Ma Femme Sort Seule

Ma femme sort seule….

Depuis notre première expérience au bateau, nous avons eu plusieurs aventures et si à chaque fois qu’un homme prenait ma Mico, j’avais une petite pointe de jalousie, cela se terminait toujours par une grande jouissance ; j’aime la voir gémir pendant la pénétration et c’est pour nous ensuite de grands moments de plaisirs et d’amour ; en effet, notre amour est très profond et tous nos jeux n’ont fait que renforcer celui-ci. Nous évoquions parfois le fait qu’elle rencontre un homme sans ma présence, mais à chaque fois, elle déviait la conversation, car elle aurait l’impression de me tromper réellement.
Un vendredi , vers 18h, je reçois un sms de Mico , qui, laconique me dit qu’elle rentrera plus tard, sans autre explication ; ce n’est pas la première fois, mais généralement , elle me dit pourquoi ; là rien et cela me surprend, mais j’en reste là et je règle quelques dossiers, et ce n’est que vers 21h que je commence à m’inquiéter ; j’essaie son portable, à chaque fois je tombe sur sa messagerie ; je lui laisse un message et un peu plus tard, je reçois un autre sms me disant de ne pas m’inquiéter. beaucoup de questions se bousculent dans ma tête et je tourne en rond, pour finalement m’assoupir dans le canapé ; c’est le téléphone qui me réveille, il est 2h du matin et c’est ma femme « regarde par la fenêtre », sans allumer, je me précipite et je vois arriver une voiture, Mico en sort de l’arrière et un homme, la suit, lui dépose un baiser sur les lèvres et remonte à l’avant ; se retournant vers moi, je découvre que sous le manteau ouvert, Mico n’a plus que ses bas élastis, sa robe sur le bras , elle pénètre, très décontractée dans la maison ; mon cœur bat la chamade et une onde de jalousie monte en moi, je bouts et quand elle rentre dans le salon, je suis prêt à rugir de rage , mais je reste stupéfait : elle a quitté son manteau et elle s’arrête dans l’entrebâillement de la porte, écarte les jambes et me dit « comme tu en avais envie, je me suis fait baiser toute le soirée, je vais te raconter, mais avant viens me sucer, ici , immédiatement » je suis ébahi par le changement de comportement , mais subjugué, j’obéis et je viens poser ma bouche sur sa vulve, elle sent le sperme et quand je rentre ma langue, je récupère le jus qui coule entre ses lèvres « je viens juste de me faire remplir devant la maison , pour que tu trouves son jus » ; j’ai du mal à me concentrer, mais ses mains me plaquent la bouche et je lui nettoie doucement la chatte ; elle me relève et je constate que des larmes s’écoulent de ses beaux yeux.

Je redeviens le mari amoureux et je l’entraine dans la chambre, où je la caresse tendrement ; « détend- toi et quand tu le voudras, tu me raconteras » elle se calle dans mes bras et ce n’est qu’un long moment plus tard qu’elle me raconte.
« J’ai honte, j’ai l’impression d’être un vraie salope ;je savais que tu avais envie de me savoir avec un autre homme, mais maintenant j’ai l’impression de t’avoir trompé (de gros bisous pour la rassurer et je lui demande de continuer) Lors de nos ébats, nous avions fantasmé sur le fait qu’un homme me possédait et je t’avais senti très excité par le principe et pour te faire plaisir, j’ai décidé de sauter le pas, sans te prévenir ; j’avais remarqué, lors de courses en ville, un bar lounge fréquenté et hier, j’ai décidé de m’y rendre. Le matin j’ai mis ma robe en mousseline, avec mes bas, un string et mon soutien gorge pigeonnant ; au bureau, les collègues m’ont taquiné sur ma tenue sexy, et le soir vers 18h30, j’ai ouvert deux boutons, découvrant ainsi le sillon de mes seins ; toute tremblante, je rentre et m’assoie en commandant un whisky, tu connais son effet sur moi et peu après mon appréhension est partie ;dans la salle, deux musiciens de jazz et autour de plusieurs tables autour d’un espace parquet ; seule ,je n’ai pas tardé à être sollicitée, mais à nouveau j’hésite, quand quatre hommes rentrent, un d’environ 45 ans , les tempes grisonnantes ,grand, basané, belle prestance , les trois autres, 25 /30 ans, jeunes cadres dynamiques, costume cravate, et le regard sur de leur succès ; j’avoue que leur arrivée m’a donné un début de chaleur au ventre et quand l’un est venu me chercher pour un slow, j’ai accepté ,les jambes tremblantes ; très vite il m’a fait compliment sur mon corps, ses mains me serrant plus que nécessaire, son corps contre le mien, j’ai bientôt senti la bosse de son pantalon et ses mains plus actives, descendant jusqu’au creux de mes reins ; la fin de la série écourte l’étreinte et un peu déçue, je regagne ma place ; c’est alors que le plus vieux m’invite à leur table ; sans réfléchir, j’accepte.
Et je me retrouve sur une banquette, coincée entre deux mecs qui rapidement me font du genoux ; la musique de jazz, favorise les danses lentes et à tour de rôle, ils me font danser ; un deuxième verre a enlevé mes résistances et quand , de retour à notre place, les mains remontent ma robe, je me laisse faire, mieux j’écarte les cuisses afin de favoriser le chemin ; ils trouvent le chemin de mes petites lèvres et mon clitoris, pincé, est en feu ; je mouille et mes voisins ne manquent pas de le faire remarquer aux deux autres ; le plus âgé ne participe pas beaucoup, et pourtant j’ai envie de lui, mes yeux l' implore, mais il reste à sa place ; je coule littéralement et j’ai du mal à retenir mes gémissements ; heureusement il n’y a plus personne et un nouveau slow fait se lever « mon envie »
Dans ses bras, j’ai l’impression de planer, ma tète se pose sur son épaule et ses paroles me transportent vers mon plaisir « tu aimes les mecs, tu vas en avoir ; je te promets qu’après ta chatte va te bruler » et sur ce il décide de partir ; le groupe se lève et deux des amis s’en vont, un semble vouloir venir ; c’est donc deux mecs qui se dirigent vers un break et nous prenons la route ; le plus jeune est à l’arrière avec moi et dans le rétroviseur je vois le regard de Michel ( c’est son prénom, l’autre s’appelant Fred) ; il ne perd pas de temps et ouvrant sa braguette, il sort son sexe tendu et me prenant par les cheveux, il me le fourre dans la bouche ; cette domination m’excite et sachant que l‘autre n’en perd pas une miette , je le suce avec vigueur, j’espère le faire venir, mais il se retire et écartant mon string , il me plante sur sa verge, me besognant avec méthode, et je ne tarde pas à jouir, jouissance qui redouble quand je sens sa jute me remplir le ventre ; il a voulu ensuite que je lui nettoie le sexe ; son sperme coule sur mes cuisses et quand nous arrivons chez Michel, je demande les toilettes, je n’ai pas le temps d’y aller car , il me penche en avant, m’appuie les mains sur le mur et relevant à nouveau ma robe, il se fiche en moi et violement me baise, me traitant de salope, de trainée ; au lieu de me vexer, ces paroles me stimulent et je donne de grand coup de derrière pour que son gland vienne taper sur mon point sensible ; je pense à toi et de savoir que je suis ta petite pute me déchaine ; » baise moi, enfonce toi, je veux sentir ta jute » il ne tarde pas à jouir et à nouveau, le sperme déborde et s’écoule le long de sa queue et sur mes cuisses ; je suis épuisée, mais pour eux ce n’est pas fini et tout au long de la soirée, ils se sont remplacés pour me baiser, sans tenir compte de moi ; j’étais leur possession ; en dernier, alors que j’étais allongée sur Fred, la queue, bien au fond de ma chatte, Michel est venue me lécher le sillon et sa pointe de langue a stimulé mon anneau ; une décharge électrique me parcours et sentant le gland près à me prendre, je m’empale sur sa bite ; mon anneau s’ouvre bien vite, et il m’encule sans ménagement et déverse sa semence dans mes entrailles, changeant de position, c’est maintenant Fred qui m’encule ; je ne sais plus où je suis , je ne suis que jouissance et quand il décide de me ramener, ils doivent presque me porter tant mes jambes flageolent ; je voulais que tu trouves du sperme dans mon ventre et en arrivant devant la maison j’ai voulu qu’il me prenne, je me suis déshabillée et j’ai chevauché Michel, l’encourageant de la voix et lui disant que j’allais te réveiller pour te raconter ma baise ; il n’a pas tarder à jouir et c’est à ce moment que je t’ai appelé.
Pardonne –moi, j’ai honte d’être une vrai salope mais au départ je l’ai fait pour toi, et ensuite je me suis laissée prendre par le plaisir ; je ne recommencerai jamais plus « elle se mit à pleurer.

Je suis étonné de son récit, mais aussi terriblement excité ; ma queue me fait mal et je la brandis devant elle ; je n’ose pas la brusquer, mais j’ai besoin de reprendre possession ; ma jalousie pointe son fer acéré et il me faut retrouver mes envies ; elle s’allonge sur le dos , ma langue vient lécher son clitoris, puis j’aspire ses lèvres encore collantes du sperme ; j’y prends goût ; ma langue rentre dans sa chatte, et sa mouille revient, elle ne pleure plus et son corps se réveille ; remontant ma bouche sur ses seins , je lui mordille le téton et je profite de ses reins cambrés pour la pénétrer ; doucement je la lime, j’ai oublié ma jalousie et je suis fière d’elle , je sais qu’elle a fait cela pour me faire plaisir et je lui en suis reconnaissant ; elle redevient mon amante et maintenant ses paroles ne sont plus des regrets, mais des excitations pour moi ;

« j’ai aimé avoir plusieurs bites pour moi, ils m’ont épuisée de jouissance et j’aurais aimé que tu vois combien je les ai vidés de leurs semences ; j’aimerais recommencer car , j’ai joui de tout mon corps, mais cette fois ce sera en ta présence ; je veux reprendre plusieurs hommes dans ma chatte et dans mon cul, mais tu seras là , je t’aime trop pour le faire sans toi » c’est maintenant à grand coup de bite que je la prends et avant d’éjaculer, je la retourne et honore son cul si attirant.
De ce jour, nous avons beaucoup profité de nos corps, mais toujours en présence de l’autre

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