Après Son Dépucelage, Manon Connait Sa Première Sodomie Avec Son Voisin Jules. Épisode 10/18
Tamara venait dapprendre le décès de son père le matin du dimanche 15 mars 2020, non seulement elle était triste mais lorsquelle apprit quil naurait pas dobsèques digne de ce nom, elle était dégoutée mais la covid19 était là et il fallait sen tenir au protocole sanitaire. Heureusement pour elle Grégoire, son ami denfance, avait su la soutenir pendant ces moments difficiles, en la sortant à la plage et en lui tenant compagnie, comme il faisait depuis plusieurs jours déjà. Il lavait aidé dans les démarches le lundi toute la journée, il ne la quittait pas.
Tamara avait déjà envoyé des nouvelles à Jules, mais sans lui dire quil lui manquait. Néanmoins ce jour-là elle avait beaucoup pensé à lui malgré le soutien moral de Grégoire. En fin daprès-midi dans la chambre, elle avait lu et relu toutes les explications que Jules lui avait donné au sujet du string quelle avait trouvé dans sa salle de bain. Si au départ, elle navait aucun doute sur la culpabilité de son ami, pensant quil avait bel et bien baiser Karine cette nuit-là, aujourdhui elle avait un gros doute et se posait beaucoup de questions.
Tamara regrettait maintenant davoir réagi de la sorte, Jules semblait être vraiment sincère dans son mail et toutes ses explications tenaient la route. Elle se doutait bien quun célibataire ne faisait pas le ménage à fond, dautant plus quil avait passé toutes les nuits chez elle pendant plus dun mois et que la relation quil entretenait avec la voisine était terminée. Il était 17 heures en Martinique, en faisant les calculs, avec lheure dhiver à Paris, il était 22 heures en France. Si elle lui envoyait un mail maintenant, elle pourrait sans doute recevoir la réponse le soir même.
Elle se décida donc de lui écrire pour lui demander de la pardonner. « Mon amour ! Je suis impardonnable, je regrette ce que je tai fait endurer, jai relu ton mail et sache que je te crois. Je te connais et je sais que tu naurais pas pu me trahir.
Le lundi soir, Manon qui comptait bien faire lamour avec Jules pendant lheure et demi de ses cours particuliers, fut très déçue dapprendre que son prof avait une réunion exceptionnelle concernant le télétravail pendant le confinement. La mise en place des cours par correspondance que les professeurs devaient mettre en place fut bien plus longue que prévu car Jules ne rentra quà 21h30 ce soir-là. Il avait mangé seul et était dans sa chambre devant son ordinateur, surfant sur internet.
À létage en dessous, il était 20 heures lorsque Karine rentra chez elle avec son nouvel ami Richard. Un bel homme de 48 ans, son collègue brancardier, divorcé comme elle, ayant eu deux s. Elle présenta son amant à sa fille Manon et lui annonça quelles allaient vivre chez lui, pendant tout le confinement, dans sa maison se situant dans un village reculé de la campagne, à 12 km de leur domicile. En ajoutant que si tout se passait bien entre eux, ils envisageaient de se mettre en ménage définitivement. Manon était furax, elle ne sattendait pas à cela et refusa catégoriquement :
Il est hors de question que je quitte cet appartement Maman, Vas-y si tu le veux mais ne moblige pas à te suivre. Je suis majeure maintenant, et jai le bac à préparer, je ne veux pas le rater comme lan passé.
Mais Manon ! Si je déménage, je ne pourrai pas payer ce loyer.
Au moins pendant le confinement, si cest un essai infructueux ?
Je ne peux pas te laisser seule, qui sera là pour te soutenir, te guider.
Dis-moi plutôt pour me surveiller. Tu nétais pas beaucoup présente ces derniers temps que je sache. Heureusement quil y a Monsieur Pennys.
Après de nombreux palabres et avec lintervention de Richard, Karine céda et accepta de laisser Manon, seule dans son appartement à la seule condition que Jules puisse avoir un il sur sa fille. Lorsquelle lui avait téléphoné, il nétait pas très emballé mais avait donné son accord. Vu les tensions entre la mère et fille, Richard avait préféré rentrer. Le lendemain Karine devait prendre résidence chez lui.
Manon avait besoin de réconfort, la dispute avec sa mère lavait énervée mais elle était toutefois heureuse dêtre parvenue à ses fins. Elle pourrait rester ici en ayant tout le loisir de voir son prof adoré. Voulant prendre du plaisir avec Jules, elle avait attendu que sa mère sendorme pour monter dun étage. Malgré lheure tardive, elle espérait quil ne soit pas encore couché. Sachant que Jules ne fermait jamais sa porte à clé et voulant lui faire une surprise, elle se glissa sans bruit dans son appartement.
Arrivée devant la porte entrouverte de la chambre, elle le vit de dos, assis sur son lit devant son ordinateur. Jules lisait et relisait le mail de Tamara en gémissant doucement de plaisir, il se caressait le sexe devant les écrits érotiques de sa dulcinée. Ne sachant pas ce quil lisait ou regardait sur son écran, Manon pas gênée par la situation, le voyant se branler sapprocha derrière lui et lui dit tout en souriant :
Tu ne crois pas que je pourrais faire mieux ?
Jules très surpris sursauta, referma son ordinateur portable et se retourna brusquement :
Putain ! Tu mas fait une de ces peurs
Que fais-tu là Manon ?
Elle ne lui laissa pas le temps de reprendre ses esprits, elle sauta sur le lit et le prit par le cou en lembrassant :
Attends Manon, je dois répondre à Tamara, elle ma enfin dit quelle me pardonnait. Tu le savais ! Cest elle que jaime.
Manon se rendait compte que la bataille nétait pas encore gagnée mais elle était bien décidée à se battre jusquau bout.
Et moi ? Que mas-tu fait hier, toute laprès-midi ? je ne compte pas pour toi ?
Ce nest pas pareille ma petite chérie, tu le sais non ? Répondit-il en ladmirant.
Même en colère, cette « petite coquine » était bandante, Jules sen rendait compte, dès quil la voyait ainsi, il avait vraiment envie de la baiser, dautant plus que les mots de Tamara lavaient bien excité. Il fut au départ confus dêtre surpris en train de se masturber mais en même temps, il était partagé entre deux sentiments, son amour pour Tamara et son désir sexuel violent naissant pour Manon. Avec elle, il savait que le sexe serait brut, hard et sauvage, tout ce quil désirait, tandis quavec sa princesse « Tamara », ce ne serait toujours que tendresse et sensualité. Il savait quavec Manon, il en ferait sa chose et satisferait ainsi son fantasme de domination.
Manon se mit à genoux sur le lit face à Jules, lui prit les deux joues entre ses mains, leurs visages nétaient quà quelques centimètres lun de lautre, elle le fixait droit dans les yeux et au lieu de lui faire une bise, elle lui dit simplement dun ton très sensuel, ce quelle lui avait dit la veille avant son départ :
Je veux être ta salope, fais de moi ce que tu veux.
Tu en es bien sûr, tu sais cela peut aller loin. Pour le moment, lèche-moi partout. Lui dit-il tout en se déshabillant.
Manon fit de même, elle navait que sa petite culotte de nuit et un mini teeshirt à enlever. Jules une fois nu, sallongea à plat dos les bras en croix, sa queue toujours en érection pointait à la verticale vers le plafond. Après lui avoir lécher le visage, elle descendit dans le cou, les aisselles, le torse, le ventre et voulant lui lécher son sexe, Jules larrêta en lui mettant une claque sur les fesses : « Non pas tout de suite, lèche-moi les pieds.
Manon navait pas accordé la moindre importance à cette claque malgré la douleur quelle avait ressentie, elle ne simulait pas lorsquelle lui disait quelle ferait nimporte quoi pour lui. Ce fut avec un grand plaisir quelle exécuta ses ordres. Tout en le regardant droit dans les yeux, elle avait saisi son pied dans la main et après avoir léché sa plante, son talon et le dessus, elle passa sa langue entre chaque orteil. Puis elle avala son pouce mimant une fellation, elle vit dans ses yeux quil nétait pas content, mais ne sattendait pas à sa réaction. En effet, elle reçut une deuxième claque qui lui avait rougit lautre fesse :
Je tai dit lécher pas sucer. Maintenant, Suce-la-moi, ma queue. Tu en meurs denvie.
Je peux ? Cest sûr ? Demanda-t-elle avec un air de chien battu.
Manon ne voulait pas ment prendre une nouvelle claque, ses fesses la brulait et avait voulu se rassurer en lui demandant cela. Aussitôt quelle eut son assentiment dun geste de la tête, elle ne se fit pas prier. « Elle est superbe ta bite ! » Dit-elle à haute voix. Elle ladorait déjà, elle lécha la hampe sur toutes les coutures, sans oublier de venir passer sa langue sur le pourtour du gland puis recommençait. Elle attendait avec impatience quil lui demande de lavaler, comme il lavait si bien dit, elle nattendait que cela, elle désirait lui faire une gorge profonde, elle ne lavait jamais fait avec ses petits copains qui nétaient pas montés comme Jules.
Elle le fixait toujours droit dans les yeux et saperçut quil gémissait, elle ne savait pas sil la regardait, son regard était dans le vague : « À quoi pensait-il ? Ou à qui ? Sans avoir attendu son ordre, elle prit la base de son pénis entre son pouce et son index et avala le gland, puis descendit progressivement, enfonçant dans sa bouche cette queue bandante. Les gémissements de Jules se faisaient de plus en plus rapides et saccadés. Sa bite était très longue, Manon avait des difficultés de la prendre en entier mais dans un dernier effort, elle fut surprise que ses lèvres soient en contact avec son pubis.
Elle resta quelques secondes ainsi, heureuse dy être parvenue, elle eut malgré tout un haut le cur et ressortit son sexe aussitôt en lâchant avec lui de longs fils de glaire sortis de sa bouche :
Cest bien ma petite salope, je vois que tu es vraiment douée. Que dirais-tu si je tenculais maintenant ?
Je veux bien Jules mais ça fait mal non ? demanda-t-elle dun ton juvénile.
Qui craint de souffrir, souffre de la crainte. Non ma petite salope ! Je sais y faire, tu ne vas plus pouvoir ten passer.
Il lavait fait sallonger sur le lit et lui demanda de se masturber comme elle le faisait tous les soirs en pensant à lui. Sous les ordres de Jules qui la matait, la situation où se trouvait Manon lexcita terriblement, elle mouillait beaucoup sur ses doigts. Puis, voulant passer aux choses sérieuses, il lembrassa à pleine bouche, sa main gauche triturait un de ses seins et la droite caressait lintérieur sa cuisse. Quelques minutes plus tard, il lattrapa fermement et la retourna sans ménagement, afin de la positionner à quatre pattes sur le lit. Jules lui écarta les fesses et posa sa bouche sur sa rosette violacée. Manon ressentait la chaleur de sa langue, « cest bon » Se disait-elle. Il lui demanda de poursuivre sa masturbation en même temps, il tenait à la maintenir dans un état dexcitation maximal.
Haletante et gémissante, la cyprine coulait entre sa raie quil dégustait en même temps quil léchait son petit trou. Jules attrapa le flacon de lubrifiant anal sur la table de chevet et enduisit allègrement son anus et ses doigts pendant que Manon continuait à se faire du bien. Un doigt avait déjà pénétré dans son anus et allait et venait, suivi bientôt de deux, Manon navait pas tardé à jouir, elle tremblait de tout son être, lorsquelle avait atteint lorgasme. Une puissante vague de plaisir lui fit relever son postérieur, faisant senfoncer un peu plus les deux doigts qui fouillaient son rectum. Manon criait son bonheur, mais ce nen était pas fini pour autant, le moment était venu pour sa première sodomie, elle était prête, son anus suffisamment dilaté. Après sêtre enduit le sexe abondamment de lubrifiant, Jules ne lui laissa pas prendre de répit :
Il va falloir relâcher tes sphincters, laisse-toi aller ! Cest le meilleur moyen pour ne pas avoir mal.
Manon avait écouté, elle ferait tout ce quil lui dirait de faire, elle lui faisait entièrement confiance et sen moquait davoir mal. Le plus important pour elle était que son amant se fasse plaisir en lenculant. Pour éviter les déchirures, Jules savait quil devait la pénétrer, étape par étape et être moins sauvage que la veille lorsquil lui avait pénétrée sa petite chatte. Il enfonça de quelques centimètre son gland, dilatant sa rondelle, il attendit un peu avant de lenfoncer en entier. Il fit une pause, afin que son anus shabitue, attentif à ce que ressentait Manon. Ne la voyant pas grimacer, il poursuivit sa course en avant, toujours centimètre par centimètre :
Ça va comme ça ma petite salope ? Tu aimes ?
Manon ne disait toujours rien, elle gémissait et répondait quelques petits « Ho ! Ha ! Je la sens bien » Sa main était passé sous son ventre et frottait son clitoris. Lentement mais surement Jules était au plus profond de ses entrailles sans que la jeune fille eût crié de douleur. Le plus dur était fait, il allait et se retirait lentement avec des mouvements réguliers, tout en douceur. Manon semblait aux anges, elle ne ressentait aucune douleur et commençait même à apprécier. Il se retira entièrement puis sallongea à son tour en lui demandant de saccroupir au-dessus de lui. Dos à lui, Manon posa ses fesses sur le sexe de Jules qui le maintenait fermement de sa main puis elle descendit à son rythme sempalant directement sur sa longue et belle queue. Il savérait que cette position était presque plus agréable pour elle qui montait et descendait de plus en plus vite tout en se massant son petit bouton rose gorgé de sang.
Cétait tellement bon, quelle en perdait ses moyens, elle ne semblait plus être la même jeune femme encore pucelle la veille, elle était devenue en quelques minutes une vraie bête féroce, un animal sauvage ne recherchant quune seule chose : le plaisir. Leurs corps étaient à lunisson et leurs mouvements saccordaient parfaitement. Elle remuait son bassin à vive allure pendant que lui donnait de forts coups de rein, jusquau moment où elle cria une seconde fois sous un orgasme puissant pendant que Jules jubilait de la voir ainsi. Elle navait pas récupéré quil la fit se relever en lui mettant une claque sur la fesse en disant :
Viens prendre ton dessert ma « petite salope ».
Manon nayant pas ressenti la douce chaleur de son sperme dans son rectum, sut quil navait pas encore éjaculé et comprit immédiatement ce quil voulait dire. Cétait le moment de gouter à son sperme. Très vite, elle sagenouilla devant lui et dune main ferme le branla en ouvrant la bouche et en tendant sa langue comme elle voyait dans les films porno, en lobservant elle sut que ce nétait pas cela quil voulait et il lui dit :
Non ! Jai encore le temps suce-moi et aspire mon gland tout en me caressant lentement.
Sans répondre, Manon lavait pris en bouche et le suçait pendant que ses doigts de la main droite allaient et venaient sur la hampe et que de son autre main, elle massait délicatement ses couilles pleines. Jules râlait en prenant un plaisir immense, sous les aspirations et les relâchements répétés sur son gland, il gémissait de plus belle, tout ce quelle lui faisait endurer était dune grande qualité, cette « petite coquine » était vraiment douée car en quelques minutes, il ne put se retenir et sur une dernière aspiration, il se vida de tout son sperme à lintérieur de sa bouche.
Manon mâcha un instant dans la bouche toute la semence quil avait éjaculée en veillant à ne pas en faire ressortir comme le sommelier goutant un bon vin et avala ce liquide chaud, blanchâtre et visqueux sans montrer le moindre dégout. Elle ouvrit la bouche fièrement montrant à Jules quil ne restait rien, disant en souriant :
Ce nest pas dégueu
Cétait bien mon chéri ?
Jules commençait à aimer « sa petite coquine », elle était surprenante et tellement belle. Il lavait relevée en la remerciant et lenlaça dans ses bras et lembrassant longuement :
Dans quelques temps, tu seras vraiment ma petite salope. Cest ce que tu désires, rassure-moi ?
Cest mon souhait le plus cher Jules, je taime.
Malheureusement, il était temps pour elle de redescendre, elle serait bien restée avec lui pour la nuit mais celui-ci navait pas voulu et Karine naurait sans doute pas vu cela dun bon il. Il la raccompagna jusquà la porte après lui avoir longuement parler. De temps à autre, elle écarquillait les yeux en guise détonnement et à la fin de son monologue qui lui avait apporté toutes les recommandations nécessaires et les consignes quelle devait respectées à la lettre :
Tu es bien prête à cela ma petite salope ?
Elle acquiesça de la tête et dit : « Daccord Monsieur Pennys, je noublierai pas ! » Ils se firent la bise et Jules avant quelle ne parte leva sa chemise de nuit et lui remit une nouvelle claque sur le cul en disant « Ne soit pas en retard demain matin »
Nous verrons la suite dans un prochain récit.
Chères lectrices et chers lecteurs, merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si vous aussi, vous avez envie de raconter vos histoires damour ou de sexe, contactez-moi par e-mail, avec votre collaboration, jécrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
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