Découverte
Découverte
Depuis quelques jours, Patrick était souvent sur internet, et chaque fois que je mapprochais, il sempressait de changer décran. En mapprochant de son bureau sur un faux prétexte la semaine dernière, jai vu le clignotement orange dun message msn en cours de réception. Je nai fait aucune remarque, mais son attitude commençait à mintriguer : pourquoi se cachait-il ?
Quatre ans déjà ; des hauts et des bas ; liés à nos envies
variables. On sest rencontrés dune manière assez bizarre et notre relation paraît pour le moins particulière à nos amis respectifs.
Une soirée de vacances au bord de la plage, un grand feu où chacun grillait des chamalows, des cuisses de poulets, des épis de maïs, enfin tout et nimporte quoi, où les bouteilles circulaient de groupe en groupe et se vidaient très vite, whisky coca, rosé, vodka, bières, les couples sétaient peu à peu isolés, tout au moins un peu éloignés du feu et de la lumière quil projetait.
Jétais arrivée en célibataire, et au bout de trois jours à peine, jétais accompagnée ; pas très bien dailleurs ; il sappelait Hans, était hollandais, et baragouinait quelques mots de français qui lui avaient suffit à me faire comprendre tout lintérêt quil me portait
de toute façon, quand il avait glissé sa main dans mon pantalon en dansant, je navais plus beaucoup de doutes quant ses intentions. Il nétait pas très beau mais il était jeune, et ce quil frottait contre ma cuisse me paraissait mériter que je my intéresse. Javais été un peu déçue. Le jeune homme nétait pas très doué ni très attentionné. Au moins, cétait pour moi loccasion dêtre intégrée au groupe de jeunes, ce qui nest pas si évident pour une femme de 35 ans.
Hans avait vu quelques couples séloigner et mavait à son tour entraînée à lécart. Il ma allongée sur son t-shirt
vous avez déjà été embrassée par un type qui a bu du vin et de la bière, et encore de la bière ? Jai préféré lui tourner le dos et lui tendre mes fesses
et jai joui ! Dabord parce que labus dalcool a fait quil a été moins rapide que la veille, mais surtout grâce au regard de lhomme qui est venu sasseoir en face de moi pendant quHans peinait dans mon dos, et qui sest caressé devant moi.
Un peu plus tard dans la nuit, alors quHans dormait dans le sable une bouteille de bière à la main, il ma abordée de bien curieuse manière : il ma dit quil avait aimé me regarder, quil aimerait me voir à nouveau dans la même situation
- Vous êtes un voyeur ?
- Oui
et non !
- Et non ?
- Cest plus compliqué
ce qui serait vraiment bien, cest que nous soyons amants
et que je vous vois dans les bras dun autre
- Vous êtes sérieux ? Cest curieux comme technique de drague, ça !
- Cest la stricte vérité ! jaime voir mes compagnes dans les bras dun autre !
- Et ça vous arrive souvent ?
- Trop rarement
Les heures ont passées ; Hans dormait toujours ; je suis rentrée avec Patrick. Et ça fait quatre ans quon vit ensemble.
Jaime toujours autant les jeunes hommes, et de temps en temps je me laisse séduire
enfin, je marrange pour être séduite ! Patrick le sait, je ne lui cache pas mes aventures ; il regrette seulement de ne pas pouvoir en être témoin. Une seule fois, lan dernier, pendant nos vacances en Vendée, il a pu assouvir son fantasme, presque ; en fait le jeune homme qui me faisait lamour dans la chambre de notre hôtel sest enfui en linjuriant quand il sest aperçu de sa présence !
- Quest-ce que tu fais sur internet, Patrick ? ça fait plusieurs jours
- Je cherche
- Quoi ?
Il a fermé lécran en cours et sest tourné vers moi, hésitant :
- Un jeune qui te plairait
- Comment ça ?
-
et qui maccepterait
- Je ne te suffis plus ?
- Tu sais bien que si ! Mais tu connais mon fantasme
tu ne veux plus ? ça te gêne ?
Je me suis assise sur ses genoux en passant les bras autour de son cou :
- Mais non ! sois pas bête ! et puis cest moi qui ai la meilleure part dans ton fantasme !
-
que tu crois
- Bon, alors raconte, tu fais quoi ?
- Je me fais passer pour toi, enfin pour une femme, et je cherche un jeune qui accepterait ma présence.
- Et tu trouves ?
- Pas vraiment ! ça serait plus simple si je diffusais ta photo pour les attirer, mais bon !
- Tes sur msn ?
- Ouais !
- Branche-toi ! On va voir ça, mon chéri !
Caliente3975 ? Cest toi ?
- Oui.
- Bon
laisse-moi la main !
Il ma laissé son fauteuil et sest assis à côté de moi
On a amélioré le profil, on sest fait des « amis »
Il ma prise en photo, aussi : en dessous aguicheurs, et puis sans, mes fesses, mes seins ; jamais mon visage.
On a mis un « album » de photos en ligne, en sélectionnant quelques photos assez sages mais pas trop
On a « tchaté », de longues soirées
De temps en temps on a branché la webcam, gros plan sur mon décolleté, parfois un sein sorti
Patrick se tenait hors champ, me soufflait quelques répliques ou des questions à poser
Et puis Christophe
Il me trouvait belle, il navait pas de copine, il disait être bi, mais avec peu dexpérience, avouant à la fin que cétait plus une envie quune réalité. On sest parlé trois soirs de suite
et on a décidé dun rendez-vous, samedi après-midi !
Comme convenu, jai mis tailleur pantalon noir avec un haut blanc en soie sans soutien-gorge, des talons noirs et jai attaché mes cheveux avec un pince couverte dun papillon de soie blanc. Lui sera en jeans avec un tee-shirt blanc et une veste légère beige.
Patrick est au bar, comme prévu. Il me guettait. Il me fait un clin dil discret : il la vu, il est là, cest le signal
Je cherche une table des yeux, sans trop regarder la salle, voyant seulement quil y a peu de monde. Je massois à une table isolée, contre le mur : Patrick veut quil y ait une table libre à côté pour pouvoir sy installer
on sait jamais
et si cétait un « méchant » ? Soyons prudents !
Comme prévu, autre signe de reconnaissance, je commande une coupe. Cinq minutes
personne ne bouge
Patrick est venu sinstaller à une table proche de la mienne
je fais semblant de surveiller la porte du bar et la rue
- Bonjour ! euh
excusez-moi
vous connaissez Caliente ?
Je lève les yeux.
- Bonjour, vous êtes Christophe, sans doute ? Je ne vous avais pas vu
- Cest moi, oui ! on sest parlé sur msn !
- Asseyez-vous, je vous en prie !
L a conversation a eu du mal a sinstaller. Je ne savais pas quoi dire, lui non plus. Je narrivais pas à môter de la tête que je lui avais montré mes seins en me caressant un téton, que je lavais vu se caresser et jouir en cam ; les images revenaient sans arrêt ; il avait lair gêné lui aussi, ne sachant ni quoi dire ni quoi proposer.
Alors cétait à moi de jouer : si jétais daccord, Patrick mavait dit de lamener chez nous dès ce soir !
- Christophe
je ne savais pas très bien qui jallais rencontrer
mais
bon
vous savez cest la première fois que je rencontre quelquun comme ça
et
vous me plaisez bien ! voilà !
- Vous me plaisez beaucoup aussi ! vous
vous êtes plus jolie que jimaginais
jai failli ne pas oser venir vous voir
- Merci ! euuuh
on peut se tutoyer, ça serait mieux ! et puis
on se connaît déjà pas mal, en fait !
Il rougit, il se tortille sur sa chaise et finit par noyer son visage dans son verre de bière.
- Cest idiot de rester ici
tu veux venir chez moi ? sil te plaît
tu nas rien de prévu ce soir ?
- Oh non ! enfin si ! Je veux dire non ! jai rien de pévu !
alors oui ! je veux bien vous accompagner, enfin
taccompagner ! Oui ça me plairait beaucoup !
Patrick bien sûr écoutait notre conversation de la table dà côté, et en entendant mon invitation et son accord, a quitté le café pour regagner notre appartement et nous y attendre, caché dans le bureau. Est-ce quil se montrerait ou pas ? rien nétait vraiment décidé.
- Tu es venu comment ? En voiture ?
- Non, en métro !
- Bon
jhabite pas très loin, on peut y aller à pied !
- Vous
tu vis seule ?
- Euh
jai un ami
mais
il ne vit pas tout le temps avec moi. On est, comment dire
assez libres ! cest ça, assez libres !
- Ah bon !
- On y va ?
Le temps que lon règle nos consommations Patrick était parti depuis presque dix minutes, largement le temps pour quil regagne notre appartement.
Jallume la petite lampe sur le buffet et je glisse un CD dans le lecteur. Whisky pour lui, Porto pour moi. Il sinstalle dans le canapé, assis du bout des fesses, un peu emprunté.
Dans la rue, il marchait assez loin de moi. Je suis assez grande, plus grande que lui sans doute, et mes talons augmentaient encore cette différence. Lâge, la taille, il semblait mal à laise.
Jenlève la veste du tailleur et son regard semble irrésistiblement attiré par les pointes de mes tétons qui tendent la soie de mon petit haut. Quand il se voit surpris, il détourne rapidement les yeux et replonge le nez dans son verre.
Je le sers une deuxième fois et après avoir reposé la bouteille dans le bar, guettant son regard dans les portes vitrées du bar, jenlève mon pantalon, en lui tournant le dos :
- Tu connais mes seins
pas mes jambes
elles te plaisent ?
Mes jambes ! Tu parles ! Javais mis un string ficelle blanc ! Ses yeux sont plus sûrement fixés sur mes fesses que sur mes jambes !
Je me plante en face de lui, de lautre côté de la table basse :
- Je te plais, Christophe ? Pas trop déçu ?
- Oh non
- Alors mets toi à laise
et si tu enlevais ce jeans ? Après tout, je tai déjà vu nu !
Il pose son verre, et après un temps dhésitation, se lève, me jetant à peine un coup dil. Ses doigts tremblent un peu sur les boutons du jeans, et surprise, il ne porte pas de sous-vêtements.
Jenlève mon top, me retrouvant en situation symétrique : lui en t-shirt et nu en bas, moins seins à lair et en string :
- Voilà une situation que nous connaissons tous les deux
cest un bon point de départ
on peut commencer par où nous nous sommes quittés
je me caressais les seins
et tu te masturbais
tu veux bien quon en reprenne là ?
Ma main droite soupèse mon sein, remonte sur le téton, le pinçant à deux doigts pour le faire durcir.
Il sassoit dans le canapé et prend son sexe à moitié dressé dans sa main, commence à se caresser doucement :
- Ne te fais pas jouir, Christophe, caresse-toi lentement
écarte plus les jambes
oui, voilà
raconte-moi, quest-ce que tu imaginais me faire en venant à notre rendez-vous, dis-moi !
- Faire lamour
- Faire lamour
oui on va faire lamour Christophe, mais comment, raconte !
- Je
je préfère si cest toi qui décide
- Ça me va ! Tu aimes le risque
Il hausse les sourcils, sourit ; sa main a malgré tout marqué un temps darrêt mais il reprend de plus belle sur son sexe maintenant bien dressé. Je savais bien sûr, pour lavoir vu en cam, mais en direct cest tellement mieux, il a un sexe de belle taille, bien dessiné, à peine courbé. La peau des couilles et autour du sexe est rosée, très lisse :
- Tu te rases tous les jours ?
- Non, pas si souvent, ça dépend
- Et la dernière fois ? cétait quand ?
- Ce matin, avant la douche.
- Pourquoi tu gardes des poils au-dessus ?
- Comme ça, je trouve plus joli
- Moi pas
bouges pas !
Je lui tourne le dos et pars dans la salle de bain. Quand je reviens, il se caresse toujours, sa main fermée montant et descendant lentement, doigts serrés ; son gland tout rose a encore gonflé et la peau du scrotum est piquée comme dune chair de poule. Je magenouille entre ses jambes, dos appuyé à la table du salon, le forçant à écarter plus largement les jambes :
- Alors ! cest moi qui décide ?
- Oui
Je le touche pour la première fois en posant ma main gauche sur sa cuisse. Il tremble un peu. Sa peau est douce, un peu froide, très lisse, aussi lisse que ma peau. Je lui montre ma main droite et le rasoir que je tiens :
- Moi je te préfère complètement nu ! cest toujours moi qui décide ?
Il lâche son sexe, pose ses mains à plat sur le canapé de part et dautre de ses jambes, acceptant de ce simple geste ce que je me prépare à faire. Le petit triangle de poils au-dessus de la racine de la verge est coupé assez ras. Je soulève son t-shirt plus haut et prend sa verge à deux doigts pour lécarter de son ventre. Les poils sont fins et le rasoir équipé dune lame neuve ; je le débarrasse de sa mince parure, balayant les poils coupés du bout des doigts et dun souffle. Sa queue dans ma main tressaille, très dure, et quand je termine en soufflant le derniers petits poils, je prends son gland entre mes lèvres, en lenveloppant de ma langue. Il pose une main sur mon épaule. Je sens son souffle saccélérer. Je me redresse en continuant à le caresser de la main, étirant la peau dans mon petit va-et-vient entre deux doigts serrés en anneau à mi-hauteur du sexe :
- Tu as rasé tes fesses aussi ?
- Oui.
- Montre-moi !
Il nhésite quune seconde. Il avance ses fesses au bord du coussin et soulève ses genoux vers son torse, ses mains maintenant ses jambes bien hautes ; son anus est à peine bruni, petits replis de chairs plissées et contractées, et effectivement complètement nu. Dans cette position, ses boules sont remontées le long de la verge, formant deux bosses à la base de la verge, presque disparues sous la peau du ventre, ne laissant à leur place quun scrotum ridé partagé dune épaisse couture qui descend jusquà lanus et que je suis de lindex jusque-là, sen arrêter de le caresser de lautre main :
- Tu ma dit que tétais bi
mon index est arrivé sur lanneau plissé
-
une queue sest déjà glissée là ?
-
non, jamais
- Tu es
vierge, alors ?
- Pas tout à fait
- Expliques-moi, je comprends pas !
-
une fois une fille ma mis un gode
- Ah ! et tu as aimé ?
- Oui !
- Quest-ce que tas fait alors, avec un homme ?
- Je lai sucé, et lui aussi.
- Daccord
En le regardant dans les yeux je pose mon index sur ses lèvres ; il comprend, ouvre la bouche et le lèche ; je redescend entre ses fesses ; je pousse mon doigt sur lanus :
- Tu aimerais que je te gode ?
Mon doigt joue à lentrée de lanus et jaccélère la cadence de ma main sur son sexe tendu. Le gland a encore gonflé un peu plus, virant du rose au rouge, peau très brillante. Ma caresse induit sa réponse, ne lui laisse aucune autre option :
-
oui
- Et jaimerais bien te voir sucer un mec ! Je regrette presque que mon copain ne soit pas là ! Je vous aurais présenté lun à lautre ! ça taurais pas plu ?
-
euh
je sais pas ! Cest un peu spécial quand même
- Tu sais il aime bien me voir faire lamour avec un autre homme ! Il est comme ça ! Pas jaloux du tout, au contraire !
- Il est bi ?
- Non, je crois pas ! En tout cas il ma dit quil avait jamais fait ça avec un homme ! Tu lui aurait montré ! Taurais été son prof !
Il rit un peu, ne proteste pas, ne voit ça que comme une très vague élucubration de ma part ; et puis surtout, il nest plus vraiment en état de réfléchir ! De mon doigt entre ses fesses et de ma main sur son sexe, je le maintiens au bord de lexplosion. Je surveille le rythme de sa respiration, ses narines qui palpitent, les muscles de ses cuisses et de son ventre qui se contractent. Je ne cherche pas à le faire jouir, au contraire, juste à le tenir tout au bord, pour quil acquiesce à tout ce que je lui dis. Je sais que Patrick écoute
- Tu aimerais lui apprendre ?
-
oui
peut-être
il est où, là ?
- Il est chez des copains, un poker, je crois !
-
mais
il va rentrer ?
- Je crois pas. Ils jouent tard, en général !
Il est quand même inquiet. Son sexe sest un peu ramolli dans ma main à lidée que mon copain pourrait arriver. Je le lâche, lui fait baisser les jambes. Je me relève et le fait se lever aussi. En le regardant dans les yeux je glisse mes deux mains sous lélastique du string ; je lenlève et minstalle à sa place dans le canapé, jambes ouvertes, masquant mon sexe dune main. La séance précédente ma excitée : je sens lhumidité de mon sexe sous mes doigts :
- Caresses-moi, Christophe ! Appliques-toi !
Il sagenouille entre mes jambes, ses deux mains posées sur mes cuisses remontant vers mon ventre. Jattire ses mains sur mes seins et pendant quil les soupèse, je passe une main derrière sa tête et lattire entre mes jambes. Sa bouche est chaude ; tout de suite il se met à me lècher à grands coups de langue :
- Doucement Christophe, doucement, prends ton temps, va doucement !
Il ralentit, calme ses ardeurs et
il nest pas maladroit, passant des lèvres à lentrée du vagin, tournant autour du clitoris, ses mains autour de mes hanches. Je relève mes genoux, comme lui tout à lheure, et dune main dans ses cheveux, je linvite à descendre plus bas. Il relève la tête un instant, sourire barbouillé de mon jus et repoussant mes cuisses de ses mains il plonge son visage entre mes fesses grandes ouvertes ; jadore une langue sur mon petit trou
et on dirait bien quil aime aussi !
Dans lencadrement de la porte du couloir, Patrick me regarde, profitant que Christophe lui tourne le dos, et me fait un signe interrogatif. Cest trop tôt. De la main je lui fait signe dattendre encore.
Je repousse la tête de Christophe avance les fesses au bord du canapé. Il bande bien, sa belle queue est dressée, presque collée à son ventre, elle tressaute de désir. Je le guide entre mes lèvres que je tiens écartées de deux doigts et labandonne en basculant en arrière ; à lui de jouer
et il baise bien, à long coups de reins, enfonçant sa queue de plus en plus loin, accélérant peu à peu son va-et-vient. Sa lèvre supérieure et son front sont couverts de fines gouttelettes de transpiration. Je lattire vers moi, sa bouche sur mes seins pendant quil se déchaîne, mouvements amplifiés de mes talons dans son dos
et quand je le sens se raidir entre mes jambes et mes bras, je fais signe à Patrick du pouce levé.
Claquement de la porte dentrée. Bruit dun trousseau de clés jeté sur le guéridon de lentrée.
Christophe sursaute, veut se redresser ; je le serre plus fort dans mes bras, je resserre mes jambes autour de lui, forçant le rythme de ses pénétrations des talons sur ses fesses :
- Bouge pas ! Continue ! oui !oui ! encore ! encore ! fais moi jouir ! cest rien !
Il est tendu ; je le sens prêt à fuir ; et je sais aussi quil est prêt à jouir, si près, quelques coups de reins encore ! Je prends son visage entre mes mains pour lempêcher de se retourner, lembrasse à pleine bouche en gémissant dans sa bouche, et donne, moi, les coups de reins quil a interrompus ! Il cède et se déchaîne à nouveau, me pilonnant plus fort quavant et tout de suite sinterrompt quand je sens les saccades qui secouent son sexe, les jets chauds au fond de mon ventre ; il reprend son va-et-vient, à petits coups secs au rythme des jets de sperme.
Il échappe à ma bouche, les yeux perdus dinquiétude et se retourne, découvre Patrick à lentrée du salon qui sourit en haussant les épaules, lui adressant un petit signe de la main :
- Excusez-moi
jarrive pas au bon moment
désolé !
Il tourne le dos sur un dernier signe et disparaît dans le couloir.
Christophe ne bouge plus mais bande encore à fond et je le maintiens au fond de mon ventre :
- Tinquiète pas ! Je tai dit, il est cool !
Je lattire de mes talons, le forçant à bouger en moi :
- Tas joui, mais tu mas oubliée en route ! et moi alors ? tu me laisses tomber ? Suce-moi !
Il na plus lair de savoir où il en est ; déconnecté par lintrusion de Patrick et encore étourdi du plaisir quil vient de prendre, il sexécute, plonge entre mes jambes. Je repousse sa tête à lentrée de mon vagin et bousculant son nez au passage, je me caresse le clito gonflé de désir, entièrement décalotté de mes doigts, et je me fais jouir, et il me fait jouir de sa langue.
Patrick est là, assis dans le fauteuil, braguette ouverte. Il est revenu en silence dès que Christophe a plongé entre mes cuisses, son sexe et ses couilles sortis du slip, les yeux fixés aux miens pendant que je jouis.
Christophe se redresse, fier de mavoir donné du plaisir ; il essuie sa bouche dun revers de main, barbouillée de mon jus et de son sperme ; il savance et membrasse :
- Je me suis rattrapé, non ?
- Cétait très bon, Christophe .
A deux mains je lui enlève son t-shirt, et je lattire sur le canapé à côté de moi. Deuxième sursaut : il vient de voir Patrick à deux mètres de nous dans le fauteuil ! je massois plus loin et bascule vers lui, prenant son sexe dans ma bouche. Je ne veux à aucun prix quil senfuie. Je veux tout faire pour le retenir, le paralyser. Son sexe reste flasque dans ma bouche ; je pose ma main sur ses couilles et les roule sous mes doigts, en mappliquant de ma bouche et de ma langue à réveiller son désir
et ça marche
il grossit dans ma bouche, et Patrick en face de nous reprend son sexe dans sa main et se met à bander lui aussi :
- Elle est douée, tu trouves pas ?
-
oui
- Tinquiète pas ! ça me gêne pas ! Jaime bien, même ! Elle mavait pas dit quelle avait un rencart, désolé ! Ton verre est vide ! Je ten ressers un ?
- Je veux bien !
- Cétait quoi ?
- Whisky.
- Et toi ? comme dhab. ? Porto ?
Jen ai profité pour me redresser. Je commençais à avoir mal aux mâchoires. Non seulement son sexe est long, mais en plus il est épais ; cest agréable, daccord, mais cest bien quand ça sarrête aussi
Christophe avait lair daccepter la présence de Patrick, mais au cas où, après mêtre redressée et assise à côté de lui, jai continué à le caresser de la main et jai pris sa main pour la poser sur ma cuisse, entre mes jambes .
Patrick avait remballé son sexe pour servir les verres, mais sa braguette baillait toujours :
- Tas pas lair malin, comme ça ! Tu ferais mieux denlever carrément ton pantalon !
Il nous a tendu nos verres et bien sûr, ne sest pas fait prier pour se mettre à laise, réussissant même à faire semblant dhésiter et de sexcuser auprès de Christophe : un vrai comédien !
Une idée me trottait dans la tête :
- Viens donc là, approche !
Il a fait le tour de la table basse et sest assis dessus, face à nous. Trop loin
sans arrêter de caresser le sexe de Christophe, je lai attiré de lautre main sur son bras, le faisant sagenouiller devant moi. Jai pris sa main dans la mienne et je lai posée sur la cuisse de Christophe :
- Tu trouves pas que complètement rasé cest joli ?
Il sétait raidis tous les deux, ne faisant pas un mouvement. Patrick avait essayé de retenir sa main, mais je le tenais fermement par le poignet. Les choses évoluaient différemment de ce quil avait imaginé. Son fantasme lui échappait. Cétait devenu mon jeu à moi
Je me penche vers Christophe, cherchant sa bouche. Son sexe et toujours tendu dans ma main droite et de la gauche je maintiens la main de Patrick sur sa cuisse :
- Caresse-moi
Jécarte plus largement les jambes pour laisser le passage à sa main et je sens son sexe se raidir quand il saperçoit à quel point je mouille. Patrick ne perds rien du spectacle, les yeux fixés sur la main qui fouille mon sexe, respiration plus rapide lui aussi, toujours dressé sur ses genoux devant nous.
Abandonnant le sexe de lun et le poignet de lautre, je me penche vers Patrick et des deux mains jabaisse son slip sur ses cuisses :
- Caresse-toi aussi, Patrick !
et avant de me rasseoir bien au fond sur le canapé je reprends son autre main quil avait profité pour retirer de la cuisse de Christophe, la porte à mes lèvres pour lembrasser, et je la pose droit sur le sexe raidi, fermant mes doigts sur les siens en commençant à branler Christophe de nos deux mains.
Je les sentais tous les deux empruntés, gênés. Jimposais à Christophe la présence de mon compagnon, à Patrick des attouchements sur un homme. Ceci dit, ils auraient pu refuser ! et ils se pliaient à mon jeu, un peu contraints, mal à laise, mais ils navaient rien refusé !
Me dégageant de la main de Christophe, je lai enjambé, mes seins collés à son visage, et dune main dans le dos, jai guidé la main de Patrick qui tenait toujours la verge dressée pour quil me caresse du bout du gland. Christophe respirait très fort, mains crispées sur mes hanches, suçant mes tétons ; son gland tout chaud parcourait la fente humide entre mes lèvres, et quand il sest présenté à lentrée du vagin, je me suis empalée dessus, au contact de la main de Patrick qui venait butter contre mon sexe en le branlant plus vite maintenant.
Patrick a joui le premier ; il avait collé son sexe contre mon mollet ; jai reconnu la petite plainte qui accompagnait toujours léjaculation, la crispation contre ma jambe, et puis lécoulement chaud sur ma jambe.
Christophe me fixait, regard un peu voilé, souffle contenu de ses dents serrés. Je ne bougeais plus le bassin, son sexe à peine entré en moi. Cest de la main de Patrick quil a joui, ses hanches se soulevant plus haut, en fermant les yeux. Patrick a continué à le branler longtemps, plus lentement. Christophe tremblait un peu sous moi et son visage montrait bien à quel point il appréciait que la caresse se prolonge.
Moi, je nai pas joui. Jétais trop attentive à leurs gestes, leur plaisir, pour penser au mien.
Je les ai abandonné dans le salon pour passer dans la salle de bains pour me rafraîchir, me nettoyer du sperme qui coulait entre mes jambes. Je me suis recoiffée et jai passé ma petite nuisette noire qui couvrait à peine mes fesses avant de revenir.
Ils étaient assis tous les deux dans le canapé, verre en main, et discutaient tranquillement. Tous les deux avaient renfilé leurs slips et jeans, leurs t-shirts.
- Vous avez faim ? je vous prépare un petit en-cas ?
- On va taider
Lambiance avait bien changé. Bières, sandwiches, ils parlaient micro, logiciels de montage ; et du coin de lil, il mataient mes fesses en douce ! Faut dire que jy mettais du mien à me tortiller dans tous les sens au moindre prétexte
je tenais à les garder sous pression, la soirée nétaient pas terminée !
- Viens avec moi !
Je prends Christophe par la main et je lentraîne dans le couloir, dans la chambre, pendant que Patrick finit son café dans le canapé.
- Tu regrettes pas dêtre venu au rendez-vous ?
- Bien sûr que non, mais à un moment jai bien cru être tombé dans un piège
- Et même
tes pas bien ?
Quest-ce quil pourrait répondre ! Jai glissé les deux mains dans son dos, sous son jeans, et je lui caresse les fesses en le poussant vers le lit !
- Bouge-pas, je reviens
et enlève donc ça, je te veux nu
Dans la commode au pied du lit, je fouille, tout au fond du tiroir du haut, derrière les petites culottes. Lequel, je prends ? le doré ? tout lisse ? non, lautre
plus gros, veiné, très réaliste, aussi gros que le sexe de Christophe en fait
après tout, sur internet il a dit quil était bi, non ? alors
et
je me retourne ; il sest allongé, nu, les mains derrière la tête, et me regarde, interrogateur :
- Quest-ce que tu fais ?
- Tu verras bien, attends
Du tiroir de dessous je sors un foulard que je lui montre :
- Tu veux bien te laisser faire ?
-
- Sil te plaît
Je massois à califourchon sur ses cuisses, caresse au passage son sexe et me penche au-dessus de lui, balançant mes seins sur sa poitrine. Je pose le foulard sur ses yeux et je le noue derrière sa tête, lajuste un peu . Je me glisse en arrière. Jaime bien cette nudité, labsence totale de tout poil, cette peau lisse et rose. Il bande à nouveau, parce mes mains courent sur ses cuisses, parce que mon souffle chaud sur son ventre, lui font espérer ma bouche, parce que mes dents se referment sur ses couilles durcies. Je me recule au pied du lit et sur un pied jenfile le bas que jai posé au pied du lit, je le déroule sur sa jambe, létire jusquen haut de la cuisse ; puis lautre jambe. Je glisse une main sous sa taille, referme le porte-jarretelle sous son nombril, le fait glisser pour que lattache soit dans son dos et je referme les jarretelles sur les bas.
Il sait.
Il a reconnu la sensation sur ses jambes. Il rit doucement. Il ne dit rien.
Jai aperçu Patrick à lentrée de la chambre, immobile. La nuisette, maintenant, enfilée sur ses bras au-dessus de sa tête, glissée dans son dos. Je laide à se relever, jarrange un peu les bas , les mettant bien en place. Leffet de son sexe dressé est saisissant dans cette tenue. Collée à son dos, je le caresse dune main, flatte ses couilles remontées tout en haut de son ventre, comprimées par la peau du scrotum. De lautre main appuyée dans son dos, je le penche sur le lit. Il y pose les mains à plat, cassé en deux au niveau de la taille, jambes légèrement écartées que je repousse dun pied pour les ouvrir plus. Je descends la main le long de la colonne vertébrale, dépasse la nuisette, le fait sursauter en claquant lélastique du porte-jarretelle sur sa taille, descends sur ses fesses, entre ses jambes, gratte le périnée dun ongle pointé, étire la peau du scrotum très fort entre le pouce et lindex. Je sens nettement le gonflement rythmé de son sexe au creux de lautre main.
Patrick sest assis sur le lit.
Il a perçu le mouvement du matelas. Il sait quil est là ; il le cherche dune main, trouve son mollet, remonte jusquau genou, puis du dos de la main sur lintérieur de la cuisse, jusquau contact du slip. Patrick savance vers lui.
Séquilibrant des genoux pliés au bord du lit, à deux mains il tire sur la taille du slip, le fait glisser sur les jambes que Patrick remonte pour lui faciliter la tâche, le jette à ses pieds. Il sagenouille au bord du lit, jambes ouvertes pour ma main qui enserre ses couilles, ses deux mains sur les cuisses de Patrick qui ne me quitte pas des yeux par-dessus lépaule de Christophe.
Lui aussi bande maintenant.
Je magenouille à mon tour sur le lit à côté deux. Je redresse le sexe de Patrick dune main ; de lautre, sur la nuque de Christophe, je lui fait baisser la tête.
Il sait ; bien sûr.
Il ne se refuse pas, se laisse guider, prêt à accueillir le sexe dans sa bouche.
Quand ses lèvres entre en contact avec le gland, je le libère de la pression sur sa nuque ; seul, après un bref instant dattente, il prend le sexe dans sa bouche. Je relâche le sexe et mécarte. Il laisse ses mains sur les cuisses de Patrick, commençant de lents va-et-vient, mâchoires ouvertes, lèvres avancées. Jenlève ma nuisette et la pose sur le visage de Patrick.
Je ne veux pas de ses yeux ; je veux, moi, être seule spectatrice, profiter seule de la scène, agenouillée à côté deux, voyeuse et cachée.
Entre mes jambes serrées je sens mon sexe gonflé, humide.
La suite
plus que je navais prévu
je veux plus.
Retournant à la commode, jen sors aussi le second objet. Jenduis les deux de lubrifiant, ne quittant pas des yeux la lente fellation, les fesses haut levées de Christophe, les jambes ouvertes de Patrick. Dans la main droite de Christophe que jécarte de la cuisse où il sappuie, je mets le gode doré.
Il comprend.
Patrick sera surpris, mais jai déjà joué ce jeu avec lui ; il voudra.
Dans le dos de Christophe, jappuie le second gode à lentrée du petit bourrelet de chairs plissées et brunes, contracté, fermé. En me penchant, je le vois copier mon geste entre les jambes de Patrick, attendre.
Jappuie plus fort et je vois les muscles de son bras se contracter.
Je relâche la pression ; lui aussi.
Il comprend.
Il mattend.
Il imite mon geste, sans un seul instant arrêter la lente caresse de sa bouche. Le maintenant dune main, jappuie mon ventre à lextrémité du gode, tentant de lintroduire dans son cul qui résiste encore à mes petites poussées, attentive aux contractions de son bras qui reproduit le mouvement de mes hanches. En me penchant un peu, de lautre main, effleurant au passage les bas, contact électrisant sous mes doigts, je contourne sa cuisse et prend sa queue, un peu ramollie depuis que je lai abandonnée, entre deux doigts, et commence à le branler, au rythme et à lamplitude de mes poussées.
Je nai pas voulu le violer.
Je ne voulais pas lui faire mal.
Jai été patiente, continuant lentement à pousser de mon ventre sur le gode, que son cul trop serré se refusait à laisser entrer.
Et puis
Le bout était bien calé contre le mont de Vénus et commençait à me faire mal ; je lavais lâché pour me caresser, doigts tournant sur mon clito, et jai accéléré, poussé plus fort, guidée par ma seule excitation, puis très fort, appuyant de tout mon poids en me cramponnant à son sexe que je serrais très fort à pleine main maintenant.
Il a poussé un long gémissement en arquant le dos et je poussais toujours aussi fort de mon ventre douloureux jusquà ce que mon ventre touche ses fesses .
Il gémissait, douleur, plaisir, je men moquais, tout au plaisir de ma main qui fouillait mon sexe ; plus besoin dappuyer sur le gode avec mon ventre en continu, je le repoussais à la cadence de mes coups de reins quand il ressortait de son cul .
Je crois quon a joui ensemble, ou presque, jen sais rien. Mais cétait fort. Jai joui, à moitié couchée sur son dos, secouant sa queue à grand coups, sans mapercevoir sur le coup que le gode était tombé à mes pieds.
Je suis restée un long moment appuyée à son dos, essoufflée, lentourant de mes bras, caressant son torse, avant de masseoir sur le lit. Eux aussi respiraient fort. Christophe sest assis à côté de moi, les joues rouges et le front couvert de gouttelettes de sueur.
Patrick est parti à la salle de bains.
- Ça va ? je tai fait mal ?
- Un peu
cétait bon !
- Tu sais, cétait la première fois quon faisait ça
-
moi aussi
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