Nadjet
NADJET
Nadjet a déboulé dans ma vie amoureuse à la manière dun oued en crue ; avec fougue et violence. Je travaille dans un grand institut de formation en management, en qualité de directeur dune unité pédagogique qui prend en charge la formation au management de la ressource humaine. Jaime enseigner et entre en salle au moins une fois par mois pour un module de formation de cinq jours daffilée.
Cest au cours dune de ces formations que jai fait la connaissance de Nadjet. Cétait un samedi matin, juste avant la pause de 10 heures 30 mn, quune belle plante denviron trente ans, débarqua dans la salle de cours avec plus dune heure de retard sur lhoraire prévu. Elle fonça droit sur moi et, sans sembler être gênée de perturber ainsi le cours, dit à haute voix pour être entendue de tout le monde :
- Je mappelle madame Nadjet X. Je suis inscrite à cette formation par mon employeur Y. Je nai pas pu arriver à lheure à cause de tous les embouteillages quil y a sur la route. Jai démarré très tôt ce matin, à six heures. Je viens de loin, de Chlef, près de 250 km dici.
- Vous aurez pu attendre la pause pour nous rejoindre, lui fis-je remarquer. Mais puisque vous êtes là, soyez la bienvenue et asseyez-vous à cette place encore libre.
Elle alla sassoir, pas gênée du tout de la remarque. Au contraire, elle semblait très à laise et avait sur les lèvres un petit sourire moqueur. Pendant quelle se présentait, jeus tout le loisir de lobserver. Cétait vraiment une belle plante ; une plante épanouie, qui semblait avoir reçu tout ce qui lui fallait de la vie et qui paraissait faire partie de ces personnes qui aiment la vie et qui la croquent à belles dents. Son visage, qui seul avec ses mains étaient visibles, était vraiment lumineux ; on dirait même quil participait à léclairage de lendroit dans lequel elle se trouvait. En admirant son visage rayonnant, je me faisais la remarque, quavec elle dans les environs, il ne pouvait y avoir aucun lieu noir ou seulement sombre.
Physiquement, elle était grande et plantureuse. Elle était vêtue dune tenue islamique moderne. Cest-à-dire quelle cachait sa chevelure sous un khymar (foulard) aux couleurs chatoyantes, qui lui enserrait et mettait en valeur son visage. Elle avait un visage ovale réellement beau: dimmenses yeux très clairs (noisette tirant sur le vert deau), surmonté de longs cils naturels et non maquillés et de sourcils très fins, soigneusement épilés et soulignés très discrètement au crayon noir. Un nez un peu long, mais bien droit, qui ne dépareillait nullement lensemble. Un menton aux lignes douces mais fermes, qui indiquaient un caractère entier et volontaire. Et une grande bouche gourmande à la sensualité torride : sensualité que lui donnaient des lèvres magnifiquement ourlées qui souvraient sur deux rangées de petites dents de carnassier, brillantes de blancheur et donnant un aperçu de son envie de tout croquer sur son passage.
Les pommettes légèrement roses et saillantes, ajoutaient à la beauté de ce visage. Il faut dire que le khymar aux belles couleurs chatoyantes quelle portait avec élégance, et qui cachait non seulement la chevelure, mais aussi les oreilles et le dessous du menton, attirait lattention et forçait lobservateur à admirer la beauté de ce visage éclatant de lumière. Tout le reste du corps, à lexception des mains, était caché sous une élégante tenue, dinspiration islamique mais qui sans rien montrer, laissait deviner un splendide corps aux formes plantureuses et opulentes. Le choix des tissus et des couleurs rendait donnait à sa tenue une gaité que les tenues islamiques traditionnelles navaient pas.
Elle portait une longue tunique en tissu léger, de couleur flashy, à dominante bleu-clair, qui descendait jusquà mi-cuisses, pour cacher les rondeurs des hanches et du fessier. En fait ni la tunique, ni la longue jupe qui arrivait jusquaux talons, et qui était de la même couleur et du même tissu, ne parvenait à cacher quelle avait une poitrine arrogante, des hanches larges et des fesses bombées dafricaine.
Nadjet alla donc sassoir à la place que je lui avais désignée. Elle suivit le reste du cours, jusquà la pause de 10 heures 30 mn, sans rien dire. A la pause, tandis que tous les autres stagiaires allaient prendre qui un thé, qui un café (ou aller aux toilettes pour ceux qui en avaient besoin), elle vint vers moi de son pas chaloupé et nonchalant. Je sentis une petite émotion menvahir, sans que je puisse en définir le sens.
- Je mexcuse encore une fois pour la perturbation de tout à lheure. Ce nétait vraiment pas volontaire. Je ne sais pas si jai raté quelque chose dimportant en ce début de matinée. Je ne crois pas trop, puisquil ne sagissait que de lintroduction au module.
- Oui mais cest important parce que lintroduction pose toute la problématique du management moderne de la ressource humaine.
Tout en parlant, je ne pouvais mempêcher de regarder sa bouche si sensuelle et résister à lenvie irrépressible de lembrasser. Cest aussi à ce moment là que je découvris lodeur quelle dégageait. Contrairement à la majorité des femmes qui se parfumaient - souvent avec des parfums entêtants - Nadjet dégageait une superbe odeur de propre. Cétait du moins ainsi que je qualifiais son parfum : celui dune savonnette ou dun gel douche de bonne qualité. Ce parfum ajoutait à mon émoi, au désir de la prendre dans mes bras pour la humer, comme un animal en rut hume sa femelle. Lodeur de « propre » ma toujours fait cet effet. Depuis ma prime jeunesse, jadorais le parfum (lodeur ?) des filles et des femmes qui sortaient du hammam : pour moi cétait un parfum aphrodisiaque, la source dune grande partie de mes fantasmes sexuels.
Nadjet sétait très vite rendu compte de mon émoi et elle semblait sen amuser. Son sourire ironique et provoquant sétait accentué et son regard était devenu malicieux. Jessayai vainement de penser à autre chose. Je lui proposai daller prendre un thé, non pas dans le grand hall de lInstitut comme tous les stagiaires et enseignants, mais dans mon bureau, où je disposais dune machine qui faisait du bon café et du bon thé. Elle accepta avec empressement. Nous allâmes donc dans mon bureau et tout en sirotant, elle un thé au citron et moi un café très fort, nous parlâmes delle. Je lui posai des tas de questions sur sa vie professionnelle -dabord, pour ne pas paraître trop indiscret puis sur sa vie personnelle. Jappris ainsi quelle était chef du service de gestion des ressources humaines dans une direction régionale dune société publique de téléphonie mobile ; quelle aimait son travail ; quelle attendait une promotion à un poste de chef de département qui allait se libérer.
- Cest pour cela dailleurs, que jai été inscrite pour ce Master en Management des Ressources Humaines et que je vais passer au moins dix-huit mois, dans votre institut.
- Vous êtes bien entendu mariée !
- Mariée avec une petite fille de quatre ans qui est restée avec son père et sa grand-mère paternelle. Cest la seule chose qui me gêne dans ma situation actuelle : quitter ma fille, tous les mois pendant cinq jours daffilée ! Mais elle est entre de bonnes mains ; son père qui ladore et quelle adore ; sa grand-mère qui elle aussi ladore et sest toujours occupé delle.
- Et le mari dans tout cela ? Il accepte facilement la séparation ?
- Il maime et il veut pour moi, ce quil y a de mieux ! Je lui ai présenté cette formation comme une opportunité quil ne faut absolument pas rater. En fait, il ny a pas que la formation qui mintéresse dans cette affaire. Jai senti un besoin irrépressible de faire un break et de méloigner un peu du train-train pesant de la vie quotidienne.
- Non ! Je pense tout à fait le contraire ! Est égoïste celui (ou celle) qui sait quil est trop fatigué, trop stressé pour être au top. Qui sait quil a besoin de souffler un peu pour pouvoir rétablir ses équilibres internes et qui ne fait rien, par peur de décevoir son entourage, ou par lâcheté. Je crois réellement que dans la vie, il faut savoir sarrêter pour souffler. Il faut savoir faire autre chose.
- Merci de me comprendre ! Je nai rien dit de tout cela à mon mari ! Avec lui, je nai mis en avant que mon envie de percer sur le plan professionnel. En réalité, même si je laime profondément, ma vie avec lui ces derniers temps est devenue fade.
- Tu veux dire, sur le plan du train-train quotidien ? Ou même dans la relation plus intime ?
- Même dans la relation plus intime !
- Sexuelle ?
- Oui ! Je ne sais pas pourquoi je te dis cela à toi que je ne connais pas. Mais jai tout de suite eu la certitude que je pouvais te faire confiance. Depuis, maintenant une année, je sens quil me manque quelque chose de fort pour atteindre mon équilibre sexuel. Mon mari et moi faisons lamour assez souvent ; mais à chaque fois, depuis au moins la naissance de notre fille, je narrive pas à être satisfaite sexuellement. Il me reste toujours comme une frustration.
- Tu ne jouis pas assez ?
- Je ne jouis pas du tout ! Jai honte davouer cela, mais il marrive de me caresser après lacte pour jouir un peu. Il mest même arrivé dutiliser une carotte ou un concombre ! Je te choque, nest-ce pas ?
- Pas du tout ! En fait tu mémeus ! Parce que tu as le courage de texprimer sur ce sujet et davouer ce que beaucoup de femmes vivent mais quelles refusent davouer. Mais il est tard, il est temps de retourner en salle. Nous reparlerons de tout cela, ce soir autour dun bon repas. Tu viendras dîner avec moi dans un petit restaurant des environs. Tu veux ?
- Avec plaisir !
Je pris sa main droite dans la mienne, pour une caresse très légère, avant dy déposer un baise, léger lui aussi. Sa main était aussi douce que je lavais pensé. Elle est faite pour caresser.
Nous retournâmes en salle. Je repris le cours là où je lavais arrêté. Je vis avec plaisir que notre début de relation navait en rien affecté lintelligence, ni les connaissances, ni la capacité de participation de Nadjet. Elle intervenait souvent, soit pour poser des questions, soit pour faire part à lassistance de son expérience dans le domaine, soit seulement pour commenter une phrase ou une des affirmations que je lançais en tant que formateur. Elle nétait bien sûr pas la seule à intervenir dans le cours, mais cétait elle qui le faisait le plus souvent et dont les remarques étaient les plus pertinentes. Ses collègues avaient rapidement accepté son leadership dans le groupe.
Au repas de midi, tout le groupe mangeait ensemble à une table qui lui était réservée dans la salle de restaurant de lInstitut. Tout le monde avait fait connaissance et se regroupait selon les affinités. Jétais au bout de la table (comme si je présidais une réunion) et Nadjet à lautre bout. Nous nous faisions face. Cela nous permettait de nous observer discrètement sans attirer lattention. De temps en temps, quand je levai la tête de mon assiette, je la surprenais qui me regardait, le regard voilé comme si elle pensait à des choses interdites. Cétait aussi mon cas. Et des choses interdites, il en défilait des tas dans ma tête : je voulais embrasser cette magnifique bouche, y faire pénétrer ma langue et aller à la rencontre de la sienne, dont le bout sortait de temps en temps pour humidifier ses lèvres ; jimaginais le gland de mon sexe se promener entre ses lèvres magnifiques et appétissantes; jimaginais sa langue entrain de titiller mon gland et lécher toute la hampe. Jimaginais tellement de choses que mon sexe sétait subitement mis en érection. Et quelle érection ! Heureusement que jétais assis, sinon tout le monde aurait vu le mât de tente que mon sexe faisait sur le devant de mon pantalon. Je mis un temps fou à me calmer. Jessayais de discuter avec mes voisins de choses sérieuses - quelles aient ou non trait au cours - pour obliger mon esprit à se concentrer sur autre chose que sur Nadjet. Jy arrivai très difficilement. Javais hâte dêtre à la fin de la journée, pour me retrouver avec elle et entamer une relation amoureuse.
La journée passa cahin-caha, trop lentement à mon goût. Il me semblait même que, contrairement à mon habitude, je manquai de punch et métais laissé surprendre par des questions anodines auxquelles je répondis mal. Mon esprit était trop plein de cette femme, que maintenant je voulais totalement à moi. A la fin du la journée de cours, Nadjet était restée la dernière à sortir, pour prétendit-elle, me poser des questions sur des choses quelle navait pas bien assimilées. En fait, cétait pour me dire quelle devait aller dans la chambre dans la résidence de linstitut, pour téléphoner à sa fille et se changer pour venir manger avec moi. Comme il était encore trop tôt pour le restaurant, je lui demandai de me rejoindre dans mon bureau. Je devais effectivement préparer la séance du lendemain et régler quelques problèmes dordre administratif. Quand elle me rejoignit, environ une heure plus tard, les bureaux de linstitut sétaient vidés. Il ne restait plus que les gardiens, probablement, le directeur général qui avait lhabitude de travailler tard. Et bien entendu Nadjet et moi.
Je la reçus dans le bureau en lui proposant un thé ou une quelconque autre boisson, quelle refusa gentiment. Je lui demandai de sassoir sur un des fauteuils du salon qui entouraient une table basse au fond du bureau. Elle choisit le grand sofa et sy installa à laise. Nous nétions pas très à laise. Javais limpression que cétais mon premier rendez-vous amoureux et que je ne savais pas comment my prendre pour dégeler latmosphère. Javais le cur qui battait un peu la chamade ; jétais vraiment très ému. Dhabitude, jy allais franchement ; je navais ni trac, ni gêne. Mais aujourdhui, cétait comme sil sagissait de vie ou mort. Et puis, en voyant son lumineux sourire, que je pris pour une invitation à me rapprocher delle, je me secouai et allai vers elle. Je me mis à genoux devant elle, lui saisit les deux mains pour les couvrir de baisers chauds et mouillés.
Cela semblait beaucoup lamuser. Elle riait en abandonnant ses mains à ma bouche gourmande. Jen embrassai le dos et les paumes ; surtout les paumes dailleurs qui me paraissaient si douce et si chaude. Je voulais quelle me caresse le visage. Je forçai sa main droite à aller à la rencontre de mon visage et lui fit faire le mouvement de le caresser. Elle comprit très vite et effectivement, elle se mit à me caresser le visage. Mon Dieu ce que sa main était douce ! On aurait dit celle dun bébé. Et puis tout saccéléra. Je pris son visage entre mes mains et me mit à lembrasser ; sur le front, les joues, les yeux, le nez, la bouche. La bouche qui était depuis le matin devenue une obsession pour moi.
Je posai mes lèvres sur les siennes dans le but dy déposer un petit baiser. Cétait sans compter sur Nadjet, qui voulait participer et me montrer quelle savait embrasser. Nos lèvres se rencontrèrent et saspirèrent comme des ventouses. Je voulais faire pénétrer ma langue dans sa bouche en forçant ses dents à sécarter, mais elle me précéda et cest sa langue qui vint se nicher dans ma bouche. Une langue chaude, humide et tellement agile ! Elle alla à la rencontre de la mienne pour la chevaucher, lenrouler, la titiller et ramasser au passage toute la salive que ma bouche secrétait. Cétait tellement bon ! Je bandais comme un étalon. Mon sexe était dur comme de la pierre et commençait à me faire mal.
Entretemps ma langue avait réussi à pénétrer dans la bouche de ma belle et lui rendait la pareille. Je mabreuvais jusquà satiété, de la salive douce sucrée de Nadjet. Cétait délicieux. Le baiser dura une éternité ; il ne sarrêta que quand elle et moi avions atteint les limites de l. Elle me regarda avec sur les lèvres un sourire de satisfaction. Elle prit ma main droite pour la porter sur sa poitrine ;
- Caresse-moi les seins ! fit-elle en appuyant sur ma main pour que je palpe sa poitrine à travers le tissu de la tunique bleue quelle avait gardée.
Je palpai ses gros seins dont je sentais la fermeté à travers la tunique et le soutien gorge. Cela ne me satisfaisait pas. Je voulais la débarrasser de la tunique et du soutien gorge. Je le lui dis.
- Nous nallons tout de même pas nous déshabiller, ici dans ton bureau. Un gardien pourrait entrer et nous surprendre ! Met ta main sous la tunique et caresse-moi !
Je fis ce quelle me commandait de faire. Jintroduisis ma main sous le tissu de la tunique, puis directement sous le soutien gorge et me trouvai en contact dune peau de bébé et dun sein de bonne taille et à la fermeté dun sein de jeune fille. Mon sexe, au contact du sein, grossit encore plus. Son excitation était à son paroxysme. Il avait besoin de sexprimer, là tout de suite ! Je me retins et continuai mes caresses, en my prenant à deux mains : chacune pour un sein. Je dénudai totalement la magnifique poitrine de Nadjet en relevant la tunique jusque sous son menton. Je palpai, tâtai et titillai les tétons de ma belle qui commençait à pousser des petits roucoulements de colombe. Elle était aux anges !
- Tète-moi ! Tète-moi, mon gros bébé !
Quel bonheur ! Téter une belle femme comme Nadjet ! Se faire appeler mon bébé ! Je lançai ma tête et ma bouche sur cette belle proie et me mis à téter et sucer comme un bébé affamé ; en passant dun sein à lautre et vice versa. Nadjet me tenait la tête pour quelle ne quitte pas la position. Elle avait arrêté de roucouler et sétait mise à gémir. Des petits gémissements rauques et tellement sensuel. A les entendre, mon bas ventre se mit à me faire mal, tant il était excité.
- Narrête pas mon bébé ! Narrête-pas ! Continue ! Cest bon ! Cest super ! Caresse-moi en bas en même temps ! Je coule comme une fontaine !
- Oui, mon amour ! Laisse-moi voir ton paradis !
Sans attendre de réponse jenvoyai ma main droite vers le bas de sa jupe et la fit pénétrer entre ses jambes, puis entre ses genoux pour atteindre son entrecuisse protégé par une petite culote en soie. Je ne voyais rien, mais la chaleur et la douceur qui soffraient à ma main suffisaient pour me faire découvrir le jardin dEden. Elle disait vrai en maffirmant quelle coulait comme un robinet. Le fond de sa petite culotte était tout trempé. Jentamais des caresses avec deux doigts par-dessus le tissu de la culotte. Le contact de mes doigts avec sa chatte, avait fait pousser à ma belle un petit cri de plaisir. Elle tendit tous ses muscles et releva son bassin pour que le contact avec mes doigts soit plus fort. Elle avait repris ses gémissements rauques et je sentais quelle dodelinait de la tête comme pour suivre le mouvement de mes doigts sur sa chatte et ma bouche qui passait dun sein à lautre. De temps en temps, je lentendais bafouiller quelques mots incompréhensibles.
Mes doigts continuaient leur exploration entre les cuisses de ma mie ; sur la culotte. Imperceptiblement, ils cherchaient à écarter le bas de la culotte pour avoir directement accès aux grandes lèvres et au vagin. Elle répondit à la pénétration de mes doigts dans son vagin en remontant encore plus haut son bassin et en murmurant :
- Ouiiiiii ! Comme cela, cest encore mieux ! Oui, continue, ne tarrête pas ! Mets-y tous tes doigts ! Branle-moi fort ! Plus fort !
Ma main commençait à me faire mal, tant elle était dans une position inconfortable. Mais je ne voulais ni arrêter, ni même changer de position. Je voulais donner à mon amante une première jouissance. Je sentais quelle se retenait pour ne pas jouir. Et moi je voulais absolument quelle ait une première jouissance avec mes doigts. Javais, tout en la caressant échafaudé un plan : lui faire connaître un premier orgasme en la masturbant ; un second en la suçant et un troisième en la tirant. Cela avant de tout reprendre, chez moi, pendant la nuit. Jaccélérai donc le mouvement de mes doigts dans sa chatte en allant le plus souvent possible à la rencontre de son clitoris, jusquà ce que je la sente se raidir et exploser. Elle eut un énorme râle et déchargea sur ma main, en une seule fois, tout le jus que ses glandes avait fabriqué au cours de lopération.
- Jai joui, comme une pute ! Jai honte de moi !
- Tu as joui comme une femme qui a pris du plaisir avec un homme qui lui plait. Ce nest quun début, mon amour. Jai décidé de te faire atteindre le paradis, avant même que lon aille manger. Je vais te faire monter au ciel avec ma bouche. Enlève ta culotte et laisse-moi sucer ta chatte. Si tu nas jamais fait cela, je vais te faire découvrir une autre manière de prendre ton pied.
- Si jai été sucée par mon mari, mais il na jamais réussi à me faire jouir comme cela. Moi je crois que je ne jouis que par la pénétration.
- Cest parce quil na pas su sy prendre. Tu es belle ! Je nai pas encore vu ta chatte, mais je suis archi sûre quelle est magnifique et attirante. Et puis tu sens tellement bon ! Si avec de telles conditions, je narrive pas à te donner du plaisir avec ma bouche, cest que je suis un incapable.
Elle mécoutait en souriant aux anges, sans rien dire. Je lui fis remonter sa jupe et le long jupon noir quelle portait en dessous, sur sa poitrine et découvrit en même temps ses longues jambes superbement galbées, ses genoux ronds et brillants, ses longues cuisses blanches et fermes. Je caressai le tout un moment, puis me décidai à remonter vers la source de la vie : son entrecuisse. Elle portait encore sa culotte que ma main avait écartée auparavant pour pouvoir la masturber à laise. Je voyais, sous le bord écarté ses grandes lèvres longues et gonflées, entrouvertes sur de petites lèvres palpitante de couleur rouge vif. Mon sexe eut un sursaut à cette vue de paradis, comme pour me rappeler quil voulait sa part.
- Enlève ta culotte ! Sinon je la déchire !
Elle releva ses hanches, plaça ses doigts de part et dautre de lélastique et dun geste rapide elle fit descendre le bout de tissu le long de ses cuisses et de ses jambes. La culotte resta sar ses chevilles. Cest moi qui finis le geste en lenlevant complètement. Le spectacle qui soffrit à moi était paradisiaque. Surtout quelle avait maintenant relevé ses jambes et ses cuisses quelle a maintenant posées sur son ventre, offrant à ma vue le spectacle de sa vulve palpitante et de son anus brun serré. Je ne savais plus quoi faire. Dune part je voulais la pénétrer immédiatement et jouir en elle comme une bête. Dun autre côté son anus serré mattirait comme un aimant surtout quil semblait encore vierge. Et enfin je me rappelais lui avoir promis un cunnilingus denfer. Je lui dis que je voulais tout lui faire en une fois.
- Ce que je vois est tellement bandant que jai envie en même temps de te tirer comme une bête, de téclater lanus et de te sucer la chatte ! Que préfères-tu ?
- Les trois ! Je nai encore jamais été sodomisée ! Cela fait partie dailleurs des fantasmes que jai toujours eu envie de vivre ! Cest le moment ! Mais je préfère que cela ne se fasse pas ici au bureau ! Chez toi, cette nuit, si tu veux. !
Je me décidai donc pour le cunnilingus. Je voulais donner à ma belle une bonne image de moi. Pas celle dun malade sexuel, prêt à tout pour assouvir ses pulsions. Je me plaçai donc entre ses cuisses et posai ma bouche sur sa chatte. Jentrepris dembrasser ses grandes lèvres de la même manière que si cétait sa bouche. Je sentis Nadjet remonter ses hanches et les bouger lentement comme pour répondre à mon baiser. Je lentendais, de manière assourdie, pousser de petits gémissements de plaisir.
Avec deux doigts, jécartai les grandes lèvres pour avoir accès aux petites lèvres, aux clitoris et au vagin. Je lançai ma langue à lassaut. Pendant que je suçai et tétai cette vulve au goût légèrement salé et à lodeur enivrante, ma langue titillait le clitoris et léchait les parois du vagin auxquelles elle avait accès. De temps en temps, jutilisais mes dents pour mordiller les petites lèvres et surtout el clito. Ma belle était aux anges. Elle semblait navoir jamais goûté à un tel plaisir. Elle soulevait ses hanches et les balançait au rythme de ma bouche sur sa chatte ; elle gémissait de plus en plus fort et de plus en plus vite. Son souffle était devenu tellement rapide que jeus peur un moment quelle nétouffât. Je sentais quelle dodelinait de la tête, tout en haletant. Ses mains se faisaient de plus en plus pesantes sur ma nuque, comme si elle voulait faire pénétrer toute ma tête dans son vagin.
Et puis je nentendis plus rien ; elle simmobilisa pendant quelques secondes, tous les muscles tendus comme les cordes dun arc et soudain elle explosa dans ma bouche en râlant et en criant :
- Je jouiiiiis ! Cest bon ! Cest merveilleux ! Je jouiiiis ! Merci ! Merci, mon amour ! Merciiiiiiiii !
En même temps quelle jouissait et criait, elle pressait sur ma nuque et obligeai ma tête à des mouvements désordonnés sur sa chatte. Quand elle sarrêta et que je pus relever ma tête et reprendre mon souffle je regardais ma belle qui avait fermé les yeux et continuait de vivre son plaisir. Elle avait les joues remplies de salive. Je massis à ses côtés et me mis à lui lécher les joues pour boire la salive qui sy trouvait encore. Elle ouvrit les yeux, me regarda avec des yeux remplis de tendresse et, je crois, de reconnaissance et me lança son merveilleux sourire lumineux.
- Je ne croyais pas cela possible, de jouir autant, par lintermédiaire dune bouche dhomme ! Je ne crois pas avoir eu un tel orgasme, même avec le sexe de mon mari. Je crois que je suis une femme perverse, qui ne jouit vraiment que dans le vice et dans des situations immorales. Je ne crois pas quavec mon mari, même sil sy prend aussi bien que toi, je puisse atteindre un tel degré dorgasme. Je viens de découvrir que mes fantasmes tournent tous autour des situations dadultère. Jai découvert que je ne prends de plaisir quavec un amant. Cest affreux ! Quest-ce que je vais devenir ?
- Ma maîtresse ! Ma merveilleuse maîtresse ! Nous avons au moins deux années à passer ensemble. Même si ce nest quau rythme de cinq jours par mois ! Imagine ce qui nous attend comme bonheur !
- Ce sera merveilleux ! Mais je viens dy penser : jai déjà joui deux fois avec toi et toi tu nas pas encore joui une seule fois ! Baise-moi tout de suite pour assouvir lengin que je vois pointer dans ton pantalon.
Effectivement mon engin avait atteint le paroxysme de lérection. Il bandait tellement quil voulait sortir du pantalon. Il me semblait quil allait éclater tant il était tendu. Mais comme lheure tournait, et quil fallait que lon quitte le bureau sans que les gardiens ne soupçonnent quoi que ce soit, je dis à ma belle quil était temps daller manger et quau retour, dans mon antre à moi, nous allons assouvir tous nos désirs, toutes nos perversions. Nadjet remit de lordre dans sa tenue et me permit de me rappeler que je ne lavais pas encore vue sans son khymar. Je ne savais toujours pas à quoi ressemblait sa chevelure ; de quelle couleur elle était, ni comment elle était coiffée. Je le lui dis. Elle sourit et me dit quau retour, chez moi, elle me montera tout ce que je voudrai. Nous partîmes donc manger dans un gentil petit restaurant au bord de mer, qui servait du poisson frais et dont je connaissais bien le patron. Nous mangeâmes avec appétit tout ce que le cuisinier avait préparé spécialement pour nous, et rentrâmes à la maison dans lappartement que joccupais, à quelques encablures de lInstitut vers vingt deux heures.
Le dîner nous avait redonné des forces. Dès que nous franchîmes le seuil de la porte de lappartement, je ne sus lequel des deux sauta sur lautre. Sans me vanter, je crois que cétait elle qui sélança sur moi pour moffrir un de ses baisers torrides qui avait le don de réveiller le cochon qui sommeillait. Elle mentraîna vers la chambre, dont dinstinct, elle avait deviné lemplacement, et se mit à me déshabiller.
- Jai hâte de te voir nu ! De voir ton manche ! Jai déjà senti quil était énorme ! Mais je veux men assurer !
Tout en parlant elle menleva la veste, puis la chemise, puis le maillot de corps. Fébrilement elle sattaqua à la ceinture du pantalon, à la braguette quelle ouvrit totalement. Elle fit entrer sa main à lintérieur du slip et prit le monstre pour lui faire quitter sa tanière. Il avait déjà atteint de bonnes proportions. Elle le sortit et se mit à ladmirer.
- Il est aussi beau que je limaginai ! Il est superbe ! Il est gros et grand, mais il ne fait pas peur. Il nest pas plein de vaisseaux ; il nest pas noir ; il est lisse et long ; Je crois quil ne me fera pas trop mal quand il menculera ! Nest-ce pas quil va menculer !
- Bien sûr quil va tenculer ! Iva téclater le fion ! Et il sera très heureux ! Tu le sens comme il palpite en entendant quil va pénétrer entre tes fesses ! Quil va défoncer ton gros cul ! Déshabille-toi ! Commence par ton khymar ! Je veux voir tes cheveux.
Dune main experte, elle enleva toutes les épingles à têtes perlées qui maintenaient le foulard et dun geste à lélégance naturelle, elle ôta le khymar pour libérer une opulente chevelure châtain très clair, presque blonde, qui vint sétaler par vagues sur ses épaules. Elle était encore plus magnifique comme cela.
- Cest criminel de cacher une telle splendeur !
Elle ne répondit pas. Elle continua à se déshabiller doucement comme dans une séance de strip-tease torride. Elle se débarrassa dabord de sa tunique, puis de son soutien gorge et resta un moment à me faire admirer son opulente poitrine dont les seins, pourtant volumineux, pointaient vers moi comme des canons. Elle attendait de voir leffet que le spectacle avait sur moi pour continuer. Satisfaite de voir mes yeux exorbités, elle continua leffeuillage en sattaquant à la jupe, dont elle dégrafa le bouton et ouvrit la fermeture avant de la faire glisser sur ses chevilles par un mouvement de hanches des plus érotiques. Elle était maintenant en jupon quelle fit glisser avec ses doigts jusque sur ses mollets et enleva totalement en soulevant un pied, puis lautre. A ma grande surprise elle était toute nue : elle navait pas remis la culotte quelle avait enlevée tantôt dans mon bureau.
Nadjet était vraiment une superbe plante. Jétais heureux de posséder un tel bijou. Elle était bandante à souhait. Nous étions totalement nus tous les deux. Mille pensées me traversaient lesprit. Je voulais tout lui faire en même temps : la culbuter comme cela, sur le lit et la tirer sans préalable ! La retourner et la mettre en position pour lenculer ! La tirer par la bouche comme sil sagissait de son sexe ! Me faire faire une fellation denfer et jouir dans sa bouche ! Je voulais tout cela, et dautres choses encore, en même temps ! Et puis je massagis un peu, en me disant que cette nuit là sera la sienne. Je me réserverai toutes les autres nuits pour mon seul plaisir.
- Je vais te faire jouir par le cul ! Je vais te faire un peu mal pour la première fois, mais tu verras que tu en redemanderas !
- Oui, mon amour, encule-moi ! Je te promets dêtre courageuse !
Je la fis mettre en position à quatre pattes en travers du grand lit, la croupe relevée de manière à être au niveau de mon pénis. Cette croupe qui soffrait à moi, par sa rondeur, par sa fermeté rappelait celle dune jeune pouliche, prête pour la saillie. Nadjet se renait come cela à quatre pattes et de temps en temps, elle tournait la tête inquiète de ce que jétais entrain de préparer. Je commençai par déposer un baiser sur ses fesses et à promener ma langue entre elles en insistant sur lanneau de son anus. Je me devais dabord de le lubrifier lui dis-je, pour ne pas trop lui faire mal. Sa chatte nétait pas encore fortement mouillée pour que je puisse utiliser sa mouille pour en enduire lentrée de son cul. Jutilisais donc ma salive, que dabord jessayais de disposer par ma langue. Ce nétait pas chose facile. Jutilisais donc mes doigts que je remplissais de salive et en enduisais la rondelle. Petit à petit je faisais pénétrer un doigt à lentrée du boyau et le faisais jouer à lintérieur pour en élargir lentrée. Puis jy introduisais deux doigts ; difficilement, dabord, puis de plus en plus aisément. Je sentais ma belle qui se crispait à chaque pénétration, craignant la douleur. Mais je my pris tellement avec douceur, quelle commença à bouger ses fesses au rythme de mes deux doigts dans son cul.
Quand je jugeai que lendroit était assez ouvert et lubrifié pour laisser entrer mon engin, je mouillai le gland et le positionnai à lentrée. Jattrapais fermement les hanches de ma belle et doucement, je donnai une première pression à mes hanches pour faire pénétrer le bout de lengin de quelques centimètres.
- Aie ! Doucement ! Tu mas fait mal !
Je marrêtai quelques secondes, puis redonnai une seconde pression, un peu plus forte, pour gagner encore quelques centimètres. Jarrêtai encore, le temps que le cul de ma belle shabitue à cette présence étrangère et redonnait un autre pression, plus forte de manière à ce que mon pubis vienne cogner contre ses fesses.
- Aie ! Ça fait très mal !
Je restai au fond du cul sans bouger et lançait ma main droite vers sa chatte, pour entamer une petite masturbation superficielle au début et un peu plus profonde par la suite. En fait jaurai bien aimé aller plus en profondeur dans son vagin, mais mon bras nétait pas assez long. Nadjet compris ce que je voulais faire et entrepris de maider en me prenant la main et en obligeant mes doigts à aller plus profondément à lintérieur de sa chatte. Cest elle qui indiqua à ma main les mouvements qui lui plaisaient le plus. Elle se retourna, me regarda et menvoya son merveilleux sourire.
- Comme cela cest très bon ! Jadore que tu me masturbes par devant et que tu enfonces ton gros zob dans mon cul ! Continue comme ça, je sens que je vais jouir comme une folle !
Quand je sentis que ma belle sétait laissé prendre au jeu et quelle commençait à aimer ce que je lui faisais, je fis faire à mes hanches de petits mouvements de va-et-vient au fond du boyau, rien que pour lhabi à sentir mon engin bouger en elle. Je lentendis qui commençait à gémir de plaisir. Elle sentait maintenant mes doigts dans son vagin qui rencontraient furtivement mon engin à chacun des petits allers-retours.
- Cest magnifique ! Cest comme si tu me baisais et menculais en même temps. Cest très bon ! Et ça ne fait pas très mal ! Va plus vite par devant et par derrière !
Jen profitai pour accroître lampleur du va-et-vient dans son cul. Jy allais encore en douceur en accroissant de plus en plus lampleur du mouvement. Ma belle aimait vraiment ! Elle gigotait ! Elle bavait ! Elle tournait la tête pour regarder ce que je lui faisais ! Et elle gémissait de plus en plus fort ! Je me mis donc à faire aller plus vite mon sexe dans son cul et mes doigts dans son vagin. Ils se rencontraient maintenant plus longuement, me donnant à moi limpression dêtre masturbé à lintérieur même du cul de ma belle. Quelle sensation ! Jy allais maintenant en force. Je ahanais comme un bucheron en la tirant comme cela à la hussarde. Et elle, elle gémissait, criait, dodelinait de la tête et bavait de plaisir.
- Encore ! Encore ! Ne tarrête surtout pas ! Encule ta pute ! Fais mal à ta pute ! Dis-moi que je suis une pute ! Je veux que tu me dises que je suis une pute !
- Oui tu es une pute ! Tu es ma pute ! Une pute rien quà moi ! Une merveilleuse petite pute vierge du cul ! Tu sens mon zob dans tes boyaux ?
- Oh oui ! Ton zob ! Ton magnifique zob ! Ton zob qui va cracher tout son sperme dans mon cul ! Tu men laisseras un peu pour la bouche ! Je veux boire ton sperme ! Boire ton speeermmme ! Je vais jouiiiiir ! Je vais décharger ! Je jouiiiis !
Et ma merveilleuse Nadjet simmobilisa, tous les muscles tendus comme des cordes darcs et au bout dune éternité, partit dans un immense orgasme accompagné dun long râle venus des profondeurs de son corps. Elle déchargea sur ma main des litres de jus, continua de gémir un moment sous mes coups de boutoir que je navais pas arrêté et sarrêta vaincue par la fatigue. Je navais pas eu le temps de jouir en elle ; javais été surpris par la rapidité avec laquelle elle avait atteint lorgasme. Je restai un moment dans la même position, puis sortit mon sexe de son anus pour le plonger immédiatement dans son vagin. Elle était toujours à quatre pattes et me permettait ainsi de la piner en position de levrette.
Mon Dieu que le vagin de ma belle était accueillant, visqueux, chaud et doux ! Nadjet me laissa entrer en elle sans trop sen apercevoir au début, tant elle était dans une autre monde : celui de la béatitude totale. Puis petit à petit elle ressentait la force du bélier qui était en elle et qui la pinait sans retenue. Ses sensations recommençaient à la titiller ; la chaleur de mon zob, sa rigidité et sa force, réveillait son désir. Elle se remit à ronronner doucement, puis à bouger ses hanches, puis à gémir, puis à se retourner pour me regarder le tirer.
- Tu as un zob merveilleux ! Il nest jamais fatigué ! Tire-moi comme cela ! Tu vois comme je suis excitée ! Tu vois comme ma chatte a soif dun gros zob dhomme ! Tu vois comme elle est offerte ! Jaime être baisée comme ça par un homme, par devant et par derrière ! Je vais encore jouir comme une folle ! Comme une pute ! Je suis une pute ! Je suis une chienne ! Je suis une chienne ! Dis-moi que je suis une chienne qui aime les gros zobs ! Dis-moi ! Dis-moi ! Dis-moooooiiiii !
Je sentais quelle allait encore jouir. Je voulais moi aussi ma part de jouissance. Jaccélérai donc le rythme en lamplitude de mes va-et-vient en faisant sortir totalement lengin pour le réintroduire immédiatement et lenfoncer totalement. Quatre ou cinq mouvements suffirent à la faire décharger encore une fois très fort et à me faire exploser comme une bombe. Jeus un râle de mourant et déversa dans le vagin de ma belle une première giclée dun sperme épais, visqueux et brûlant. Je retins la deuxième giclée et les autres que je sentais venir. Je sortis du vagin, retournai Nadjet de manière à me faire face et en me masturbant je lui envoyai une rasade sur le visage. Elle comprit immédiatement mon désir et ouvrit largement la bouche pour avaler la troisième et la quatrième giclée. Elle but avec délice le sperme et me regarda avec des yeux triomphants comme pour me dire :
- Tu vois jaime ton sperme et je le bois avec gourmandise.
Elle regarda le sperme qui était tombé sur son ventre, le ramassa avec ses doigts quelle se mit à lécher en me regardant de manière provocante.
- Tu trouves que je me comporte comme une pute ? Nest-ce pas ?
- Jadore ton comportement ! Si cest cela le comportement dune pute, alors vivent les putes !
Elle se jeta dans mes bras et membrassa partout sur le corps en me jurant quelle maimait comme une folle, et que si elle nétait pas déjà mariée, elle ne maurait plus jamais lâchée. Fatigués, nous prîmes, ensemble, une douche bien chaude, et allâmes dormir, nous donnant rendez-vous pour le lendemain matin.
- Je veux quon baise encore demain matin, avant daller en salle !
On allait rebaiser, bien avant le matin ! En effet vers minuit, juste au moment où nous allions éteindre les lumières pour dormir, son téléphone portable se mit à sonner. Cétait son mari qui appelait.
- Allo ! Ah cest toi chéri ! Que se passe-t-il ? Il nest rien arrivé à notre fille ?
- Non ! Tout va très bien ! Dailleurs tu as appelé Linda en fin daprès-midi et tu as constaté que tout allait très bien ! Non tu me manques et je voulais tentendre avant de dormir.
Nadjet avait mis le haut parleur de son téléphone et lavait posé sur loreiller. Jentendais tout ce que disait son mari. Elle me fit signe de me taire et de pas faire de bruit. Elle venait davoir une idée diabolique. Elle voulait chauffer son mari et faire lamour avec lui au téléphone, pendant quelle était dans mes bras ! Elle mavait dit tantôt quelle était perverse, mais je ne croyais pas que ça pouvait aller jusque là. Je me décidais de ne pas intervenir et voir jusquoù la perversion sexuelle de ma mie pouvait aller.
- Quest-ce qui se passe ? Tu es en rut ? Tu as envie de faire lamour ? Tu es seul, jespère ? Il ny a pas une femme à côté de toi !
- Tu es folle ! Tu sais bien quil ny a que toi dans ma vie !
- Tu es donc en chaleur ! Cest pour cela que tu appelle à cette heure-ci ! Tu ne trouves pas le sommeil ! Tu as envie de faire lamour ! Tu as envie de moi ? Dis-moi que tu as envie de moi ! Dis-moi que tu veux me faire lamour tout de suite !
Je sentais de lautre côté du téléphone que le mari était surpris, étonné et
intéressé par la suite.
- Cest vrai jai envie de toi ! Tu me manques ! Jai envie quon fasse lamour !
- Dis-moi ce que tu veux me faire ! Dis le moi ! Ça me fait plaisir de lentendre de ta bouche ! Tu veux que je me déshabille ? Que je me mette nue ? Tu veux seulement que jenlève ma culotte et soulève ma robe pour que tu voies ma chatte !
- Oui que tu soulèves ta robe et que tu tallonges devant moi les jambes écartées ! Jaime regarder ta chatte ! Elle est si belle ! si bandante ! Je nose pas te le dire, mais jaimerais tant te regarder la caresser ! Jaimerai te voir jouir en te caressant !
- Tu veux que je le fasse là maintenant et que tu imagines comment mes doigts branlent ma chatte ? Oui ? A condition que tu fasses de même et que tu te masturbes toi aussi ! Comme cela toi et moi on aura fait lamour ensemble, mai à distance !
- Oui, je vais faire ce que tu me dis ! Voila jai sorti mon manche du pantalon de pyjama et je commence à le caresser !
- Non pas à le caresser ! A le branler ! Avec de la salive ou du savon ! Comme tu veux ! Je veux que tu te branles et que tu me dises à quoi tu penses quand tu le fais ! je veux tentendre jouir ! Comme toi tu mentendras jouir !
- Oui daccord ! Voila, je pense à ta merveilleuse chatte que tu es entrain de caresser. Je vois tes doigts aller et venir de plus en plus vite à lintérieur ! Je te regarde prendre du plaisir en te caressant en même temps les seins un à un. Je tentends gémir ! Cela mexcite et me fait bander comme une bête
- Tu mentends jouir comme cela ?
Elle se mit à gémir doucement et à me faire signe de mapprocher delle. Elle était allongée sur le ventre et avait les fesses en lair. Elle me fit signe de la prendre ainsi. Tout ce que je venais dentendre avait mis le feu à mes sens. Je métais remis à bander comme un âne. Son invitation à venir la piner était donc la bienvenue. Je me plaçais en silence entre ses jambes, la pris par la taille pour la mettre en position dêtre tirée et sans même massurer que lendroit était lubrifier, jempalais ma belle qui avait commencé à simuler des gémissements.
- Cest bon ! Cest bon ! Cest bon ! Dis-moi que cest bon !
- Cest bon ! Tu aimes te masturber ! Tu gémis comme une folle quand tu te masturbe ! On croirait que tu es réellement entrain de toffrir à un homme ! Lhomme auquel tu penses en ce moment, jespère que cest moi ! Dis-moi que cest moi ! Dis-moi que tu aimes quand je te pénètre ! Dis-moi que tu aimes être pénétrée !
- Jadore être pénétrée par un gros zob dhomme. Je pense à un gros zob qui entre en moi, qui fouille dans mon vagin ! Comme ça ! Oui comme ça ! Qui me tire très fort ! Qui memmène au septième ciel ! Qui va me faire jouir comme une folle ! et qui jouit comme une bête ! Tu vas jouir comme une bête ! Dis-moi que tu vas jouir comme une bête en imaginant que tu es entrain de me piner avec une grosse bite ! que tu es entrain de me lenfoncer jusquau fond ! que tu es entrain de me faire mal ! De me faire mal !
- Je ne vais pas tarder à jouir, tellement tu mas excité avec tes paroles ! Et toi tu vas jouir aussi ?
- Oui nous allons jouir en même temps !
Tout en parlant elle bougeait ses hanches pour mindiquer daller plus vite ; de la tirer fort et de la faire jouir ! Elle voulait vraiment jouir et faire entendre sa jouissance à son mari, de lautre côté de téléphone. Je me mis donc à la tirer en force en faisant faire à mon sexe des allers-retours, de plus en plus rapides et de très forte amplitude. Je ramenais mon manche jusquà lentrée du vagin et le faisais repartir violemment jusquau fond. Ma belle poussait des gémissements de plus en plus sonores ; elle ne se retenait pas. Je sentais quelle nallait pas tarder à jouir. Jaccélérais le mouvement et sentis rapidement que moi aussi jallais jouir.
- Je vais jouir ! Je vais jouir, mon chéri ! Je vais jouir ! Je jouiiiiis !
- Ahhh ! Jai tout lâché ! Jai joui très fortement ! Merci ma chérie, tu es un ange. Je sens que je vais bien dormir et rêver de toi. Rêver à quand tu reviendras et que tu moffriras une séance comme celle-là pour de vrai ! Bonne nuit ma chérie !
- Bonne nuit chéri !
Et elle raccrocha. Elle me regarda dun drôle de façon, comme si elle sattendait à ce que je lui fasse une remarque désobligeante, ou au moins critique, sur ce qui venait de se passer.
- Je suis une grosse perverse, nest-ce pas ?
- Oui ! Et jaime bien cela ! Au fond de toi, tu es une vraie libertine ! Seules les contraintes sociales tempêchent de lêtre réellement. Quand tu trouves une bonne occasion pour te lâcher sans que cela ne prête trop à conséquence, tu nhésites pas ! Et je trouve que cest bien !
Notre aventure dura, tout le temps que dura la formation. Par la suite, nos rencontres se firent de plus en plus rares, bien que chaque fois, quelle est en mission à Alger, elle vient me rendre visite à lInstitut et si nos emplois du temps respectifs le permettent, nous passons un bon moment chez moi.
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