Doeux Soeurs Qui Partagent Tout !
Je naurai pas pensé que jaurais eu la chance de rebaiser mon Haïtienne.
Je devais avoir 22 ou 21 ans je crois. Javais retrouvé sa trace grâce à mes mails. Environ deux ou trois ans cétaient écoulés au moment où je lavais prise sous cet escalier et quon cétait laissé en mauvais terme. La dernière fois ça cest fait un peu à larrache, je nai pas pu profiter pleinement delle. Je décidais donc de reprendre le contact et sortir mon pipeau habituel. On senvoyait sms sur mns et, mails sur appels téléphoniques. Je me montrais prévenant, doux etc
comme au début que dans un seul but. Mais elle avait déjà quelquun dans sa vie mais je persistais à la provoquer.
Elle mavait invité un week-end à une fête quelle organisait chez elle pour fêter la fin de lannée de sa classe. Environ une petite vingtaine de personnes sur ambiance zook, dancehall etc.
Ce que jespérais le plus cest quil se passe quelque chose ce soir ou le lendemain matin vu que je dormais chez elle. Pendant la soirée une fille, une copine à elle vint maborder. Une métisse : ni trop moche, ni trop belle, menue.
Elle sintéressait à moi, venait souvent me demander si tout se passait bien etc. lorsquelle minvita à danser, je lui dis que je ne savais pas zooker. Elle avait lair déçue. Puis Isé (mon haîtienne) me prit par la main dans la conversation :
- Viens par là toi. Elle memmena dans une pièce sombre ou était stocké les meubles débarrassés au cours de la journée pour faire de la place dans le salon où tout le monde dansait. Elle ferma la porte.
- Mais quest ce que tu fais ?
- Je vais tapprendre à zooker tu vas voir. Comme ça tu pourras danser avec elle.
Elle colla son bassin au mien.
- Bon le but cest de faire des huit avec son bassin, peu importe le rythme faut que tu sois synchro avec elle. Elle passa ses bras autour de ma nuque et moi sur ses hanches, puis mis une jambe entre les miennes assez fléchie.
- Cest trop dur jy arrive tu vois bien !
- Allez Emmanuel fais un effort ! Colles toi bien à moi.
Je du lui obéir si je devais apprendre et me colla bien à elle. Comme la musique était forte même la porte fermé on pouvait danser dessus et au moins personne ne me regardait. Isé avait cette habitude de me parler avec douceur, limite un peu chaudasse.
- Alors tu tamuses bien ?
- Oui ça va, bon je connais personne mais bon au mois y a toi. Je lui souris et glissa ouvertement mes mains sur ses fesses.
- Et y a aussi mon copain
Elle remonta seulement une de mes mains.
- Au fait tu ma dis que y a dautres personnes qui vont dormir ici, mais moi je vais dormir avec qui ?
- Eh bien y a Jennifer (la fille à qui je plaisais). Elle me la dit en posant ses mains sur mon torse. Moi de mon coté je lui caressais les reins dune main et palpais ses fesses naturellement de lautre main.
- Euh bah oui si y a pas dautre choix. Cest la seule avec qui jai pu sympathiser donc. Mais ton copain dort aussi ici ?
- Oui pourquoi ?
- Bah, on aurait pu dormir ensemble. Je lui souris et lembrassa dans le cou. Elle ne put sempêcher de frémir et griffer mon torse.
- Hum, oui mais bon il dort ici et puis tu seras avec elle. Elle me fit un clin dil.
Tu ne te débrouilles pas trop mal
- Merci, ton copain a de la chance de tavoir.
- Et elle de dormir avec toi ce soir. Elle me tint la main qui pelotait ses fesses jai cru quelle allait lenlever mais se contenta de la mettre plus au milieu.
- Voilà cest mieux. Elle sourit et nous continuâmes à danser quelques instants.
On ne peut pas rester trop longtemps sinon mon copain va se douter de quelque chose.
On sortit donc tranquillement à labri des regards puis rejoignit la soirée. Jennifer me retrouva toute souriante, on alla dans une chambre pour discuter un peu, et au bout dun petit quart dheure un gros lourd un peu éméché, jaloux du succès que javais avec elle vint perturber la discussion.
Quand je regagnais à nouveau le salon, elle me rejoignit encore après sêtre débarrassé de lui.
Elle me réinvita à zooker. Maladroitement et timidement je repris la danse. On était dans un coin de la pièce et très rapidement pendant la danse, je me mis à bander. Comme on était prés du mur, on se retrouvait progressivement contre et je me retrouvais à danser contre elle. comme elle était contre le mur, mon bassin sappuya sur le sien plus fort et donc mon sexe se frottait plus fort sur sa cuisse. Je crois quelle le sentit puisquelle agrippa mes hanches et me tira vers elle. Elle poussa un petit soupir et ferma les yeux tout en menlaçant par la taille toujours à danser, mais elle appuyait plus son bassin au moment ou elle tournait sur mon sexe. Comme tout le monde autour de nous zookaient, on passait inaperçu. Je glissais mes mains sous son haut et caressa ses reins ainsi que son dos.
- Zook moi plus vite, et plus fort, me chuchote t-elle. Jobéis sans un mot et accentua la vitesse de rotation de mon bassin.
Tu te débrouilles bien, elle sourit. La danse se finit, heureusement car sinon jallais jouir.
La soirée passa tranquillement, la musique me tapait sur la tête. Jallais mallonger dans la chambre et expliqua à Isé que jallais dormir. Elle comprit et prépara le lit alors que la soirée touchait apparemment à sa fin. Quand jallais rejoindre la chambre, une fille minterpella. Elle était ronde et avait environ le même âge quelle, la vingtaine. Cétait la sur à Jennifer. Comme jai oublié son nom on lappellera Lucie.
Lucie donc memmena dans le fameux débarras et me dis que Jennifer me trouvait très mignon, que je lui plaisais beaucoup. Je fis létonné.
- Oui elle te trouve mignon. Dailleurs je la comprends.
- Ah eh bien merci, jétais gêné de son regard.
- Donc dors avec elle ce soir ok ?
- Oui je pensais faire ça, on sentend bien donc.
Je sais pas ce qui me prit de proposer ça mais quand elle me sourit en me disant quelle aussi me trouvait mignon je ne pouvais regretter de ne pas avoir proposé. Je me suis dit quelle va me recaler gentiment après sa réflexion.
- Eh bien si je vous dérange pas, je prends de la place tu sais ! Elle plaisanta en faisant allusion à ces rondeurs.
- Non moi jaime bien.
- Bon ok on dormira ensemble.
Elle alla continuer à danser pour le peu de temps qui restait et moi jalla me coucher. Je me mis directement en boxer. Jentendais les autres partir. Un peu plus tard jentendis quelquun rentrer.
- Cest moi. Jennifer sallongea prés de moi sous les couettes.
Tu dormais déjà ?
- Non non pas avec tout ce bruit.
- Tes tout nu ?
- Non en boxer, je naime pas dormir habillé, après je suis tout froissé.
- Et toi ?
- Moi jai pris un pyjama. Effectivement elle portait un vrai pyjama d. Petit pantalon et petite chemise.
On commença donc à discuter de la soirée, de tout et de rien. Puis je pris le courage de lui demander :
- Jai envie de tavoir contre moi, je peux ?
- Bien-sûr.
Ni une ni deux, je lenlaçais et la tirais contre moi. Elle fut dos à moi, je pouvais caresser son petit ventre. Quand je la tirais vers moi, jai pu sentir quelle plaça ses fesses contre mon boxer. On continua donc à discuter. Jen profitais pour caresser ses cuisses et lui faire des bisous sur le cou et les joues. On avait lair dun petit couple, sauf que là on apprenait à mieux se connaître. A un moment où je parlais, elle cest brusquement tournée vers moi et ma embrassé à pleine bouche. Étonné je lembrassais à mon tour, mes mains sur ses fesses.
- Javais envie de ça des que je tes vu.
- Eh bien tu es satisfaite maintenant.
On sembrassa encore un peu mais nous fûmes interrompus par Lucie qui rentra se coucher.
- Youhou vous dormez ?
- Non viens. Discrètement on se remit en position normale pour dormir.
- Alors y a de la place pour moi ? Cest que jai un gros cul !
- Oui tinquiètes y en a.
- Attends faut que je me déshabille au moins. Pendant quelle se déshabillait, je profitais du bruit pour tenir la main de Jennifer et lembrassais furtivement, vu quil faisait très noir dans la pièce, on ne voyait rien susceptible de bouger.
- Vous dérangez pas je dormirais à coté de Manu.
Elle grimpa sur le lit et vint sallonger prés de moi. Malgré que le lit soit grand, elle était un peu à létroit contre le mur et donc mes cuisses touchaient les siennes. Javais donc les deux surs, la plus jeune à ma droite et la plus ronde contre le mur.
- Alors vous avez aimé la soirée ?
- Bah disons que les danses sont très chaudes.
- Ah oui ça cest sur. Vous dansiez bien tout à lheure.
- Toi aussi, limite le mec te donnait des coups de reins.
- Oui il était trop chaud pour moi. Non la votre était plus sensuelle jai adoré vous voir.
Alors que la discussion sinstallait entre les deux surs, je sentais que Lucie me caressait la cuisse du bout des doigts. Cela me troublais légèrement mais en même temps ça mexcitais tellement ! Donc la discussion suivait son cours et les caresses de Lucie me fîrent rapidement bander. Elles devenaient aussi plus présente et plus intime. Je lui rendis ses caresses furtivement et pu constater quelle portait un string surtout au moment où elle sallongea à moitié sur moi très discrètement en tout en discutant. Cela me permit de caresser ses grosses fesses rondes et sentir la ficelle disparaître entre ses fesses. Ainsi que de sentir sa lourde poitrine sur mon torse, elle avait du retirer son soutien-gorge.
Sa main pendant un long moment passait sur la bosse de mon boxer. Jétais très troublé et ne pouvais me résigner à la stopper. Quand cétait au tour de Jennifer de parler ou même de moi elle en profitait pour membrasser dans le cou et sue le visage. Ses lèvres étaient chaudes et très pulpeuses. Je ne pouvais pas être plus excité quau moment ou elle glissa sa main dans mon boxer pour pétrir mes boules. Je fis mine dêtre mal positionné pour gigoter un peu et baisser mon boxer. Elle sempressa de la saisir et me masturber lentement en poussant un petit soupir qui passait très bien dans la conversation. Elle écarta ses cuisses quand elle sentit que je caressais lintérieur et quel plaisir de sentir son string humide. Jy exerçais des mouvements circulaires avec deux doigts sur son clitoris, elle ne pouvait sempêcher de respirer plus fort et je du donc parler à sa place.
Jennifer ne se rendait compte de rien et trop excité je lui lâchais la main et commença sans gêne à pétrir sa poitrine. Je navais pas peur de sa réaction car au moins jaurais la grande sur sous le coude. La surprise que jai eu quand elle caressa ma cuisse. Je souris et me laissa faire tout en discutant avec elle alors que Lucie se faisait discrète. Elle navait pas une grosse poitrine mais ils étaient fermes, comparé à sa sur quils semblaient plus laiteux. Je ne sais pu comment mais à un moment, je sentais quelle remuait du bassin au rythme de mes gestes et pour provoquer la situation jai demandé ce quelle pensait dun sujet et elle me répondit dans un petit soupir discret quelle adorait ça et même mis son string de coté que je puisse directement lui masser sa chatte toute douce et trempée. Le bonheur, cétait chaud. Pour ne pas faire de bruit je devais la masturber lentement et elle aussi.
Tandis que Lucie rêvait dans son petit monde, sa sur orienta ma main vers son pyjama, puis le baissa ainsi que sa culotte. Elle reprit ma main et la posa sur son minou légèrement humide. Je pus sentir un petit duvet de poil, je la masturbais.
Le plus excitant est que chacune des surs étaient persuadée que lautre comatait, alors quelles étaient très actives. Jennifer mouilla rapidement je pu la doigter au bout de quelques secondes. Jen profitais pour attribuer le même châtiment à Lucie. Et me voilà avec 4 doigts dans deux filles différentes de chaque côté de moi. Acoustiquement et visuellement personne ne pouvait se douter quun moment coquin se déroulait sous cette couette.
Alors que la discussion se tuait assez rapidement vu que je ne pouvais pu faire de monologue, on entendit des gémissements qui semblaient provenir de lautre côté de la chambre ainsi quun bruit de matelas. Cétait dans la chambre de la mère dIsé où justement elle dormait avec son copain. Enfin « dormait ».
- Ah jen connais une qui est en train de se prendre une bite. Mes métisses rigolèrent.
- Elle a de la chance, soupirait Lucie en se retenant de gémir.
- Pourtant tu ten prenais beaucoup tout à lheure en dansant avec ces mecs. Pourquoi ten a pas dormi avec lun deux ?
- Elle préfère le chocolat blanc, répondit Jennifer timidement, elle aussi retenait ses gémissements.
- Fondu ou en tablette ?
- Non fondu cest Jennifer qui aime
je préfère une tablette, cest plus long à déguster.
On ne put sempêcher de rire et Isé faisait de plus en plus de bruit.
- On va devoir attendre quelles finissent pour sendormir, son mec à pas lair endurant.
- Tes sorti avec non ?
- Oh pas longtemps tu sais, mais cest vrai que jaimerais maintenant.
- Cest vrai ce quelle a dit ?
- Et elle a dit quoi ?
- Bah euh dis le Jenni.
- Que ten avais une grosse.
- Euh bah ça je sais pas trop ce nest pas à moi de dire ce genre de chose mais plutôt à la fille. Je fus assez gêné la mais très excité aussi, jattendais que ça.
- A nous de juger alors non ? Ta qua la montrer.
- Dans le noir ?
- On a qua toucher
- Alors qui commence ?
- Moi, sempressa de répondre Lucie.
Bien que javais une boule au ventre sur le moment dimaginer que Jennifer imaginait la scène, jen eu une autre quand Lucie poussa un long gémissement. Elle navait pas arrêter de me masturber depuis tout à lheure mais bon la situation avançait.
- Alors
? Demanda Jennifer.
- Eh bien tu adorerais lavoir en bouche
- Vraiment ?
- Essayes
Lucie continua de me branler, je sentais Jennifer hésiter un long moment puis tira la couette et se penche sur mon sexe en le léchant de bas en haut prenant même le soin de lécher la main de sa sur. Puis commença à aspire mon gland et progressivement enfonça ma queue. La main de Lucie qui ne bougeait plus délimitait ce quil fallait sucer, en gros juste la moitié.
- Alors elle suce bien ma petite sur ? Elle membrassa tendrement, ses lèvres pulpeuses me brûlaient.
- Très bien oui, tu devrais retirer ta main.
Elle sexécuta et brusquement Jennifer alla jusqu'au fond dans un grand gémissement grognard. Elle se retire brusquement tout autant.
- Non mais ça ne va pas ? Laisses-moi le sucer à mon rythme !
- Oh depuis le début de la soirée tu ma dis que tu voulais le faire donc je voulais taider !
Je compris quen retirant sa main, Lucie avait appuyé sur la tête de Jennifer.
- Vous fâchez pas.
- Non tinquiètes mon chou.
Lucie membrassa à pleine bouche, je pu malaxer sa grosse poitrine, cétait vraiment agréable de lentendre gémir sous mes caresses et dentendre ta sur aspirer sa salive pendant la gâterie. Les cris de Isé ne se désamplifiaient pas ce qui mexcita encore. Je pris linitiative dappuyer sur la tête de Jennifer pour linciter à aller plus vite et plus loin. Elle grogna et se mis à caresser mes cuisses. La langue de Lucie se mêla à la mienne quelques secondes puis elle descendit sucer et mordiller mes tétons tout en caressant mes abdos et mon torse. Je ne voyais vraiment rien mais jai pu vite comprendre qui me léchait et me suçait les couilles.
Jennifer me suça avec toujours autant de passion et sa sur soccupait de mes bourses jétais au paradis. Enfin deux filles qui soccupaient de moi. Jenni remonta vers moi pour membrasser fougueusement et Lucie pris le relais. Elle suçait moins bien mais avait une bouche plus douche et ses lèvres pulpeuse me fit gémir rapidement. Je lui appuya sur la tête à son tour pour lui forcer à me sucer toute la bite et nhésita pas à aller au fond. Elle se laissait totalement faire.
- Jnaurais pas imaginé ta bite aussi grosse quand on dansait ensemble, me chuchote t-elle.
Elle membrasa encore, puis mes tétons et redescendit aider Lucie. Elles se sont misent à me sucer chacune leur tour, lune vite, lautre lentement. Je ne tardais pas à me tortiller de plaisir et lever le bassin en gémissant. Pour les encourager je leur caressais les cheveux tendrement puis sous le coup dune pulsion soudaine, jagrippai leur masse de cheveux dune main fermement.
- Allez mes salopes, travaillez en équipe.
Lucie affirma et se mit à maspirer le gland, déjà bien gonflé de sang et me pétrissait, tandis que Jennifer elle, lécha et embrassa la base de mon sexe. Apparemment javais pris le risque de les insulter et elles avaient aimé ça. Pendant une dizaine de minutes environ elles changeaient de rôle et faisaient serpenter leur langue sur ma queue quitte à lécher aux mêmes endroits. Ce que jaimais dans le noir, était que Jennifer était plus vivace et Lucie plus gourmande, elle prenait bien le temps de lécher le contour de mon gland. Elle nhésite pas dailleurs à venir me chevaucher après avoir mis une capote quelle devait cacher je en sais où.
Lentement dans un gémissement aussi sensuel que long, elle sassit sur moi jusquau fond, posa ses mains sur mon torse et commença à lever son bassin. Je la tenais par les cuisses :
- Tu la voulais depuis un temps non ?
- Non cest ma sur qui la voulait depuis le début.
Elle ne pouvait sempêcher de gémir, au moins pas plus fort que Isé qui semblait en réclamer daprès les « Encore, encore ! » étouffé par la cloison.
- Bah falloir partager avec ta sur.
- Pas tout de suite je viens de commencer.
Jennifer devint timide subitement car je ne lentendais plus. Je lui tenais la main dans lespoir quelle fasse quelque chose. Elle me fit goûter sa mouille, je compris quelle se masturbait sur la situation. Je poussais un petit gémissement de satisfaction pour linviter à venir sur ma bouche ce quelle ne tarda à faire. Tourné dans le même sens et la même position que Lucie, elle sassit à moitié sur mon visage et je commençais à lui administrer un cunni gourmand où je pu récolter pas mal de mouille. Je me sentais vraiment objet à ce moment là. Lucie dans son monde ne cessait de gémir des propos salaces en accélérant son rythme et me griffant le torse, et Jennifer ne pouvait sempêcher de frotter délicatement sa chatte plus que mouillé sur ma bouche, javais du mal à lécher son clitoris et le lui aspirer. Entendre deux filles prendre leur pieds grâce à moi cétait vraiment jouissif.
Profitant de la situation je lui caressais et tapotait les fesses. Puis mes doigts bien mouillés, lui titillait lanus doucement et commença à doigter son petit cul de mon index. Elle ne protesta pas, au contraire elle se cambra plus. Ce qui maida à la doigter lentement puis à tenter un deuxième doigt que son trou accepta sans difficultés. Ses gémissement devinrent plus poussé et profond. Elle me chuchotait entre deux soupirs daller doucement. Je décida de ne pas lécouter et denfoncer un troisième doigt mais même en forçant sous les petits cris de douleurs de Jenni, je narrivais pas à enfoncer plus que longle.
- Jai la chatte en feu, tu prends le relais ?
- Oui
Elles changèrent de place. Jenni sempala rapidement sur ma queue et commença à gesticuler rapidement se tenant en arrière et poussant de long gémissement. Il était clair quelle était plus timide, plus discrète mais plus fougueuse.
Lucie vint membrasser léchant mes lèvres maffirmant que sa mouille serait meilleure. Doucement elle sassit doucement sur ma bouche, comme elle était plus grosse je pensais que jais ou que les effluves seraient plus considérables, mais pas du tout, cétait frais et assez sucré. Je bue dun trait sa cyprine et lécha son sexe en cercle sans toucher a son clitoris. Elle me caressait la tête marrachant les cheveux pour me forcer à lui sucer le clito. Je neu dautre choix que de lui aspirer à vive allure. je la fis rapidement jouir.
Elle se mit sur le coté pour se reposer, tandis que Jenni changea de position, ne voyant rien elle me prit par la main, les posa sur ses fesses. Jen ai déduit quelle était à quatre pattes. Dun coup dun seul je mintroduisis dans son petit minou et mamusais à enfoncer mon pouce dans son cul. Sous linstant elle se cambra et je compris que javais libre accès. Doucement jenfonçais mon gland en forçant lentrée sous un petit cri étouffé dans loreiller et commença à la lui mettre au fond sans bouger. Elle poussa de long soupirs de douleur, puis quand elle se silence se fit je lenculais doucement lagrippant bien par ses fesses rondes.
- Détends toi ça passera mieux. Je lui mis une fessée.
- Va doucement sil te plait
- Eh vous faites quoi là ? Lucie semblait se réveiller un peu.
- Je lui prends le cul.
Elle se redressa et posa sa main sur ma queue jusqu'à trouver son cul :
- Lui fait pas mal, elle doit se lever tôt demain pour aller à la messe. Jaccélérais le rythme me souciant peu de ses cris et ses mains qui agrippaient les miennes.
- Sur qui je vais me vider alors ?
- Tu sais quelle adore le lait. Je lui mis quelques fessées tout en lenculant encore plus fort.
Allonges toi ma grosse.
- Eh je ne suis pas grosse !
- Non je sais bien tinquiètes, mais tes ma grosse salope donc
- Alors tas intérêt à bien me baiser.
Apparemment je pouvais tout dire puisquelle sexécuta sans un mot et je pu la baiser en missionnaire pendant un bon moment encouragé par les caresses de Jennifer. Lucie gémissait de plus en plus fort, je ne voulais pas quIsé nous entendent donc je ralentissais de temps en temps. Elle mordonnait par des fessées de la défoncer, daller plus fort, plus vite et plus profond. Je lui obéis quitte à me faire entendre mais cétait vraiment trop bon de bourrer une métisse bien ronde. Jennifer elle navait plus trop de limite puisque après sa sodomie assez violente, elle se mit au dessus de sa sur pour que je lui suce le clito. Je ne me retiens pas de pencher sur elle à son ordre pour la faire jouir. Jimaginais la pose ; elle avait donc ses fesses sur le visage de sa sur, tandis que je défonçais cette dernière. A peine je lui attrapais le clito quelle me tenait la tête pour la finir. Tellement excité par lacte, je ne me rendais pas compte que je faisais un plan à trois avec deux surs.
Pendant quelques secondes, les gémissements de Lucie se faisaient rare, et je lentendais souvent déglutir bruyamment et soupirer.
- Tu las vraiment dilaté dis donc !
Je compris quelle était en train de lui lécher le cul et là je nai pu me retenir :
- Allez venez la mes putes, je vais vous arrosez.
Je retirais ma capote rapidement et mapprocha de la tête de Lucie. Jennifer vint coller son visage au sien et pour être sur de bien viser je me branlai le gland collé à sa langue tout en pétrissant les gros seins de Lucie. Leur gémissement de femme en rut et surtout la langue de Lucie sur mes couilles me fit jouir en quelques secondes.
Dun coup jinondai la bouche de Jennifer dans un râle non dissimulé. Je sentais que je déversai plusieurs jets de sperme. Elle vint directement coller telle une sangsue sa bouche sur mon gland pour tout boire. Elle me suça encore un peu puis laissa tomber mon sexe sur la bouche de Lucie.
- Cest bien mes chéries. Je tapotais ma queue sur le visage de Lucie.
- Tas kiffé ?
- Deux salopes comme vous oui.
- Tu sais tes le premier avec qui on fait ça.
- Bah faudra le refaire alors.
Je me suis endormi après dans les bras de Jennifer et Lucie menlaçait aussi
Le lendemain je me réveillai avec seulement Lucie dans les bras. Jennifer était donc vraiment parti à la messe. Le jour passait à travers les volets et je pouvais la voir dormir nue.
Elle avait vraiment de gros seins avec de larges mamelons marron foncé. Je les caressais doucement puis les léchai. Elle se réveilla, on discuta un peu de la nuit dhier.
- Faudrait recommencer avant que tu partes non ?
- Ok, mais pas de bruit alors.
- Ten fais pas.
Elle se pencha pour me sucer sans poser de questions. Elle semblait se régaler. Je nhésitai plus à appuyer sur ta tête ou même carrément lui baiser la bouche en linsultant. Elle vint ensuite sallonger sur moi souriante. Je lui caressais les fesses.
- Hier je nai pas pu tenculer.
- Javais trop peur hier, on ne me la jamais fait.
- Allonges toi sur le ventre ma grosse.
- Tu vas doucement hein ? Je ne lui répondis pas.
- Écarte tes fesses.
Elle le fit et je lâchais un crachat sur son trou en létalant avec mon gland, puis en remis sur tout mon sexe. Elle avait les fesses rondes, larges et le trou de la même couleur que ses mamelons.
Je du forcer lentrée de son trou pour juste enfoncer mon gland. Elle poussa un gémissement de douleur. Jattendis un peu puis lenfonça doucement au fond pour ne plus y bouger. Je la sentais se crisper, ses mains serraient fortement les draps. Ses gémissements de douleur sintensifiaient quand je commençais à lenculer.
- Taimes ça on dirait ma salope.
- Doucement sil te plait.
- Chut
Je lenculais donc à allure modéré. Au fur et à mesure elle semblait se détendre et gémir de plaisir. Jaugmentais la cadence. La graisse de ses fesses vibraient, trop bon à voir. On changea de position, une levrette qui ma permis de bien la défoncer et de me finir avec de violente fessés. Jessuyais mon gland sur ses fesses en la félicitant. Elle menlaça et embrassa.
- Je kiffe trop ta bite putain
- Merci, dommage que tu vives loin taurais pu lavoir souvent. Ta sur aussi.
- Deux gourmandes rien que pour toi.
On discuta encore un peu, elle me fila son numéro. Puis se rhabilla et parti quelques heures après.
Mais ma journée nétait pas terminée
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