manger avec un appétit dogresse.
Nous étions comme un couple de nouveaux mariés; heureux dêtre ensemble et de tout partager. Elle se comportait vraiment comme une femme heureuse dêtre avec lhomme quelle aime. Elle papotait (jallais écrire quelle gazouillait, ce qui était presque vrai, tant elle rappelait un oiseau gazouillant tout seul dans son nid, en attendant son compagnon qui nallait pas tarder darriver) parlant de choses et dautres, sans véritable importance. Juste pour parler, entendre et me faire entendre le son de sa voix ; un son empli de bonheur et de joie de vivre. Nous passâmes le reste de la journée et toute la nuit au lit. Nous refîmes lamour au petit matin.
Cette fois-ci, je ne pris pas de gants pour la piner en force en lui refaisant très mal et en même temps en nous faisant jouir comme des fous. Sa blessure sétait réveillée pendant lacte et sétait même remise à légèrement. Mais Linda, fit montre encore une fois de courage en surmontant sa douleur, la transformant même en plaisir, jusquà à avoir un orgasme aussi fort que ceux quelle avait eus la veille.
- Je vais te paraître vulgaire, mais ce que je vais te dire, je le pense sincèrement. Tu es ce que lon peut appeler « un magnifique coup », une fille - une femme, maintenant qui ferait le bonheur de nimporte quel quidam. Et ce quidam, cest moi ! Nest-ce pas étrange ? Hier encore, je ne te connaissais pas. Et aujourdhui, je serai incapable de me séparer de toi. Dailleurs, je me pose la question de ce que je vais devenir à partir du moment où tu partiras dici. Tu vas reprendre ta vie, tes études, tes copains, tes parents. On ne pourra se voir, si tu le veux bien, que de temps en temps. Moi cela ne me suffira pas. Et toi ?
- Moi aussi ! De toutes les façons, tant que tu voudras de moi, je viendrai passer mes nuits avec toi. Personne à la maison ne se posera trop de question. Maman sait ce qui se passe. Quant à mon frère et ma sur, on leur dira que je passe mes nuits chez une tante paternelle qui madore et chez laquelle je passe souvent des nuits. Le seul vrai problème reste maman. Noublie pas quelle aussi, elle taime sincèrement. Je ne voudrai pas quelle tombe dans la neurasthénie en te perdant. Il faudra donc que je te partage avec elle !
- Tu es sérieuse ? Tu es vraiment capable de partager ton homme avec une autre femme ?
- Non pas une autre femme ! Ma mère ! Ce nest pas la même chose. Je me suis comportée très mal avec elle en la menaçant de tout raconter à papa (ce que dailleurs, je naurais jamais fait ; cétait le seul moyen que javais pour tavoir à moi). Je me sens un peu coupable. Et si je peux corriger un peu mon comportement, je le ferai ave joie. Si elle, elle veut de moi comme deuxième maîtresse de son amant, et bien je ne peux quêtre daccord.
- Et mon avis à moi, il ne compte pas pour vous deux ? Elle aussi mavait parlé de me partager avec toi.
- Non toi ton avis ne compte pas ! Tu aimes maman, cela jen suis sûre. Tu maimes aussi, cela aussi jen suis sûre. Maman taime comme une folle ; je lai remarqué en voyant son immense bonheur quant elle fait lamour avec toi. Un ménage à trois est donc ce qui nous convient à tous.
- Tu as oublié ton père !
- Oh lui, il ne compte pas. Il ne pense quà largent. Il aime maman à sa manière, mais il nest pas homme à rendre heureux une femme en laimant comme une femme. Pour lui son épouse nest en fait que la mère de ses s. Je ne sais même pas sil lui fait encore lamour. Et si cest le cas, je ne suis pas sûr quil sache vraiment ce que cest que faire lamour à une femme. Cest mon père et je laime ; mais ce nest certainement pas lamant quil faut à une femme aussi sensuelle que maman. Je ne suis donc pas scandalisée quelle le trompe avec toi. Jen suis même heureuse.
Nous passâmes encore toute la journée et la nuit qui suivit ensemble à faire comme si cétait notre lune de miel. Et cétait vraiment notre lune de miel. Nous ne sortîmes pas (sauf moi quelques instants pour approvisionner le frigo qui sétait totalement vidé) et passâmes notre temps entre le lit - la majorité du temps - la cuisine pour nous sustenter et la salle de bain pour nous décrasser et nous délasser dans des bains bien chauds. Nous étions heureux comme de vrais nouveaux mariés.
Nous avons fait lamour un nombre incalculable de fois. Dans tous les endroits de lappartement et dans toutes les positions. Linda confirma toutes ses capacités érotiques et me montra en trois jours pleins, quelle était la digne fille de sa mère. Elle ne me refusa jamais rien ; pas même ce qui ne lui plaisait pas. Comme la sodomisation que moi jadorais, que sa maman avait fini par aimer et demander, mais quelle, elle nétait jamais parvenue à apprécier, certainement à cause de la douleur qui laccompagnait du fait du gabarit hors normes de mon sexe.
Elle mavait offert son cul pour la première fois, le lendemain de notre rencontre ; la séance avait été très douloureuse. Elle cria tout le temps que je la pinais (avec force et violence, peut-être parce quinconsciemment, je voulais lui faire sentir que jétais son maître et quelle mappartenait corps et âme) mais cela ne lempêcha pas de me lancer un sourire lumineux après lacte, comme pour me dire quelle acceptait tout ce qui venait de moi. Même si elle détestait, cétait elle qui me demandait, assez souvent, de lenculer, sachant que moi jhésitais à le faire. Cela me la rendait encore plus chère.
Linda, qui navait apporté aucun vêtement de rechange, sétait vêtue pendant ces journées dune veste dun de mes pyjamas, trop grande pour elle, mais quelle portait avec tant de grâce, quon aurait dit quelle avait été taillée exprès pour elle. Elle était si belle dans cette veste ! Et si sensuelle avec ses seins qui pointaient sous le tissu, ses jambes nues jusquà mi-cuisses et ses fesses qui se dévoilaient chaque fois quelle se penchait ou faisait un mouvement brusque. Elle avait enlevé, une fois pour toutes, sa culotte et, tout le temps quelle resta avec moi, sa chatte était restée nue sous la veste.
Le matin du quatrième jour, Linda me fit remarquer que Marie était restée silencieuse et quelle navait même pas téléphoné pour prendre des nouvelles.
- Je crois quelle boude ! fit-elle. Elle doit être jalouse et en colère. Tu devrais lappeler.
- Pour lui dire quoi ? Jai vraiment peur de sa réaction. Si je lui dis que tout sest bien passé et quentre nous cest le grand amour, jai peur de la blesser. Si je lui dis le contraire, elle saura très vite que je lui mens.
Lâchement, je voulais que ça soit Linda qui lappelle et qui lui parle. Jétais convaincu quelle saurait mieux que moi arrondir les angles et recoller les morceaux avec sa maman. Nous en étions là dans la discussion, quand le téléphone se mit à sonner. Cétait Marie qui appelait.
- Allo ! Rafik ?
- Oui ! Répondis-je dune voix mal assurée et tremblante.
- Cest Meriem ! (la voix était normale ; elle ne semblait être ni en colère, ni abattue). Comment ça va ? Linda est toujours avec toi ?
- Oui !
- Passe-la moi ! Allo Linda, alors tu as eu ce que tu voulais ? Et maintenant quallons-nous faire ?
- Viens et ramène moi de quoi mhabiller, lui dit-elle dune voix assurée (et peut-être un peu provocatrice). Je dois partir à luniversité ; jai raté beaucoup trop de cours. Nous parlerons quand tu arriveras.
Et sans autre forme de procès, elle raccrocha et éteignit le téléphone.
- Comme cela, elle sera bien obligée de venir ! dit-elle, pour expliquer son geste de raccrocher au nez de sa maman. Je veux quelle vienne pour que nous parlions tous les trois. Il faut bien trouver une solution acceptable à notre situation. Nous te voulons toutes les deux et toi aussi tu nous veux toutes les deux. Et comme, il nest pas question, pour moi du moins, de faire lamour à trois, il faut que nous planifiions la suite de lhistoire et que nous délimitions nos territoires.
Merveilleuse Linda qui prenait les choses en main et était décidée à nous imposer sa solution, à sa mère et à moi, qui avions chacun plus de deux fois son âge ! Daprès ce que javais compris, Linda se réservait de passer les nuits avec moi (elle semblait décidée à venir sinstaller avec moi) et laissait les matinées et/ou les après-midi, à sa mère (quand celle-ci pouvait se libérer de son travail). Cela me faisait penser à ces polygames qui planifiaient et répartissaient le temps quils devaient passer avec chacune de leurs épouses, de manière à ne léser aucune dentre elles. Jétais incapable de définir leffet que la situation me faisait : de la gêne ? Sûrement ! De la honte ? Peut-être ! (Javais toujours clamé tout haut ma réprobation de la polygamie). De la curiosité ? Probablement ! (En effet, je me posai la question de savoir comment concrètement les choses pouvaient se passer). Du bonheur de navoir pas à me séparer de lune dentre elle ? Certainement !
Jen étais là à cogiter, assis sagement à côté de ma belle, sur le grand sofa du salon, quand, environ une heure plus tard, la sonnette de la porte retentit. Jallai ouvrir, le cur battant la chamade, et me trouvai face à face avec Marie. Ma Marie ! Elle était égale à elle-même. Elle avait un sourire resplendissant et ne semblait pas être en colère. Elle portait à son bras gauche un grand sachet portant la marque dun grand magasin français. Elle apportait les vêtements que Linda lui avait demandé de ramener.
- Bonjour mon amour, dit-elle en madressant un superbe sourire et en posant ses lèvres sur les miennes pour un léger baiser plein de tendresse.
Jétais estomaqué de la voir daussi bonne humeur et prendre les choses aussi bien. Dun autre côté, jen étais heureux. Cela mévitait une scène de jalousie insupportable et me permettait de garder mes deux amours, avec laccord de chacune delles. Parce quen revoyant Marie, tout lamour que je lui portais et que je pensais estompé à la suite de ma relation avec sa fille, était remonté en surface. Jétais parfaitement incapable de choisir entre lune et lautre. La beauté et la sensualité de Marie métaient réapparues dans toute leur splendeur. Celles de Linda navaient pas eu le temps de quitter ma mémoire. Jaurais été très malheureux de me séparer de lune ou de lautre.
Elle pénétra dans lappartement et se dirigea directement vers le salon où Linda était restée. Elles se toisèrent un long moment en silence. Puis Marie ouvrit les bras et, par ce geste, invita sa fille à venir sy blottir. Celle-ci se leva dun bond et courut se blottir entre les bras de sa maman. Elle la serra très fort, en la couvrant de baisers sur les joues et le front, en lui murmurant à loreille quelle laimait très fort. Linda, émue aux larmes, se blottit encore plus fort entre les bras de sa mère et pleura silencieusement.
- Pardon maman ! Pardon ! Je taime moi aussi très fort ! Cet homme ma rendue folle ! Tu sais que je naurai jamais cafté à papa ! Mais je voulais tant connaître un peu de ce bonheur que je tavais vu vivre quand je vous avais surpris au cabinet. Cest encore pire maintenant ! Car, après ces trois journées passées dans ses bras, je suis tombée amoureuse de lui ! Je serais malheureuse de le quitter, même si cest pour te le rendre!
- Je sais ma fille ; et je ne ten veux pas. Je suis un peu jalouse, car moi aussi je laime et je ne peux pas non plus me passer de lui. Tu as lair tellement épanouie, après seulement trois journées passées avec lui : cela ne métonne pas de ce diable dhomme ; il a le don de rendre heureuses les femmes qui soffrent à lui ! Que faisons-nous ? On sentre-tue ou on se le partage ?
Marie disait cela en éloignant Linda de sa poitrine et en la tenant à bout de bras, pour bien la regarder dans les yeux. Ni dans ses yeux, ni dans le sourire lumineux quelle avait sur les lèvres, il ny avait pas le moindre signe danimosité. De la place où je me tenais, je pouvais les voir toutes les deux : Linda était beaucoup plus émue que sa maman ; elle avait les larmes aux yeux et un petit sourire triste. Je pensais quelle se sentait coupable et quelle était reconnaissante envers sa mère qui non seulement lui pardonnait, mais qui était prête à partager son amour avec elle.
Linda embrassa tendrement sa maman et, en essuyant ses larmes, elle lui dit :
- Tout ce que tu décideras, je laccepterai. Y compris, la chose qui me rendra vraiment malheureuse : quitter Rafik.
- Il nen est pas question ! Il nous appartient à toutes les deux.
Elles étaient entrain de me partager entre elles, sans même jeter un regard de mon côté. Moi, jétais là debout et silencieux à lentrée du salon, me faisant tout petit pour ne pas déranger limmense harmonie qui venait de sinstaller entre la mère et la fille. Elles se faisaient face et séchangeaient des sourires éclatants : elles paraissaient si heureuses de sêtre réconciliées. Elles se retournèrent brusquement, et en même temps, vers moi pour me faire signe dapprocher.
Je les rejoignis dun pas hésitant. Malika me prit par la main et mamena vers le sofa ; elle me demanda de massoir. Elle sassit à ma droite et Linda vint se mettre à ma gauche. Chacune me prit une main. Malika déposa un léger baiser sur celle quelle tenait et me dit, dune voix, douce mais ferme :
- Voila ce que nous avons décidé : tu vivras avec Linda et tu la rendras heureuse. Dun autre côté, tu es aussi condamné à me donner ma part de bonheur, même si ce nest pas dans les mêmes proportions que Linda. Je nai pas autant de temps libre que ma fille : je travaille et jai des responsabilités familiales. Je nai donc pas beaucoup de temps à te consacrer, à moins dabandonner mon cabinet. Je voudrai que tu viennes, une ou deux fois par semaine, en fin daprès-midi, me rendre visite au cabinet. Je voudrai que pendant ces courts moments tu maimes très fort, tellement fort que le peu de temps que tu maccorderas me suffira pour tenir jusquà la prochaines rencontre. Quen dis-tu ?
Je ne savais quoi dire. Jétais KO debout. Non pas que je voyais un inconvénient quelconque à ce quelles avaient décidé, sans même se concerter. Je trouvais cela génial : deux merveilleuses créatures pour moi tout seul, il ne pouvait pas y avoir un plus beau cadeau pour mon ego et ma libido. Cétait la garantie de séances amoureuses torrides et dorgasmes exceptionnels à la chaîne.
Cétait la manière dont les choses se passaient et se décidaient en dehors de moi, qui minterpellait. La situation semblait sêtre totalement retournée : Initialement cétaient elles qui étaient mes choses (je disais même à Marie quelle était ma chienne et elle lavait accepté de bon cur). Aujourdhui, cétait moi qui était devenu leur chose.
ET LE PIRE CETAIT QUE JETAIS CONSENTANT ! ET TOUT LE BONHEUR QUELLES MOFFRIRENT PENDANT DES ANNEES, ET QUELLES MOFFRENT ENCORE AUJOURDHUI, MONT DONNE RAISON.
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