On Dirait Un Lointain Rêve....
Une buée envahissait la glace de la fenêtre
le nez collé dessus devenait rouge
les yeux fixes observaient lextérieur blanchâtre
des flocons de neige envahissaient le paysage dun long manteau éclatant
cétait la fin de lannée, le soir de Noël !
Près dun grand sapin aux effets multicolores, aussi bien ses décorations que ses lumières clignotantes, sentassaient des gros paquets de papiers brillants ornés de beaux nuds satinés.
Comme pour tous, cétait le grand soir, lexcitation était à son comble, un peu de nervosité aussi... fébrile ? Sans doute...
La journée avait été difficile, tant à préparer... surtout ne rien oublier. Les préparatifs sont toujours une course contre la montre. Un dernier regard sur la pièce... besoin de tout vérifier encore une fois, tout doit être parfait pour la venue de " Mon père Noël "....
Le miroir me renvoie l'image d'une femme apprêtée... maquillage de soirée, crinière rousse maîtrisée en un chignon bouclé, vêtue de noir... Machinalement d'une main, je tire sur l'élastique du bas-top et de l'autre frotte mon nez encore rouge par le froid de la vitre. Mes yeux y reviennent inexorablement. Dans l'attente, on s'aperçoit que les secondes sont des minutes... le temps s'écoule si doucement dans ces moments-là.
Je sursaute... j'entends le claquement d'une portière alors que je suis partie dans les douces rêveries de notre dernière rencontre si... piquante.
Mon visage s'illumine. Il est là " Mon père Noël "...
Monsieur habillé de noir est toujours élégant. Il arrive avec quelques flocons de neige sur les épaules et chargé de paquets. Après les avoir posé, il s'approche de moi, m'embrasse goulûment et longuement. Une main tenant fermement ma tête et une autre errant sur mon torse. Elle glisse sur mon bas-ventre, puis longe ma cuisse jusqu'au bas de ma jupe de mousseline qu'elle remonte délicatement. Elle frôle les bas de soie et ses doigts vagabondent plus intimement.
" Mmmmm... déjà mouillée, ma douce ! " murmure-t-il avant de m'embraser dans un baiser fougueux.
Il me mord la langue... surprise, j'essaye de dégager ma tête mais il la maintient durement. Ses dents s'attaquent à ma bouche, mes lèvres... de petites morsures, pendant que des doigts fouillent mon antre gluant... mon jus de femme coule dans sa paume.
Tout à coup, comme si les trois coups d'une pièce de théâtre grondaient, il me lâche et m'esclaffe :
" J'ai ramené quelques cadeaux pour ma douce... et du champagne ! "
Fin un peu brutale, mais calculée du bonsoir...
Nous nous installons confortablement sur le canapé avec des flûtes perlant de champagne et de fraîcheur. Une petite réflexion de Monsieur, car j'ai mal relevé ma jupe pour m'assoir... c'est impératif, aucun tissu entre le cuir froid du canapé et mon séant. Une frissonnante lueur au fond de ses pupilles éveille ma féminité. Face à lui, je me fais si chatte, qu'il m'incite avec juste un petit tapotement de la main sur le canapé, à m'installer à ses côtés.
Dans le regard de Monsieur, cette étincelle coquine... il regarde la bouteille de champagne et un sourire effleure sa bouche si bien dessinée. Ses mains se font plus pressantes, elles déboutonnent mon chemisier et titillent mes tétons. Plus ils durcissent, plus il les serre. Plus ils gonflent, plus il les étire. Puis il les plonges dans le champagne froid.
Alors que je suis dévêtue, il m'interdit de bouger. Il me présente alors un petit paquet enrubanné de satin avec son sourire carnassier que j'aime tant. Je sais... je sais que cette attention n'est que pour exacerber ma chair. Effectivement, deux superbes pinces mammaires se présentent dans leur écrin de velours. Habilement, Monsieur me les pose sur ma poitrine généreuse. Mes longs tétons gonflés les acceptent avec plaisir malgré la pression qui accentue ma fébrilité.
En me levant pour servir du champagne, une auréole apparaît sur l'assise du canapé... j'en rougis... déjà si excitée par Monsieur, que ma cyprine a coulé sur le cuir.
Après le remplissage des flûtes, nous trinquons à cette nouvelle soirée ensemble. Monsieur me demande de m'assoir sur ses cuisses, face à lui. Mes genoux longent ses hanches fermes. Doucement, il ouvre progressivement ses jambes musclées, ce qui m'oblige à écarter les miennes. Il me bise les paupières pour les fermer. Aveugle, un peu euphorique, je perds un peu l'équilibre, mais Monsieur me ratt plus vite que je ne réagis. A sa demande, je pose mes mains sur ses épaules. Stable, je peux apprécier la douceur des paumes de Monsieur qui parcourent mon derme, comme celle de sa bouche sur ma peau. Mon esprit chavire doucement. Je suis déjà la proie à nos envies, mais surtout au Maître du " jeu ".
Soudain...
Monsieur me fait basculer sous son bras gauche et m'emprisonne. Une chaleur piquante rebondit sur mes fesses, complètement offerte à ses mains.
Monsieur me relève et m'ordonne de lécher le goulot de la bouteille et de boire le fond de champagne. Ce que je m'empresse de faire. À la recherche de son regard... mon âme se mire dans ses grands yeux clairs amusés.
Nous n'avons pas encore touché aux amuse-gueules.
Il y a encore trois plats et un dessert...
Toute la nuit devant nous... hummmmm...
C'est Noël...
PS : Un des lecteurs écrit suite au récit " Un lointain rêve..."
Merci Monsieur M...
J'ai eu le plaisir de croiser Perle d'Ô/Guts (blog " Royaume de la chaleur ") sur Internet, ce soir là. Elle me fit part de la rédaction d'un nouvel opus de ses aventures inavouables. Dès le début, j'ai été séduit par ses récits, c'est d'ailleurs à ce propos que nous avons commencé à dialoguer, à échanger nos impressions, nos désirs.
L'envie de lire sa dernière rédaction se fait pressante. Je connais les effets que ses mots, choisis avec goût, ont comme conséquence sur ma personne. L'excitation est souvent intense, brutale et irrésistible
La page s'ouvre enfin.
Ses mots m'excitent peu à peu, sa manière si particulière de décrire sans vulgarité ce qu'elle a de plus intime. Dois-je l'avouer, mon membre se raidit lorsque je lis que son Maître "introduit aisément sa phalange dans son abricot à la ligne pure". Je sais à présent que je ne résisterais pas cette fois non plus
ce soir encore, je libérerais ma semence abondante en lisant ses mots. Elle le sait, je le lui ai dit. Flattée, gênée, les deux, je ne sais...
Mon membre est tendu comme un arc désormais, il en est presque douloureux, je dois le libérer de la pression qu'exerce sur lui le tissu de mon boxer. Avide de ses mots qui me font un tel effet, je poursuis ma lecture. Le sexe sorti, en attente, je caresse délicatement du bout des doigts mes bourses pleines qui ne demandent qu'à libérer leur liqueur. Gonflées, fermes, sensibles, elles apprécient mes caresses intimes.
Mon regard s'appesantit alors sur la description de la pose des pinces sur ses seins que je sais généreux, fermes et sensibles. Ses "longs tétons les acceptent avec plaisir". C'en est trop, comme irrésistiblement attirée, ma main droite se saisit de mon dard au sommet duquel trône désormais fièrement mon gland gonflé et luisant d'excitation. Ne pensant qu'à mon plaisir, je commence alors de délicats va-et-vient. Délicieuse sensation que de sentir la peau de ma verge découvrir puis recouvrir mon gland sensible. Ma main gauche apporte sa contribution faisant rouler mes bourses l'une sur l'autre, les massant tour à tour, de la même manière que j'aime qu'on me le fasse lorsque je suis pris en bouche.
Mon gland est gonflé, violacé et luisant. Du bout des doigts, j'en étale la liqueur intime sur sa surface, me remémorant sa bouche et sa langue experte en prendre grand soin, ne pensant qu'à servir mon plaisir. Je poursuis la lecture. "Une auréole apparaît sur l'assise du canapé". Je poursuis mes mouvements masturbatoires, les accélérant, ne donnant aucun répit à ma verge gonflée de désir. Je ferme les yeux, imaginant son "antre gluant libérant son jus de femme", pensant à "ses framboises bouillantes dans un bain froid de champagne".
Tiraillé entre l'envie de libérer ma divine semence dans une explosion de plaisirs et l'envie de faire durer un peu plus encore le désir, mon attention se porte sur le paragraphe suivant. Mon membre me brûle, comme s'il me réclamait de libérer sa liqueur. Je ferme les yeux, l'imaginant là, offerte, le goulot de la bouteille introduit profondément dans son antre à plaisirs, ce vagin que je sais être fort accueillant.
Je ne pense plus qu'à une seule chose: jouir. Ses mots raisonnent en moi: "intimité offerte", "papillon aux ailes dentelées", "ce mont de vénus qui lui appartient". La cadence de main sur mon membre se fait plus rapide, mes muscles abdominaux se contractent, j'attends la libération salvatrice de ma semence. Soudain mon membre est irradié d'une chaleur intense se propageant de la base de la verge jusqu'au gland brillant, libérant un premier flot de semence sur mon ventre nu. Le plaisir est intense, je sens le jet venir s'écraser sur ma peau. Incapable du moindre mouvement, tétanisé par le plaisir, mes gestes ne sont capables que d'accompagner les contractions de mon dard, l'aidant à libérer sa liqueur intime. Un râle m'échappe
d'autres s'en suivent. Je laisse ma verge ramollir dans sa semence, quel dommage que je ne puisse la regarder avec délice éponger cette liqueur abondante dont elle a provoqué la libération....
Monsieur M
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