Premier Partage

Premier partage

Pendant 8 jours nous avions prévu séjourner dans un port du midi ; après une bonne nuit de récupération, nous avons été réveillés tôt le matin par des coups frappés sur la coque. Le temps d’enfiler une nuisette, ma jeune épouse se présenta à la porte et devant elle un maitre du port venait faire payer le droit de port. J’allais sortir de la salle de bain, pour râler sur l’heure matinale (8h30), quand dans la glace j’ai remarqué les regards de l’homme sur le corps de MICO. J’ai décidé de ne pas bouger et de regarder la suite. La bosse du pantalon était visible, il faut dire que la nuisette ne cachait pas grand-chose, courte, transparente et très échancrée, elle ne faisait que mettre en valeur les petits seins ronds et les douces rondeurs de ses fesses, sans compter la vue sur son pubis. Je commençais moi aussi à avoir la trique, et quand l’homme enfin se décida à partir, j’ai sauté sur ma Mico et sans autres préliminaires, je l’allongeais sur la table où je n’eu aucun mal de la pénétrer, tant sa chatte était mouillée. Après cet intermède assez chaud, car agrémenté de commentaires sur la situation, je découvris que ma chère et tendre avait très vite perçu son trouble et avait un peu accentué la visibilité du site, à savoir un peu plus penchée qu’il ne le fallait et jambes écartées, ce qui devait ouvrir de beaux horizons. Le reste de la journée se passa en visite, baignade naturiste et sortie en boite, le courant pour des vacances, mais dans nos têtes et dans nos conversations, le sujet du matin revenait souvent…
Inutile de vous dire que le lendemain, nous attendions la visite ; quelle ne fut pas notre déception, un autre homme est passé et à 12h.Tant pis il ne nous restait plus qu’à espérer que le tour de garde serait bon pour le lendemain.
Dès 8h15, nous étions près, nous avions convenu que ma Mico chaufferait un peu notre homme ; en nuisette comme la veille, elle préparait le café quand il arriva.

Fred, c’était son nom, était un bel homme de 40 ans, 1m80 bronzé ou métissé, il portait une chemisette ouverte sur un torse musclé et short long ; les formalités furent vite expédiées avec toujours son regard plongeant et la preuve de son excitation très visité sous son short. De mon observatoire dans la salle de bain, je suivais les événements avec intérêt ; la nuisette laissait passer régulièrement un sein et à chaque mouvement sa jolie toison, si finement taillée, apparaissait. Mico lui proposa un café et s’installa sur la banquette en remontant ses jambes sur le siège ; sa chatte baillait joliment et je crus qu’il allait s’, enfin sa main se posa sur la cuisse puis remonta doucement vers la fente ouverte, les doigts s’engloutirent dans la grotte dégoulinante et il s’activa jusqu’à que Mico chavire de plaisir à grand cris. Après quelques secondes, alors qu’il était près à partir, Mico lui frotta la bosse, il fit un véritable bon et quand elle ouvrit sa braguette, son membre tendu, long et large jaillit du pantalon ; sa langue vint se poser sur le vit et commença une sucette comme elle sait la faire, puis elle l’engloutit en entier. Dans mon petit coin, ma queue me faisait mal tellement je bandais, mais condamné à ne pas faire de bruit, je n’osais me branler. Fred prit la tête de Mico et se branla littéralement entre les lèvres, parfois sa main venait peloter les seins et pincer le téton turgescent. Il ne résista pas longtemps à la bouche experte de Mico et en se retirant un long jet de sperme éclaboussa ses seins et son visage. Un peu gêné Fred prit congé rapidement à mon grand soulagement car j’étais au bord de l’explosion ; inutile de vous dire que je ne suis précipité entre les lèvres de ma petite « pute » et qu’il n’a pas fallut longtemps avant que je n’expose dans sa bouche.
Après un long moment de repos après une baise très hard, je la caressais en lui expliquant le plaisir que j’avais ressenti en la voyant avec un autre homme ; un peu gênée avec le recul elle s’excusa de ses actes et il me fallut beaucoup de persuasion pour lui faire comprendre que moi, j’avais déjà pensé à cette relation et que je n’avais pas osé lui en parler.
De fil en aiguille je lui demandais si elle aurait aimé qu’il l’a baise ; après un temps de silence, elle me dit que sa queue lui avait fait envie , mais qu’elle ne souhaitait pas me tromper ; je ne voulus pas aller trop loin et la froisser et le sujet fut clos pour la journée, mais le soir nous réprimes notre corps à corps en se rappelant le séance du matin et son sexe plein de mouille me confirma son plaisir.

Le lendemain matin, nous étions en train de nous préparer vers 9h, ma Mico en string et soutien gorge à demi balconnet, les pointes en limite de la dentelle et moi en slip quand deux coups furent frappés sur la coque ; c’était notre Fred, nous le fîmes entrer et surpris par ma présence et par notre tenue, il s’excusa en nous disant qu’il avait oublié de donner le bon du port la veille ( bon prétexte) : pas étonnant , avec la petite séance avec ma femme, je comprends votre oubli ; il était très perplexe et je lui expliquais en lui offrant un café que j’étais au courant de sa venue et de sa performance.
Assis tous les trois sur un siège en coin mes deux compères ne savaient plus quoi faire ou dire ; afin de débloquer la situation je pris Mico par les épaules et je commençais à lui caresser les pointes qui réagirent aussitôt et je sentis son corps se cabrer sous les caresses ; puis ma mains glissa sur une cuisse et remonta jusqu’au bord son string. Doucement mes doigts titillèrent le bord de ses lèvres et je sentis son corps se tendre et sa main vint se poser sur la cuisse de Fred ; sur un accord de ma part, sa main vint sur le corps de Mico et ses caresses se firent de plus en plus précises. D’un geste je fis sauter les agrafes du soutien gorges et ses petits seins (85 c) bondirent à portée de nos lèvres et de nos mains, 4 mains qui pétrissent, tortillent les tétons ; notre Mico ne savait plus où donner de la tête ; j’expliquais alors à Fred que je souhaitais surtout être voyeur de leurs ébats et après un gros baisé à ma petite maitresse pour la rassurer, je me mis sur le coté, bandant à l’idée de la suite…
Après un instant de surprise il se jeta littéralement sur elle, lui dévorant la chatte, pétrissant les lobes, puis ayant fait sauter ses vêtements et déchirant le string lui planta la bite dans la chatte ; il se mis à lui labourer le sexe avec ardeur, ressortant une bite gonflée pour rentrer sans ménagement ; Mico gémissait sous les coups de butoir, puis hurla de plaisir ; sur mon siège le slip avait volé et je me masturbais à la limite de la jouissance, me retenant pour mieux profiter de la situation : ma petite femme se faisait sauter sous mes yeux et sa jouissance me faisait un effet bœuf ! Je voyais la grosse bite (je ne suis pas envieux, car je suis bien membré) lui labourer le ventre et soudain Mico se cabra, fred se retira en jutant sur son ventre, ma queue se libéra alors d’un long jet de sperme en même temps qu’eux ; je me suis ensuite dirigé vers son sexe à petits coups de langue, où j’ai bu sa cyprine abondante et musquée, pendant qu’elle léchait doucement le sexe de Fred qui doucement revenait à la normale.

Discrètement je fis voir l’heure à Fred, de peur que son collègue vienne pour la taxe ; avec un petit sourire il me dit que la taxe de port était réglée pour la semaine. Nous avons alors discuté pendant un long moment de la situation et tranquillement je lui ai expliqué le plaisir de voir sa compagne possédée devant soi. Ma petite Mico a eu alors ces mots superbes : mon « cocu adoré, je te jure d’être aussi, dans les mêmes conditions ta petite « cocue »
Inutile de vous dire qu’après le départ de Fred, nos ébats, avec commentaire des événements nous ont permis de longues et torrides moments…

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