Damien 46 - Paris-Tours (01)

Quelques semaines plus tard, je devais aller à Tours pour une journée de stage concernant ma formation à l'informatique.
J'avais décidé de partir le soir afin de ne pas être à la courette le matin, vers 19 heures muni d'une petite valise je me mis en route.
J'arrivai à la gare quelques minutes avant le départ du train, je m'installai dans un compartiment fumeur, ouvris un journal et me mis à lire.
Cela devait faire une demi-heure que nous roulions quand un homme ouvrit la porte et me demanda si c'était libre, étant seul pour six places je lui répondis oui, la personne s'installa en face et se mit à lire, quelques minutes plus tard l'homme me demanda "Cela vous gêne-t-il si je fume ?
- Pas du tout, d'ailleurs si cela me gênait je n'aurais rien à faire dans ce wagon, non vous pouvez y aller je suis moi même fumeur".
Pendant qu'il allumait sa cigarette je regardai mon voisin, c'était un homme d'une cinquantaine d'années très bien habillé avec de vêtements de marque, je me dis qu'il devait être patron ou directeur, il semblait très soigné de sa personne, ce qui était marrant c'est que seul son visage, ridé et aux tempes argentés, trahissait son âge car il semblait avoir un corps d'athlète, j'allumai à mon tour une cigarette et repris ma lecture.
Quelque temps plus tard le contrôleur passa, nos titre de transport étant en règle, il nous souhaita bon voyage et partit après avoir refermé la porte.
Posant son journal mon compagnon de voyage me dit "Eh bien, voici la seule personne que nous verrons jusqu'à Tours.
- C'est vrai, on peut dire que ce voyage est calme.
- Ça vous pouvez le dire, rien de tel que le train pour s'ennuyer.
- Mais c'est quand même un moyen de transport utile.
- Oui vous avez raison. Vous descendez où ?
- A Saint Pierre Des Corps.
- Vous en avez encore pour 2 heures.
- C'est ça et vous ?
- A Tours.
- Vous ferez un quart d'heure de plus.


- Oui.
- Vous faites souvent le voyage ?
- Trois fois par semaine.
- Eh bien vous devez connaître cette ligne de fond en comble.
- On peut le dire. Et vous ?
- Non pas du tout.
- Si je ne suis pas indiscret vous faites quel métier ?
- Je suis en formation d'informaticien et vous ?
- Directeur financier.
- Je suppose que vous allez voir une filiale ?
- C'est cela même et j'ai rarement des compagnons de voyage aussi agréables que vous, bien souvent le gens ne décroche pas un mot.
- Etant donné les plaisantes occupations qu'il y a dans ce train, discuter avec quelqu'un permet à ce que le temps passe plus agréablement.
- Je suis tout à fait de votre avis mon cher, il faut toujours essayer dans la vie de passer chaque instant le plus agréablement possible".
Cet homme était charmant et très cultivé, quelque soit le sujet que nous abordions il avait un avis dessus, à un moment il voulut allumer une cigarette mais son briquet refusa de fonctionner, je me levai pour lui offrir du feu et dans le mouvement je fis tomber mon attaché-case à terre.
Quand je revins vers ma place pour ramasser mes affaires qui jonchaient le sol, mon regard croisa celui de mon voisin.
De ma mallette était sorti l'exemplaire de Gai Pied que j'avais acheté avant de prendre le train pour lire ce soir à l'hôtel, il était en train de regarder la couverture où un jeune éphèbe avalait totalement le sexe d'un autre tandis qu'un troisième homme était enfoncé entre ses fesses.
Je sentis le rouge me monter au visage et le voyageur toujours souriant me dit "Allons pas de fausse pudeur, chacun a le droit de faire ce que bon lui semble. D'ailleurs lisez-vous cette publication par curiosité ou êtes-vous vraiment homosexuel ?
- Cela ne vous regarde pas et fichez-moi la paix.
- Certes cela ne me regarde pas, mais pourquoi devenez-vous agressif subitement, que vous soyez pédé ou non je ne vois pas ce que cela change aux conversations que nous avons eu depuis tout à l'heure.

- C'est vrai, excusez-moi je me suis emporté.
- Ce n'est rien, ramassez vos affaires et oublions ça".
Je rangeai mes documents ainsi que la revue et me rassis, mon compagnon avait un petit sourire aux lèvres, je lui demandai "Qu'est-ce qui vous fait sourire ?
- Oh rien une idée comme ça.
- Et quelle idée ?
- Eh bien voilà, nous avons commencé à nous parler pour dire que les voyages en train étaient assommants, qu'il n'y avait rien à faire et que le contrôleur était la dernière personne que nous puissions voir avant Tours.
- Je ne vois rien de drôle là dedans.
- Tout à fait, et nous étions d'accord pour dire qu'il fallait rendre la voyage le plus agréable possible.
- Je me souviens mais excusez-moi si je ne vois rien de risible.
- Vous êtes tout excusé, mais si vous voulez que je continue, promettez-moi de ne pas vous mettre en colère.
- C'est promis.
- Bien, donc supposons, je dis bien supposons, que vous soyez vraiment homosexuel, ne croyez-vous pas qu'étant donné que jusqu'à Saint Pierre Des Corps personne, et je le sais bien personne, ne viendra nous déranger et que jusqu'à cet arrêt il reste environ 1 heure un quart il y ait un moyen de peut-être passer un moment agréable ensemble, bien sur je dis peut-être car il se peut après tout que vous soyez un homosexuel actif, ce qui dans ce cas en ce qui me concerne ne présente aucun intérêt, mais si vous étiez passif alors là c'est différent. Me suivez-vous ?
- Absolument, en somme vous vous proposez tout simplement de me baiser.
- Ceci est un résumé très primaire, ce que je dis c'est qu'on peut dans le temps qui reste faire l'amour d'une manière très satisfaisante.
- Si vous voulez, mais tout ceci ne tient debout que si je suis un homo passif.
- Bien sur et je crois que tu l'es.
- Et bien entendu pour une pédale on passe tout de suite au tutoiement.
- Allons pas de vulgarité, si je t'ai tutoyé c'est tout simplement que ça fait plus proche et pour faire ce que nous allons faire….

- Eh là c'est aller bien vite, ce que nous allons faire, faudrait que je dise oui d'abord.
- Mais tu vas dire oui, j'en suis sur.
- Tiens donc et pourquoi ?
- Je le sais c'est tout, sinon tu n'aurais pas continué à discuter.
- Tu me sembles bien sur de toi.
- Eh oui, allez au lieu de perdre du temps, aides-moi plutôt à fermer les rideaux.
- Et si je dis non ?
- Et si plutôt tu disais oui. Hein ?
- Mais il se fait un vrai cinéma celui là.
- Oh non pas du tout, je sais que tu vas me donner ton petit trou.
- Allons bon.
- Je sais que tu en as envie.
- Ça alors !!!
- Regarde, je suis sur qu'après tu vas changer d'avis".
Sans me laisser le temps de répondre, il dégrafa sa braguette, il ne portait pas de slip et un magnifique phallus à demi érigé sortit de l'étoffe qui le recouvrait, il faisait déjà au moins 18 centimètres de long et était très gros, le gland on aurait dit un poing fermé.
Je restai bouche bée devant ce superbe organe et je sentis des fourmillements dans le bas de mes reins, je me dis que ce salaud avait gagné, je voulais cette queue énorme dans ma bouche et dans mon cul, il me demande "Alors tu dis toujours non ?
- Euh...
- Je referme la boutique ?
- Non !!!
- Bien, viens m'aider à tirer les rideaux.
- Oui….
- N'aie pas peur, on sera tranquille, personne ne nous dérangera.
- J'espère.
- T'inquiète, je vais bien m'occuper de ton petit trou tu verras, après moi toutes les autres bites te paraîtront fades. Au fait comment t'appelles-tu ?
- Damien.
- Moi c'est Robert".
Après avoir voilé les vitres, Robert fit basculer un des sièges du compartiment qui se transforma en couchette puis il s'approcha de moi et m'enlaça.
Ses lèvres se posèrent tendrement sur les miennes, j'ouvris la bouche, nos langues se nouèrent et nous échangeâmes un baiser passionné qui me laissa pantelant et les joues en feu quand Robert se détacha de moi.

Il me dévêtît rapidement puis me prit dans ses bras et me déposa à plat ventre sur la couche improvisée, il se déshabilla et vint s'allonger à côté de moi.
Son pénis était maintenant complètement en érection, c'était vraiment monstrueux et j'avoue que malgré toute mon expérience j'avais quelques craintes vues les dimensions gigantesques de ce gourdin.
Mon amant posa ses mains sur ma nuque et commença à me masser légèrement, au bout de quelques instants je me sentis me décontracter entièrement.
Les doigts de mon homme courraient sur mes épaules et tout le long de mon dos me faisant un bien énorme, puis sa langue râpeuse se posa sur mon cou et descendit le long de ma colonne vertébrale, s'arrêtant à la naissance du sillon de mes fesses, et remonta vers ma nuque.
Cette douce caresse m'électrisa, une chaleur irradiante monta vers mon visage et je ne pus un gémissement langoureux.
Je ne sais combien de temps mon mec m'effeuilla mais le bien-être que je ressentais était intense et je m'aperçus que pas une fois, ni sa langue ni ses mains, n'avaient touché à mon cul.
Toutes les parties de mon corps, mon dos, mes jambes, mes cuisses, mon torse, mes bras, mon visage avaient été soit caressé soit embrassé.
Je me pâmais sous les caresses, tout mon être était agité de tremblements, tout en moi tendait vers le désir.
Robert s'occupait maintenant de mes seins, il les tétait, les pinçait, mes tétons étaient durs comme de la pierre.
Je sentais un raz de marée affluer vers mon visage, j'écartais les cuisses au maximum, je voulais qu'il me prenne, que sa biroute m'éclate le fion et qu'il gicle en moi car je savais que seule sa semence pouvait éteindre l'incendie qui me consumait et je le suppliai "Aaahh ahhh je t'en ohhhh ahhhhhhh prie ahhh prends ahhh aaaahh moi ahhhh".
Sourd à mes supplications mon amant continua à me butiner, je ne sais combien de temps il continua à pratiquer sur moi ces doux sévices.
Ma peau était devenue si sensible que le moindre contact me faisait râler, soudain une boule de feu se forma dans mon ventre et explosa par multitude vers ma figure, mon corps s'arqua et je poussai un hurlement strident puis je retombai lourdement sur la couchette à demi inconscient.
Quand je rouvris les yeux, Robert me caressait la joue et me dit "Tu as aimé ?
- Oui beaucoup, je pense que tu t'en es rendu compte.
- C'est vrai, tu es un vrai trésor, ton corps répond encore mieux que celui d'une femme, si le reste est à la hauteur de ce que tu viens de me montrer, ce n'est pas moment agréable que nous allons passer mais sublime.
- D'après tous mes amants, je suis une très bonne suceuse et mon cul est très accueillant.
- Je le crois volontiers.
- Mais, dis-moi….
- Oui ?
- Tu as réussi à me faire jouir sans toucher à mon cul….
- Oui, rien ne vaut un premier orgasme avant une enculade, mais t'en fais pas je vais y toucher à ton petit cul.
- Je l'espère bien, mais dis-moi tu feras doucement car crois-moi tu es monté comme un âne, j'ai rarement vu un sexe aussi volumineux.
- N'aie crainte je ne te ferai pas mal parce qu'avant de te mettre, je l'ouvrirai ton petit puits d'amour.
- Merci.
- Mais de rien, allez montre-moi donc tes talents de suceuse.
- Avec joie.
- Non avec ta bouche.
- AH AH AH".

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