La Soumission À Ma Déesse (Esther,Ii)
Mon cur battait à 100 à l'heure. Je me trouvais dans une salle de cinéma en attendant le démarrage du film. A côté de moi, Esther, qui m'avait demandé de l'y accompagner. Bien entendu, je n'avais pas pu refuser. Le souvenir de la veille était encore fortement ancré dans ma mémoire, et j'espérais pouvoir revivre cette expérience si intense.
Arrivés en avance, nous avions pu nous installer à larrière de la salle.
Ma gorge était nouée par la présence d'Esther à côté de moi et j'aurais été bien en peine d'entamer la conversation.
« Tu ne mas pas dit correctement bonjour ce matin
» Commença-t-elle dun air espiègle. Puis de ce fameux regard auquel je ne pouvais résister, elle me fit comprendre ce quelle voulait dire. Ses yeux se fixèrent successivement sur moi puis sur ses pieds.
La salle était encore éclairée, et même si nous navions pas de voisins directs et étions relativement cachés, on pouvait nous voir. Étais-je prêt à faire ça ? A la piscine, les gens ne mavaient sans doute pas remarqué, occupé à nager. Mais là cétait complètement différent : ils sennuyaient en attendant le début du film.
Esther me regardait en souriant, consciente de mon dilemme. Cétait visiblement un test pour voir jusquoù jirais.
Je ne voulais pas la décevoir, et faisant mine de ramasser quelque chose sous le siège devant moi, je me mis sur un genou et me penchai. Mon bras gauche tendu vers lavant dissimulait en partie mon visage, ce qui me permit de déposer mes lèvres sur son pied en partie découvert par ses tongs.
Ce simple baiser avait suffi à réveiller mes passions. Lexpression malicieuse de son visage quand je me relevai me stimula encore plus.
Quelques instants plus tard, le film débuta et les lumières séteignirent. Je pouvais sentir la jambe dénudée d'Esther reposer contre la mienne.
Mon cur s'emballait tandis quelle la remontait et descendait contre la mienne. Elle prolongea ce mouvement pendant quelques minutes, entretenant mon excitation.
Puis, je la vis croiser ses jambes. Je vis lombre de ses cuisses se profiler tandis qu'elle remuait ses jambes. Malgré la quasi-obscurité de la salle, je pouvais distinguer les contours de son pied droit presque en face de moi. Une faible lueur provenant de lécran léclairait faiblement, laissant certaines formes dans lombre que je ne pouvais que deviner. Son pied se mouvait de temps en temps, comme sil voulait sassurer que je le regardais. Le tout, irréel et mystérieux, dégageait une profonde sensualité.
Jétais incapable de détacher mes yeux de ce spectacle, et, sans lobscurité, mon excitation aurait été visible.
Je la vis alors prendre ma main avec la sienne, pour la poser sur son pied. Ce contact me fit frissonner, dexcitation dune part, et parce quil était froid dautre part. Je laissais courir mes doigts sur son pied, le caressant des chevilles aux orteils. Je posai ensuite mon autre main pour masser délicatement son pied.
Soudain, elle marrêta, se pencha vers moi et me murmura à loreille : « Tu sens comme il est froid ? Je veux que tu le réchauffes. ». Dune voix envoûtante, elle ajouta : « Agenouille-toi
devant moi ».
Je ne réfléchis pas une seconde avant de faire ce quelle me disait.
« Retire mes tongs maintenant. Avec ta bouche. »
Je me prosternai donc au sol pour attr la bride avec mes dents et jessayai de la tirer. Pendant un moment, elle samusa à maintenir un pied au sol pour me voir lutter en vain pendant quavec lautre elle appuyait sur ma tête pour la maintenir coincée entre ses pieds. Je restais donc impuissant et incapable de bouger tandis qu'elle me dominait. C'était une sensation si agréable.
Un peu après elle me laissa lui retirer ses tongs.
Elle passa ensuite ses pieds sur mon visage chaud, les fit descendre au niveau de mon nez quelle attrapa avec ses orteils, puis vers mes lèvres. Elle les amena finalement sur mon torse. Puis, d'un doigt elle désigna le sol sous elle et je me glissai carrément sous son siège, pour lui offrir plus de confort.
Mais elle devait sen douter, car elle retira bientôt son pied de cette partie de mon corps. Ce qui ne lempêcha pas, de temps en temps, dappuyer sur mon sexe avec son pied pour entretenir mon excitation. De cette façon, elle me maintenait dans un état deuphorie permanent.
A ma grande consternation, elle retira ses pieds de mon corps sans crier gare.
Alors que jallais protester, elle plaqua un pied sur ma bouche pour mempêcher de parler, et mit lautre sous mon nez, me bouchant presque les narines. Je respirais lodeur divine de ses pieds, quelle retirait de temps en temps pour que jai assez dair.
Elle se pencha soudain vers moi et me demanda « Tu sais où mes pieds auraient encore plus chaud ? »
Elle me boucha complètement le nez avec un pied, ce qui mobligea à ouvrir la bouche pour respirer. Avec un petit rire, car elle avait anticipé ma réaction, elle glissa son pied droit dans ma bouche.
« Suce mes orteils ».
Je ne me fis pas prier pour les déguster. Je saisis délicatement son pied avec mes mains et je mis chacun des orteils dans ma bouche un par un, en les suçant avidement. Ils étaient doux et avaient un goût exquis. Je ne résistai pas au plaisir de les embrasser tous tour à tour. Puis jembrassai avidement la plante de ses pieds. Je passais mes lèvres contre ses orteils et prenais plaisir à sentir leur contact doux.
Esther me laissa jouer avec ses pieds pendant un long moment.
Je ne métais pas rendu compte du temps qui passait mais jentendis soudain la musique de fin du film. Un peu paniqué à lidée quon puisse me voir, jessayai de me relever. Mais Esther ne me laissa pas faire et coinça mon visage sous ses pieds. Elle se contenta dattendre que les gens partent, ses pieds dissimulant mon visage. Le risque dêtre surpris stimula encore plus mon excitation, qui était désormais à son apogée.
Elle me remercia et me serra affectueusement contre elle. Ma tête reposait contre ses seins. Je me sentais merveilleusement bien dans cette position, mais il nous fallut couper court à cette étreinte, car de nouveaux spectateurs allaient arriver.
En sortant, il faisait presque nuit. Je me rendis alors compte que le temps avait passé plus vite que je ne lavais cru. Je ne métais même pas renseigné sur lheure de fin du film dans mon excitation à passer un moment avec Esther. Et il savéra que je navais plus de bus pour rentrer chez moi.
Esther était à côté de moi quand je men rendis compte. Elle neut pas lair surprise. Quelques semaines plus tard, je devais encore me demander à quel point elle avait planifié cette soirée.
Savait-elle quen allant au cinéma avec elle, je serai privé de moyens de retour ?
La proposition quelle me fit alors, aussi idéale quinespérée, pouvait en tous cas me le laisser penser.
« Tu sais, ma famille nest pas là ce soir
Tu veux venir ? »
Je restai bouche bée. Venait-elle vraiment de minviter à passer la nuit chez elle ?
Mon expression dut parler pour moi car elle me tira par le coude en riant.
« Allez, viens, je sais que tu en meures denvie. »
Puis, marrêtant et caressant mon visage avec sa main, elle ajouta : « Mais il y a quand même deux conditions. »
Dune pression douce sur mon menton, elle me releva la tête pour sassurer que je la regardais bien. Elle me dit alors, de sa voix envoûtante : « Dabord, je veux que tu tagenouilles devant moi, ici et maintenant, et que tu embrasses mes pieds. »
Devant toute autre fille, dans un endroit aussi peu intime, je crois que jaurais été capable de résister à lattrait dune telle proposition. Mais la beauté dEsther me confondait.
Je perdis le contrôle de mon esprit. Ou plutôt, cest comme si une autre partie de ma conscience avait pris le relais, celle de mes désirs. Et celle-là, elle ne se souciait pas du monde qui lentourait. La raison lui était inconnue, elle agissait simplement selon ses envies.
Et tout ce que je sais, cest quà ce moment-là, je ne réfléchis pas une seconde avant de magenouiller devant elle, de me pencher et dembrasser ses pieds.
Je demeurai dans cette position, toujours troublé, mes lèvres frôlant ses pieds.
Ce fut finalement elle qui me releva et, malgré le brouillard encore régnant dans mon esprit, je lentendis prononcer ces quelques mots : « la seconde, cest que chez moi, tu devras te plier à tous mes désirs
».
Je ne répondis pas, et elle najouta rien. Après ce qui venait de se passer, elle connaissait ma réponse
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!