La Visite Du Conseiller Edf

La visite du conseiller Edf

Brave mec dans les 30 ans
On est assis dans la salle à manger
Chantal se lève pour aller chercher un document.
Le type tourne la tête vers elle et jette un regard appuyé. Ce regard, je le saisis bien. Il est dirigé vers les fesses de Chantal. Alors qu’il a la tête encore tournée, je m’entends lui lancer.
- « Beau cul, non ? »
Le type est soufflé. Je le vois qui rougit en se retournant vers moi. Je lui souris et profitant que Chantal est dans la pièce à côté, je rajoute :
- « Avec ses jeans serrés, les femmes nous montrent ce qu’elles ont de plus beau ».
- « Excusez-moi, Monsieur, je ne voulais pas être impoli, et encore moins irrespectueux avec votre épouse ».
- « Ne t’excuse pas jeune homme. J’adore qu’on regarde ma femme. Elle n’est pas très coopèrente mais dès que je peux la montrer à son insu, je ne m’en prive pas. Ce soir c’est une occasion. Et si tu le veux bien on va essayer de jouer tous les deux. T’as un peu de temps ? »
- « Oui bien sûr mais je ne sais pas… »
- « Ne t’inquiète pas. Je m’occupe de tout ».
Quand Chantal revient dans le salon, je lui propose d’offrir l’apéritif à ce jeune homme car il l’a bien mérité après tous les conseils qu’il nous a donnés. Chantal est ravie car elle trouve ce type plutôt agréable.
Ma femme ne sait pas faire simple et tout de suite elle sort tous les ingrédients pour une « apéro party » qui ressemble très vite à un buffet dinatoire.
Un whisky, deux whiskies et déjà ses yeux brillent !
Quand elle retourne en cuisine chercher quelque amuse gueule, je lui remplis son verre. A son retour, elle n’est pas dupe et s’amuse même de la situation. Levant son verre à la cantonade elle le porte à ses lèvres et avale tout son contenu d’un coup, je sens qu’elle se met dans les conditions de s’abandonner.
Le petit jeune, un peu éméché aussi, applaudit et termine son verre à son tour comme pour sceller une complicité naissante.

Moi, je reste maître de mes sens et remplis une fois encore nos verres. Chantal titube au dessus de nous, assis à même le sol.
La musique à ce moment est langoureuse, lente et sensuelle.
Je me lève et la saisis dans mes bras. Elle tient à peine debout. Je l’entraîne dans un slow langoureux, la tournant pour montrer ses fesses à notre complice d’un soir. Il braque ses yeux sur ce que je lui montre.
Alors doucement je tire sur le chemisier blanc qu’elle porte pour le sortir de son jean trop serré ; saoule, elle se laisse faire incapable de réagir.
- « Tu es trop serrée la dedans, lui dis-je en défaisant la ceinture qui lui enserre la taille. Elle rit bêtement mais se laisse faire.
Notre invité, toujours assis par terre ne perd rien de la scène qui l’a complètement dégrisé.
- « Il faut laisser respirer tout ça… » Et je défais le premier puis le second bouton de sa braguette. Tout en continuant à danser, je la tourne vers le jeune homme. Le voyant, elle lui adresse un sourire béat. Elle est cuite et je la sens incapable de résister.
Alors lentement je finis de défaire les derniers boutons qui retiennent ce putain de jean qui est si serré qu’il reste collé à la taille. Chantal, se met alors à tenter sans succès une danse du ventre. Ses gestes sont cependant très sexy.
Derrière elle, je la soutiens, collée à moi. J’entreprends alors de défaire par le bas les boutons de son chemisier. Notre invité n’en croit pas ses yeux ! Il regarde bouche bée apparaître lentement à la lumière le blanc soutien gorge qui emprisonne la poitrine ferme de la jeune femme.
J’ouvre le chemisier pour dénuder le ventre blanc que le jean ouvert découvre jusqu’à la petite culotte.
Chanta éclate de rire et coquine referme son vêtement comme pour nous provoquer ; puis d’elle même elle écarte les pans du chemisier et s’exhibe à l’inconnu.
Je bande à m’en faire éclater la bite.
Je prends le vêtement aux épaules que je dégage et lui enlève complètement.
Elle est maintenant en soutien gorge, braguette ouverte et quand j’att le bord du jean pour le faire tomber, elle se déhanche pour m’aider dans ma démarche. Très vite le pantalon glisse sur ses cuisses puis ses mollets découvrant son slip blanc dont la légère transparence laisse voir le triangle noir des poils de son pubis.
D’elle même elle soulève un à un ses pieds pour dégager son vêtement. Elle est maintenant en slip et soutien gorge au milieu de la pièce.
Je la maintiens par la taille pour ne pas qu’elle tombe. Le jeune homme la contemple à loisir. Il détaille lentement ses seins, son ventre, son triangle ses cuisses au sommet de ses longues jambes. Je ne me retiens plus.
- « Tu vois comme elle est belle. Elle a corps parfait, à la taille fine, bien marquée. Tout à l’heure c’est son cul qui avait attiré ton regard, je vais te le montrer maintenant ».
Alors doucement, tout en la maintenant, je la retourne offrant son dos à notre jeune voyeur. Chantal, groggy, s’appuie sur mes épaules, incapable de réagir. Un sourire reste figé sur son visage donnant le sentiment qu’elle apprécie d’être exhibée.
D’un signe j’invite notre agent EDF de s’approcher. Timidement il se lève et s’approche. Il se contente de regarder, de sentir ce corps offert à son désir.
- « Baisse lui la culotte, elle ne dira rien. Profites-en ».
Le jeu de employé de l’EDF s’approche timidement. Rassuré sur mes intentions et la passivité de Chantal, il pose délicatement ses deux mains sur le slip et caresse les fesses à peine cachées. Il s’accroupit et approche son visage pour sentir cette peau. Puis n’y tenant plus, il baisse le slip de coton doucement jusqu’au milieu des cuisses, avant de reculer pour mieux contempler la rondeur des fesses qu’il avait repérées tout à l’heure. Il revient vers elles et se met à les caresser doucement puis de plus en plus vertement. Il les écarte, passe un doigt dans la raie culière, descend entre les jambes, passe sur le devant et je sens contre mon ventre sa main qui caresse le sexe de ma femme.
Chantal sous ces caresses reste inerte dans mes bras ; elle s’est endormie et ne réagit plus. On pouvait jouer, r de son corps, elle ne réagirait plus.
Une main sur chaque fesse, il écarte les deux globes, approche son visage et il se met à lécher la raie, partant bien profond pour remonter vers les reins, en passant, il appuie sa langue sur petit trou. Je sens à ce moment là Chantal se réveiller et réagir à la caresse, elle se cambre et avance ses fesses vers ce visage qui la fouille. Car le jeune homme semble obsédé par le cul, le trou, la rosette. Il y fait pénétrer sa langue en la remuant. Il écarte au maximum les fesses, appuie sa tête pour entrer au plus profond du ventre de la femelle. Chantal à l'air d'apprécier car elle se contorsionne sous l'effet de cette langue qui la fouille dans cul. Soudain, le jeune homme lui demande :
- « Pousse, pousse pour t’ouvrir. Je veux sentir ton trou se dilater vers ma langue ». Et je vois la corolle de ma belle se déplier sous l’effet de cette poussée.
- « Pousse encore comme pour chier, allez ma belle livre toi ». Et quand l’anneau se desserre encore plus, le jeune homme y introduit sa langue à la faire disparaître entièrement. Et Chantal de pousser des petits cris de plaisir. Je la sens qui se cambre vers cette langue qui lui fouille les entrailles sans plus aucune pudeur, humiliée d’obéir à cet inconnu. Moi je me retiens de ne pas jouir.
Quand il eut bien profité de son cul, le jeune employé de l'EDF me demande de la retourner. Il lui prend les seins dans ses mains puis se met à les sucer goulûment ; les pointes s‘érigent. Chantal est sensible et ses tétons réagissent à la moindre caresse. Même bourrée elle ressent ces excitations. La salope, elle récupère et cette fois profite elle aussi de la situation.
Le jeune homme abandonne la poitrine et cherche à lui rouler une pelle. Chantal a du mal à livrer sa bouche. Elle résiste, il insiste, certain de son pouvoir. Elle cède et je vois leurs langues qui se mêlent dans un bruit de salive.
Alors, extraordinaire, les mains de ma femme s'emparent de la braguette de l'homme en face d'elle et entreprend de l'ouvrir. Elle écarte le slip, s'empare de la bite qu'elle commence à caresser lentement. Puis je la vois qui la positionne contre son ventre. Elle lève son bassin, écarte légèrement ses cuisses ce qui a pour effet d'ouvrir son sexe tout humide de sécrétions, et dans un coup de reins elle avale dans son ventre le sexe bandé de son jeune amant. Moi derrière je la maintiens tandis qu'il la pilonne s'accompagnant de cris de fauve. Chantal prend du plaisir, je la sens qui rythme son bassin à celui de la queue qui la transperce. Soudain, l'homme accélère son va et viens. Ma femme l'accompagne et quand il se cabre pour lui envoyer sa semence, elle se colle à lui comme pour ne rien en perdre. Je le sens qui jute, qui lui bourre le ventre, lui rempli son sexe de son foutre. Maintenant elle crie, lui demandant d'aller plus loin en elle.
- Vas-y mon salaud, bourre-moi, remplis-moi de ton foutre, ensemence-moi ! »
Soudain, ils se calment, restent collés l'un à l'autre et avec tendresse, il lui donne un baiser sur les lèvres. Quand sa queue s’échappe du ventre qu’elle vient de conquérir et posséder, du foutre s’en échappe, jaune visqueux. Chantal porte une main entre ses cuisses, en récolte le jus qui s’écoule et lentement, en fixant droit dans les yeux son jeune amant, elle la porte à ses lèvres et en suce le jus. Elle répète plusieurs fois ce geste en guise de complicité avec celui qui l’a baisée.
Ma femme vient de se faire baiser devant moi, avec ma complicité par un agent de l'EDF.
Soudain, elle s'échappe et sans un mot part dans la salle de bain.
L'homme débande mais je vois bien que sa bite a une taille bien supérieure à la mienne ce qui explique le pied qu'elle vient de prendre sous mes yeux.
Notre invité se rhabille et amicalement, je le raccompagne. Moi je bande encore au bord de l'éjaculation spontanée.
Sur le pas de la porte il me lance un merci bien sincère.
- « J'ai pris un plaisir fou. Jamais je n'ai senti une femme aussi chaude et mouiller tant. Elle est vraiment extraordinaire et sa peau est d'une finesse... dit-il simplement ». Et il ajoute :
- « Ses fesses ont une forme et une consistance du diable ».
- « Ecoute, ne bouge pas, je vais te donner quelques photos de son cul et tu pourras te branler dessus, à la seule condition que tu me le fasses savoir et me donnes des détails. Tu peux les montrer à tes potes et éventuellement on peut leur faire une projection et même plus... qui sait ».
On se quitte après lui avoir donné quelques images de Chantal à poil.
Quand je la rejoins dans le lit, elle dort profondément. On ne devait jamais parler de cette soirée.
Ma femme est ainsi faite !
Je peux toujours vous la montrer. Demandez.
AL

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