Damien 45 - Roland

Cela faisait un mois depuis ma folle baise avec Mustapha, je faisais des courses au Supermarché, j'avais la sensation qu'on me surveillait, je me retournai plusieurs fois sans rien voir de spécial.
J'étais accroupi en train de prendre des pâtes quand quelqu'un me frôla, je levai la tête et vis un homme d'une trentaine d'années, c'était un véritable colosse blond, il me sourit, se passa la langue sur les lèvres et continua son chemin.
Je terminai mes achats sans revoir ce gars et quand j'arrivai à la caisse, je l'avais totalement oublié.
Après avoir payé, je le vis adossé à un poteau, il me fixait en souriant et quand je passai près de lui, il me dit "Bonjour".
Je m'arrêtai et lui répondis "Est-ce qu'on se connaît ?
- Non pas du tout mais j'aimerais bien vous payer un café.
- Pourquoi ?
- Pour rien, pour le temps et bavarder avec quelqu'un qui m'a l'air sympathique.
- C'est que moi, je n'ai pas de temps à perdre.
- Allez un petit effort, dix minutes pas plus.
- Mais....
- C'est oui alors ?"
Le sourire éclatant qui illumina son visage me fit fondre, je ressentis aussitôt une attirance très forte pour ce géant et je lui répondis "D'accord".
Nous nous installâmes à la terrasse du café et Roland car c'était son prénom, se mit à parler, il était très cultivé, tout semblait l'intéresser, je buvais ses paroles sans dire un mot, j'étais complètement subjugué.
Pendant qu'il parlait je l'examinai, il semblait très athlétique et les traits de son visage étaient très fins, sans m'en rendre compte je baissai les yeux vers son entrejambe, son jean semblait contenir un sacré paquet, me reprenant je relevai les yeux vers Roland qui ne s'était aperçu de rien.
Au bout d'une demi-heure je me dis qu'il était temps de mettre fin à la conversation et je me levai, Roland en fit autant et je lui dis "Il faut que j'y aille, merci pour le café.
- De rien. Vous êtes en voiture ?
- Oui, au sous-sol.


- Moi aussi, on fait le bout de chemin ensemble ?
- Bien sur".
Nous arrivâmes à ma voiture, il était garé une voiture plus loin, j'ouvris mon coffre et commençai à y mettre ce que j'avais acheté, Roland m'aida et quand ce fur terminé, il me dit "Bon allez bonne journée.
- Vous aussi".
Je lui tendis la main, il la prit et soudain m'attira contre lui, ses lèvres écrasèrent les miennes et sa main courut sur mon dos, j'essayai de me dégager de son étreinte mais tous mes gestes étaient inutiles, le désir étant le plus fort, j'ouvris la bouche, nos langues se nouèrent et je m'abandonnai à ce baisser enflammé.
Quand Roland se détacha de moi, j'avais le souffle court et les joues rouge, je lui dis "On ne peut pas dire que vous n'êtes pas direct.
- J'ai envie de toi et tu as envie de moi, laisse-toi aller, nous allons passer un moment ensemble, c'est une aventure qui durera qu'un après-midi c'est tout, en plus c'est sans risque je mets toujours des capotes".
Il avait raison, j'avais envie de cet homme, l’appel de la chair, dans l’état de manque où je me trouvais, fut le plus fort et je m'entendis répondre "D'accord.
- Bien on prend ma voiture et on va chez moi. O.K ?
- Si tu veux.
- Après je te ramènerai ici.
- D'accord mais faisons vite pour aller chez toi, tu m'as mis en feu.
- T'inquiète je vais l'éteindre ce feu.
- Pas tout de suite, fais moi bien jouir d'abord.
- Je vais te faire jouir, tu verras quand tu auras mes 26 centimètres dans le cul.
- 26 centimètres !!! Bigre joli cadeau, j'espère que tu sais bien t'en servir car moi il m'en faut beaucoup, au lit je suis très gourmande.
- Je n'ai jamais eu de réclamations et je compte bien épuiser ta gourmandise et j'espère que tu es très cochonne.
- Tu verras, tous ceux avec qui j'ai couché m'ont dit que j'étais la reine des baiseuses.
- Très bien, allez allons-y".
Dix minutes après nous étions chez Roland, il habitait un joli deux pièces, mais je n'étais pas là pour visiter et nous allâmes tout de suite dans la chambre.

Roland se dévêtît et quand il fut nu, je vis qu'il avait un corps d'athlète, sa poitrine était développée et très dure, son ventre était plat très musclé, ses jambes aussi étaient très fortes, quand à son énorme phallus dressé, je me pourléchais les lèvres rien qu'à le regarder.
Il s'assit sur le lit, mit une capote rose et écarta les jambes, je compris ce qu'il voulait, je vins m'agenouiller devant lui et commençai à caresser le pénis érigé.
Celui-ci réagit aussitôt, il grandit encore, l'entourant de mes doigts je me mis à le masturber lentement.
Au bout de quelques instants de ce traitement, Roland qui avait fermé les yeux tendait son ventre vers moi.
J'arrêtai mes attouchements manuels, penchai ma tête vers ce magnifique priape et du bout de la langue, je me mis à lécher le gland turgescent, mon amant laissa échapper un gémissement, ouvrant tout grand la bouche j'enfournai l'objet de ma dévotion et commençai à monter et descendre dessus.
Au début je fus surpris de ne pas vraiment sentir la chair sous ma langue mais une fois le préservatif bien humecté, je sentis bien le priape palpiter sous mes attouchements lingués.
Je suçai cette merveilleuse pine pendant une demi-heure m'arrêtant chaque fois que je sentais les prémices de l'explosion, mais mon mec n'y tenant plus, prit ma tête entre ses mains et l'immobilisa et se mit à donner des coups de reins violents se servant de ma bouche comme d'un cul.
Soudain plaquant mon visage contre son pubis, il éjacula en râlant, une énorme giclée de foutre pulsa au fond du réservoir de la capote, et je continuais à flatter la bite qui tressautait dans ma bouche.
Quand Roland me relâcha, je lui ôtais le préservatif et avalai son sperme avec délice il me dit "Tu suces merveilleusement, si ton cul est aussi bon que ta bouche cet après midi va être génial, enlève simplement tes chaussures et tes chaussettes et viens près de moi".
J'obéis, il m'enlaça et posant délicatement ses lèvres sur les miennes, il se mit à me lécher le visage pendant que ses mains courraient sur mon corps, des ondes de désir commençaient à monter en moi.

Après m'avoir ôté ma chemisette, Roland m'avait pris dans ses bras et déposé sur le lit à plat ventre, me massant la nuque ainsi que les épaules.
Une fois qu'il m'eut bien décontracté, il me retourna et me caressa les seins tout en me pinçant les tétons, tous ces attouchements conjugués me basculèrent dans une douce langueur, je frémis.
Roland, se pencha sur moi, et se mit à me lécher le nombril, un gémissement échappa de ma gorge, puis il me retourna délicatement et sa langue se posant dans mon cou, commença à descendre sur mon dos le long de ma colonne vertébrale.
Sous l'effet de ces caresses, je me tortillai doucement sur la couche plongeant de plus en plus dans le désir.
Longtemps l'homme ne pratiqua sur moi que des attouchements buccaux et manuels, les yeux clos, je savourais ce bien-être tout en râlant.
Jugeant que j'étais à point, Roland arrêta et je sentis mon pantalon puis mon string glisser le long de mes cuisses fuselées, ses mains se posèrent sur mes fesses et entreprirent de les masser.
Au bout de quelques instants, j'avais le fessier brûlant et je poussais de lourds gémissements de bonheur.
Mon amant écarta mes fesses et une langue pointue s'insinua dans ma raie et vint se positionner contre ma porte étroite.
Mon anus s'ouvrit légèrement et la langue inquisitrice me pénétra, je gémis.
Roland m'ouvrit complètement le cul, sa langue râpeuse allait et venait sur ma corolle, je me sentis fondre.
J'étais totalement en transe je voulais qu'il me défonce et je lui dis "aaaahh encules-moi ahhh.
- Pas tout de suite.
- Sii !!, je veux que ta bite me casse le cul".
Roland continua à me travailler le trou jusqu'au moment où ne tenant plus, je mis à onduler au rythme de trois de ses doigts qui me possédaient.
Je n'étais plus que frémissements, ma tête rejetée en arrière ballottait de droite à gauche.
Mon mec me mit sur le dos, enfila une autre capote et s'agenouilla entre mes cuisses, je lui dis "Enlève la capote, tu n'as rien à craindre, je suis sain, j'aime sentir la jute m'inonder le cul".

Avec un sourire il ôta le morceau de latex puis il prit mes jambes et les posa sur ses épaules.
Quand le formidable pénis buta contre mes fesses, je les écartai d'une main et de l'autre je postai le priape contre l'orée de mon canal.
Sans que je ressente la moindre douleur Roland m'enfessa jusqu'à la garde, quand enfin il fut tout en moi, mon cul était rempli comme rarement il ne l'avait été.
Me prenant par les cuisses, mon homme commença à me besogner doucement, sentir ce monstrueux membre coulisser dans mon tunnel après les prémices que j'avais subi je me sentis partir.
Je basculai totalement dans un univers où seul le plaisir comptait.
J'allai à la rencontre de ses coups de boutoir pour être sur que toute la hampe entre en moi.
La tige érigée sortait presque entièrement de ma grotte et replongeait lentement jusqu'au tréfonds de mon cul en fusion.
Je ne vivais plus que pour et par la bite qui me forait les reins, je voulais qu'il reste fiché indéfiniment entre mes fesses.
Je me tordais comme un damné sous ses coups de queue qui m'ouvraient un peu plus chaque fois la fente et je me mis à délirer Roland me possédait avec une régularité de métronome, je sentis une boule monter vers ma gorge, l'air me manqua et un sublime orgasme me balaya.
Un hurlement strident pulsa de ma gorge "aaaaaaaahhhhhhhhhhh".
Je griffais les draps et tendis mon cul vers cette merveilleuse pine qui me donnait autant de plaisir me ramonant le prose puis je retombais lourdement sur la couche savourant le merveilleux moment qui venait de se passer.
Roland me besognait toujours en de larges coups de bite.
Sous les assauts répétés de cette hampe virile, le désir remonta en moi.
Mon amant se baissa et me prenant aux aisselles me ramena vers son torse, il me fit tourner sur son sexe turgescent et alla me reposer à quatre pattes au bord du lit, là il se mit à me défoncer à une vitesse folle.
Mon intimité s'était encore agrandie, chaque fois que le priape se plantait au plus profond de mes entrailles je poussai des cris de plaisir.
Sous les violents coups de boutoirs de Roland, je me tordais comme un damné, la tête ballottant de droite à gauche.
En cet instant seul comptait pour moi cette bite roide qui me démolissait la corolle, j'avais atteint le point de non-retour et je me remis à délirer.
Roland s'enfonçant au fond de mon cul éjacula en feulant.
Sa formidable giclée de foutre crémeux fusant contre mes parois surchauffées me déclencha un orgasme dévastateur.
Je hurlais de jouissance et sombrai dans l'univers cotonneux du plaisir.
Je sentis le pénis encore dur de Roland sortir de mon cul et je restai allongé sur le lit les yeux clos, cuisses écartées, écoutant les dernières contractions du bonheur autour de ma corolle ravagée.
Quand je rouvris les yeux, Roland me sourit me dit "Tu es une sacrée baiseuse toi.
- Tu m'as fait prendre un super pied, mon génial baiseur.
- Je m'en suis rendu compte, et ton cul c'est une vraie fournaise.
- Merci, mais dis-moi comment as-tu su que j'étais pédé ?
- C'est simple, sous ton jean serré on voit, à la manière dont il te rentre entre les fesses, que tu portes un string ficelle, peu d'hétérosexuels porte ce genre de vêtement, en plus tu as une démarche chaloupée et tu te tiens très cambré ça fait ressortir ta chute de reins exactement comme une femme, sans compter que tu n'as aucun poil sur les bras et toujours en observant on se rend compte que tu te rases les bras, tu as aussi les sourcils épilés, la manière dont tes ongles sont coupés n'est pas celle d'un homme, on voit bien qu'ils sont coupés très courts pour supporter des faux ongles.
- Tu es un excellent observateur.
- Oui.
- Bon tu me ramènes ?
- D'accord".
Un quart d'heure Roland me déposa devant ma voiture et 10 minutes après j'étais à la maison, je rangeais les courses et après m'être déshabillé, je partis me laver.

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