Doeux Soeurs Qui Partagent Tout !

Je n’aurai pas pensé que j’aurais eu la chance de rebaiser mon Haïtienne.

Je devais avoir 22 ou 21 ans je crois. J’avais retrouvé sa trace grâce à mes mails. Environ deux ou trois ans c’étaient écoulés au moment où je l’avais prise sous cet escalier et qu’on c’était laissé en mauvais terme. La dernière fois ça c’est fait un peu à l’arrache, je n’ai pas pu profiter pleinement d’elle. Je décidais donc de reprendre le contact et sortir mon pipeau habituel. On s’envoyait sms sur mns et, mails sur appels téléphoniques. Je me montrais prévenant, doux etc… comme au début que dans un seul but. Mais elle avait déjà quelqu’un dans sa vie mais je persistais à la provoquer.

Elle m’avait invité un week-end à une fête qu’elle organisait chez elle pour fêter la fin de l’année de sa classe. Environ une petite vingtaine de personnes sur ambiance zook, dancehall etc.
Ce que j’espérais le plus c’est qu’il se passe quelque chose ce soir ou le lendemain matin vu que je dormais chez elle. Pendant la soirée une fille, une copine à elle vint m’aborder. Une métisse : ni trop moche, ni trop belle, menue.

Elle s’intéressait à moi, venait souvent me demander si tout se passait bien etc. lorsqu’elle m’invita à danser, je lui dis que je ne savais pas zooker. Elle avait l’air déçue. Puis Isé (mon haîtienne) me prit par la main dans la conversation :

- Viens par là toi. Elle m’emmena dans une pièce sombre ou était stocké les meubles débarrassés au cours de la journée pour faire de la place dans le salon où tout le monde dansait. Elle ferma la porte.
- Mais qu’est ce que tu fais ?
- Je vais t’apprendre à zooker tu vas voir. Comme ça tu pourras danser avec elle.

Elle colla son bassin au mien.

- Bon le but c’est de faire des huit avec son bassin, peu importe le rythme faut que tu sois synchro avec elle. Elle passa ses bras autour de ma nuque et moi sur ses hanches, puis mis une jambe entre les miennes assez fléchie.

Timidement je n’osais pas trop me frotter de peur d’être ridicule.
- C’est trop dur j’y arrive tu vois bien !
- Allez Emmanuel fais un effort ! Colles toi bien à moi.

Je du lui obéir si je devais apprendre et me colla bien à elle. Comme la musique était forte même la porte fermé on pouvait danser dessus et au moins personne ne me regardait. Isé avait cette habitude de me parler avec douceur, limite un peu chaudasse.

- Alors tu t’amuses bien ?
- Oui ça va, bon je connais personne mais bon au mois y a toi. Je lui souris et glissa ouvertement mes mains sur ses fesses.
- Et y a aussi mon copain…Elle remonta seulement une de mes mains.
- Au fait tu m’a dis que y a d’autres personnes qui vont dormir ici, mais moi je vais dormir avec qui ?
- Eh bien y a Jennifer (la fille à qui je plaisais). Elle me l’a dit en posant ses mains sur mon torse. Moi de mon coté je lui caressais les reins d‘une main et palpais ses fesses naturellement de l’autre main.
- Euh bah oui si y a pas d’autre choix. C’est la seule avec qui j’ai pu sympathiser donc. Mais ton copain dort aussi ici ?
- Oui pourquoi ?
- Bah, on aurait pu dormir ensemble. Je lui souris et l’embrassa dans le cou. Elle ne put s’empêcher de frémir et griffer mon torse.
- Hum, oui mais bon il dort ici et puis tu seras avec elle. Elle me fit un clin d’œil.
Tu ne te débrouilles pas trop mal…

- Merci, ton copain a de la chance de t’avoir.
- Et elle de dormir avec toi ce soir. Elle me tint la main qui pelotait ses fesses j’ai cru qu’elle allait l’enlever mais se contenta de la mettre plus au milieu.
- Voilà c’est mieux. Elle sourit et nous continuâmes à danser quelques instants.
On ne peut pas rester trop longtemps sinon mon copain va se douter de quelque chose.

On sortit donc tranquillement à l’abri des regards puis rejoignit la soirée. Jennifer me retrouva toute souriante, on alla dans une chambre pour discuter un peu, et au bout d’un petit quart d’heure un gros lourd un peu éméché, jaloux du succès que j’avais avec elle vint perturber la discussion.
Plus tard j’ai appris qu’il avait déjà une copine et qu’il draguait Jennifer, bref.
Quand je regagnais à nouveau le salon, elle me rejoignit encore après s’être débarrassé de lui.
Elle me réinvita à zooker. Maladroitement et timidement je repris la danse. On était dans un coin de la pièce et très rapidement pendant la danse, je me mis à bander. Comme on était prés du mur, on se retrouvait progressivement contre et je me retrouvais à danser contre elle. comme elle était contre le mur, mon bassin s’appuya sur le sien plus fort et donc mon sexe se frottait plus fort sur sa cuisse. Je crois qu’elle le sentit puisqu’elle agrippa mes hanches et me tira vers elle. Elle poussa un petit soupir et ferma les yeux tout en m’enlaçant par la taille toujours à danser, mais elle appuyait plus son bassin au moment ou elle tournait sur mon sexe. Comme tout le monde autour de nous zookaient, on passait inaperçu. Je glissais mes mains sous son haut et caressa ses reins ainsi que son dos.

- Zook moi plus vite, et plus fort, me chuchote t-elle. J’obéis sans un mot et accentua la vitesse de rotation de mon bassin.
Tu te débrouilles bien, elle sourit. La danse se finit, heureusement car sinon j’allais jouir.

La soirée passa tranquillement, la musique me tapait sur la tête. J’allais m’allonger dans la chambre et expliqua à Isé que j’allais dormir. Elle comprit et prépara le lit alors que la soirée touchait apparemment à sa fin. Quand j’allais rejoindre la chambre, une fille m’interpella. Elle était ronde et avait environ le même âge qu’elle, la vingtaine. C’était la sœur à Jennifer. Comme j’ai oublié son nom on l’appellera Lucie.

Lucie donc m’emmena dans le fameux débarras et me dis que Jennifer me trouvait très mignon, que je lui plaisais beaucoup. Je fis l’étonné.

- Oui elle te trouve mignon. D’ailleurs je la comprends.
- Ah eh bien merci, j’étais gêné de son regard.
- Donc dors avec elle ce soir ok ?
- Oui je pensais faire ça, on s’entend bien donc.
Mais j’ai vu le lit d’Isé il est grand on peut tenir à trois. Tu veux dormir avec nous ?

Je sais pas ce qui me prit de proposer ça mais quand elle me sourit en me disant qu’elle aussi me trouvait mignon je ne pouvais regretter de ne pas avoir proposé. Je me suis dit qu’elle va me recaler gentiment après sa réflexion.

- Eh bien si je vous dérange pas, je prends de la place tu sais ! Elle plaisanta en faisant allusion à ces rondeurs.
- Non moi j’aime bien.
- Bon ok on dormira ensemble.

Elle alla continuer à danser pour le peu de temps qui restait et moi j’alla me coucher. Je me mis directement en boxer. J’entendais les autres partir. Un peu plus tard j’entendis quelqu’un rentrer.

- C’est moi. Jennifer s’allongea prés de moi sous les couettes.
Tu dormais déjà ?
- Non non pas avec tout ce bruit.
- T’es tout nu ?
- Non en boxer, je n’aime pas dormir habillé, après je suis tout froissé.
- Et toi ?
- Moi j’ai pris un pyjama. Effectivement elle portait un vrai pyjama d’. Petit pantalon et petite chemise.

On commença donc à discuter de la soirée, de tout et de rien. Puis je pris le courage de lui demander :

- J’ai envie de t’avoir contre moi, je peux ?
- Bien-sûr.

Ni une ni deux, je l’enlaçais et la tirais contre moi. Elle fut dos à moi, je pouvais caresser son petit ventre. Quand je la tirais vers moi, j’ai pu sentir qu’elle plaça ses fesses contre mon boxer. On continua donc à discuter. J’en profitais pour caresser ses cuisses et lui faire des bisous sur le cou et les joues. On avait l’air d’un petit couple, sauf que là on apprenait à mieux se connaître. A un moment où je parlais, elle c’est brusquement tournée vers moi et m’a embrassé à pleine bouche. Étonné je l’embrassais à mon tour, mes mains sur ses fesses.

- J’avais envie de ça des que je t’es vu.
- Eh bien tu es satisfaite maintenant.

On s’embrassa encore un peu mais nous fûmes interrompus par Lucie qui rentra se coucher.


- Youhou vous dormez ?
- Non viens. Discrètement on se remit en position normale pour dormir.
- Alors y a de la place pour moi ? C’est que j’ai un gros cul !
- Oui t’inquiètes y en a.
- Attends faut que je me déshabille au moins. Pendant qu’elle se déshabillait, je profitais du bruit pour tenir la main de Jennifer et l’embrassais furtivement, vu qu’il faisait très noir dans la pièce, on ne voyait rien susceptible de bouger.
- Vous dérangez pas je dormirais à coté de Manu.

Elle grimpa sur le lit et vint s’allonger prés de moi. Malgré que le lit soit grand, elle était un peu à l’étroit contre le mur et donc mes cuisses touchaient les siennes. J’avais donc les deux sœurs, la plus jeune à ma droite et la plus ronde contre le mur.

- Alors vous avez aimé la soirée ?
- Bah disons que les danses sont très chaudes.
- Ah oui ça c’est sur. Vous dansiez bien tout à l’heure.
- Toi aussi, limite le mec te donnait des coups de reins.
- Oui il était trop chaud pour moi. Non la votre était plus sensuelle j’ai adoré vous voir.

Alors que la discussion s’installait entre les deux sœurs, je sentais que Lucie me caressait la cuisse du bout des doigts. Cela me troublais légèrement mais en même temps ça m’excitais tellement ! Donc la discussion suivait son cours et les caresses de Lucie me fîrent rapidement bander. Elles devenaient aussi plus présente et plus intime. Je lui rendis ses caresses furtivement et pu constater qu’elle portait un string surtout au moment où elle s’allongea à moitié sur moi très discrètement en tout en discutant. Cela me permit de caresser ses grosses fesses rondes et sentir la ficelle disparaître entre ses fesses. Ainsi que de sentir sa lourde poitrine sur mon torse, elle avait du retirer son soutien-gorge.

Sa main pendant un long moment passait sur la bosse de mon boxer. J’étais très troublé et ne pouvais me résigner à la stopper. Quand c’était au tour de Jennifer de parler ou même de moi elle en profitait pour m’embrasser dans le cou et sue le visage. Ses lèvres étaient chaudes et très pulpeuses. Je ne pouvais pas être plus excité qu’au moment ou elle glissa sa main dans mon boxer pour pétrir mes boules. Je fis mine d’être mal positionné pour gigoter un peu et baisser mon boxer. Elle s’empressa de la saisir et me masturber lentement en poussant un petit soupir qui passait très bien dans la conversation. Elle écarta ses cuisses quand elle sentit que je caressais l’intérieur et quel plaisir de sentir son string humide. J’y exerçais des mouvements circulaires avec deux doigts sur son clitoris, elle ne pouvait s’empêcher de respirer plus fort et je du donc parler à sa place.

Jennifer ne se rendait compte de rien et trop excité je lui lâchais la main et commença sans gêne à pétrir sa poitrine. Je n’avais pas peur de sa réaction car au moins j’aurais la grande sœur sous le coude. La surprise que j’ai eu quand elle caressa ma cuisse. Je souris et me laissa faire tout en discutant avec elle alors que Lucie se faisait discrète. Elle n’avait pas une grosse poitrine mais ils étaient fermes, comparé à sa sœur qu’ils semblaient plus laiteux. Je ne sais pu comment mais à un moment, je sentais qu’elle remuait du bassin au rythme de mes gestes et pour provoquer la situation j’ai demandé ce qu’elle pensait d’un sujet et elle me répondit dans un petit soupir discret qu’elle adorait ça et même mis son string de coté que je puisse directement lui masser sa chatte toute douce et trempée. Le bonheur, c’était chaud. Pour ne pas faire de bruit je devais la masturber lentement et elle aussi.

Tandis que Lucie rêvait dans son petit monde, sa sœur orienta ma main vers son pyjama, puis le baissa ainsi que sa culotte. Elle reprit ma main et la posa sur son minou légèrement humide. Je pus sentir un petit duvet de poil, je la masturbais.

Le plus excitant est que chacune des sœurs étaient persuadée que l’autre comatait, alors qu’elles étaient très actives. Jennifer mouilla rapidement je pu la doigter au bout de quelques secondes. J’en profitais pour attribuer le même châtiment à Lucie. Et me voilà avec 4 doigts dans deux filles différentes de chaque côté de moi. Acoustiquement et visuellement personne ne pouvait se douter qu’un moment coquin se déroulait sous cette couette.
Alors que la discussion se tuait assez rapidement vu que je ne pouvais pu faire de monologue, on entendit des gémissements qui semblaient provenir de l’autre côté de la chambre ainsi qu’un bruit de matelas. C’était dans la chambre de la mère d’Isé où justement elle dormait avec son copain. Enfin « dormait ».

- Ah j’en connais une qui est en train de se prendre une bite. Mes métisses rigolèrent.
- Elle a de la chance, soupirait Lucie en se retenant de gémir.
- Pourtant tu t’en prenais beaucoup tout à l’heure en dansant avec ces mecs. Pourquoi t’en a pas dormi avec l’un deux ?
- Elle préfère le chocolat blanc, répondit Jennifer timidement, elle aussi retenait ses gémissements.
- Fondu ou en tablette ?
- Non fondu c’est Jennifer qui aime…je préfère une tablette, c’est plus long à déguster.

On ne put s’empêcher de rire et Isé faisait de plus en plus de bruit.

- On va devoir attendre qu’elles finissent pour s’endormir, son mec à pas l’air endurant.
- T’es sorti avec non ?
- Oh pas longtemps tu sais, mais c’est vrai que j’aimerais maintenant.
- C’est vrai ce qu’elle a dit ?
- Et elle a dit quoi ?
- Bah euh dis le Jenni.
- Que t’en avais une grosse.
- Euh bah ça je sais pas trop ce n’est pas à moi de dire ce genre de chose mais plutôt à la fille. Je fus assez gêné la mais très excité aussi, j’attendais que ça.
- A nous de juger alors non ? T’a qu’a la montrer.
- Dans le noir ?
- On a qu’a toucher…
- Alors qui commence ?
- Moi, s’empressa de répondre Lucie.

Bien que j’avais une boule au ventre sur le moment d’imaginer que Jennifer imaginait la scène, j’en eu une autre quand Lucie poussa un long gémissement. Elle n’avait pas arrêter de me masturber depuis tout à l’heure mais bon la situation avançait.

- Alors… ? Demanda Jennifer.
- Eh bien tu adorerais l’avoir en bouche…
- Vraiment ?
- Essayes…

Lucie continua de me branler, je sentais Jennifer hésiter un long moment puis tira la couette et se penche sur mon sexe en le léchant de bas en haut prenant même le soin de lécher la main de sa sœur. Puis commença à aspire mon gland et progressivement enfonça ma queue. La main de Lucie qui ne bougeait plus délimitait ce qu’il fallait sucer, en gros juste la moitié.

- Alors elle suce bien ma petite sœur ? Elle m’embrassa tendrement, ses lèvres pulpeuses me brûlaient.
- Très bien oui, tu devrais retirer ta main.

Elle s’exécuta et brusquement Jennifer alla jusqu'au fond dans un grand gémissement grognard. Elle se retire brusquement tout autant.

- Non mais ça ne va pas ? Laisses-moi le sucer à mon rythme !
- Oh depuis le début de la soirée tu m’a dis que tu voulais le faire donc je voulais t’aider !

Je compris qu’en retirant sa main, Lucie avait appuyé sur la tête de Jennifer.

- Vous fâchez pas.
- Non t’inquiètes mon chou.

Lucie m’embrassa à pleine bouche, je pu malaxer sa grosse poitrine, c’était vraiment agréable de l’entendre gémir sous mes caresses et d’entendre ta sœur aspirer sa salive pendant la gâterie. Les cris de Isé ne se désamplifiaient pas ce qui m’excita encore. Je pris l’initiative d’appuyer sur la tête de Jennifer pour l’inciter à aller plus vite et plus loin. Elle grogna et se mis à caresser mes cuisses. La langue de Lucie se mêla à la mienne quelques secondes puis elle descendit sucer et mordiller mes tétons tout en caressant mes abdos et mon torse. Je ne voyais vraiment rien mais j’ai pu vite comprendre qui me léchait et me suçait les couilles.

Jennifer me suça avec toujours autant de passion et sa sœur s’occupait de mes bourses j’étais au paradis. Enfin deux filles qui s’occupaient de moi. Jenni remonta vers moi pour m’embrasser fougueusement et Lucie pris le relais. Elle suçait moins bien mais avait une bouche plus douche et ses lèvres pulpeuse me fit gémir rapidement. Je lui appuya sur la tête à son tour pour lui forcer à me sucer toute la bite et n’hésita pas à aller au fond. Elle se laissait totalement faire.

- J’n’aurais pas imaginé ta bite aussi grosse quand on dansait ensemble, me chuchote t-elle.

Elle m’embrasa encore, puis mes tétons et redescendit aider Lucie. Elles se sont misent à me sucer chacune leur tour, l’une vite, l’autre lentement. Je ne tardais pas à me tortiller de plaisir et lever le bassin en gémissant. Pour les encourager je leur caressais les cheveux tendrement puis sous le coup d’une pulsion soudaine, j’agrippai leur masse de cheveux d’une main fermement.

- Allez mes salopes, travaillez en équipe.

Lucie affirma et se mit à m’aspirer le gland, déjà bien gonflé de sang et me pétrissait, tandis que Jennifer elle, lécha et embrassa la base de mon sexe. Apparemment j’avais pris le risque de les insulter et elles avaient aimé ça. Pendant une dizaine de minutes environ elles changeaient de rôle et faisaient serpenter leur langue sur ma queue quitte à lécher aux mêmes endroits. Ce que j’aimais dans le noir, était que Jennifer était plus vivace et Lucie plus gourmande, elle prenait bien le temps de lécher le contour de mon gland. Elle n’hésite pas d’ailleurs à venir me chevaucher après avoir mis une capote qu’elle devait cacher je en sais où.

Lentement dans un gémissement aussi sensuel que long, elle s’assit sur moi jusqu’au fond, posa ses mains sur mon torse et commença à lever son bassin. Je la tenais par les cuisses :

- Tu la voulais depuis un temps non ?
- Non c’est ma sœur qui la voulait depuis le début.

Elle ne pouvait s’empêcher de gémir, au moins pas plus fort que Isé qui semblait en réclamer d’après les « Encore, encore ! » étouffé par la cloison.

- Bah falloir partager avec ta sœur.
- Pas tout de suite je viens de commencer.

Jennifer devint timide subitement car je ne l’entendais plus. Je lui tenais la main dans l’espoir qu’elle fasse quelque chose. Elle me fit goûter sa mouille, je compris qu’elle se masturbait sur la situation. Je poussais un petit gémissement de satisfaction pour l’inviter à venir sur ma bouche ce qu’elle ne tarda à faire. Tourné dans le même sens et la même position que Lucie, elle s’assit à moitié sur mon visage et je commençais à lui administrer un cunni gourmand où je pu récolter pas mal de mouille. Je me sentais vraiment objet à ce moment là. Lucie dans son monde ne cessait de gémir des propos salaces en accélérant son rythme et me griffant le torse, et Jennifer ne pouvait s’empêcher de frotter délicatement sa chatte plus que mouillé sur ma bouche, j’avais du mal à lécher son clitoris et le lui aspirer. Entendre deux filles prendre leur pieds grâce à moi c’était vraiment jouissif.

Profitant de la situation je lui caressais et tapotait les fesses. Puis mes doigts bien mouillés, lui titillait l’anus doucement et commença à doigter son petit cul de mon index. Elle ne protesta pas, au contraire elle se cambra plus. Ce qui m’aida à la doigter lentement puis à tenter un deuxième doigt que son trou accepta sans difficultés. Ses gémissement devinrent plus poussé et profond. Elle me chuchotait entre deux soupirs d’aller doucement. Je décida de ne pas l’écouter et d’enfoncer un troisième doigt mais même en forçant sous les petits cris de douleurs de Jenni, je n’arrivais pas à enfoncer plus que l’ongle.

- J’ai la chatte en feu, tu prends le relais ?
- Oui…

Elles changèrent de place. Jenni s’empala rapidement sur ma queue et commença à gesticuler rapidement se tenant en arrière et poussant de long gémissement. Il était clair qu’elle était plus timide, plus discrète mais plus fougueuse.
Lucie vint m’embrasser léchant mes lèvres m’affirmant que sa mouille serait meilleure. Doucement elle s’assit doucement sur ma bouche, comme elle était plus grosse je pensais que j’ais ou que les effluves seraient plus considérables, mais pas du tout, c’était frais et assez sucré. Je bue d’un trait sa cyprine et lécha son sexe en cercle sans toucher a son clitoris. Elle me caressait la tête m’arrachant les cheveux pour me forcer à lui sucer le clito. Je n’eu d’autre choix que de lui aspirer à vive allure. je la fis rapidement jouir.
Elle se mit sur le coté pour se reposer, tandis que Jenni changea de position, ne voyant rien elle me prit par la main, les posa sur ses fesses. J’en ai déduit qu’elle était à quatre pattes. D’un coup d’un seul je m’introduisis dans son petit minou et m’amusais à enfoncer mon pouce dans son cul. Sous l’instant elle se cambra et je compris que j’avais libre accès. Doucement j’enfonçais mon gland en forçant l’entrée sous un petit cri étouffé dans l’oreiller et commença à la lui mettre au fond sans bouger. Elle poussa de long soupirs de douleur, puis quand elle se silence se fit je l’enculais doucement l’agrippant bien par ses fesses rondes.

- Détends toi ça passera mieux. Je lui mis une fessée.
- Va doucement s’il te plait…
- Eh vous faites quoi là ? Lucie semblait se réveiller un peu.
- Je lui prends le cul.

Elle se redressa et posa sa main sur ma queue jusqu'à trouver son cul :

- Lui fait pas mal, elle doit se lever tôt demain pour aller à la messe. J’accélérais le rythme me souciant peu de ses cris et ses mains qui agrippaient les miennes.
- Sur qui je vais me vider alors ?
- Tu sais qu’elle adore le lait. Je lui mis quelques fessées tout en l’enculant encore plus fort.
Allonges toi ma grosse.
- Eh je ne suis pas grosse !
- Non je sais bien t’inquiètes, mais t’es ma grosse salope donc…
- Alors t’as intérêt à bien me baiser.

Apparemment je pouvais tout dire puisqu’elle s’exécuta sans un mot et je pu la baiser en missionnaire pendant un bon moment encouragé par les caresses de Jennifer. Lucie gémissait de plus en plus fort, je ne voulais pas qu’Isé nous entendent donc je ralentissais de temps en temps. Elle m’ordonnait par des fessées de la défoncer, d’aller plus fort, plus vite et plus profond. Je lui obéis quitte à me faire entendre mais c’était vraiment trop bon de bourrer une métisse bien ronde. Jennifer elle n’avait plus trop de limite puisque après sa sodomie assez violente, elle se mit au dessus de sa sœur pour que je lui suce le clito. Je ne me retiens pas de pencher sur elle à son ordre pour la faire jouir. J’imaginais la pose ; elle avait donc ses fesses sur le visage de sa sœur, tandis que je défonçais cette dernière. A peine je lui attrapais le clito qu’elle me tenait la tête pour la finir. Tellement excité par l’acte, je ne me rendais pas compte que je faisais un plan à trois avec deux sœurs.

Pendant quelques secondes, les gémissements de Lucie se faisaient rare, et je l’entendais souvent déglutir bruyamment et soupirer.

- Tu l’as vraiment dilaté dis donc !

Je compris qu’elle était en train de lui lécher le cul et là je n‘ai pu me retenir :

- Allez venez la mes putes, je vais vous arrosez.

Je retirais ma capote rapidement et m’approcha de la tête de Lucie. Jennifer vint coller son visage au sien et pour être sur de bien viser je me branlai le gland collé à sa langue tout en pétrissant les gros seins de Lucie. Leur gémissement de femme en rut et surtout la langue de Lucie sur mes couilles me fit jouir en quelques secondes.
D’un coup j’inondai la bouche de Jennifer dans un râle non dissimulé. Je sentais que je déversai plusieurs jets de sperme. Elle vint directement coller telle une sangsue sa bouche sur mon gland pour tout boire. Elle me suça encore un peu puis laissa tomber mon sexe sur la bouche de Lucie.

- C’est bien mes chéries. Je tapotais ma queue sur le visage de Lucie.
- T’as kiffé ?
- Deux salopes comme vous oui.
- Tu sais t’es le premier avec qui on fait ça.
- Bah faudra le refaire alors.
Je me suis endormi après dans les bras de Jennifer et Lucie m’enlaçait aussi…

Le lendemain je me réveillai avec seulement Lucie dans les bras. Jennifer était donc vraiment parti à la messe. Le jour passait à travers les volets et je pouvais la voir dormir nue.
Elle avait vraiment de gros seins avec de larges mamelons marron foncé. Je les caressais doucement puis les léchai. Elle se réveilla, on discuta un peu de la nuit d’hier.

- Faudrait recommencer avant que tu partes non ?
- Ok, mais pas de bruit alors.
- T’en fais pas.

Elle se pencha pour me sucer sans poser de questions. Elle semblait se régaler. Je n’hésitai plus à appuyer sur ta tête ou même carrément lui baiser la bouche en l’insultant. Elle vint ensuite s’allonger sur moi souriante. Je lui caressais les fesses.

- Hier je n’ai pas pu t’enculer.
- J’avais trop peur hier, on ne me l’a jamais fait.
- Allonges toi sur le ventre ma grosse.
- Tu vas doucement hein ? Je ne lui répondis pas.
- Écarte tes fesses.

Elle le fit et je lâchais un crachat sur son trou en l’étalant avec mon gland, puis en remis sur tout mon sexe. Elle avait les fesses rondes, larges et le trou de la même couleur que ses mamelons.
Je du forcer l’entrée de son trou pour juste enfoncer mon gland. Elle poussa un gémissement de douleur. J’attendis un peu puis l’enfonça doucement au fond pour ne plus y bouger. Je la sentais se crisper, ses mains serraient fortement les draps. Ses gémissements de douleur s’intensifiaient quand je commençais à l’enculer.

- T’aimes ça on dirait ma salope.
- Doucement s’il te plait.
- Chut…

Je l’enculais donc à allure modéré. Au fur et à mesure elle semblait se détendre et gémir de plaisir. J’augmentais la cadence. La graisse de ses fesses vibraient, trop bon à voir. On changea de position, une levrette qui m’a permis de bien la défoncer et de me finir avec de violente fessés. J’essuyais mon gland sur ses fesses en la félicitant. Elle m’enlaça et embrassa.

- Je kiffe trop ta bite putain…
- Merci, dommage que tu vives loin t’aurais pu l’avoir souvent. Ta sœur aussi.
- Deux gourmandes rien que pour toi.

On discuta encore un peu, elle me fila son numéro. Puis se rhabilla et parti quelques heures après.

Mais ma journée n’était pas terminée…

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!