Damien 48 - Le Chauffeur De Taxi
Arrivé à la gare, je fis la queue pour prendre un taxi, quand mon tour arriva j'ouvris la porte arrière d'une Mercedes et donnai mon adresse au chauffeur, c'était un asiatique.
Pendant toute la durée du trajet celui-ci n'arrêta pas de parler de la dure condition de chauffeur de taxi parfois coincé toute la journée dans les embouteillages.
Arrivé à destination, je tendis au chauffeur un billet de 500 francs, il n'avait pas de monnaie, je lui demandai si un chèque lui irait, il me répondit que oui, je lui proposai donc de monter chez moi n'ayant pas mon chéquier sur moi.
Arrivé dans l'appartement je lui dis de s'asseoir et me proposai de lui offrir l'apéritif, il accepta et me demanda un whisky, je servis deux verres et allai dans la cuisine chercher des glaçons.
Quand je revins, le chauffeur était en train de feuilleter une revue homo qui était sur la table basse du salon, me voyant découvert je sentis le rouge me monter aux joues, levant les yeux vers moi l'homme s'aperçut de ma gène, il reposa la revue et me dit de sa voix aiguë "Il ne faut pas
avoir honte, chacun a le droit de faire ce que bon lui semble, c'est ça la liberté.
- C'est vrai mais enfin...
- Vous savez, nous sommes un peuple de proverbes et un sage a dit, si ta vie te rend heureux alors
vis la sans jamais te préoccuper des autres.
- C'est très sensé effectivement.
- Oui, si on ne fait pas ce que l'on veut alors on est malheureux et c'est bête.
- C'est sur, mais encore aujourd'hui on ne peut pas dire que des gens qui vivent comme moi soient
vraiment acceptés.
- Cela changera avec le temps, on finira bien par comprendre que l'acte sexuel n'est pas seulement
pour la procréation.
- Peut-être que cela changera.
- Mais oui, écoutez mois je suis marié et père de famille eh bien je comprends très bien que vous
ayez une autre sexualité que la mienne, dans cette histoire personne ne détient la vérité, je
crois que tout le monde a raison.
- Je le crois aussi. Combien de glaçons ?
- Deux merci.
- Je vais faire votre chèque".
Tout en rédigeant le chèque, je me dis que cet homme avait un physique agréable et que je passerais bien un moment avec lui, si j'arrivai à lui faire comprendre, en plus jamais je ne m'étais fait d'asiatique.
Je lui donnai le chèque, il me remercia et je m'assis à ses côtés pour boire mon verre.
Nous discutâmes de beaucoup de choses en sirotant un deuxième whisky, j'appris qu'il s'appelait Chang, il était chinois et vivait en France depuis 10 ans.
Au troisième verre, je ne sais si c'était l'alcool ou son parfum un peu entêtant mais je me sentais un peu euphorique.
Chang passa son bras droit derrière mes épaules et posa sa main gauche sur mon genou et me dit "Je
n'ai jamais fait l'amour avec un homme et comme vous m'avez dit que vous ne faisiez que la
femme, je me suis dit qu'on pourrait peut être copuler ensemble.
- Oui je veux bien mais si tu arrêtes de me vouvoyer.
- AH AH AH, bien sur mais avant je voudrais passer un coup de téléphone à ma femme.
- Bien sur".
Chang expliqua à son épouse qu'il avait du travail cette nuit puis raccrocha.
Il s'assit près de moi, m'enlaça, ses lèvres se posèrent délicatement sur les miennes, je fermai les yeux et ouvris la bouche, nos dents s'entrechoquèrent, nos langues se nouèrent et nous échangeâmes un baiser enflammé.
Pendant qu'il me butinait la bouche, les mains de mon amant courraient sur mon dos et mes cuisses tandis que je lui caressais entrejambes, quand il m'abandonna, j'avais le souffle court et les joues en feu.
Il me dit "Allons dans ta chambre".
Une fois dans la pièce, il s'assit sur le lit et me dit "Fais-moi un strip-tease, je veux voir ton
cul se dévoiler à moi".
Il sortit de sa poche un petit appareil qu'il posa sur la table de nuit et aussitôt une musique asiatique voluptueuse se propagea dans la pièce.
Lentement au rythme de cette lancinante mélodie je me dévêtis en ondulant, quand je fis glisser mon string le long de mes cuisses fuselées tendant ma croupe vers mon spectateur il m'applaudit et coupant la musique me dit "C'est vrai que tu as deux belles collines mais écartes les que je vois
le puits que je convoite."
Je m'exécutai et au bout d'un moment je me redressai et m'approchai lascivement de Chang, je le fis se lever et lentement entrepris de le déshabiller.
Quand il n'eut plus sur lui que son slip, je m'agenouillai et le fis descendre doucement.
Je me trouvai face à une verge érigée, elle était de grosseur moyenne et relativement courte mais semblait très appétissante, dessous pendaient deux bourses gonflées de sève, ce qui me frappa c'est que Chang était complètement rasé, il n'avait pas de poils, j'avais l'impression de me trouver face à un petit garçon.
Jugeant que les choses n'allaient pas assez vite, mon homme posa sa main sur ma nuque, je compris le genre de caresse qu'il voulait, je me penchais sur sa virilité triomphante et me mis à couvrir le gland de baisers, mon amant soupira sous cette caresse, glissant ma tête sous le pénis érigé, je lui léchai les testicules et embrassai l'intérieur de ses cuisses.
Après l'avoir bien excité, je revins à l'objet de ma dévotion, je commençai à porter des petits coups de langue sur son bout durci, le priape gorgé de sang se dressa un peu plus.
Je continuai à m'occuper de ce membre sans toutefois le prendre dans ma bouche, à chaque contact mon amant gémissait et se cambrait pour s'offrir plus, prenant la pine à deux mains, je me mis à le lécher comme une glace, son gland vermillon avait doublé de volume depuis le début.
Trouvant que les prémices avaient assez duré, mon homme prit ma tête dans ses mains et me força à engloutir sa hampe tuméfiée.
Une fois au fond de ma bouche il rythma le tempo auquel il voulait être sucé.
J'entamai une lente fellation en enroulant ma langue autour de la bite et en la mordillant faisant râler mon mec.
Au bout de quelques instant de ce traitement Chang me bloqua la tête et se mit à aller et venir entre mes lèvres vivement, il utilisait ma bouche comme un cul.
Je ne sais combien de temps dura ce pompier, soudain mon amant plaquant mon visage contre son pubis explosa en feulant, une formidable giclée de sperme fusa au fond de ma gorge et je l'avalai avec délice tout en continuant à cajoler la virilité qui continuait à couler sur ma langue.
Quand mon homme se retira, je vis que le phallus n'avait pas perdu sa vigueur.
Fasciné par lui je le voulais tout de suite dans mon cul, je salivais déjà à l'image de cette verge écartant ma pastille pour se loger au fond de moi.
Chang me prit dans ses bras et me déposa à plat ventre sur le lit, puis il prit mes jambes et les plia sous mon corps de telle sorte que je me retrouvais le cul en l'air reposant sur les coudes.
Se postant derrière moi il se mit à me caresser la raie de son gland turgescent, des frémissements parcoururent mon corps, cette caresse m'électrisait, le désir montait en moi par vagues, la bouche de mon mec remplaça son pénis et il commença à me lécher.
Sous ce baiser lingué mon illet s'ouvrit, je gémis puis un doigt investit mon anus et se mit à aller et venir, un deuxième puis un troisième et enfin un quatrième vint se joindre à lui, mon cul était bien ouvert et je planais littéralement.
Au bout de quelques instants alors que je râlais sous ses attouchements manuels, la main de mon homme se retira et fut remplacée par une chose dure douce et chaude, je reconnus le gland de Chang.
Me maintenant solidement aux hanches, mon amant commença à peser sur ma corolle, quand la tête de son phallus érigé écarta les chairs de mon sphincter, un petit cri de douleur jaillit du fond de ma gorge.
Chang s'immobilisa pour me laisser m'habi à la présence qui m'obstruait le fondement, puis il se mit à bouger lentement pour m'assouplir la pastille.
Peu à peu mon anus se détendit et le passage s'effectua sans douleur, alors mon amant commença à me pénétrer à petit coups de reins avec une lenteur calculée.
Quand enfin je sentis son pubis contre mon cul je me sentais bien rempli par cette pine roide.
Mon homme me prit par les épaules et se mit à me besogner lentement, sous ses coups de boutoir répétés, je sentis mon anus céder complètement.
Sous les assauts répétés de mon mec, le désir ne fut pas long à prendre possession de mon être.
Le pénis coulissait maintenant sans aucune gène dans mon étroit tunnel et chaque poussée me faisait gémir, je me cambrais pour offrir encore plus mon cul à cette merveilleuse verge qui me ramonait.
Le plaisir montait en moi par vagues successives, les yeux clos je ronronnais de bonheur chaque fois que le membre turgescent se plantait au plus profond de moi.
Mon amant me tringlait de toute la longueur de son sexe le faisant sortir presque entièrement de mon trou pour replonger jusqu'à la garde la seconde suivante, je commençais à rouler des hanches en cadence.
Je ne savais plus depuis combien de temps il me besognait mais le bonheur qu'il me donnait était tel que je voulais qu'il me bourre indéfiniment.
J'avais perdu le sens des réalités, seul comptait pour moi ce priape qui me forait les reins.
J'avais les fesses en fusion et l'anus complètement dilaté et je me mis à râler sous ses puissants coups de bite qui m'ouvraient chaque fois plus le fondement suppliant celui qui m'enfessait de me défoncer encore plus.
Sourd à mes râles il continuait à me limer avec une régularité de métronome.
Soudain une boule de chaleur se forma au creux de mon estomac et remonta vers ma figure, le plaisir m'envahissait totalement je me mis à hurler toutes les phases de la jouissance par lesquelles je passais.
Un spasme foudroyant me balaya, je me cambrais au maximum pour m'offrir totalement à mon amant, un hurlement de jouissance pulsa de ma gorge "aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhh" et je perdis connaissance.
Quand je revins à moi, Chang était toujours en train de me sodomiser en de lents va et viens, son ventre musclé claquant contre mon fessier en feu.
Tout mon être brûlait littéralement j'avais joui mais il me manquait sa semence qui seule pouvait éteindre l'incendie qui me ravageait l'intérieur.
Soudain Chang me décula et me mit sur le dos, il prit mes jambes et le replia vers ma tête de sorte à ce que mon illet ressorte, puis d'un violent coup de reins il s'enfonça entièrement en moi me faisant gémir et prenant appui sur mes mollets il se mit à me pilonner l'arrière-train avec des "HAN" de bûcheron.
Je voyais entre mes cuisses son phallus entrer en sortir de moi à toute vitesse.
Ses vigoureux coups de boutoir me faisaient avancer sur la couche chaque fois que son pénis érigé se fichait au plus profond de mon cul.
Je me tordais comme un damné sous celui qui me chevauchait, j'avais l'anus complètement éclaté et le plaisir se remit à s'insinuer en moi sourdement.
Ma tête ballottait de droite à gauche sous les virils assauts que mon amant m'assenait, je ne vivais plus que pour et par le sexe raide qui me forait les reins.
Je me mordais les lèvres pour ne pas hurler tant le traitement que je subissais était bon.
Me cambrant le plus possible, j'avais relevé mon fessier venant à la rencontre de la bite qui m'alésait le trou de balles, de ma bouche ne sortait plus qu'un "ahhhhhhhhhhhhhhhh" continu.
Je ne savais plus depuis combien de temps mon homme me bourrait mais je voulais qu'il continue.
Je sentais monter en moi un fade immense, mon corps était parcouru de soubresauts sous les va et viens effrénés.
Les grimaces que mon mec faisait chaque fois qu'il m'enfessait montraient que le pied qu'il prenait était intense.
Sa respiration devenait saccadée et ses mouvements plus désordonnés.
J'avais atteint le paroxysme de la jouissance, je planais littéralement sous les coups de pine redoublées, tout à mon plaisir je me mis à délirer.
S'enfonçant au plus profond de mon rectum, Chang explosa en feulant.
Son foutre crémeux m'inondant le fondement m'électrisa, un orgasme dévastateur déferla en moi.
Mon corps s'arqua sous mon amant, je tendis ma croupe vers la source qui continuait de couler entre mes fesses, mes jambes battirent l'air et un strident hurlement de bonheur jaillit de ma gorge "aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhh" puis je retombai lourdement sur le matelas yeux clos, cuisses écartées, flottant dans l'univers cotonneux de la jouissance, Chang se retira de sur moi.
Quand après plusieurs minutes, je refis surface, je trouvai mon homme étendu à mes côtés, il me sourit et me dit "C'est encore meilleur que tout ce que je pouvais penser.
- Merci, c'est vrai ce fut super bon, j'ai pris un pied du tonnerre.
- Tu en veux encore ?
- Oh oui j'ai encore très envie.
- Je vais t'en donner de la bite, mais avant fais moi à manger".
Après le repas, nous retournâmes dans la chambre où Chang me fit l'amour longuement me faisant jouir superbement.
Vers les 2 heures du matin, alors que mon homme se rhabillai je lui demandai "Dis-moi, il y a une
chose qui m'intrigue.
- Oui ?
- Tu ne te comportes pas du tout comme quelqu'un qui n'a jamais fait l'amour avec un homme, déjà
au début quand tu m'as demandé de me déshabiller je me suis dis qu'au ton que tu employais
c'était bizarre et pendant l'amour je me suis bien rendu compte que tu avais une technique que
ne peut avoir que quelqu'un qui est déjà un habitué car tu sais je sais bien qu'on ne baise pas
un homme comme une femme.
- Tu as entièrement raison, tu n'es pas le premier mais j'aime bien faire croire que je suis
simplement un homme attiré par une expérience nouvelle, mais je pense que tu nas pas eu à t'en
plaindre.
- Pas du tout tu baises merveilleusement bien.
- Toi aussi, sincèrement jamais je n'ai vu ça tu es fantastique, ton cul est génial et ta bouche
et tes mains, tout quoi.
- Merci, est-ce qu'on se reverra ?
- Non, j'ai par habitude de ne jamais enculer le même mec deux fois, allez au revoir".
Je raccompagnai Chang, il partit sans un regard, je remontai chez moi où je pris une longue douche rendant à mon corps une propreté toute suédoise, je changeai les draps maculés du lit puis je me couchai sombrant dans un profond sommeil réparateur.
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