Nadjet

NADJET

Nadjet a déboulé dans ma vie amoureuse à la manière d’un oued en crue ; avec fougue et violence. Je travaille dans un grand institut de formation en management, en qualité de directeur d’une unité pédagogique qui prend en charge la formation au management de la ressource humaine. J’aime enseigner et entre en salle au moins une fois par mois pour un module de formation de cinq jours d’affilée.
C’est au cours d’une de ces formations que j’ai fait la connaissance de Nadjet. C’était un samedi matin, juste avant la pause de 10 heures 30 mn, qu’une belle plante d’environ trente ans, débarqua dans la salle de cours avec plus d’une heure de retard sur l’horaire prévu. Elle fonça droit sur moi et, sans sembler être gênée de perturber ainsi le cours, dit à haute voix pour être entendue de tout le monde :
- Je m’appelle madame Nadjet X. Je suis inscrite à cette formation par mon employeur Y. Je n’ai pas pu arriver à l’heure à cause de tous les embouteillages qu’il y a sur la route. J’ai démarré très tôt ce matin, à six heures. Je viens de loin, de Chlef, près de 250 km d’ici.
- Vous aurez pu attendre la pause pour nous rejoindre, lui fis-je remarquer. Mais puisque vous êtes là, soyez la bienvenue et asseyez-vous à cette place encore libre.
Elle alla s’assoir, pas gênée du tout de la remarque. Au contraire, elle semblait très à l’aise et avait sur les lèvres un petit sourire moqueur. Pendant qu’elle se présentait, j’eus tout le loisir de l’observer. C’était vraiment une belle plante ; une plante épanouie, qui semblait avoir reçu tout ce qui lui fallait de la vie et qui paraissait faire partie de ces personnes qui aiment la vie et qui la croquent à belles dents. Son visage, qui seul avec ses mains étaient visibles, était vraiment lumineux ; on dirait même qu’il participait à l’éclairage de l’endroit dans lequel elle se trouvait. En admirant son visage rayonnant, je me faisais la remarque, qu’avec elle dans les environs, il ne pouvait y avoir aucun lieu noir ou seulement sombre.


Physiquement, elle était grande et plantureuse. Elle était vêtue d’une tenue islamique moderne. C’est-à-dire qu’elle cachait sa chevelure sous un khymar (foulard) aux couleurs chatoyantes, qui lui enserrait et mettait en valeur son visage. Elle avait un visage ovale réellement beau: d’immenses yeux très clairs (noisette tirant sur le vert d’eau), surmonté de longs cils naturels et non maquillés et de sourcils très fins, soigneusement épilés et soulignés très discrètement au crayon noir. Un nez un peu long, mais bien droit, qui ne dépareillait nullement l’ensemble. Un menton aux lignes douces mais fermes, qui indiquaient un caractère entier et volontaire. Et une grande bouche gourmande à la sensualité torride : sensualité que lui donnaient des lèvres magnifiquement ourlées qui s’ouvraient sur deux rangées de petites dents de carnassier, brillantes de blancheur et donnant un aperçu de son envie de tout croquer sur son passage.
Les pommettes légèrement roses et saillantes, ajoutaient à la beauté de ce visage. Il faut dire que le khymar aux belles couleurs chatoyantes qu’elle portait avec élégance, et qui cachait non seulement la chevelure, mais aussi les oreilles et le dessous du menton, attirait l’attention et forçait l’observateur à admirer la beauté de ce visage éclatant de lumière. Tout le reste du corps, à l’exception des mains, était caché sous une élégante tenue, d’inspiration islamique mais qui sans rien montrer, laissait deviner un splendide corps aux formes plantureuses et opulentes. Le choix des tissus et des couleurs rendait donnait à sa tenue une gaité que les tenues islamiques traditionnelles n’avaient pas.
Elle portait une longue tunique en tissu léger, de couleur flashy, à dominante bleu-clair, qui descendait jusqu’à mi-cuisses, pour cacher les rondeurs des hanches et du fessier. En fait ni la tunique, ni la longue jupe qui arrivait jusqu’aux talons, et qui était de la même couleur et du même tissu, ne parvenait à cacher qu’elle avait une poitrine arrogante, des hanches larges et des fesses bombées d’africaine.
Chacun des mouvements qu’elle faisait collait le fin tissu sur son corps et montrait furtivement les magnifiques formes dont la nature l’avait comblée. La tenue qu’elle portait mettait aussi en valeur ses mains, qu’elle avait potelées et blanches. Avec de longs doigts de pianiste. Des mains qui ne semblaient pas avoir beaucoup connu les corvées du ménage ou alors qui étaient particulièrement bien traitées et confiées régulièrement à des manucures. Ce sont des mains faites pour caresser pensai-je en les admirant.
Nadjet alla donc s’assoir à la place que je lui avais désignée. Elle suivit le reste du cours, jusqu’à la pause de 10 heures 30 mn, sans rien dire. A la pause, tandis que tous les autres stagiaires allaient prendre qui un thé, qui un café (ou aller aux toilettes pour ceux qui en avaient besoin), elle vint vers moi de son pas chaloupé et nonchalant. Je sentis une petite émotion m’envahir, sans que je puisse en définir le sens.
- Je m’excuse encore une fois pour la perturbation de tout à l’heure. Ce n’était vraiment pas volontaire. Je ne sais pas si j’ai raté quelque chose d’important en ce début de matinée. Je ne crois pas trop, puisqu’il ne s’agissait que de l’introduction au module.
- Oui mais c’est important parce que l’introduction pose toute la problématique du management moderne de la ressource humaine.
Tout en parlant, je ne pouvais m’empêcher de regarder sa bouche si sensuelle et résister à l’envie irrépressible de l’embrasser. C’est aussi à ce moment là que je découvris l’odeur qu’elle dégageait. Contrairement à la majorité des femmes qui se parfumaient - souvent avec des parfums entêtants - Nadjet dégageait une superbe odeur de propre. C’était du moins ainsi que je qualifiais son parfum : celui d’une savonnette ou d’un gel douche de bonne qualité. Ce parfum ajoutait à mon émoi, au désir de la prendre dans mes bras pour la humer, comme un animal en rut hume sa femelle. L’odeur de « propre » m’a toujours fait cet effet. Depuis ma prime jeunesse, j’adorais le parfum (l’odeur ?) des filles et des femmes qui sortaient du hammam : pour moi c’était un parfum aphrodisiaque, la source d’une grande partie de mes fantasmes sexuels.
J’ai toujours adoré faire l’amour avec une femme qui sortait du hammam.
Nadjet s’était très vite rendu compte de mon émoi et elle semblait s’en amuser. Son sourire ironique et provoquant s’était accentué et son regard était devenu malicieux. J’essayai vainement de penser à autre chose. Je lui proposai d’aller prendre un thé, non pas dans le grand hall de l’Institut comme tous les stagiaires et enseignants, mais dans mon bureau, où je disposais d’une machine qui faisait du bon café et du bon thé. Elle accepta avec empressement. Nous allâmes donc dans mon bureau et tout en sirotant, elle un thé au citron et moi un café très fort, nous parlâmes d’elle. Je lui posai des tas de questions sur sa vie professionnelle -d’abord, pour ne pas paraître trop indiscret – puis sur sa vie personnelle. J’appris ainsi qu’elle était chef du service de gestion des ressources humaines dans une direction régionale d’une société publique de téléphonie mobile ; qu’elle aimait son travail ; qu’elle attendait une promotion à un poste de chef de département qui allait se libérer.
- C’est pour cela d’ailleurs, que j’ai été inscrite pour ce Master en Management des Ressources Humaines et que je vais passer au moins dix-huit mois, dans votre institut.
- Vous êtes bien entendu mariée !
- Mariée avec une petite fille de quatre ans qui est restée avec son père et sa grand-mère paternelle. C’est la seule chose qui me gêne dans ma situation actuelle : quitter ma fille, tous les mois pendant cinq jours d’affilée ! Mais elle est entre de bonnes mains ; son père qui l’adore et qu’elle adore ; sa grand-mère qui elle aussi l’adore et s’est toujours occupé d’elle.
- Et le mari dans tout cela ? Il accepte facilement la séparation ?
- Il m’aime et il veut pour moi, ce qu’il y a de mieux ! Je lui ai présenté cette formation comme une opportunité qu’il ne faut absolument pas rater. En fait, il n’y a pas que la formation qui m’intéresse dans cette affaire. J’ai senti un besoin irrépressible de faire un break et de m’éloigner un peu du train-train pesant de la vie quotidienne.
Je voulais rompre avec cela. Il me semble que comme cela, j’aurai plus de punch pour m’occuper et de mon travail et de ma famille ! C’est très égoïste de ma part, n’est-ce pas ?
- Non ! Je pense tout à fait le contraire ! Est égoïste celui (ou celle) qui sait qu’il est trop fatigué, trop stressé pour être au top. Qui sait qu’il a besoin de souffler un peu pour pouvoir rétablir ses équilibres internes et qui ne fait rien, par peur de décevoir son entourage, ou par lâcheté. Je crois réellement que dans la vie, il faut savoir s’arrêter pour souffler. Il faut savoir faire autre chose.
- Merci de me comprendre ! Je n’ai rien dit de tout cela à mon mari ! Avec lui, je n’ai mis en avant que mon envie de percer sur le plan professionnel. En réalité, même si je l’aime profondément, ma vie avec lui ces derniers temps est devenue fade.
- Tu veux dire, sur le plan du train-train quotidien ? Ou même dans la relation plus intime ?
- Même dans la relation plus intime !
- Sexuelle ?
- Oui ! Je ne sais pas pourquoi je te dis cela à toi que je ne connais pas. Mais j’ai tout de suite eu la certitude que je pouvais te faire confiance. Depuis, maintenant une année, je sens qu’il me manque quelque chose de fort pour atteindre mon équilibre sexuel. Mon mari et moi faisons l’amour assez souvent ; mais à chaque fois, depuis au moins la naissance de notre fille, je n’arrive pas à être satisfaite sexuellement. Il me reste toujours comme une frustration.
- Tu ne jouis pas assez ?
- Je ne jouis pas du tout ! J’ai honte d’avouer cela, mais il m’arrive de me caresser après l’acte pour jouir un peu. Il m’est même arrivé d’utiliser une carotte ou un concombre ! Je te choque, n’est-ce pas ?
- Pas du tout ! En fait tu m’émeus ! Parce que tu as le courage de t’exprimer sur ce sujet et d’avouer ce que beaucoup de femmes vivent mais qu’elles refusent d’avouer. Mais il est tard, il est temps de retourner en salle. Nous reparlerons de tout cela, ce soir autour d’un bon repas. Tu viendras dîner avec moi dans un petit restaurant des environs. Tu veux ?
- Avec plaisir !
Je pris sa main droite dans la mienne, pour une caresse très légère, avant d’y déposer un baise, léger lui aussi. Sa main était aussi douce que je l’avais pensé. Elle est faite pour caresser.
Nous retournâmes en salle. Je repris le cours là où je l’avais arrêté. Je vis avec plaisir que notre début de relation n’avait en rien affecté l’intelligence, ni les connaissances, ni la capacité de participation de Nadjet. Elle intervenait souvent, soit pour poser des questions, soit pour faire part à l’assistance de son expérience dans le domaine, soit seulement pour commenter une phrase ou une des affirmations que je lançais en tant que formateur. Elle n’était bien sûr pas la seule à intervenir dans le cours, mais c’était elle qui le faisait le plus souvent et dont les remarques étaient les plus pertinentes. Ses collègues avaient rapidement accepté son leadership dans le groupe.
Au repas de midi, tout le groupe mangeait ensemble à une table qui lui était réservée dans la salle de restaurant de l’Institut. Tout le monde avait fait connaissance et se regroupait selon les affinités. J’étais au bout de la table (comme si je présidais une réunion) et Nadjet à l’autre bout. Nous nous faisions face. Cela nous permettait de nous observer discrètement sans attirer l’attention. De temps en temps, quand je levai la tête de mon assiette, je la surprenais qui me regardait, le regard voilé comme si elle pensait à des choses interdites. C’était aussi mon cas. Et des choses interdites, il en défilait des tas dans ma tête : je voulais embrasser cette magnifique bouche, y faire pénétrer ma langue et aller à la rencontre de la sienne, dont le bout sortait de temps en temps pour humidifier ses lèvres ; j’imaginais le gland de mon sexe se promener entre ses lèvres magnifiques et appétissantes; j’imaginais sa langue entrain de titiller mon gland et lécher toute la hampe. J’imaginais tellement de choses que mon sexe s’était subitement mis en érection. Et quelle érection ! Heureusement que j’étais assis, sinon tout le monde aurait vu le mât de tente que mon sexe faisait sur le devant de mon pantalon. Je mis un temps fou à me calmer. J’essayais de discuter avec mes voisins de choses sérieuses - qu’elles aient ou non trait au cours - pour obliger mon esprit à se concentrer sur autre chose que sur Nadjet. J’y arrivai très difficilement. J’avais hâte d’être à la fin de la journée, pour me retrouver avec elle et entamer une relation amoureuse.
La journée passa cahin-caha, trop lentement à mon goût. Il me semblait même que, contrairement à mon habitude, je manquai de punch et m’étais laissé surprendre par des questions anodines auxquelles je répondis mal. Mon esprit était trop plein de cette femme, que maintenant je voulais totalement à moi. A la fin du la journée de cours, Nadjet était restée la dernière à sortir, pour prétendit-elle, me poser des questions sur des choses qu’elle n’avait pas bien assimilées. En fait, c’était pour me dire qu’elle devait aller dans la chambre dans la résidence de l’institut, pour téléphoner à sa fille et se changer pour venir manger avec moi. Comme il était encore trop tôt pour le restaurant, je lui demandai de me rejoindre dans mon bureau. Je devais effectivement préparer la séance du lendemain et régler quelques problèmes d’ordre administratif. Quand elle me rejoignit, environ une heure plus tard, les bureaux de l’institut s’étaient vidés. Il ne restait plus que les gardiens, probablement, le directeur général qui avait l’habitude de travailler tard. Et bien entendu Nadjet et moi.
Je la reçus dans le bureau en lui proposant un thé ou une quelconque autre boisson, qu’elle refusa gentiment. Je lui demandai de s’assoir sur un des fauteuils du salon qui entouraient une table basse au fond du bureau. Elle choisit le grand sofa et s’y installa à l’aise. Nous n’étions pas très à l’aise. J’avais l’impression que c’étais mon premier rendez-vous amoureux et que je ne savais pas comment m’y prendre pour dégeler l’atmosphère. J’avais le cœur qui battait un peu la chamade ; j’étais vraiment très ému. D’habitude, j’y allais franchement ; je n’avais ni trac, ni gêne. Mais aujourd’hui, c’était comme s’il s’agissait de vie ou mort. Et puis, en voyant son lumineux sourire, que je pris pour une invitation à me rapprocher d’elle, je me secouai et allai vers elle. Je me mis à genoux devant elle, lui saisit les deux mains pour les couvrir de baisers chauds et mouillés.
Cela semblait beaucoup l’amuser. Elle riait en abandonnant ses mains à ma bouche gourmande. J’en embrassai le dos et les paumes ; surtout les paumes d’ailleurs qui me paraissaient si douce et si chaude. Je voulais qu’elle me caresse le visage. Je forçai sa main droite à aller à la rencontre de mon visage et lui fit faire le mouvement de le caresser. Elle comprit très vite et effectivement, elle se mit à me caresser le visage. Mon Dieu ce que sa main était douce ! On aurait dit celle d’un bébé. Et puis tout s’accéléra. Je pris son visage entre mes mains et me mit à l’embrasser ; sur le front, les joues, les yeux, le nez, la bouche. La bouche qui était depuis le matin devenue une obsession pour moi.
Je posai mes lèvres sur les siennes dans le but d’y déposer un petit baiser. C’était sans compter sur Nadjet, qui voulait participer et me montrer qu’elle savait embrasser. Nos lèvres se rencontrèrent et s’aspirèrent comme des ventouses. Je voulais faire pénétrer ma langue dans sa bouche en forçant ses dents à s’écarter, mais elle me précéda et c’est sa langue qui vint se nicher dans ma bouche. Une langue chaude, humide et tellement agile ! Elle alla à la rencontre de la mienne pour la chevaucher, l’enrouler, la titiller et ramasser au passage toute la salive que ma bouche secrétait. C’était tellement bon ! Je bandais comme un étalon. Mon sexe était dur comme de la pierre et commençait à me faire mal.
Entretemps ma langue avait réussi à pénétrer dans la bouche de ma belle et lui rendait la pareille. Je m’abreuvais jusqu’à satiété, de la salive douce sucrée de Nadjet. C’était délicieux. Le baiser dura une éternité ; il ne s’arrêta que quand elle et moi avions atteint les limites de l’. Elle me regarda avec sur les lèvres un sourire de satisfaction. Elle prit ma main droite pour la porter sur sa poitrine ;
- Caresse-moi les seins ! fit-elle en appuyant sur ma main pour que je palpe sa poitrine à travers le tissu de la tunique bleue qu’elle avait gardée.
Je palpai ses gros seins dont je sentais la fermeté à travers la tunique et le soutien gorge. Cela ne me satisfaisait pas. Je voulais la débarrasser de la tunique et du soutien gorge. Je le lui dis.
- Nous n’allons tout de même pas nous déshabiller, ici dans ton bureau. Un gardien pourrait entrer et nous surprendre ! Met ta main sous la tunique et caresse-moi !
Je fis ce qu’elle me commandait de faire. J’introduisis ma main sous le tissu de la tunique, puis directement sous le soutien gorge et me trouvai en contact d’une peau de bébé et d’un sein de bonne taille et à la fermeté d’un sein de jeune fille. Mon sexe, au contact du sein, grossit encore plus. Son excitation était à son paroxysme. Il avait besoin de s’exprimer, là tout de suite ! Je me retins et continuai mes caresses, en m’y prenant à deux mains : chacune pour un sein. Je dénudai totalement la magnifique poitrine de Nadjet en relevant la tunique jusque sous son menton. Je palpai, tâtai et titillai les tétons de ma belle qui commençait à pousser des petits roucoulements de colombe. Elle était aux anges !
- Tète-moi ! Tète-moi, mon gros bébé !
Quel bonheur ! Téter une belle femme comme Nadjet ! Se faire appeler mon bébé ! Je lançai ma tête et ma bouche sur cette belle proie et me mis à téter et sucer comme un bébé affamé ; en passant d’un sein à l’autre et vice versa. Nadjet me tenait la tête pour qu’elle ne quitte pas la position. Elle avait arrêté de roucouler et s’était mise à gémir. Des petits gémissements rauques et tellement sensuel. A les entendre, mon bas ventre se mit à me faire mal, tant il était excité.
- N’arrête pas mon bébé ! N’arrête-pas ! Continue ! C’est bon ! C’est super ! Caresse-moi en bas en même temps ! Je coule comme une fontaine !
- Oui, mon amour ! Laisse-moi voir ton paradis !
Sans attendre de réponse j’envoyai ma main droite vers le bas de sa jupe et la fit pénétrer entre ses jambes, puis entre ses genoux pour atteindre son entrecuisse protégé par une petite culote en soie. Je ne voyais rien, mais la chaleur et la douceur qui s’offraient à ma main suffisaient pour me faire découvrir le jardin d’Eden. Elle disait vrai en m’affirmant qu’elle coulait comme un robinet. Le fond de sa petite culotte était tout trempé. J’entamais des caresses avec deux doigts par-dessus le tissu de la culotte. Le contact de mes doigts avec sa chatte, avait fait pousser à ma belle un petit cri de plaisir. Elle tendit tous ses muscles et releva son bassin pour que le contact avec mes doigts soit plus fort. Elle avait repris ses gémissements rauques et je sentais qu’elle dodelinait de la tête comme pour suivre le mouvement de mes doigts sur sa chatte et ma bouche qui passait d’un sein à l’autre. De temps en temps, je l’entendais bafouiller quelques mots incompréhensibles.
Mes doigts continuaient leur exploration entre les cuisses de ma mie ; sur la culotte. Imperceptiblement, ils cherchaient à écarter le bas de la culotte pour avoir directement accès aux grandes lèvres et au vagin. Elle répondit à la pénétration de mes doigts dans son vagin en remontant encore plus haut son bassin et en murmurant :
- Ouiiiiii ! Comme cela, c’est encore mieux ! Oui, continue, ne t’arrête pas ! Mets-y tous tes doigts ! Branle-moi fort ! Plus fort !
Ma main commençait à me faire mal, tant elle était dans une position inconfortable. Mais je ne voulais ni arrêter, ni même changer de position. Je voulais donner à mon amante une première jouissance. Je sentais qu’elle se retenait pour ne pas jouir. Et moi je voulais absolument qu’elle ait une première jouissance avec mes doigts. J’avais, tout en la caressant échafaudé un plan : lui faire connaître un premier orgasme en la masturbant ; un second en la suçant et un troisième en la tirant. Cela avant de tout reprendre, chez moi, pendant la nuit. J’accélérai donc le mouvement de mes doigts dans sa chatte en allant le plus souvent possible à la rencontre de son clitoris, jusqu’à ce que je la sente se raidir et exploser. Elle eut un énorme râle et déchargea sur ma main, en une seule fois, tout le jus que ses glandes avait fabriqué au cours de l’opération.
- J’ai joui, comme une pute ! J’ai honte de moi !
- Tu as joui comme une femme qui a pris du plaisir avec un homme qui lui plait. Ce n’est qu’un début, mon amour. J’ai décidé de te faire atteindre le paradis, avant même que l’on aille manger. Je vais te faire monter au ciel avec ma bouche. Enlève ta culotte et laisse-moi sucer ta chatte. Si tu n’as jamais fait cela, je vais te faire découvrir une autre manière de prendre ton pied.
- Si j’ai été sucée par mon mari, mais il n’a jamais réussi à me faire jouir comme cela. Moi je crois que je ne jouis que par la pénétration.
- C’est parce qu’il n’a pas su s’y prendre. Tu es belle ! Je n’ai pas encore vu ta chatte, mais je suis archi sûre qu’elle est magnifique et attirante. Et puis tu sens tellement bon ! Si avec de telles conditions, je n’arrive pas à te donner du plaisir avec ma bouche, c’est que je suis un incapable.
Elle m’écoutait en souriant aux anges, sans rien dire. Je lui fis remonter sa jupe et le long jupon noir qu’elle portait en dessous, sur sa poitrine et découvrit en même temps ses longues jambes superbement galbées, ses genoux ronds et brillants, ses longues cuisses blanches et fermes. Je caressai le tout un moment, puis me décidai à remonter vers la source de la vie : son entrecuisse. Elle portait encore sa culotte que ma main avait écartée auparavant pour pouvoir la masturber à l’aise. Je voyais, sous le bord écarté ses grandes lèvres longues et gonflées, entrouvertes sur de petites lèvres palpitante de couleur rouge vif. Mon sexe eut un sursaut à cette vue de paradis, comme pour me rappeler qu’il voulait sa part.
- Enlève ta culotte ! Sinon je la déchire !
Elle releva ses hanches, plaça ses doigts de part et d’autre de l’élastique et d’un geste rapide elle fit descendre le bout de tissu le long de ses cuisses et de ses jambes. La culotte resta sar ses chevilles. C’est moi qui finis le geste en l’enlevant complètement. Le spectacle qui s’offrit à moi était paradisiaque. Surtout qu’elle avait maintenant relevé ses jambes et ses cuisses qu’elle a maintenant posées sur son ventre, offrant à ma vue le spectacle de sa vulve palpitante et de son anus brun serré. Je ne savais plus quoi faire. D’une part je voulais la pénétrer immédiatement et jouir en elle comme une bête. D’un autre côté son anus serré m’attirait comme un aimant surtout qu’il semblait encore vierge. Et enfin je me rappelais lui avoir promis un cunnilingus d’enfer. Je lui dis que je voulais tout lui faire en une fois.
- Ce que je vois est tellement bandant que j’ai envie en même temps de te tirer comme une bête, de t’éclater l’anus et de te sucer la chatte ! Que préfères-tu ?
- Les trois ! Je n’ai encore jamais été sodomisée ! Cela fait partie d’ailleurs des fantasmes que j’ai toujours eu envie de vivre ! C’est le moment ! Mais je préfère que cela ne se fasse pas ici au bureau ! Chez toi, cette nuit, si tu veux. !
Je me décidai donc pour le cunnilingus. Je voulais donner à ma belle une bonne image de moi. Pas celle d’un malade sexuel, prêt à tout pour assouvir ses pulsions. Je me plaçai donc entre ses cuisses et posai ma bouche sur sa chatte. J’entrepris d’embrasser ses grandes lèvres de la même manière que si c’était sa bouche. Je sentis Nadjet remonter ses hanches et les bouger lentement comme pour répondre à mon baiser. Je l’entendais, de manière assourdie, pousser de petits gémissements de plaisir.
Avec deux doigts, j’écartai les grandes lèvres pour avoir accès aux petites lèvres, aux clitoris et au vagin. Je lançai ma langue à l’assaut. Pendant que je suçai et tétai cette vulve au goût légèrement salé et à l’odeur enivrante, ma langue titillait le clitoris et léchait les parois du vagin auxquelles elle avait accès. De temps en temps, j’utilisais mes dents pour mordiller les petites lèvres et surtout el clito. Ma belle était aux anges. Elle semblait n’avoir jamais goûté à un tel plaisir. Elle soulevait ses hanches et les balançait au rythme de ma bouche sur sa chatte ; elle gémissait de plus en plus fort et de plus en plus vite. Son souffle était devenu tellement rapide que j’eus peur un moment qu’elle n’étouffât. Je sentais qu’elle dodelinait de la tête, tout en haletant. Ses mains se faisaient de plus en plus pesantes sur ma nuque, comme si elle voulait faire pénétrer toute ma tête dans son vagin.
Et puis je n’entendis plus rien ; elle s’immobilisa pendant quelques secondes, tous les muscles tendus comme les cordes d’un arc et soudain elle explosa dans ma bouche en râlant et en criant :
- Je jouiiiiis ! C’est bon ! C’est merveilleux ! Je jouiiiis ! Merci ! Merci, mon amour ! Merciiiiiiiii !
En même temps qu’elle jouissait et criait, elle pressait sur ma nuque et obligeai ma tête à des mouvements désordonnés sur sa chatte. Quand elle s’arrêta et que je pus relever ma tête et reprendre mon souffle je regardais ma belle qui avait fermé les yeux et continuait de vivre son plaisir. Elle avait les joues remplies de salive. Je m’assis à ses côtés et me mis à lui lécher les joues pour boire la salive qui s’y trouvait encore. Elle ouvrit les yeux, me regarda avec des yeux remplis de tendresse et, je crois, de reconnaissance et me lança son merveilleux sourire lumineux.
- Je ne croyais pas cela possible, de jouir autant, par l’intermédiaire d’une bouche d’homme ! Je ne crois pas avoir eu un tel orgasme, même avec le sexe de mon mari. Je crois que je suis une femme perverse, qui ne jouit vraiment que dans le vice et dans des situations immorales. Je ne crois pas qu’avec mon mari, même s’il s’y prend aussi bien que toi, je puisse atteindre un tel degré d’orgasme. Je viens de découvrir que mes fantasmes tournent tous autour des situations d’adultère. J’ai découvert que je ne prends de plaisir qu’avec un amant. C’est affreux ! Qu’est-ce que je vais devenir ?
- Ma maîtresse ! Ma merveilleuse maîtresse ! Nous avons au moins deux années à passer ensemble. Même si ce n’est qu’au rythme de cinq jours par mois ! Imagine ce qui nous attend comme bonheur !
- Ce sera merveilleux ! Mais je viens d’y penser : j’ai déjà joui deux fois avec toi et toi tu n’as pas encore joui une seule fois ! Baise-moi tout de suite pour assouvir l’engin que je vois pointer dans ton pantalon.
Effectivement mon engin avait atteint le paroxysme de l’érection. Il bandait tellement qu’il voulait sortir du pantalon. Il me semblait qu’il allait éclater tant il était tendu. Mais comme l’heure tournait, et qu’il fallait que l’on quitte le bureau sans que les gardiens ne soupçonnent quoi que ce soit, je dis à ma belle qu’il était temps d’aller manger et qu’au retour, dans mon antre à moi, nous allons assouvir tous nos désirs, toutes nos perversions. Nadjet remit de l’ordre dans sa tenue et me permit de me rappeler que je ne l’avais pas encore vue sans son khymar. Je ne savais toujours pas à quoi ressemblait sa chevelure ; de quelle couleur elle était, ni comment elle était coiffée. Je le lui dis. Elle sourit et me dit qu’au retour, chez moi, elle me montera tout ce que je voudrai. Nous partîmes donc manger dans un gentil petit restaurant au bord de mer, qui servait du poisson frais et dont je connaissais bien le patron. Nous mangeâmes avec appétit tout ce que le cuisinier avait préparé spécialement pour nous, et rentrâmes à la maison – dans l’appartement que j’occupais, à quelques encablures de l’Institut – vers vingt deux heures.
Le dîner nous avait redonné des forces. Dès que nous franchîmes le seuil de la porte de l’appartement, je ne sus lequel des deux sauta sur l’autre. Sans me vanter, je crois que c’était elle qui s’élança sur moi pour m’offrir un de ses baisers torrides qui avait le don de réveiller le cochon qui sommeillait. Elle m’entraîna vers la chambre, dont d’instinct, elle avait deviné l’emplacement, et se mit à me déshabiller.
- J’ai hâte de te voir nu ! De voir ton manche ! J’ai déjà senti qu’il était énorme ! Mais je veux m’en assurer !
Tout en parlant elle m’enleva la veste, puis la chemise, puis le maillot de corps. Fébrilement elle s’attaqua à la ceinture du pantalon, à la braguette qu’elle ouvrit totalement. Elle fit entrer sa main à l’intérieur du slip et prit le monstre pour lui faire quitter sa tanière. Il avait déjà atteint de bonnes proportions. Elle le sortit et se mit à l’admirer.
- Il est aussi beau que je l’imaginai ! Il est superbe ! Il est gros et grand, mais il ne fait pas peur. Il n’est pas plein de vaisseaux ; il n’est pas noir ; il est lisse et long ; Je crois qu’il ne me fera pas trop mal quand il m’enculera ! N’est-ce pas qu’il va m’enculer !
- Bien sûr qu’il va t’enculer ! Iva t’éclater le fion ! Et il sera très heureux ! Tu le sens comme il palpite en entendant qu’il va pénétrer entre tes fesses ! Qu’il va défoncer ton gros cul ! Déshabille-toi ! Commence par ton khymar ! Je veux voir tes cheveux.
D’une main experte, elle enleva toutes les épingles à têtes perlées qui maintenaient le foulard et d’un geste à l’élégance naturelle, elle ôta le khymar pour libérer une opulente chevelure châtain très clair, presque blonde, qui vint s’étaler par vagues sur ses épaules. Elle était encore plus magnifique comme cela.
- C’est criminel de cacher une telle splendeur !
Elle ne répondit pas. Elle continua à se déshabiller doucement comme dans une séance de strip-tease torride. Elle se débarrassa d’abord de sa tunique, puis de son soutien gorge et resta un moment à me faire admirer son opulente poitrine dont les seins, pourtant volumineux, pointaient vers moi comme des canons. Elle attendait de voir l’effet que le spectacle avait sur moi pour continuer. Satisfaite de voir mes yeux exorbités, elle continua l’effeuillage en s’attaquant à la jupe, dont elle dégrafa le bouton et ouvrit la fermeture avant de la faire glisser sur ses chevilles par un mouvement de hanches des plus érotiques. Elle était maintenant en jupon qu’elle fit glisser avec ses doigts jusque sur ses mollets et enleva totalement en soulevant un pied, puis l’autre. A ma grande surprise elle était toute nue : elle n’avait pas remis la culotte qu’elle avait enlevée tantôt dans mon bureau.
Nadjet était vraiment une superbe plante. J’étais heureux de posséder un tel bijou. Elle était bandante à souhait. Nous étions totalement nus tous les deux. Mille pensées me traversaient l’esprit. Je voulais tout lui faire en même temps : la culbuter comme cela, sur le lit et la tirer sans préalable ! La retourner et la mettre en position pour l’enculer ! La tirer par la bouche comme s’il s’agissait de son sexe ! Me faire faire une fellation d’enfer et jouir dans sa bouche ! Je voulais tout cela, et d’autres choses encore, en même temps ! Et puis je m’assagis un peu, en me disant que cette nuit là sera la sienne. Je me réserverai toutes les autres nuits pour mon seul plaisir.
- Je vais te faire jouir par le cul ! Je vais te faire un peu mal pour la première fois, mais tu verras que tu en redemanderas !
- Oui, mon amour, encule-moi ! Je te promets d’être courageuse !
Je la fis mettre en position à quatre pattes en travers du grand lit, la croupe relevée de manière à être au niveau de mon pénis. Cette croupe qui s’offrait à moi, par sa rondeur, par sa fermeté rappelait celle d’une jeune pouliche, prête pour la saillie. Nadjet se renait come cela à quatre pattes et de temps en temps, elle tournait la tête inquiète de ce que j’étais entrain de préparer. Je commençai par déposer un baiser sur ses fesses et à promener ma langue entre elles en insistant sur l’anneau de son anus. Je me devais d’abord de le lubrifier lui dis-je, pour ne pas trop lui faire mal. Sa chatte n’était pas encore fortement mouillée pour que je puisse utiliser sa mouille pour en enduire l’entrée de son cul. J’utilisais donc ma salive, que d’abord j’essayais de disposer par ma langue. Ce n’était pas chose facile. J’utilisais donc mes doigts que je remplissais de salive et en enduisais la rondelle. Petit à petit je faisais pénétrer un doigt à l’entrée du boyau et le faisais jouer à l’intérieur pour en élargir l’entrée. Puis j’y introduisais deux doigts ; difficilement, d’abord, puis de plus en plus aisément. Je sentais ma belle qui se crispait à chaque pénétration, craignant la douleur. Mais je m’y pris tellement avec douceur, qu’elle commença à bouger ses fesses au rythme de mes deux doigts dans son cul.
Quand je jugeai que l’endroit était assez ouvert et lubrifié pour laisser entrer mon engin, je mouillai le gland et le positionnai à l’entrée. J’attrapais fermement les hanches de ma belle et doucement, je donnai une première pression à mes hanches pour faire pénétrer le bout de l’engin de quelques centimètres.
- Aie ! Doucement ! Tu m’as fait mal !
Je m’arrêtai quelques secondes, puis redonnai une seconde pression, un peu plus forte, pour gagner encore quelques centimètres. J’arrêtai encore, le temps que le cul de ma belle s’habitue à cette présence étrangère et redonnait un autre pression, plus forte de manière à ce que mon pubis vienne cogner contre ses fesses.
- Aie ! Ça fait très mal !
Je restai au fond du cul sans bouger et lançait ma main droite vers sa chatte, pour entamer une petite masturbation superficielle au début et un peu plus profonde par la suite. En fait j’aurai bien aimé aller plus en profondeur dans son vagin, mais mon bras n’était pas assez long. Nadjet compris ce que je voulais faire et entrepris de m’aider en me prenant la main et en obligeant mes doigts à aller plus profondément à l’intérieur de sa chatte. C’est elle qui indiqua à ma main les mouvements qui lui plaisaient le plus. Elle se retourna, me regarda et m’envoya son merveilleux sourire.
- Comme cela c’est très bon ! J’adore que tu me masturbes par devant et que tu enfonces ton gros zob dans mon cul ! Continue comme ça, je sens que je vais jouir comme une folle !
Quand je sentis que ma belle s’était laissé prendre au jeu et qu’elle commençait à aimer ce que je lui faisais, je fis faire à mes hanches de petits mouvements de va-et-vient au fond du boyau, rien que pour l’habi à sentir mon engin bouger en elle. Je l’entendis qui commençait à gémir de plaisir. Elle sentait maintenant mes doigts dans son vagin qui rencontraient furtivement mon engin à chacun des petits allers-retours.
- C’est magnifique ! C’est comme si tu me baisais et m’enculais en même temps. C’est très bon ! Et ça ne fait pas très mal ! Va plus vite par devant et par derrière !
J’en profitai pour accroître l’ampleur du va-et-vient dans son cul. J’y allais encore en douceur en accroissant de plus en plus l’ampleur du mouvement. Ma belle aimait vraiment ! Elle gigotait ! Elle bavait ! Elle tournait la tête pour regarder ce que je lui faisais ! Et elle gémissait de plus en plus fort ! Je me mis donc à faire aller plus vite mon sexe dans son cul et mes doigts dans son vagin. Ils se rencontraient maintenant plus longuement, me donnant à moi l’impression d’être masturbé à l’intérieur même du cul de ma belle. Quelle sensation ! J’y allais maintenant en force. Je ahanais comme un bucheron en la tirant comme cela à la hussarde. Et elle, elle gémissait, criait, dodelinait de la tête et bavait de plaisir.
- Encore ! Encore ! Ne t’arrête surtout pas ! Encule ta pute ! Fais mal à ta pute ! Dis-moi que je suis une pute ! Je veux que tu me dises que je suis une pute !
- Oui tu es une pute ! Tu es ma pute ! Une pute rien qu’à moi ! Une merveilleuse petite pute vierge du cul ! Tu sens mon zob dans tes boyaux ?
- Oh oui ! Ton zob ! Ton magnifique zob ! Ton zob qui va cracher tout son sperme dans mon cul ! Tu m’en laisseras un peu pour la bouche ! Je veux boire ton sperme ! Boire ton speeermmme ! Je vais jouiiiiir ! Je vais décharger ! Je jouiiiis !
Et ma merveilleuse Nadjet s’immobilisa, tous les muscles tendus comme des cordes d’arcs et au bout d’une éternité, partit dans un immense orgasme accompagné d’un long râle venus des profondeurs de son corps. Elle déchargea sur ma main des litres de jus, continua de gémir un moment sous mes coups de boutoir que je n’avais pas arrêté et s’arrêta vaincue par la fatigue. Je n’avais pas eu le temps de jouir en elle ; j’avais été surpris par la rapidité avec laquelle elle avait atteint l’orgasme. Je restai un moment dans la même position, puis sortit mon sexe de son anus pour le plonger immédiatement dans son vagin. Elle était toujours à quatre pattes et me permettait ainsi de la piner en position de levrette.
Mon Dieu que le vagin de ma belle était accueillant, visqueux, chaud et doux ! Nadjet me laissa entrer en elle sans trop s’en apercevoir au début, tant elle était dans une autre monde : celui de la béatitude totale. Puis petit à petit elle ressentait la force du bélier qui était en elle et qui la pinait sans retenue. Ses sensations recommençaient à la titiller ; la chaleur de mon zob, sa rigidité et sa force, réveillait son désir. Elle se remit à ronronner doucement, puis à bouger ses hanches, puis à gémir, puis à se retourner pour me regarder le tirer.
- Tu as un zob merveilleux ! Il n’est jamais fatigué ! Tire-moi comme cela ! Tu vois comme je suis excitée ! Tu vois comme ma chatte a soif d’un gros zob d’homme ! Tu vois comme elle est offerte ! J’aime être baisée comme ça par un homme, par devant et par derrière ! Je vais encore jouir comme une folle ! Comme une pute ! Je suis une pute ! Je suis une chienne ! Je suis une chienne ! Dis-moi que je suis une chienne qui aime les gros zobs ! Dis-moi ! Dis-moi ! Dis-moooooiiiii !
Je sentais qu’elle allait encore jouir. Je voulais moi aussi ma part de jouissance. J’accélérai donc le rythme en l’amplitude de mes va-et-vient en faisant sortir totalement l’engin pour le réintroduire immédiatement et l’enfoncer totalement. Quatre ou cinq mouvements suffirent à la faire décharger encore une fois très fort et à me faire exploser comme une bombe. J’eus un râle de mourant et déversa dans le vagin de ma belle une première giclée d’un sperme épais, visqueux et brûlant. Je retins la deuxième giclée et les autres que je sentais venir. Je sortis du vagin, retournai Nadjet de manière à me faire face et en me masturbant je lui envoyai une rasade sur le visage. Elle comprit immédiatement mon désir et ouvrit largement la bouche pour avaler la troisième et la quatrième giclée. Elle but avec délice le sperme et me regarda avec des yeux triomphants comme pour me dire :
- Tu vois j’aime ton sperme et je le bois avec gourmandise.
Elle regarda le sperme qui était tombé sur son ventre, le ramassa avec ses doigts qu’elle se mit à lécher en me regardant de manière provocante.
- Tu trouves que je me comporte comme une pute ? N’est-ce pas ?
- J’adore ton comportement ! Si c’est cela le comportement d’une pute, alors vivent les putes !
Elle se jeta dans mes bras et m’embrassa partout sur le corps en me jurant qu’elle m’aimait comme une folle, et que si elle n’était pas déjà mariée, elle ne m’aurait plus jamais lâchée. Fatigués, nous prîmes, ensemble, une douche bien chaude, et allâmes dormir, nous donnant rendez-vous pour le lendemain matin.
- Je veux qu’on baise encore demain matin, avant d’aller en salle !
On allait rebaiser, bien avant le matin ! En effet vers minuit, juste au moment où nous allions éteindre les lumières pour dormir, son téléphone portable se mit à sonner. C’était son mari qui appelait.
- Allo ! Ah c’est toi chéri ! Que se passe-t-il ? Il n’est rien arrivé à notre fille ?
- Non ! Tout va très bien ! D’ailleurs tu as appelé Linda en fin d’après-midi et tu as constaté que tout allait très bien ! Non tu me manques et je voulais t’entendre avant de dormir.
Nadjet avait mis le haut parleur de son téléphone et l’avait posé sur l’oreiller. J’entendais tout ce que disait son mari. Elle me fit signe de me taire et de pas faire de bruit. Elle venait d’avoir une idée diabolique. Elle voulait chauffer son mari et faire l’amour avec lui au téléphone, pendant qu’elle était dans mes bras ! Elle m’avait dit tantôt qu’elle était perverse, mais je ne croyais pas que ça pouvait aller jusque là. Je me décidais de ne pas intervenir et voir jusqu’où la perversion sexuelle de ma mie pouvait aller.
- Qu’est-ce qui se passe ? Tu es en rut ? Tu as envie de faire l’amour ? Tu es seul, j’espère ? Il n’y a pas une femme à côté de toi !
- Tu es folle ! Tu sais bien qu’il n’y a que toi dans ma vie !
- Tu es donc en chaleur ! C’est pour cela que tu appelle à cette heure-ci ! Tu ne trouves pas le sommeil ! Tu as envie de faire l’amour ! Tu as envie de moi ? Dis-moi que tu as envie de moi ! Dis-moi que tu veux me faire l’amour tout de suite !
Je sentais de l’autre côté du téléphone que le mari était surpris, étonné et…intéressé par la suite.
- C’est vrai j’ai envie de toi ! Tu me manques ! J’ai envie qu’on fasse l’amour !
- Dis-moi ce que tu veux me faire ! Dis le moi ! Ça me fait plaisir de l’entendre de ta bouche ! Tu veux que je me déshabille ? Que je me mette nue ? Tu veux seulement que j’enlève ma culotte et soulève ma robe pour que tu voies ma chatte !
- Oui que tu soulèves ta robe et que tu t’allonges devant moi les jambes écartées ! J’aime regarder ta chatte ! Elle est si belle ! si bandante ! Je n’ose pas te le dire, mais j’aimerais tant te regarder la caresser ! J’aimerai te voir jouir en te caressant !
- Tu veux que je le fasse là maintenant et que tu imagines comment mes doigts branlent ma chatte ? Oui ? A condition que tu fasses de même et que tu te masturbes toi aussi ! Comme cela toi et moi on aura fait l’amour ensemble, mai à distance !
- Oui, je vais faire ce que tu me dis ! Voila j’ai sorti mon manche du pantalon de pyjama et je commence à le caresser !
- Non pas à le caresser ! A le branler ! Avec de la salive ou du savon ! Comme tu veux ! Je veux que tu te branles et que tu me dises à quoi tu penses quand tu le fais ! je veux t’entendre jouir ! Comme toi tu m’entendras jouir !
- Oui d’accord ! Voila, je pense à ta merveilleuse chatte que tu es entrain de caresser. Je vois tes doigts aller et venir de plus en plus vite à l’intérieur ! Je te regarde prendre du plaisir en te caressant en même temps les seins un à un. Je t’entends gémir ! Cela m’excite et me fait bander comme une bête
- Tu m’entends jouir comme cela ?
Elle se mit à gémir doucement et à me faire signe de m’approcher d’elle. Elle était allongée sur le ventre et avait les fesses en l’air. Elle me fit signe de la prendre ainsi. Tout ce que je venais d’entendre avait mis le feu à mes sens. Je m’étais remis à bander comme un âne. Son invitation à venir la piner était donc la bienvenue. Je me plaçais en silence entre ses jambes, la pris par la taille pour la mettre en position d’être tirée et sans même m’assurer que l’endroit était lubrifier, j’empalais ma belle qui avait commencé à simuler des gémissements.
- C’est bon ! C’est bon ! C’est bon ! Dis-moi que c’est bon !
- C’est bon ! Tu aimes te masturber ! Tu gémis comme une folle quand tu te masturbe ! On croirait que tu es réellement entrain de t’offrir à un homme ! L’homme auquel tu penses en ce moment, j’espère que c’est moi ! Dis-moi que c’est moi ! Dis-moi que tu aimes quand je te pénètre ! Dis-moi que tu aimes être pénétrée !
- J’adore être pénétrée par un gros zob d’homme. Je pense à un gros zob qui entre en moi, qui fouille dans mon vagin ! Comme ça ! Oui comme ça ! Qui me tire très fort ! Qui m’emmène au septième ciel ! Qui va me faire jouir comme une folle ! et qui jouit comme une bête ! Tu vas jouir comme une bête ! Dis-moi que tu vas jouir comme une bête en imaginant que tu es entrain de me piner avec une grosse bite ! que tu es entrain de me l’enfoncer jusqu’au fond ! que tu es entrain de me faire mal ! De me faire mal !
- Je ne vais pas tarder à jouir, tellement tu m’as excité avec tes paroles ! Et toi tu vas jouir aussi ?
- Oui nous allons jouir en même temps !
Tout en parlant elle bougeait ses hanches pour m’indiquer d’aller plus vite ; de la tirer fort et de la faire jouir ! Elle voulait vraiment jouir et faire entendre sa jouissance à son mari, de l’autre côté de téléphone. Je me mis donc à la tirer en force en faisant faire à mon sexe des allers-retours, de plus en plus rapides et de très forte amplitude. Je ramenais mon manche jusqu’à l’entrée du vagin et le faisais repartir violemment jusqu’au fond. Ma belle poussait des gémissements de plus en plus sonores ; elle ne se retenait pas. Je sentais qu’elle n’allait pas tarder à jouir. J’accélérais le mouvement et sentis rapidement que moi aussi j’allais jouir.
- Je vais jouir ! Je vais jouir, mon chéri ! Je vais jouir ! Je jouiiiiis !
- Ahhh ! J’ai tout lâché ! J’ai joui très fortement ! Merci ma chérie, tu es un ange. Je sens que je vais bien dormir et rêver de toi. Rêver à quand tu reviendras et que tu m’offriras une séance comme celle-là pour de vrai ! Bonne nuit ma chérie !
- Bonne nuit chéri !
Et elle raccrocha. Elle me regarda d’un drôle de façon, comme si elle s’attendait à ce que je lui fasse une remarque désobligeante, ou au moins critique, sur ce qui venait de se passer.
- Je suis une grosse perverse, n’est-ce pas ?
- Oui ! Et j’aime bien cela ! Au fond de toi, tu es une vraie libertine ! Seules les contraintes sociales t’empêchent de l’être réellement. Quand tu trouves une bonne occasion pour te lâcher sans que cela ne prête trop à conséquence, tu n’hésites pas ! Et je trouve que c’est bien !
Notre aventure dura, tout le temps que dura la formation. Par la suite, nos rencontres se firent de plus en plus rares, bien que chaque fois, qu’elle est en mission à Alger, elle vient me rendre visite à l’Institut et si nos emplois du temps respectifs le permettent, nous passons un bon moment chez moi.


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