Notre Etreintre Après Un Plan À Trois
Luc mécarta les cuisses avec douceur. Il navait nul besoin de se montrer autoritaire : un seul de ses sourires ouvrait bien plus de portes que le plus perfectionné des passe-partout. Me donner à mon homme était, après tant dannées ensemble, toujours un plaisir renouvelé.
Il nous arrivait de pimenter nos ébats avec une troisième, voire quatrième personne, mais la meilleure des étreintes restait celle que nous partagions tous les deux, là où lamour et le sexe se mélangeaient. Mon homme était pour moi la seule personne au monde à pouvoir me faire lamour et à me baiser en même temps. Il me comble et me fait jouir souvent et régulièrement.
Cétait un moment particulier. Nous venions de baiser avec un mec que nous avions déjà vu sept fois. Il était excellent au pieu et même si Luc ne voulait pas le dire, je sentais bien que la technique de fellation de ce troisième larron, bien meilleure que la mienne, le faisait fondre. Il ne rouspétait jamais lorsque je proposais un plan à trois avec Francis. Il était toujours preneur.
Je sais que Luc maime profondément, aussi je ne prenais plus trop ombrage de le voir jouir et gémir dans la bouche de Francis. Cétait un peu dur au départ : il y a des choses que je ne voulais garder que pour nous deux. Mais le temps avait calmé mes craintes. Luc et JeanClaude cétait du solide. Puisquil ne me mettait pas de côté, il pouvait prendre du plaisir.
On avait eu du mal à concilier nos idées du libertinage. Jaime les plans à trois, Luc préfère les plans seuls avec dautres mecs. Il ny voit pas de tromperie, moi si. Nous avions accordé nos violons et fait un sacré chemin ensemble.
Le moment était particulier et rituel. Nous faisions toujours lamour en rentrant à la maison après une séance de libertinage.Ça permettait de ré accorder les violons comme je disais, de renforcer notre intimité toujours un poil malmenée par louverture momentanée de notre couple.
Mon homme se mit à genoux devant mes fesses. Il tendit son visage et avec tendresse promena sa langue sur mon anus. Ses effleurements mouillés me transportaient daise. Il me titilla doucement, jouant avec ma sensibilité pour doser savamment mon odyssée vers le plaisir. Il savait exactement comment sy prendre. Il altérait la force et la douceur, sassurant ma complète soumission.
Une fois bien chauffé, il prit son sexe durci et frotta avec de plus en plus dinsistance son gland contre mon anus humidifié. Il poussa sur la rondelle un tout petit peu, juste assez pour me faire sentir son désir. Il joua comme ça un bon moment, histoire de me faire désirer mon intromission. Et caurait marché si lui-même ne devenait pas fou de désir à lenvie de me posséder.
Il était trop chaud, trop désireux de soublier en moi. Luc adore mes fesses et pour un ancien passif, il est comme jaime le lui faire remarquer - puissamment actif. En dépit de son envie, il prit comme dhabitude soin de moi. Il me pénétra et je lisais sur son visage son plaisir mais aussi son anxiété : il ne voulait pas que je ressente aucune douleur mais juste du plaisir. Mes légers soupirs le rassurèrent. En me fixant pour sassurer quil ne me faisait aucun mal, il acheva de coulisser son sexe en moi. Il fit quelques doux va et vient, pour mouvrir en souplesse puis commença à passer aux choses sérieuses.
Son sexe allait et venait librement en moi. Serré dans ses bras, je gémissais contre lui. Il gémissait aussi, à chaque coup de reins où il senfonçait en moi. Ses lèvres se posèrent sur les miennes et il laissa filtrer tout son amour dans un baiser dune tendresse en opposition complète avec la fougue avec laquelle il me pilonnait. Luc était comme ça. Comme je lai décrit un peu avant, il est le seul être au monde capable de me faire lamour et de me baiser en même temps. La chaleur de son corps me rendait fou. Ses doux râles murmurés en cadence avec les saccades de son bassin me rendaient fou.
Ma main agrippa mon sexe alors que lautre flattait les petites fesses rondes et fermes de mon amant, mon amour, mon homme. Il se redressa et je vis son bas ventre onduler vers moi au rythme de sa pénétration. Quel spectacle fantastique. Je caressais ses abdominaux dessinés et je le prévenais que je nallais plus pouvoir me retenir longtemps.
Il me sourit et se pencha de nouveau vers moi. Ses lèvres me pincèrent le téton. Je nen pouvais plus. Dans un ultime effort pour me retenir, jessayai de le freiner mais il ne me laissa pas faire. Je comprenais alors quil nen pouvait plus lui non plus. Il se redressa. Son regard animal se vrilla dans mes yeux et il cria son plaisir alors quil jouissait en moi à gros flots. Je le rejoins immédiatement, mon sperme jaillissant de ma verge tendue pour frapper mon ventre et le sien. Mes yeux toujours dans les siens, je le rejoins aussi par des cris qui exprimaient le bonheur quil me faisait vivre.
Enfin apaisé, il sallongea sur moi pour un dernier baiser. « Je taime mon doudou » me répéta-t-il. Heureux et comblé, je le serrais dans mes bras, oubliant le monde entier pour me perdre dans sa chaleur.
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