Mes 18 Ans De Folie

Cette histoire s’est passée pour mes 18 ans. J’ai un grand frère de 2 ans et quelques jours mon aîné. Nos parents nous avaient laissés mon frère et moi fêter notre anniversaire ensemble le même week-end et donc nous avions la maison pour nous seuls et nos ami(e)s que nous avions pour beaucoup en commun. Nous habitons un bel appartement avec un duplex : salon et une chambre en bas (celle de nos parents) et salle de bain et deux chambres à l’étage : une grande pour nous deux et une autre plus petite pour les amis de passage.
Mon grand frère et moi avons chacun une petite amie (moi depuis quelques mois seulement). Ils ont déjà fait l’amour ensemble : il m’avait demandé de leur laisser notre chambre ce soir là et d’aller dans la chambre d’amis (nos parents étaient aussi de sortie cette fois-là. Mais moi et ma copine, n’avions pas encore franchi le pas : nous voulions attendre d’être sûrs de nous et en avoir envie tous les deux. Nous en étions encore à de petits jeux et des attouchements.
La fête se déroulait sans aucun problème et nos amis venus nombreux passaient une bonne soirée. Après le repas, nous sommes passés aux cadeaux et aux danses. Nos petites amies nous ayant prévenus à l’avance qu’elles nous avaient réservé une surprise chacun dont nous nous rappellerions longtemps. La soirée tirait sur sa fin et nous n’avions toujours pas signe de ces surprises. L’heure tardive ou plutôt matinale (c’est selon) incitait nos amis à rentrer chez eux et nous n’étions plus que quelques uns à être encore de la fête : mon frère et moi plus nos copines, une autre fille de la même école que mon frère et sa copine et qui devait rester dormir chez nous (mon frère et sa copine dans notre chambre, ma copine et moi dans la chambre d’amis et cette fille sur le canapé convertible. Nos parents ayant fermé leur chambre pour éviter du désordre à leur retour).
Mon frère et moi étions chacun dans les bras de nos copines assis sur le canapé entrain de nous embrasser langoureusement quand cette fille s’approcha de la copine de mon frère et lui chuchota à l’oreille que ça semblait être le moment pour le cadeau surprise de mon frère.

Ma copine me susurra aussi à l’oreille de laisser notre place du canapé et d’aller nous installer sur des coussins parterre discrètement : de là où nous étions nous pouvions voir la scène mais eux pensaient que nous étions sortis de la pièce.
Au cours de cette soirée, nous avions déjà bu pas mal (mon frère fêtait ses 20 ans et moi mes 18 ans) et je ne fis aucune difficulté pour suivre ma copine et aller nous asseoir à l’écart dans les bras l’un de l’autre.
La suite des évènements nous sortit de notre torpeur alcoolisée et nous excita ma copine et moi.

Sur le canapé, mon frère et sa copine continuaient de s’embrasser quand l’autre fille se rapprocha d’eux à-nouveau avec diverses choses cachées dans un panier qu’elle posa au pied du canapé. Elle en sortit d’abord un foulard de couleurs dont elle banda les yeux de mon frère.
Celui-ci, groggy par l’alcool allait devoir « subir » et vivre la surprise préparée par ses deux amies pour ses 20 ans.
Elles lui retirèrent d’abord ses chaussures et ses chaussettes. Sa copine prit dans le panier un sachet qui contenait des glaçons et les mis dans un bol. Elle défit quelques boutons de la chemise de mon frère et commença à lui poser un glaçon sur son torse légèrement velu et la chaleur de son corps fit fondre peu à peu le glaçon. Elle continua avec d’autres glaçons. L’eau ainsi dégagée ruisselait le long du torse et des pectoraux de mon frère. Sa copine approcha sa tête de son torse et lécha délicatement ce filet d’eau tiédi par la chaleur de son torse. Sa chemise mouillée devenait peu à peu translucide et ses tétons pointaient sous le tissu humide. Leur amie prit alors une bouteille de champagne sur la table et l’ouvrit-en en versant ensuite sur le torse de mon frère. Il se trouva donc avec sa copine et cette amie qui lui suçait le torse. Cela dura plusieurs minutes et il avait maintenant sa chemise totalement ouverte et le torse au vu de tous. Il semblait y prendre beaucoup de plaisir. Ses amies aussi n’étaient pas en reste : de temps en temps elles s’embrassaient et cela il ne le voyait pas mais le devinait au son de leurs bouches.
Ces préliminaires avaient beaucoup d’effet sur eux et nous : elles étaient passablement excitées et lui aussi : son érection devenait visible sous son jean. Ma copine et moi, étions aussi excités par cette scène et ma copine me susurra à-nouveau d’être patient car mon cadeau viendrait ensuite ; et elle m’embrassa.
De son côté, mon frère a enlevé la chemisette de sa copine qui ne portait pas de soutien gorge et avait donc les seins nus qu’il embrassait et malaxait tendrement. Son autre amie se déshabilla complètement et étaient à genou devant lui : elle lui déboutonna son jean et avec sa copine le lui enlevèrent : le laissant donc en caleçon avec sa chemise trempée ouverte sur son torse.
Je voulais m’éloigner avec ma copine et les laisser finir cette soirée ensemble et aller m’occuper de ma copine dans notre chambre mais elle refusa et me demanda de rester pour voir la suite. Cette position de voyeur me gênait d’autant plus que c’était mon frère que je regardais et il allait faire l’amour avec deux filles. J’avais déjà vu des films X seul ou avec ma copine mais là c’était très différent.
Il retira alors sa chemise déjà bien trempée par les glaçons et le champagne et se retrouva en caleçon debout devant nous. Son érection était plus que manifeste et sa copine lui massa les couilles doucement avant de déboutonner les deux boutons de son caleçon et de le gratifier d’une fellation. Son excitation était telle que quelques minutes à peine suffirent pour qu’il éjacule : elle avala le sperme et l’embrassa pour le partager avec lui : il eut l’air étonné car c’était la première fois qu’elle acceptait d’avaler sa semence (avant elle se retirait et il éjaculait sur son buste et ses seins). Elle embrassa aussi leur amie et ils partagèrent ainsi cette semence à trois. Sa copine retira sa jupe et se retrouva en string devant nous. Mon frère était donc debout, les yeux toujours bandés, entre ces deux nymphettes en caleçon avec le sexe en sortant et dégoulinant de sperme : leur amie, nue, s’approcha alors de son sexe pour finir de le nettoyer et lui enleva ensuite son caleçon sans le tâcher.
Leur amie lui fit une autre fellation et sa copine retira son string : il jouit pour la deuxième fois de la soirée. Sa copine prit alors un préservatif et le lui enfila sur le sexe avant le s’empaler dessus : elle était tellement excitée qu’il entra sans souci dans son vagin et elle put alors atteindre l’orgasme avec son amoureux dans un coït bruyant. Leur amie ne voulant pas rester sur sa faim, se masturbait devant eux puis atteignant l’orgasme se rapprocha de mon frère, lui retira le foulard et approcha son sexe de sa tête pour avoir droit à un cunnilingus et jouir en même temps qu’eux.
Mon frère, « exténué » par ce traitement, se leva suivi de sa copine et se dirigèrent vers la salle bain où ils prirent une bonne douche : lui pour finir de se nettoyer et elle pour une nouvelle pénétration et un nouvel orgasme. Leur amie rangea un peu le salon et les rejoignit sous la douche avant d’aller tous les trois dormir : mon frère et sa copine dans notre chambre et leur amie dans le canapé-lit.
De mon côté, avec ma copine, nous n’étions pas restés en reste. J’avais rapidement eu une belle érection en voyant la scène qui s’offrait à nous. Ma copine m’ayant aussi préparé une surprise : elle voulait que ce soir soit notre soir et que nous perdions ensemble notre virginité. Nos baisers se firent plus langoureux alors que mon frère et ses copines jouissaient ensemble. Ma copine voulait que nous prenions notre temps. Quand mon frère et ses amies se retrouvèrent têtes-bêches, nous nous sommes éclipsés dans la chambre d’amis en prenant soin de fermer la porte à clé derrière nous.
Nous étions debout dans la pénombre du lampadaire de la rue éclairant la chambre, les stores mi-clos en nous embrassant fougueusement. Ma copine semblait hésitante et je pris l’initiative en lui chuchotant que je l’aimais et que cette nuit serait formidable pour tous les deux et que nous irions à son rythme.
Je lui retirais doucement son petit haut qui laissa apparaître un beau soutien gorge contenant deux seins superbes : je les voyais pour la première fois libres et pris le temps de les admirer avant de les masser doucement et de les embrasser chacun leur tour. Ces caresses lui firent de l’effet car les bouts de ses seins devinrent durs peu à peu et cela me surpris quelques peu. De plus mon érection qui s’était atténuée en sortant du salon pour monter dans la chambre, me reprenait de plus belle et mon pantalon me devint insupportable. Nous étions debout, face à face : elle sentit mon émoi et me déboutonna mon pantalon avant de le baisser sur mes chevilles. Je me baissais pour finir de le retirer et me retrouvais donc en caleçon et chemise devant ma copine buste nu. En me relevant, je me rapprochais d’elle et massant ses jambes, je fis glisser sa culotte le long de ses jambes et l’enlevais. Nos gestes étaient empreints de timidité et de délicatesse. Je me mis ensuite debout et l’embrassais fougueusement en mêlant nos salives et nos langues. Elle défit les premiers boutons de ma chemise et vit apparaître mon torse nu, imberbe au contraire de mon frère et me le fit remarquer.. Elle me caressa alors le torse, l’embrassa et déboutonna complètement ma chemise et la fit glisser sur mes épaules : ma chemise se retrouva dans mon dos, avec les seuls poignets encore boutonnés. Elle se baissa et défit les boutons de mon caleçon et massa mes couilles doucement, contente de l’effet produit : mon sexe se mit encore plus au garde à vous devant son visage. Mon excitation et mon érection devenant intenables après quelques minutes de ces caresses, je giclais sans avoir le temps de la prévenir sur son visage et sa poitrine nue. Elle m’enleva alors ma chemise totalement et mon caleçon glissa le long de mes jambes et elle me vit alors totalement nu et sans défense devant elle encore vêtue de sa mini-jupe. Elle se retourna devant moi et se baissant, je devinais ses formes intimes et dé-zippant sa jupe, je la découvris aussi toute nue sans défense devant moi, à ma merci comme elle me dit alors.
S’allongeant alors sur le lit, elle me demanda de venir en elle car elle en avait envie : je pris une capote dans la table de nuit et la lui donna pour qu’elle me la mette. Ce qu’elle fit. Je me rapprochais donc délicatement de son sexe et y pénétrais avec lenteur et doucement pour ne pas lui faire mal. Mais d’un coup elle me pressa contre elle, cria un peu et puis mes va et vient lui firent pousser des gémissements, un peu de sang coula entre nos sexes et quelques instants plus tard, nous avons joui ensemble. Nous étions heureux d’avoir franchi le pas ensemble de notre première fois.
Nous avons refait l’amour encore deux fois avant de nous étendre côte à côte et de nous endormir dans les bras l’un de l’autre, heureux !


Au réveil, ma copine se leva, se doucha, s’habilla et partit rejoindre ses parents qui l’attendait pour partir chez ses grands-parents pour le dimanche midi. Moi, je restais encore un peu au lit en repensant à cette soirée avec elle.
J’entendis mon frère et sa copine se lever et ils me dire qu’ils allaient ranger l’étage du dessous. Leur amie ayant eu du mal à dormir sur le canapé, les avait rejoints dans la chambre et dormait dans mon lit. Mon frère et sa copine ayant dormi dans son lit. L’étage du dessous étant donc tout à eux pour le ménage et le rangement avant le retour de nos parents dans la soirée du dimanche.
J’allais donc en profiter pour prendre ma douche et m’habiller. Cependant, je devais aller dans ma chambre chercher d’autres habits car ceux de la veille étaient immettables une nouvelle fois (odeurs, alcool, tabac…). Je frappais doucement à la porte, pas de réponse, alors j’entrais pour prendre des vêtements dans ma penderie et mon placard : chemise, caleçon, pantalon,…Je sortis sans faire trop de bruit, m’assurant que notre invitée dormait encore. Je filais à la salle de bain et me déshabillais avant d’entrer dans la douche. Ma copine étant partie, mon frère et la sienne un étage en-dessous et le bruit de l’eau indiquant que la salle de bain est occupée, je ne me souciai pas de fermer la porte avec le loquet. Je venais donc d’entrer sous la douche et laissais l’eau couler un peu avant qu’elle soit à bonne température lorsque j’entendis la porte de la salle de bain s’ouvrir et vis entrer dans la pièce l’amie de mon frère qui je le croyais dormais. Elle ouvrit la porte de la douche et me regardant l’air surprise s’excusa de ne pas m’avoir remarqué avant d’entrer. Décontenancé et ne sachant trop quoi dire ou faire, elle prit les devant et sans se laisser démonter, me dit : « allez tant pis une douche ensemble, je suis pressée, on m’attend ailleurs pour midi ! ». Surpris par cette rapidité, elle me poussa dans le fond de la douche et entra aussi en fermant la porte de la douche. Sur le coup, je ne le savais pas mais elle avait aussi fermé avec le loquet la porte de la salle de bain.
La taille de la cabine de douche fit que nous étions serrés l’un contre l’autre, moi nu et elle aussi. Mon trouble se fit poindre et elle ne put que le remarquer quand elle me demanda de lui passer le shampoing en me retournant vers elle. Cela la fit sourire et elle me demanda si c’était elle qui me faisait cet effet ou le souvenir de la soirée passée. Elle se lava les cheveux et le corps. Moi aussi je me lavais, quand je sentis tout à coup ses mains sur mon dos me caressant et me massant la nuque. C’était bien agréable avec l’eau chaude ruisselant sur nos corps. L’ambigüité de la situation ne nous échappa pas. Je n’osais trop bouger ne sachant comment elle allait réagir et cherchant à sortir de la douche. C’est elle qui prit les devants en me chuchotant et mordillant l’oreille : « viens en moi, hier soir j’avais envie de toi mais la présence de ta copine m’a retenue. Ce matin, je ne peux plus tenir ! ». Elle me retourne donc en me plaquant contre le mur de la douche, je heurte l’arrivée d’eau qui s’arrête, et le shampoing tombe parterre faisant un bruit sourd. Nous restons sans bouger, pas de réaction à l’étage en-dessous. Elle se rapproche de moi et me dit « bon anniversaire, mon chou ! » et m’embrasse malgré mes réticences. Sa fougue et sa force me subjugue et je cède à ses baisers : nos langues se croisent et nos salives se mélangent. Ses mains parcourent mon torse, mes pectoraux (moins prononcés que ceux de mon frère), elle nous comparent et me le susurre. Elle remarque mon torse imberbe et mon sexe rasé (elle n’y avait pas porté attention en entrant dans la douche). Je n’ose pas bouger. Elle prend alors mes mains et les guide sur son buste, ses seins dont les pointes deviennent dures. Je ressens un trouble plus grand qu’avec ma copine la veille et cela me met mal à l’aise. Je trompe ma copine dès le lendemain de notre première nuit ensemble : « quel salaud je fais ! ». Elle me regarde, devine mon trouble, mes larmes qui flirtent au bord de mes yeux en pensant à ma copine et là elle me dit « n’y pense plus, tu vas être heureux et elle n’a pas à le savoir ». Elle m’embrasse à nouveau et d’une main, longe mon torse, mon bas ventre, l’aine, le haut de la cuisse en frôlant mes couilles mais sans les toucher vraiment. De mon côté, mes mains malaxent ses seins alors que je les embrasse. Je m’y arrête plusieurs minutes avant de descendre aussi mes mains le long de son corps et de rejoindre son sexe. Nos mains sont sur nos sexes : elle me décalotte doucement et moi, je titille doucement son clitoris tout en mettant un doigt dans son vagin. Je découvre de nouvelles sensations alors qu’avec ma copine, nous étions restés plus sages. Elle me masturbe doucement et mes gestes se font plus insistants. Elle me dit de continuer et qu’elle mouille. Mon sexe mouille aussi : un liquide translucide commence à perler. Nos respirations se font plus saccadées, plus haletantes et plus en symbiose. Nous jouissons en même temps : moi dans ses mains et elle dans les miennes. Elle approche ses mains de ma bouche et me fais boire mon sperme, je jais de même pour son liquide puis nous nous embrassons en mélangeant nos fluides. C’est super… Elle me regarde et me dit « qu’elle veut me sentir en elle ». Je lui fais remarquer que je n’ai pas de capote avec moi. Elle me dit « c’n’est pas grave ». Elle entre-ouvre la porte de la douche et agrippe sa trousse de toilette et en sort une capote. Elle défait l’emballage et vient me l’enfiler sur mon sexe en érection. Quelques minutes plus tard et après quelques gestes bien sentis, je bande encore plus que précédemment et que la veille. Elle vient s’empaler sur mon sexe tendu et me dit « baises moi fort, mon jeune étalon ! ». Mes va et viens sont d’abord lents, je découvre cette nouvelle position et le plaisir qu’elle nous procure à tous deux. Puis j’accélère à sa demande jusqu’à ce que nous jouissions ensemble.
Elle me remercie, m’embrasse, enlève le préservatif de mon sexe et me le tend : « vas y gouttes ! ». Je suis à sa merci, j’obéis et goutte mon propre sperme.
Nous nous rinçons une dernière fois, elle m’embrasse et nous sortons de la douche. Elle se sèche et veut me sécher : elle en profite pour me gratifier d’une dernière fellation pour la route ! Elle sort de la salle de bain et file dans la chambre s’habiller. Pourvu que mon frère et sa copine ne se soient rendus-compte de rien ! Je fini de me sécher et m’habille. Je file ranger la chambre d’amis et je rejoins mon frère et sa copine pour préparer le repas de midi. Leur amie descend pour le repas. Nous déjeunons tranquillement. Mon frère embrasse sa copine et leur amie en les remerciant de leur cadeau d’anniversaire pour ses 20 ans. Sa copine et lui ; me fixent et remercient alors leur amie pour mon cadeau d’anniversaire pour mes 18 ans…
Me croyant puceau et nous voyant peu enclin à franchir le pas avec ma copine, ils ont demandé à une amie de monter ce scénario de cadeau pour lui (ils en ont bien profité quand même !) pour nous exciter ma copine et moi et nous pousser à avoir notre première expérience sexuelle ensemble. Ce matin, au réveil leur amie a voulu aller plus loin en m’initiant à d’autres plaisirs et sensations…