Karima Et S Soeur Noura
Karima et sa sur Noura
Karima est entrée dans ma vie, il y a cinq ans, quand elle est devenue la femme de compagnie de maman. Ma mère, qui allait allègrement vers ses quatre-vingts ans était en effet trop vieille pour pouvoir continuer de vivre seule dans son appartement au centre dAlger. Elle ne voulait pas quitter son logement pour aller vivre chez lun de ses s. Elle tenait trop à rester autonome et à ne dépendre de personne. Après des mois de négociations, et quelques accidents qui auraient pu lui coûter la vie, elle avait fini par accepter la présence permanente dune personne, payée pour lui tenir compagnie et veiller sur elle.
Au début tout le monde craignait que la coexistence entre maman et sa dame de compagnie soit difficile et quà un moment ou un autre il faille se séparer de cette dernière. Mais il est très vite apparu que Karima était la personne idoine pour comprendre et accepter les quelques travers et manies de maman, et se faire aimer delle. Peut-être que son histoire personnelle, faite de misère dans son enfance et sa jeunesse, de souffrances dans sa vie de femme puisquelle avait perdu son mari après trois ans seulement de vie commune, lobligation de travailler pour contribuer à faire vivre sa mère et se trois surs, avait joué un rôle important dans son adoption immédiate par sa nouvelle patronne.
Il faut dire que malgré tout ce quelle a vécu et subi, Karima gardait un tempérament enjoué et un optimisme que jamais rien ne remettait en cause. Elle avait la quarantaine bien sonnée. Elle était grande et forte. Quel que soit le temps quil faisait, elle portait des robes dintérieur larges, en coton, qui ne laissaient rien voir des rondeurs quelle pouvait avoir. Sauf que quand elle bougeait, et elle bougeait beaucoup, le tissu de ses robes se collait à son corps et laissait deviner des formes coquines : une forte poitrine encore ferme, qui semblait pousser vers lavant et quinstinctivement on avait envie de palper et de caresser ; de longues jambes bien dessinées avec des cuisses bien pleines ; des hanches larges et un fessier proéminent.
Elle avait un visage ingrat mais qui nétait nullement repoussant. Elle navait pas les traits fins et réguliers ; ses yeux étaient petits et ronds ; sa bouche grande, entourées de fines lèvres. Mais le tout était assez agréable à regarder ; surtout quelle avait des yeux rieurs qui semblaient toujours se moquer de celui ou celle quelle regardait et qui étaient aussi une invitation à imaginer mille choses plus coquines les unes que les autres. Quand elle me regardait en face, il me semblait toujours quelle menvoyait une invitation silencieuse à jouer à des jeux interdits. Elle se rendait pertinemment compte de leffet quelle me faisait et en avait joué longtemps, en faisant exprès de bouger et de se dandiner de manière à mettre le feu à mes sens.
A quarante ans, Karima était veuve sans s. Elle avait perdu son mari à la suite dun accident de travail sur le chantier dans lequel, il exerçait comme coffreur. Elle navait été mariée que pendant trois ans. Depuis une douzaine dannées elle vivait avec ses parents et ses trois surs. Elle navait pas cherché à se remarier (ou alors, personne nétait venu demander sa main) et travaillait, pour aider financièrement ses parents, comme femme de ménage dans une entreprise publique.
Quand loccasion sétait présentée de travailler comme femme de compagnie dune vieille femme, en étant nourrie et logée, elle navait pas hésité un instant. Elle voulait quitter le foyer paternel dans lequel elle navait connu aucune joie. Elle semblait aimer la vie quelle menait avec maman : elle avait peu de travail et disposait de beaucoup de temps libre, quelle occupait à coudre, tricoter et regarder des séries romantiques à la télévision. Maman faisait tous les jours sa sieste après le repas de la mi-journée. Elle dormait environ deux heures et se réveillait reposée.
Cest au cours dune de ces visites, après que ma mère eut quitté la cuisine pour aller dans sa chambre, quune envie soudaine et irrépressible mavait pris denlacer Karima qui préparait le café et me tournait le dos. Je métais mis derrière elle et lai prise par la taille pour la coller contre moi. Javais envie delle et était décidé de profiter de labsence de maman pour lui faire lamour. Je ne savais pas si elle allait se laisser faire, mais je men fichais éperdument. Je voulais la tirer et rien dautre ne comptait. Elle aurait pu résister, dire non, faire du bruit pour réveiller maman. Rien de tout cela ; elle me laissa faire, tout en répétant tout bas de la laisser tranquille. Je pris cela pour une invitation à continuer de caresser sa volumineuse poitrine et de lembrasser sur larrière de sa joue droite, la seule à laquelle javais accès.
Comme je le supputais, ses seins étaient fermes et très excitables. Elle semblait aimer la manière dont je les dégageai de dessous son soutien gorge, les palpai et jouait avec ses tétons. Elle ne disait plus rien (même plus darrêter !) et minvitait à continuer en bougeant ses hanches et en frottant ses fesses contre mon bas ventre. Je bandais comme un âne.
Dune main je continuai à lui caresser les seins sous sa robe et à jouer avec ses tétons que jenroulai entre trois doigts. Elle commençait à gémir tout doucement en tournant la tête à la recherche de mes lèvres. Elle voulait que je lembrasse ; dans la position où nous nous trouvions, je navais pas accès à sa bouche ; je me contentais de lembrasser sur la seule partie des ses lèvres qui était à portée des miennes.
Ma deuxième main allait lui caresser le ventre et descendit rapidement au niveau de son pubis. Elle poussa ses fesses plus en arrière pour me permettre davoir un meilleur accès à son mont de vénus.
Tout en poursuivant le baiser torride, je me mis à lui remonter le bas de sa robe de manière à dénuder ses fesses et à avoir accès à son jardin secret. Une fois le pan de sa robe totalement remonté au dessus de ses hanches, jarrêtai le baiser et jéloignai légèrement ma belle pour regarder ses jambes et ses cuisses dénudées. Quel spectacle ! Encore plus beau et plus bandant que ce que jimaginais quand je la voyais bouger sous sa robe. De longues jambes dun blanc brillant, avec des mollets longs et musclés, des genoux ronds surmontés de longues cuisses du même blanc brillant que les jambes et se terminant par lentrecuisse protégée par une petite culotte de couleur noir. Pendant quelques secondes jadmirai le spectacle de cette entrecuisse qui faisait un joli bourrelet en son milieu, montrant le dessin de deux grandes lèvres longues et dodues.
Je ny tenais plus. Il fallait que jaie immédiatement accès à cette chatte. Jarrachai brutalement la culotte en lui faisant pousser un petit cri de douleur, dont je ne tins aucun compte et me trouvai face à une image de paradis. Sa chatte était complètement épilée : aucune trace de poils ; comme si elle lavait rasée le matin même, confirmant par là quelle sétait préparée pour ce qui était entrain de se passer. Les grandes lèvres, de couleur légèrement plus sombre que celle de ses cuisses, étaient effectivement longues et bombées.
Je tendis la main pour y introduire un doigt et ouvrir les grandes lèvres pour aller à la découverte du reste de cette chatte qui commençait à luire de mouille, tant elle était excitée. Les petites lèvres cramoisies apparurent, brillante dhumidité, laissant entrevoir un tunnel étroit de couleur plus sombre. Je fis jouer deux doigts entre les grandes lèvres, leur faisant faire un mouvement montant et descendant de manière à exciter encore plus ma belle. Elle serrait les dents pour ne pas gémir trop fort et réveiller maman ; elle avait le souffle saccadé et gardait encore les yeux fermés (peut-être par timidité, peut-être pour mieux rester dans sa jouissance). Elle écartait de plus en plus ses cuisses, de manière à permettre à mes deux doigts daller plus profond dans son sexe.
Elle coulait littéralement et ma main se remplissait du liquide quelle déversait en quantité. De temps en temps je portai mes doigts à mon nez pour sentir lodeur épicée de sa chatte et à ma bouche pour boire un peu de son liquide ; il avait un goût très agréable, légèrement acidulé. Elle était toujours debout, adossée contre la porte de limmense réfrigérateur de la cuisine. Je sentais quelle commençait à fatiguer. Je sortis mes doigts de sa chatte, lui pris la main et la traînai vers la table de la cuisine quelle avait débarrassée quelque temps auparavant. Je lui demandai de poser ses fesses sur la table et de sallonger de manière à me présenter sa chatte que javais de nouveau dénudée.
Elle avait relevé le bas de sa robe quelle avait posé en boule sur son ventre, releva ses jambes quelle posa sur sa poitrine et resta ainsi, le con et cul nus. Jétais attiré par cette chatte comme par un aimant. Je me mis à genoux par terre de manière à avoir ma bouche au même niveau que ses grandes lèvres que je me mis à embrasser, sucer et téter, avalant par la même occasion tout le jus qui sen dégageait. La belle aimait ce que je lui faisais. Elle se mit à chuchoter que cétait bon et que cest la première fois quelle se faisait sucer la chatte.
- Continue, narrête pas, je sens que je vais jouir ! Cest merveilleux ! Tu es merveilleux ! Si mon mari pouvait voir cela ! Il ne ma jamais donné autant de plaisir ! Cest bon, bon, bon !
Tout en chuchotant, elle me tenait la tête pour quelle ne quitte pas sa chatte, poussait ses hanches contre ma bouche pour que ma langue puisse la pénétrer le plus loin possible et se tortillait pour accroître le frottement de ma bouche contre ses grandes et petites lèvres. De temps en temps, jattrapais son clitoris entre mes lèvres et le mordillais. Elle adorait cela et gémissait plus fort pour me le faire savoir. Et puis tout à coup, ses gémissements saccélérèrent, montrant quelle était sur le point de jouir ; tout son corps se crispa et elle déchargea dans ma bouche en poussant un long râle de mourante quelle sefforça datténuer pour ne pas réveiller maman. Puis elle se relâcha totalement, reposa ses jambes par terre et me força à venir lembrasser sur la bouche.
- Sort ton zob ! murmura-t-elle ; je veux le voir ! je suis sûre quil est immense ! Je veux que tu me baises comme une chienne; cela ma tellement manqué ! jai besoin de sentir que je suis encore une femme !
- Je veux dabord que tu me suces ! Je veux te faire boire mon sperme ! Je suis sûr que tu aimeras, comme moi jai aimé ton jus !
- Je nai jamais fait cela ; je ne saurai pas comment my prendre. Jai peur que tu métouffe avec ton énorme gourdin.
Tout en protestant quelle ne savait pas comment faire, elle se mit à genoux devant moi et entreprit de caresser mon pénis quelle avait sorti du pantalon. Elle entreprit de me masturber ; ce que je ne voulais pas et lui interdisais de faire.
- Suce-moi, lui ordonnai-je ! Met le dans ta bouche !
Elle sexécuta en ouvrant sa bouche et en y faisant entrer précautionneusement le gland, puis une partie de la hampe. Je lui dis de faire attention à ne pas me mordre et lui pris la tête pour lui faire faire un mouvement de va-et-vient sur mon dard. Petit à petit elle shabitua à la présence de mon zob dans sa bouche et commença à le faire pénétrer jusquau fond de sa gorge. Je lui demandai dutiliser sa langue pour titiller le gland et me donner plus de plaisir. Elle sy prit si bien quau bout de quelques minutes, je me mis à gémir de plaisir et à sentir monter la jouissance. Je me posai furtivement la question de jouir ou pas dans sa bouche, pensant que nayant encore jamais avalé de sperme, elle pouvait ne pas aimer. Puis je décidai de sortir mon sexe de sa bouche à lultime moment et de répandre mon sperme sur son visage et son cou. Elle se retrouva, avec un étonnement non feint, avec une tonne de sperme qui sétait répandu depuis ses cheveux jusquau haut de sa robe.
En la voyant comme cela dégoulinante de foutre, je me remis à bander encore plus fort. Je lui pris la main, lui fis essuyer avec son visage et lui ordonnai de lécher le sperme quelle y avait ramassé. Elle hésita un peu puis sorti sa langue et se mit à lécher sa main. Je lui demandai de continuer jusquà nettoyer la totalité du foutre quelle avait reçu. Elle sexécuta sans rechigner. Elle finit même par y prendre goût en me disant :
- Cest comme du miel ! ton sperme est sucré ! jadore ! La prochaine fois tu éjacule directement dans ma bouche ! Je boirai tout ! Et maintenant, baise-moi !
Mon érection était encore très forte. Je relevai Karima, la retournai et la fit pencher sur la table de la cuisine. Dans cette position, elle me présentait ses superbes fesses avec vue sur sa chatte et sur son anus. Ce dernier me semblait très accueillant et surtout bien serré. Jeus immédiatement envie de lenculer. Je me retins pourtant, me disant que pour aujourdhui je lui avais fait faire beaucoup de choses quelle navait encore jamais faites et que dans son éducation traditionnelle, elle devait considérer comme anormale, sinon « hram » (pécher).
Je lui écartai donc les grandes lèvres et plaçai le gland de mon sexe à lentrée de son con qui dégoulinait de mouille, tant il était excité. Dun coup brusque je la pénétrai jusquau fond, tirant delle un cri de douleur, quelle sefforça d. Le vagin était très étroit : cela faisait des années quil navait pas servi et sétait donc refermé. Je lui avais fait très mal ; comme si je lavais dépucelée.
- Doucement, me dit-elle ! Je suis redevenue vierge. Cela fait plus de dix ans quaucun homme ne ma pénétrée ! Vas-y mollo ! Comme cela ! Continue ! Vas-y jusquau fond ! Je le sens bien ! Plus vite ! Plus fort ! Cest bon ! Cest bon, bon, bon, bon
.. Je vais jouir ! Jai envie de crier ! Jaime ton zob ! Je jouiiiiis !
Elle poussa un long râle de plaisir et déchargea en secrétant une tonne de jus qui se mit à couler à lextérieur du vagin, chassé par mon engin qui continuait à la défoncer avec force. Je sentais que moi-même je nallais pas tarder à jouir ! Jaccélérai le mouvement de va-et-vient dans le bruyant clapotis que faisait mon engin dans ce vagin inondé, et en ahanant comme un bucheron, je lâchai au fond de son vagin un premier, puis un deuxième et un troisième jet de sperme épais et brûlant.
Elle était visiblement épuisée ; elle tourna la tête vers moi et me fit un petit sourire de femme rassasiée et heureuse.
- Embrasse-moi, dit elle en se retournant. Puis se rappelant où nous étions, elle se leva précipitamment, rabaissa sa robe et jeta un coup dil inquiet vers la porte de la cuisine, craignant davoir réveillé maman.
Rassurée, elle sortit de la cuisine et alla dans la salle de bain pour se nettoyer. Je la rejoignis pendant quelle prenait une douche rapide. Cétait la première fois que je la voyais nue. Ce nétait pas une pin-up ; loin de là. Mais elle était vraiment désirable, malgré quelques bourrelets à la taille et un mignon petit ventre rond. Javais envie de lui refaire lamour et le lui dis. Elle refusa, disant que ma mère allait bientôt se réveiller et quil fallait que je parte immédiatement pour ne pas attirer ses soupçons. Je lui dis que je men irai juste après mêtre lavé, mais quelle devait me promettre de me laisser lenculer la prochaine fois quon se reverra.
- Tu es fou ! répondit-elle. Je ne ferai jamais cela ; cest « hram »
- Tu as tout le temps pour y réfléchir, lui répondis-je. Je suis sûr que tu narrêteras pas dy penser ! Tu vas même y rêver ! Tu narrêteras pas dimaginer ce gros zob dans ton anus ! Et tu finiras par accepter lidée ! Quand je reviendrai, tu seras prête à maccueillir dans ton cul ! Et cest toi qui en redemanderas par la suite !
- Dégage, avant que ta mère ne se lève ! Jamais je ne te donnerai mon anus ! Cest trop sale !
Et de fait quand nous refîmes lamour, elle accepta de me laisser lenculer. Elle mavoua queffectivement, elle avait passé la semaine à penser à cela et à simaginer leffet que cela faisait de se faire prendre par lanus. Elle finit même par beaucoup aimer la sodomisation et à lexiger à chacune de nos rencontres. Il faut dire quelle avait un cul tellement accueillant ; tellement élastique ; fait sur mesure pour mon zob, qui adorait y faire son nid.
Quelques temps plus tard, Karima mapprit que maman était au courant de notre histoire et quelle ne trouvait aucun inconvénient à ce quelle continue. A condition toutefois quelle ne tombe pas enceinte. Karima ne courrait aucun risque de ce côté-là, puisquelle était stérile. Maman acceptait cette relation, parce que comme cela, elle pouvait me voir plus régulièrement, attiré que jétais par les séances damour torride avec Karima. Nous nous voyions au moins une fois par semaine. Quand jarrivais, maman, après avoir papoté avec moi un moment, se retirait, avec sur les lèvres un sourire entendu, pour faire sa sieste et Karima et moi allions dans sa chambre pour des moments de folie érotique.
Notre histoire dura longtemps, même après quelle me mit entre les bras sa sur Noura, une superbe plante dune trentaine dannées, mariée à un chauffeur routier qui passait le plus clair de son temps sur les routes du sud, pour livrer de la marchandise aux contrées les plus éloignées du pays.
Karima me parla de sa sur longtemps avant de me la présenter. Elle me disait quelle avait épousé un homme dont elle était tombée amoureuse quelques années auparavant. Comme il sabsentait souvent et longtemps, ils ne vivaient ensemble que pendant les périodes où il neffectuait pas de livraisons dans le grand sud. Ce qui voulait dire quils étaient ensemble environ dix jours dans le mois. Le reste du temps, elle retournait vivre chez ses parents : son mari refusait de la laisser seule dans leur appartement.
Pendant quelque temps, Noura se contenta de cette moitié de vie. Cétait elle qui avait choisi, en toute connaissance de cause, son mari et son mode de vie particulier. Puis petit-à-petit, la mesquinerie de sa situation lui apparaissait et elle se rendait compte quelle navait rien gagné en se mariant : ni la belle vie, ni la liberté. Elle dépendait encore de ses parents pour vivre et le peu dargent que lui laissait son mari pendant ses absences, elle le donnait à son père pour laider à nourrir la famille.
Un jour Karima remit sur le tapis lhistoire de sa sur et me demanda si je ne voulais pas faire sa connaissance. Elle me dit quelle lui avait beaucoup parlé de moi et elle pensait quelle était entrain de tomber amoureuse. Jétais estomaqué dentendre cela : Karima me demandait rien de moins que de me mettre avec sa sur. Car tomber amoureuse de moi ne signifiait rien dautre que se donner à moi. Elle était mariée et ne pouvait espérer divorcer (une femme ne peut pas demander et obtenir le divorce selon la loi islamique) et encore moins se faire épouser par moi. Il ne restait donc que lhypothèse de ladultère.
Je dis à Karima le fond de ma pensée et lui demandai de confirmer quil sagissait bien pour elle de mettre sa jeune sur dans mon lit. Elle confirma, tout en insistant quelle aussi avait besoin de moi et quil nétait pas question que je labandonne. Elle voulait juste me partager avec sa sur qui, si elle continuait ainsi, allait rapidement devenir neurasthénique.
Quelques jours plus tard, tôt le matin, Karima sonna à ma porte (jhabitais un appartement dans un quartier proche de celui où habitait ma mère). Elle était avec une jeune femme qui portait un foulard aux couleurs chatoyantes, qui mettait en évidence un très beau visage avec des yeux noirs immenses, légèrement maquillés, un petit nez droit et fin, une grande bouche sensuelle entourée par deux lèvres superbement dessinées, couleur cerise, souvrant sur deux rangées régulières de petites quenottes pointues, brillantes comme de la neige. A la regarder, je me dis que cette femme devait aimer croquer la vie à belles dents.
Je ne me trompais pas. Les présentations faites, après un baiser torride quelle me donna devant sa sur pour bien planter le décor et montrer comment devait se passer les choses, Karima sen alla, en disant quelle était pressée parce quelle avait promis à ma mère de rentrer très vite.
Je restais seul en face de Noura, qui entre temps, était entrée dans le hall et attendait mon bon vouloir pour la suite des évènements. Jétais le plus gêné des deux. Jentrepris un début de discussion qui cessa très vite, tant elle ne semblait pas écouter ce que je disais; de toute évidence, elle attendait autre chose. Je tendis la main pour quelle la prenne, ce quelle fit sans hésitation, et la tirai doucement vers moi. Elle se laissa faire et se retrouva immédiatement entre mes bras. Presque automatiquement, sans même y réfléchir, je lui pris la tête entre mes mains et me mis à lembrasser sur la bouche. Dabord un tout petit baiser du bout des lèvres, quelle ne me rendit pas mais quelle accepta sans rechigner, puis un baiser plus appuyé quelle me rendit en ouvrant les dents et en laissant pénétrer ma langue dans sa bouche.
A partir de là tout alla très vite. Je lui demandai denlever son foulard pour que je voie sa chevelure. Ce quelle fit en un tour de main, laissant apparaître une belle chevelure dun noir de jais qui tenait par je ne sais quel miracle sur le dessus de sa tête. Elle la libéra dun élégant mouvement de ses deux mains. Elle se répandit telle une vague sur ses épaules et le haut de son dos, ajoutant un torrent de volupté à une sensualité torride qui déjà se dégageait delle. Je mis ma main dans cette chevelure de sauvageonne et y rencontrait une telle douceur quimmédiatement je sentis une petite décharge électrique qui partit de dessous ma nuque pour se répandre le long de mon échine et aller se loger dans mon bas ventre.
Mon sexe se mit immédiatement à grossir. Lérection devint si forte, quil me fit atrocement mal. Javais envie de tirer cette femme ; ici et tout de suite. Cela ne pouvait pas attendre. Je mentendis le lui dire. Et comme dans un rêve je lentendis me répondre : « ici et tout de suite ». Nous étions toujours dans le hall dentrée ; mais ni elle, ni moi ny fîmes attention. Elle avança sa main vers mon pantalon de pyjama et caressa mon sexe qui faisait comme une tente tellement il était tendu. Elle semblait satisfaite de sa taille et me dit à loreille : « cest juste la taille quil faut pour éclater ma petite chatte ». Elle le sortit pour mieux le contempler et se mit à le masturber consciencieusement. Je ne voulais pas quelle me masturbe. Je voulais quelle me suce. Je le voulais dans sa bouche qui ressemblait tellement à une chatte. Je le lui dis. Elle se mit immédiatement à genoux et commença à lécher le gland. Elle savait sy prendre. Je voyais quelle avait lhabitude. Je le lui dis.
- Oui jai souvent sucé mon mari. Il aime beaucoup cela. Et moi aussi. Jaime lodeur du zob ; jaime son goût ; jaime quand le sperme coule sur moi. Je suis une vraie salope en amour. Avec mon mari, je fais semblant de ne pas aimer ; je fais comme si cétait à contre cur que jaccepte cela ; rien que pour lui faire plaisir et le rendre heureux. Cela le rassure et il part travailler tranquille.
Elle ouvrit très grand sa bouche et fit pénétrer tout mon manche. Il alla vers le fond de sa gorge. Elle le goba en entier sans sembler faire de grands efforts. Puis elle se mit à faire aller et venir sa tête, opérant à un va-et-vient torride de mon zob dans sa bouche. Elle saida de ses mains ; lune caressant mes couilles, lautre accompagnant ses lèvres dans le mouvement de va-et-vient ajoutant la masturbation à une fellation denfer. Je sentais quà ce rythme je nallais pas tenir longtemps avant de jouir dans sa bouche. Tout en lui caressant les cheveux, je lui dis de ralentir si elle ne veut pas être tout de suite inondée de sperme. Au lieu de ralentir, elle accéléra lallure, si bien quau bout de moins dune minute je partis dans une jouissance explosive. En poussant un râle de plaisir que tout le monde, à des kilomètres alentour, avait dû entendre, je lâchais plusieurs giclées dun sperme chaud et épais, que ma belle avala sans en perdre une seule goutte.
Jétais vraiment étonné, et heureux, de la capacité de Noura de faire jouir avec sa divine bouche. Je me promettais de lui rendre la pareille avec la mienne. Je relevais la belle de parterre et lentraînait vers la chambre à coucher.
- Viens mon ange, je vais moccuper de toi, comme tu viens de le faire avec moi.
- Oui montre moi que Karima ne ma pas menti en maffirmant que tu es capable de baiser pendant toute une journée sans tarrêter. Je suis une nymphomane ; il me faut dix coups daffilée pour être satisfaite. Tu vas me baiser dix fois de suite, nest-ce pas ?
- Bien sûr ! Je vais te remplir tous tes trous ! Jespère que tu aimes te faire enculer ! Parce que moi jadore le cul des femmes ! Et le tien ma lair parfait. Tu tes déjà faite enculée ?
- Non ! Je nai pas voulu le faire avec mon mari ! Il a bien essayé de me faire comprendre quil aimerait bien que je le laisse faire ; mais jai toujours refusé de crainte quil ne me juge mal. Mais au fond de moi jai toujours rêvé dun zob dans mon anus ! Ce jour est arrivé. Karima ma dit que cest délicieux ! Je veux que tu mencules ! Dailleurs je veux que tu commences par ça !
Tout en parlant, Noura enlevait ses habits, en commençant par la large liquette blanche quelle portait par-dessus un tee-shirt, lui aussi blanc, qui mettait en évidence une poitrine juvénile, dune blancheur de lait. Elle ne portait pas de soutien gorge. Elle nen avait pas besoin : ses petits seins fermes et haut perchés, surmontés de deux tétons violacés, tenaient tout seuls. En les voyant, javais tendu la main pour les palper et jauger leur fermeté. Ils étaient doux et élastiques. Mes caresses la firent gémir de plaisir et se trémousser, montrant par là toute leur sensibilité. Cétait lune des zones les plus érogènes de ma belle, avec son clitoris et son anus.
Elle enleva ensuite son jean, mettant à nue ses belles hanches étroites, son fessier bombé dafricaine et de longues jambes superbement galbées. Le corps de Noura ferait bander un mort, tant il suintait de sensualité. Et moi qui était vivant, je bandais encore plus ; je bandais tellement que javais mal au sexe. Il lui fallait pénétrer dans un des trous de ma belle. Je lui demandais denlever la petite culotte noire qui cachait encore son intimité et de se mettre en position pour que je lencule.
Elle se mit à quatre pattes, sans enlever sa culotte. Elle attendait que cela soit moi qui le fasse. Au lieu de la lui enlever complètement, je la lui descendis sur ses cuisses et restait un instant émerveillé par le spectacle de son anus palpitant. Il était de couleur légèrement brunâtre, tout rond et serré. Jy mis un doigt pour tester sa résistance. De fait, mon doigt pénétra difficilement, tant lorifice était étroit. Ma belle était réellement vierge du cul ! Jen étais heureux, et tout émoustillé à lidée que jallais la dépuceler. Je plongeais le doigt dans sa chatte que je voyais dégouliner de mouille, tant elle était excitée. Une fois plein de mouille, jintroduisis le doigt dans son anus de manière à le lubrifier quelque peu. Je refis lopération plusieurs fois, jusquà ce que son anus fût bien mouillé et me permette dy introduire le gland de mon zob.
Jeffectuai une légère poussée pour faire pénétrer le gland. Jy réussis non sans mal. Une fois le gland bien en place à lentrée de lanus, je saisis les hanches de ma belle et dune brusque poussée jintroduisis la totalité de lengin. Elle poussa un long cri de douleur qui me fit arrêter le mouvement. Je restai au fond du boyau pendant un moment, pour permettre au cul de ma belle de shabi à la présence du monstre ; je neus pas à décider du moment où jallai reprendre le mouvement de va-et-vient ; ce fut elle qui commença à bouger lentement ses hanches, me faisant comprendre que je devais reprendre lopération. Un aller-retour lent, pour commencer ; puis des allers-retours de plus en plus rapides, au fur et à mesure que son boyau se lubrifiait, rendant la pénétration plus facile et moins douloureuse ; et enfin je me mis à la tirer sans ménagement, telle une bête et ahanant à chaque entrée et sortie.
Au début, Noura semblait surtout avoir mal et ne prenait pas de plaisir. Puis petit à petit elle se mettait à pousser des petits gémissements de plaisir qui devenaient de plus en plus sonores.
- Caresse-moi la chatte pendant que tu mencules. Je veux sentir mes deux trous remplis. Fais rentrer deux doigts, je veux quils rencontrent ton zob. Cest bon ! Continue ! Plus fort dans mon cul ! Défonce-moi ! Fais-moi mal ! Jaime ! Jaime ! Cest merveilleux ! Cest bon ! Je vais jouir ! Je jouiiiis !
Et de fait, elle déchargea dans un immense râle de jouissance et remplit ma main de mouille. Moi je continuai de lui défoncer le fion sans ménagement, sentant arriver la jouissance qui explosa dans son cul en plusieurs giclées de spermes brûlant, me faisant pousser un long gémissement et qui me fit maffaler de plaisir et de fatigue sur le dos de mon amante.
- Tu es merveilleuse, lui dis-je. Je crois que tu as apprécié de te faire enculer. Tu as joui ; tu nas pas fait semblant.
- Oui jai vraiment joui. Au début, ton gros engin ma fait terriblement mal. Mais après, une fois que la douleur était passée, cest devenu extra. Jen redemande. On ne va pas sarrêter là nest-ce pas ? Jai encore envie de baiser.
Je pensais quelle est vraiment incroyable. Elle vient de jouir comme une folle et elle redemande encore ; et tout de suite. Jétais un peu mollasson après deux éjaculations rapprochées. Je me dis donc quil me fallait la faire jouir autrement. Avec la bouche, cette fois-ci, métant rendu compte que je navais pas encore réellement vu sa chatte. Je lavais caressée, mais je ne lavais pas encore approchée de près. Je lui demandai donc de rester allongée sur le dos et de lever ses jambes de manière à me permettre de lui sucer la chatte. Elle en fut ravie. Elle adorait se faire lécher et sucer la vulve. Son mari le lui faisait de temps en temps, mais il nallait jamais jusquà la conclusion de lopération ; c'est-à-dire la jouissance de sa femme.
Moi je voulais la faire jouir avec la bouche. Je lui affirmais avec beaucoup daplomb et de forfanterie que jétais le roi du cunnilingus et que ma bouche et ma langue pouvaient faire jouir nimporte quelle donzelle.
- Fais-le au lieu, de te vanter ! me répondit-elle tout de go.
Je plongeai donc ma tête entre les cuisses de mon amante, lui ouvris les grandes lèvres avec mes doigts et me mis à lécher les petites lèvres et à aller à la recherche du clitoris que je me mis à téter. Sitôt que jeus touché à son clito, Noura se mit à gigoter et à gémir. Elle se mit aussi à accompagner mon cunnilingus par des phrases et des mots montrant son plaisir et son bonheur de se faire sucer.
- Cest délicieux ! Continue ! Ne tarrête pas ! Bouffe-moi ma chatte ! Jadore me faire bouffer la chatte ! Cest la plus belle chose du monde ! Bois mon jus ! Dis-moi quil est délicieux ! Comme ton foutre est délicieux ! Dis-moi que tu ne tarrêteras jamais de me sucer ! Je sens que je vais jouir ! Je vais jouir dans ta bouche ! Tu vas boire tout mon jus ! Tu ne laisseras rien se perdre ! Je jouiiiis !
Elle eut une très forte jouissance, caractérisée par une grosse décharge de liquide directement dans ma bouche ; liquide que javalai goulûment sans rien laisser se perdre. Quand elle lâcha ma tête et que je pus mallonger à côté delle pour la regarder, elle avait un sourire béat et semblait planer au dessus de nous. Quand elle revint à la réalité, elle madressa un grand sourire qui illumina toute la chambre et me dit merci.
- Merci pourquoi ? lui dis-je.
- Pour ces moments de bonheur que tu mas donnés. Cest la première fois que jai pu vivre tous mes fantasmes sexuels, sans avoir à me soucier du jugement de mon partenaire. Jai beaucoup aimé mon mari. Et je crois que je laime encore. Mais avec lui, je ne peux pas donner libre cours à toute ma sensualité. Avec toi cest différent. Tu es libre et large desprit. Et puis tu es bien foutu et tu baises comme un Dieu. Jure-moi que cela ne sarrêtera pas là.
- Il ny a aucune raison pour que cela sarrête là. Si tu nes pas trop jalouse de ta sur qui elle aussi veut sa part de bonheur, on peut se revoir tous les jours si tu veux.
Et cest ainsi que ma liaison avec Karima et sa merveilleuse sur dura plusieurs années. Jusquà ce que le mari de Noura fasse un grave accident de circulation et ne put plus assurer son dur métier de chauffeur grand routier. Il se contenta de conduire des véhicules légers et arrêta de sabsenter aussi longtemps, empêchant sa femme de me retrouver et de moffrir son immense beauté et sa sensualité. Il me reste encore Karima pour assouvir mes désirs et me parler de sa sur.
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