A Peine Célibataire Qu'elle Se Fait Baiser

Peu après que Lucie s’en alla (voir précédent récit) je me retrouvai seul avec Isemayada et son mec. Il était assez simple d’esprit bien qu’ayant un niveau d’études élevé. Bref je les aidais à ranger l’appartement puis Isé me proposa de regarder un film. Elle mit « L’âge de glace 3 ».

Je me suis demandé pour qui elle me prenait mais bon, j’étais tellement dans le film que je ne les ai pas vus s’éclipser dans la chambre. Une bonne heure après je remarquais enfin que j’étais seul et me leva doucement sans bruit voir ce qu’ils faisaient. Je devais franchir un rideau de porte fais en collier de verre qui faisait du bruit quand même mais bon à ma grande chance il était attaché mais je devais me contorsionner quand même. La porte de la chambre était simplement poussée donc je devais voir une ouverture de 2-3 cm et j’avais une grande vue sur le lit ou ils étaient allongés.

Le chanceux était allongé en largueur du lit et la belle haitienne à genoux à ses côtés lui suçait la bite lentement comme elle m’avait fait il y a plus d’un an. Jean et caleçon aux genoux, elle lui caressait les couilles et je pouvais voir ses joues se creuser pour bien aspirer. Il se laissait faire et au bout d’un moment je le vu se crisper en poussant des gémissements restreint. Elle s’arrêta de sucer puis pris un mouchoir et déversa son sperme. Il se rhabilla et elle vint s’allonger près de lui. La scène terminé et la boule au ventre, je n’entendais pas ce qu’ils se disaient et donc rejoignis mon canapé voir la fin de mon film.

Enfin fini j’espérais qu’ils sortent pour ne pas aller les voir. Ils sortirent effectivement et il me serra la main après une petite discutions et s’en alla. Je restais donc avec elle seul ne comprenais pas trop la situation. Sachant que c’était son petit ami. Elle alla boire un verre d’eau puis s’assit à côté de moi.

- Vous vous êtes dit quoi ?
- Bah on a parlé et j’ai rompu avec lui.
- Vraiment ? Mais pourquoi ?
Elle posa sa main sur ma cuisse en me regardant.



- Car tu me plais plus que lui.
Comme un idiot je souris, je la connaissais et savais que je pouvais facilement maîtriser la situation. J’écartais les jambes. Elle se mit ensuite à genoux par terre entre mes jambes à me sourire. La situation m’excitait, elle avait quitté son mec après une pipe pour baiser avec moi l’esprit tranquille.

- Tu veux que j’aille m’épiler ?
- Oui.
Elle le fit sans discuter puis revint au bout de 10 minutes et vint s’assoir sur moi et face à moi. Je l’embrassais sans discuter. Ses lèvres toujours si tendres et charnues.

- On va dans la chambre ?
- Sur le canapé ce n’est pas bien ? Elle me fit la moue.
- C’est trop petit et pas confortable.

Je la soulevais facilement la soutenant par les fesses malgré ses cris de refus (les filles et leur poids) puis une fois dans la chambre, l’allongea et continua à l’embrasser passionnément tout en caressant ses bras ses côtes et son bassin. Elle avait l’air déjà folle de désir vu ses soupirs. Isé était une fille aussi très expressive.
Rapidement je me retrouvais sur le dos là où j’avais baisé les deux sœurs. Elle retira mon jean, chaussettes et compagnie.
- Alors avec Jennifer ça a donné quoi ? Elle me masturba doucement agenouiller avec son regard coquin.
- Bah on a discuté et dormi.
- Vraiment ?
- Oui…Mais toi hier tu as fait du bruit ?
- Ah tu as entendu ? Elle rougit.
- Ah oui, t’as fait du bruit quand même.
- Je ne pensais pas que vous nous entendriez.
Apparemment Jennifer ou Lucie n’ont rien dit sur notre aventure d’hier, et de plus elle n’a rien entendu.
- T’inquiètes pas c’est naturel. Mais il a du te défoncer vu les gémissements que tu poussais. Elle rougit encore plus et ma branla plus assurément. Après un petit silence je lui demandais de me sucer gentiment. Elle me répondit qu’elle n’aimait pas la goutte et voulait aller chercher un mouchoir pour essuyer. Je l’ai pris fermement par les cheveux et tira sa tête vers mon sexe tendu.

- Allez…

Elle prit directement la moitié de mon sexe en bouche et me suça activement. Je lui tenais la nuque et l’arrière de la tête en la complimentant. Au bout d’un temps :

- Alors laquelle a meilleure goût ? La mienne ou celle de ton ex ?
Elle leva sa tête brusquement gênée.
- Tu nous as vus ?
- Oui, tu avais l’air de te régaler. Une pipe d’adieu ?
- Oui ça me faisait de la peine de le laisser comme ça…Elle se remit à son œuvre, lécha ma bite de bas en haut.
Mais la tienne est meilleur je peux te l’assurer, et si grosse…

Je lui souri et rappui sur sa tête, lui gémissant des encouragements salace. Après une bonne pipe comme elle me les faisait si bien je la mise nue et lui proposa un cunni. Elle refusa mais je persistais. Lentement je lui retirais son string, elle me repoussa un peu en geignant. Je lui ordonnais de se laisser faire. Sa petite chatte était bien fraîche et toute rasée, pas un poil. Je l’embrassais pour commencer caressant ses cuisses et son ventre. Ses mains accompagnaient les miennes. Sa peau était douce et mes baisers devinrent vite humides. Elle se tortillait pour me dire d’arrêter mais ses gémissements voulaient dire tout autre chose.

Ma langue sortit et je m’attelais à un cunni dont j’avais le secret. Rapidement elle se mit à gémir comme une folle, je savais qu’elle ne simulait pas. Sa mouille était bonne, abondante. Je n’eu aucun de mal à la doigter doucement pour son plaisir. Ce que j’aimai c’était sa contradiction. Elle gémissait des « Non ! Non ! Arrête ! » Mais me tenait la tête à deux mains en levant son bassin quand j’aspirai son clitoris. Ca me faisait rire intérieurement. Je continuais mon cunni : Léchage de lèvres pas çi, aspirage de clito par-là. Elle me suppliait carrément de venir la baiser. Je lui désobéi continuant à la rendre folle. Dieux que c’était bon de pouvoir l’exciter à ce point !

Je vins finalement sur elle après avoir enfiler une capote.


- Doucement hein, elle m’enlaça.
- J’n’ai pas le droit de te défoncer ?
- Si mais au début. Elle sourit.

J’enfonçais ma queue lentement, profond et commença à la limer doucement comme elle le voulait. Elle gémissait fort rapidement aussi.

- Ah putain ! J’avais oublié qu’elle était si grosse.

J’accélérais ensuite puis mis ses jambes sur mes épaules. ses gros seins étaient bien secoués, je continua donc un peu plus fort juste pour avoir le plaisir d’entendre mon bas ventre cogner ses fesses. Les yeux fermés, la tête sur le côté, elle gémissait mon prénom. Je reposai donc ses jambes et à genoux continua de la prendre. Ses seins tournaient sur eux-même. Trop excitant à voir je me penchais pour les sucer fort, elle lâcha un cri.

Le temps passait, elle transpirait et moi aussi. Je me souvins l’avoir pris en levrette et pouvait voir ses petite fesses rondes. Son anus me défiait, je la besognai à son grand bonheur, elle mordait l’oreiller et serrai le drap. J’osais titiller son anus mais elle poussa un non ferme. Je lui mit une grosse fessée pour lui rappeler qui était son maître et enfonça mon index. Elle chouinait pour que j’arrête tandis que je la pilonnais toujours.

- Allonges-toi ma belle.
- Non s’il te plait…Je lui giflais les fesses encore.
- Allonges-toi. Elle obéit.
- Écarte tes fesses…
- Je t’en supplie…Une autre fessée lui fit changer d’avis.

Elle était sur le dos jambes et fesses ouvertes, je m’allongeais sur elle, appuyer sur une main. L’autre était occupé à enfoncer mon gland dans son anus fermé. Je forçais sous ses plainte des douleur mais rien à faire.

On finit en andromaque. Elle se déchaîna sur moi pour composer la sodomie. Ses gémissements ainsi que les miens étaient fort. Quand je lui criais que j’allais jouir, elle se retira à ma grande surprise et, retira ma capote et me suça à toute vitesse. Je n’ai pu me retenir et gicla en elle.
Elle me tenait fermement la base du sexe et avala mes jets un à un. Je lui tenais fermement la tête en l’insultait pour bien la rabaisser une dernière fois. Après cette extase, elle me nettoya le sexe et vient s’allonger sur moi.

- T’as aimé ma salope ?
- Oui mon cœur, merci beaucoup. Je t’aime…
Je lui caressais ses fesses encore humide de sueur.
- Tu m’aimes à quel point ?
- A tout, j’aime trop te faire plaisir.
- Alors va me faire à manger, puis quand t’auras fini, tu me rejoindras sous la douche me vider une dernière fois ok ?
- Oui mon chéri.

Je jubilais de cette domination et l’enlaça, lui fit un câlin et l’embrassa.
Je filai à la douche tranquillement puis elle me rejoignit me sucer sous la douche un bon quart d’heure. Elle avala encore. Je la remercie pour la soirée, mangea son plat, l’embrassa et parti heureux d’avoir baisé en une nuit et une matinée trois haïtiennes.

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