Gérontophilie
Deux semaines après ma première histoire, ma belle- mère Rosa téléphone à ma femme pour l'amener en ville a trente kilomètres de chez nous faire de lachat de vêtement en vue d'un mariage d'un de ses petits cousins. Ma femme ne pouvant pas y aller me demander d'y aller à sa place et j'accepte tout de suite.
A quatorze heures j'arrive devant chez elle et elle est la 'à m'attendre, vêtue d'un chemisier blanc, d'une jupe grise et chaussée de talons hauts. Cette femme, à voir comme cela, on ne lui donne pas 73ans, plutôt dix de moins. Je pensais qu'elle allait parler de notre histoire, mais elle ne dit mots, au contraire elle sourie et me parle du temps, comme si rien ne s'était passé.
En milieu de trajet, j'ose poser une main sur sa cuisse en sachant très bien q"elle allait l'enlever et, à ma grande surprise elle ne réagit pas regardant droit devant elle stoïque comme si elle n'avait rien sentie.
J'en profite pour lui retrousser sa jupe, là je sens un léger frémissement de sa part, mais je continue à lui caresser les cuisses en remontant doucement à la culotte. La chaleur du corps de cette femme me fait bander à en avoir mal et je suis obligé de sortir mon sexe du pantalon et sans attendre je lui prends sa main gauche et la pause sur mon engin , elle tourne la tête et béate regarde mon sexe vingt -deux par six. C'est vrai qu'il est imposant, dans ma jeunesse j'ai eu beaucoup de problèmes avec les filles à cause de cela en voyant mon engin elles refusaient la pénétration préférant me caresser ou me sucer.
En le regardant toujours elle me dit qu'elle comprend pourquoi la première fois que je l'ai prise elle avait eu des douleurs, pas habitué à un sexe comme cela. Je lui demande si elle a aimé et elle me répond par un timide oui.
Les kilomètres ont vite passé sans que je m'en aperçoive et on rentre en ville. Je remets mon sexe dans le pantalon et donne l'ordre à ma belle-mère de ne pas toucher sa jupe qui est toujours relevée.
La belle-mère, quant à elle commence a onduler du bassin les mains posées de chaque cotes de ses cuisses et pousse de petits gémissements.
Le feu passe au vert et nous allons direction les magasins. Laissant Roza sur sa faim, il faut dire que je prends un vilain plaisir à la laisser comme cela les cuisses écartées dans l'attente d'un plaisir qui ne viendra pas.
Après plusieurs achats on rentre dans un magasin de vêtements et ma belle-mère choisit plusieurs jupes pour essayer. Elle pénètre dans la cabine et met un long moment pour sortir, j'entrouvre légèrement le rideau et lui demande si elle a fait son choix, elle me répond que oui et quitte une jupe qu'elle a choisie. Elle se trouve maintenant devant moi en culotte et là je pénètre dans la petite cabine et je la lui quitte, je la mets dans ma poche et ressort dans le magasin.
Et c'est comme cela qu'on retourne à la voiture.
Dans la voiture ma belle-mère tient ses cuisses serrées et je devine la honte en ce moment, se retrouver sans culotte à ma merci ne sachant pas ce qui va lui arriver. A mon âge on ne me fait pas ça me dit-elle et, sans attendre, je dis que pour une salope c'est tout à fait normal. Je lui intime l'ordre de remonter sa jupe au nombril.
Elle obéi sans dire mot et maintenant je vois sa toison assez garnie ce qui n'est pas à mon goût et je lui donne l'ordre de se raser le pubis pour les jours à venir.
Je passe ma main sur ses seins, en les caressants je dégrafe trois boutons de son chemisier ce qui laisse entrevoir la naissance de ses lobes tenus par un soutien rouge.
Je réalise que je suis encore sur le parking, qu'on peut nous voir.
Je démarre en lui ordonnant de rester comme ça et file en direction d'un endroit dont on m'a parlé qui est connu des couples illégitimes. Le coin et rempli de bosquets je me faufile derrière un de ces derniers et arrête le moteur.
Je prends dans la boite à gants deux sangles servant pour ma remorque et j'en attache les poignets de ma belle-mère. Malgré son refus je passe outre et lui lie les deux mains derrière le repose tête ce qui a pour effet de la faire arquer et de mettre en avant sa poitrine dénudée.
j'ai un énorme plaisir à voir cette salope de soixante-treize ans qui dans sa vie de bourgeoise est une femme grave, austère menant sa famille a la baguette là devant moi à ma merci, les mains attachées, la jupe sur les anches et les seins à l'air.
Je prends mon portable et fait deux photos, rosa commence par s'énerver en me voyant faire et pour la calmer je lui prends un téton et le tire en le pinçant très violemment. Elle pousse un cri et je vois une larme couler sur sa joue. Je lui écarte les cuisses et mets la main sur sa vulve, je m'aperçois qu'elle mouille je la pénètre avec deux doigts et entame un va et vient ce qui a pour effet de la faire gémir je ralentis la cadence et elle avance son bassin comme une vraie chaudasse à la recherche de mes doigts en demande de caresses plus profondes. Et d'un seul coup ma belle-mère pousse un cri et essaye de se cacher derrière ses bras toujours attachés.
Du coté de sa portière se tient un homme la cinquantaine le sexe à la main, en train de se caresser les yeux posées sur rosa, il s'approche de la vitre et continu de se branler.
Je retire ma main de la vulve de la belle-mère, je mets le contact et je descends la fenêtre de dix centimètres environ.
Rosa me supplie de remonter la vitre, mais je passe outre et demande à l'homme ce qui lui plait dans cette femme.
Il me répond qu'elle a de jolies jambes pour son age et des seins admirables surtout attachés comme ça, on a l'impression qu'ils sont offerts.
Je lui propose de passer sa main par la vitre et de la caresser: ce qu'il fait de suite malgré le refus et les plaintes de rosa.
Elle me regarde et je vois dans ses yeux qu'elle me supplie d'arrêter cette situation.
L'homme lui pétrie les seins et lui tire les mamelons avec violence, ce qui fait crier rosa et il ne tarde pas à cracher son foutre contre la portière. Il me donne son numéro de téléphone en me disant que la prochaine fois si je le voulais il viendrait avec des amis, ce qui m'intéresse vivement.
Je la détache et nous reprenons la route, je sors mon sexe et je donne l'ordre à ma belle-mère de me caresser ce qu'elle fait avec empressement, elle caresse très bien et je prends mon plaisir dans sa main.
Elle me demande quelque chose pour s'essuyer et je dis à cette salope de lécher sa main ce qu'elle ne veut pas faire. C'est ça ou je montre les photos: là elle me regarde et voyant ma détermination doucement elle porte ses doigts à sa bouche et suce mon sperme.
Arrivés chez elle je griffonne sur une feuille des directives qu'elle doit suivre à la lettre :
Tu porteras une tenue sexy ;
Aucune culotte ou apparentée ne sera autorisée ;
Pas de maquillage ;
Des bottes à talons ou des escarpins ;
Une paire de stay-up, pas de bas collant ;
Aucun poil disgracieux ne sera autorisé ;
A l'heure prévue tu m'attendras au point de rendez-vous ;
Tu ne seras pas autorisée à me regarder ;
Tu ne seras pas autorisée à fermer les jambes ;
Tu ne parleras que si je te l'autorise.
Elle prend le papier, le lis, le met dans son sac et sans un mot elle rentre chez elle. Et moi je fais de même, vivement les prochains jours.
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