Leila Et Lyes
Leila et Lyes
Cette histoire a commencé dans le restaurant dun hôtel dEl Kalla à lextrême est algérien. Il devait être vingt heures et je prenais mon repas avant de rejoindre ma chambre et y travailler un peu. Nous étions au mois de mars et jétais chargé de contrôler les travaux dun important projet de pont sur la route qui menait à la frontière tunisienne. Jétais en mission pour une dizaine de jours et métais installé dans cet hôtel de luxe, qui à cette période était quasiment vide et pratiquait des prix intéressants.
Il ne devait pas y avoir plus dune dizaine de clients. Presque tous étaient des vieux touristes étrangers, qui profitaient de la basse saison pour voyager à bas prix. Tous, sauf, moi bien entendu et un couple de nouveaux mariés, qui venait darriver et qui mangeait à une table qui me faisait face et qui nétait pas très loin de la mienne.
Le monsieur devait avoir environ trente-cinq ans, et daprès ce que je pouvais en voir ce soir là, était très beau. Dune beauté toute féminine ; cest-à-dire des traits fins, de grands yeux noisette, une grande bouche entourée de lèvres fines bien dessinées et un visage long sans aucune trace de poils. Il avait une chevelure châtain, soyeuse et longue ; elle descendait bien en dessous de sa nuque. Son port de tête, posée sur un long cou fin, ressemblait à celui dune femme. Même assis, on voyait quil était assez grand et mince ; de cette minceur qui nest pas naturelle, mais qui est le fruit defforts sportifs permanents. En le regardant, on sentait quil accordait une grande importance à son apparence physique.
La femme assise en face de lui, semblait avoir vingt trois ou vingt quatre ans. Elle était extrêmement belle. Blonde (probablement fausse, me dis-je, sachant que la blondeur, nétait pas une des caractéristiques les plus répandue dans ce pays), grande et mince. Ce qui frappait à première vue chez elle, cétait tout dabord la forme de son visage : long et fin, qui se terminait par un menton droit et ferme, donnant limpression dune très forte volonté.
De ce que je pouvais en voir de la place où jétais assis, elle avait une poitrine, qui sans être proéminente, avait des dimensions respectables. Je supputais quelle devait avoir une paire de seins bien plantés et fermes. Elle semblait, elle aussi, avoir un corps mince et souple, avec des rondeurs que le tailleur strict quelle portait adoucissait.
Le couple était en grande discussion. Bien que je nentendais rien de ce quils se disaient, il me semblait quils se disputaient. Il me paraissait évident quil existait entre eux un grand problème, que ni lun ni lautre narrivaient à régler. Au bout dun moment, sans même avoir fini de dîner, la femme, qui paraissait très en colère, se leva et quitta la table. En passant devant ma table, je pus confirmer la grande beauté de la dame, avec en sus, des jambes sublimes, longues et superbement galbées, portant une paire de genoux ronds et brillants qui feraient bander un aveugle. Même avec son tailleur strict, il était aisé de constater quelle avait des hanches larges et un fessier proéminent qui damneraient un saint.
Le lendemain, à la même heure, jeus droit à la même scène. Le couple continuait de se disputer à voix basse. Avec cette fois-ci quelque chose de nouveau : de temps en temps, ils jetaient un rapide coup dil vers moi. Il me semblait quils parlaient de moi. Je suivis avec un peu plus dattention le manège du couple. Comme la veille, lépouse quitta la table sans avoir fini de dîner. Mais cette fois-ci, elle ne semblait plus en colère.
Elle passa devant moi, en se déhanchant de manière provocante et en me lançant au passage une illade appuyée, dont je ne savais quoi penser.
- Bonsoir, dit-il tout doucement.
- Bonsoir, répondis-je, dune voix interrogative.
- Vous avez certainement remarqué la beauté de la femme qui est avec moi. Cest mon épouse. Nous nous sommes mariés, il y a peine deux jours et nous sommes venus ici pour notre lune de miel.
- Mabrouk alaikoum (Félicitations), répondis-je, en me demandant où il voulait en venir.
Il nétait pas venu vers moi simplement pour mannoncer quil venait de se marier. Jattendais la suite avec curiosité.
- Nous avons voulu passer notre lune de miel loin de la famille, poursuivit-il, pour ne pas avoir à subir lépreuve traditionnelle de la vierge et tout le reste.
- Oui cest une excellente chose, répondis-je sans trop mavancer, devinant une suite plus intéressante.
- En fait, dit-il, en baissant les yeux et en rougissant légèrement, je nai aucune envie de coucher avec une femme. Je suis un homo et je naime que les hommes. Je ne suis donc pas capable dhonorer ma femme et de lui assurer une nuit de noce normale. Je ne le lui ai appris quhier, ce qui la mise dans une colère folle.
Il me raconta, timidement au départ puis, comme je ne laissais pas paraître de sentiments homophobes, de plus en plus normalement, les tenants et aboutissants de son histoire.
Lyes, cest son prénom, était le garçon unique dun grand industriel algérois. Il gérait une de ses affaires une usine de production de chemises de grand luxe dans laquelle travaillaient une cinquantaine douvrières. Depuis sa plus tendre enfance, passée au milieu de ses cinq surs, il se sentait plus fille que garçon. Ses parents - sa mère dabord et son père à sa suite sétaient très vite inquiétés de ses tendances et avaient tout fait pour les combattre.
Il eut sa première aventure sexuelle à lâge de dix huit ans avec un camarade de lycée quil avait invité à passer une partie de ses vacances dété dans le pavillon de montagne que ses parents possédaient en Kabylie. Ils étaient resté ensemble plusieurs années, jusquau départ de son ami à larmée, puis au Canada. Depuis, il était tombé amoureux dun autre garçon, qui lui rendait son amour au multiple.
Ses parents voulaient absolument le marier, dabord pour effacer cette désagréable impression que leur fils ne sintéressait pas aux filles. Et puis, et surtout pour assurer leur descendance (par le garçon, pas par les filles) et la sauvegarde du patrimoine. Depuis quil avait atteint lâge de vingt-cinq ans, ils narrêtaient pas de lui présenter des filles, toutes très jolies et toutes de bonnes familles. Mais à chaque fois, il trouvait un prétexte pour ne pas conclure.
A trente-cinq ans, il avait compris quil était temps pour lui de donner le change à ses parents en se mariant. Il avait pour cela concocté toute une histoire pour faire croire à sa mère quil était enfin tombé amoureux dune belle fille et que cétait cette fille, et personne dautre, quil voulait épouser. Il sagissait dune jeune ouvrière de lusine quil gérait et dont la beauté lavait subjugué, ajouta-t-il. Ses parents ne hurlèrent as de joie à cette annonce. Mais malgré un premier refus, venant surtout de sa mère qui avait du mal à accepter cette mésalliance, ses parents finirent par aller demander la main de Leila (cest le prénom de la fille) et organisèrent rapidement la fête de mariage.
- Et la fille ? Demandai-je.
- Elle sétait laissée prendre au piège. Jusquà la nuit dhier, elle pensait que jétais vraiment amoureux delle et que je voulais lépouser pour sa beauté.
Il a continué en mexpliquant quil avait fini par faire comprendre à Leila quelle avait tout intérêt à accepter la situation qui ne peut que lui être profitable. Elle pouvait avoir une vie de rêve, matériellement parlant : de largent, des voyages, une belle habitation, des habits de luxe et beaucoup dautres choses. Elle avait donc accepté de rester avec lui et de garder le secret. Elle avait même accepté de jouer le jeu et de lui faire un .
- Comment cela, lui faire un ? dis-je, interloqué. Vous refusez de coucher avec elle et voulez quelle vous donne un .
- Cest là que vous entrez en jeu, répondit-il, dune toute petite voix. Comme sil avait peur que je lui saute dessus pour le frapper.
- Expliquez-moi cela.
Javais commencé à deviner où il voulait en venir, mais je voulais quil me lexplique lui-même.
- Vous semblez être un homme, un vrai. Cest Leila qui narrête pas de le répéter depuis quelle ta vu hier (il en était arrivé au tutoiement). Elle semble avoir flashé sur toi. Tu es seul. Tu sembles disposer de temps. Tu es beau. Et je sais que Leila te plait. Jai vu comment tu la dévorais des yeux tantôt quand elle est passée devant toi. Je suis certain que tu serais heureux de passer la nuit avec elle et de lui offrir la nuit de noce quelle attend depuis hier.
-
.
- Quest-ce que tu en dis ? Rassure toi, il ny a absolument aucun lézard. Si tu es daccord, je lui demande de descendre, vers dix heures au bar de lhôtel pour prendre un pot et faire connaissance.
-
. (Jétais incapable de dire quoi que ce soit)
- Je considère que cest daccord. A tout à lheure donc.
Il partit donc vers la chambre où se trouvait Leila. Je terminais mon dîner, en essayant de mettre de lordre dans mes pensées et en réfléchissant très fortement à la proposition qui venait de mêtre faite. Devenir lamant de la femme dun autre ; et en plus jétais chargé de la dépuceler et même de lengrosser. Cela me semblait trop gros. Peut-être nest-ce que le fruit de mon imagination. Il était impossible que cela soit vrai.
Je me dirigeais donc vers le bar de lhôtel et commandais une bière en attendant dix heures. Il était moins le quart. Je navais donc pas à attendre très longtemps. Je venais juste de finir ma bière quand le couple se pointa à lentrée du bar. Lui avait gardé les habits quil portait tantôt ; tandis quelle, elle sétait changée et portait maintenant une robe de soirée bleu nuit, très moulante. Elle nétait pas seulement belle ; cétait une vraie bombe. Elle illuminait littéralement le lieu, qui par nature était sombre. Sa robe mettait en valeur toutes ses rondeurs : poitrine pas trop forte, mais arrogante ; taille de guêpe ; hanches larges, en parfaite harmonie avec ses épaules, avec lesquelles elles dessinaient un 8 presque parfait ; un fessier rond et proéminent.
Elle avait le même sourire moqueur que tantôt, quand elle était passée devant moi et quelle mavait jeté une illade provocante. Elle avait refait son maquillage, qui était resté discret, tout en dessinant encore mieux les contours de ses yeux et de sa bouche.
Ils vinrent sasseoir sur les deux fauteuils en face de moi. Lies me présenta Leila en appuyant bien sur son prénom, manière de me faire comprendre quil navait pas de droits sur elle.
- Elle te plait, nest-ce pas ?
- Oui ! mentendis-je répondre, presque timidement, moi qui suis de nature plutôt entreprenante.
Non seulement elle me plaisait, mais à ce moment là jétais prêt à commettre nimporte quelle folie pour la serrer dans mes bras. Son sourire moqueur ne lavait pas quitté et je sentais quelle me regardait avec intérêt. Je ne sais pas si elle avait dû se faire violence pour accepter le deal quelle avait passé avec son mari, mais elle semblait sêtre faite totalement à lidée de mappartenir au moins pour cette nuit et quelle le voulait vraiment.
Pendant tout le temps que nous étions restés au bar, elle ne parla pratiquement pas ; sinon pour répondre laconiquement à des questions de son mari ou aux miennes. Elle prit un jus dorange, tandis que Lyes commanda une bière et moi une autre (manière de me donner un peu daplomb).
Au bout dun moment, Lyes se leva et nous laissa seuls Leila et moi. Jétais très gêné et ne savais pas comment entamer la discussion avec la elle. Cest en fait elle, qui au bout de quelques secondes, se leva me tendit la main et me força à la suivre.
- Où se trouve ta chambre ? fit-elle.
- Au fond du couloir, répondis-je presque automatiquement.
Elle mentraîna vers le fond du couloir et arrivés devant ma chambre, je marrêtai pour la lui indiquer.
- Quest-ce que tu attends pour ouvrir ? fit-elle dune voix moqueuse.
Jouvris la porte ; elle sengouffra la première dans la chambre et me prit par la main pour que jy entre au plus vite. Nous nous retrouvâmes face à face ; ni elle ni moi ne parlâmes. Au bout de quelques secondes, je me secouai et décidai de reprendre la situation en main. Je tendis les bras pour lattirer contre moi. Elle se laissa faire, contente que ce soit moi qui conduise maintenant la danse. En la serrant très fort contre moi, je sentais son cur battre la chamade.
Je venais de comprendre quen fait elle était très émue et se comportait de manière provocante pour se donner une contenance, quen réalité elle navait pas. Elle était perdue et craignait ce qui allait se passer. Pour la rassurer je me mis à lui parler doucement à loreille de leffet quelle me faisait ; de sa beauté ; de sa situation qui me paraissait exceptionnelle. Je lui dis quil nétait pas question pour moi de faire lamour avec elle, si elle ne le voulait pas et quelle nen éprouvait pas le désir.
Je lui dis que je la trouvais très courageuse daccepter le deal quelle avait passé avec son mari. Et même si elle ne le faisait que dans le seul but de préserver une bonne situation matérielle, cétait très courageux de sa part daccepter le fait accompli dun mari qui nen était pas un. Tout en lui parlant ainsi à loreille je la gardais serrée contre moi en promenant ma main sur sa nuque et en ébouriffant ses cheveux blonds. Je sentais la chaleur de son corps fin et souple comme une liane, à travers le tissu de sa longue robe. Bizarrement, je nétais pas excité. Du moins pas encore. Tout ce que je ressentais, cétait le besoin de la rassurer pour quelle prenne confiance et qualors elle soffre à moi sans restriction et surtout sans que cela soit pour elle une obligation.
Javais cette prétention de croire que je pouvais réellement lintéresser et créer un tel désir en elle, quelle allait soffrir à moi, indépendamment du deal quelle avait passé, quelques heures auparavant, avec son mari. Au bout de quelques instants je sentis que le rythme de son cur était redevenu normal et que sa respiration était moins saccadée. Je narrêtais pas pour autant mes caresses ; je ne fis que changer dendroit à caresser. Après sa nuque, je promenai ma main sur son dos, tout en la maintenant serrée contre moi. Tout le haut de son dos était nu sous sa robe de soirée. La douceur de sa peau commençait à faire de leffet sur moi. Je sentais comme une chaleur pénétrer doucement en moi et aller se réfugier dans mon bas ventre. Mon sexe commençait à grossir et faire une bosse qui devenait énorme sur le devant de mon pantalon.
Elle saperçut immédiatement du changement et au lieu de retirer son ventre, elle se mit au contraire à le faire bouger de manière à ce quil frotte de façon encore plus intime contre mon sexe. Inutile de décrire leffet que ce simple mouvement de son ventre avait sur mon excitation. Elle devenait insoutenable. Je me mis à la serrer encore plus fort, tout en accompagnant le mouvement de son ventre contre mon sexe par un mouvement analogue de mes hanches. Je lui susurrai à loreille quelle mexcitait tellement que si je ne me retenais pas, jallais la violer là, tout de suite. Elle eut un petit rire, éloigna sa tête de quelques centimètres pour pouvoir me regarder dans les yeux et me dit, provocante :
- Quattends-tu ?
Jarrêtai mes caresses et lui pris le visage entre mes mains pour lembrasser sur la bouche. Jai déjà parlé de sa bouche gourmande et sensuelle ; le baiser, dabord léger, que je lui appliquai confirma cette sensation que cétait un véritable instrument de pour mes sens. Cétait comme si je recevais une décharge électrique, certes légère, mais ô combien intense. Elle ne se contenta pas de répondre au petit baiser que je voulus initialement lui donner ; elle mattrapa par la nuque et maintint ma tête de manière à ce que le petit baiser se transforme en un autre, beaucoup plus torride et mouillé.
Jai souvent été embrassé par des femmes ; jai reçu des baisers de toutes sortes : des plus anodins à ceux qui donnent limpression dêtre pris dans un violent maelstrom et dont on sort complètement lessivé, tant par leur fougue, leur durée, leur intensité et le rôle joué par la langue. Jai connu des baisers qui étaient des actes sexuels qui se suffisaient à eux-mêmes. Mais le baiser que mavait donné Leila, en ce début de notre relation, dépassait en force et en intensité tout ce que javais connu jusque là. Elle avait une façon bien à elle de coller ses lèvres aux miennes - des lèvres, fermes, douces et élastiques - sans laisser un seul espace de libre. On aurait dit des ventouses, mais des ventouses dune douceur, dune chaleur et dune sensualité infinies.
Elle me forçait à ouvrir les dents pour laisser passer sa langue et aller à la recherche de ma salive et de ma langue. Elle venait affronter ma langue dans ma bouche pour lui imposer un duel, quelle était sûre de remporter haut la main; elle lui montait dessus, lenroulait, sen éloignait légèrement pour mieux revenir à lassaut. Sa langue avait pris totalement possession de ma bouche. Au bout dun moment je décidais de riposter et denvoyer ma langue à lassaut de sa bouche. Profitant dun moment de répit, où elle devait reprendre sa respiration, jenvoyai ma langue attaquer la sienne dans sa bouche. Ce fut un duel épique, où tour à tour nos langues se frottaient lune à lautre, se titillaient et se séparaient pour mieux revenir. Elles passaient dune bouche à lautre, ramassant au passage des quantités de nos salives qui se mélangeaient et que nous buvions avec délectation.
Le baiser (ou plutôt la série de baisers) dura une éternité et nous mena au bord de l. Nous nous arrêtâmes, à bout de souffle. Jéloignai mon visage du sien pour la regarder et voir où elle en était. Elle menvoya un éclatant sourire, qui était une invitation à continuer. Je la repris dans mes bras pour que son corps épouse le mien ; elle était totalement collée à moi, frottant doucement son ventre contre la bosse que faisait mon sexe sur le devant de mon pantalon. Jétais aux anges.
Je voulais la déshabiller pour admirer sa nudité. Elle se laissa faire et maida même à la débarrasser de sa longue robe de soirée. Elle resta un moment avec la petite chemise de nuit noire quelle portait sous sa robe. Elle lui arrivait à mi-cuisses et la moulait tellement quon dirait quelle était nue. Elle était tellement belle et superbement galbée. Dune voix chevrotante, tant jétais excité, je lui demandai denlever et sa chemise et tout le reste. Elle séloignait de quelques centimètres et en un tour de main, elle ôta sa chemise, le mignon soutien-gorge noir à balconnets qui mettait en valeur sa merveilleuse poitrine et ses seins fermes et blancs et la petite culotte, en soie noire, qui cachait le paradis auquel je voulais accéder au plus vite.
Une vraie merveille soffrit à mes yeux exorbités. Venus toute entière était là devant moi, belle et offerte, qui semblait très fortement apprécier leffet que sa nudité avait sur moi.
- Je suis belle, nest-ce pas ?
- Plus que ça ! répondis-je haletant. Tu es magnifique. Je ne comprends pas que ton mari refuse un tel don du ciel. Il est vraiment con ! Mais tant mieux pour moi !
Je lai enlacée et soulevé du sol pour la poser sur le grand lit à deux places qui trônait dans la chambre. Elle resta ainsi allongée sur le dos, me laissant tout le temps dadmirer son corps et toute son intimité. Contrairement à ce que je pouvais penser initialement, il ny avait en elle aucune fausse pudeur. Elle savait quelle était belle et voulait que je la regarde. Elle savait leffet quelle me faisait et en jouait en me laissant admirer toutes les parties de son corps qui restaient dhabitude inaccessibles aux regards. Elle avait ouvert légèrement ses cuisses pour me laisser admirer sa chatte, totalement épilée. Elle avait le mont de vénus bombé et brillant ; il me paraissait très doux et ferme. Ses grandes lèvres, dune couleur un peu plus sombre que le reste de sa peau, étaient longues et dodues. Elles me faisaient penser à deux carpelles (ou sections) doranges bien juteuses, que javais envie de mordre pour en boire le jus.
Les grandes lèvres entrouvertes laissaient apparaître de petites lèvres dun rouge très vif, brillantes dhumidité. Le reste nétait pas accessible à mon regard concupiscent ; mais mon imagination pouvait deviner ce qui se cachait : un clitoris petit, bien formé et ferme et un vagin étroit, élastique, plein de mouille et brûlant de désir.
Je ne saurais décrire létat dexcitation extrême dans lequel mavait mis ce magnifique corps nu et offert. Je me déshabillais en un tour de main, bien décidé à assouvir le désir bestial qui me tenaillait. La belle suivait avec intérêt le strip-tease que jétais entrain de réaliser à toute vitesse. Elle semblait apprécier ce quelle voyait : il faut dire que je ne suis pas mal de ma personne : sans être réellement beau, jétais grand et bien charpenté. Javais un corps de sportif, tout en muscle fins. Mes conquêtes féminines mavaient souvent affirmé que mon corps les faisait fantasmer et emportait leur imagination vers un merveilleux monde plein dérotisme torride.
Quand je me débarrassai de mon slip et quelle se trouva soudainement en face dun immense sexe dressé comme un glaive prêt à la pourfendre, elle eut une exclamation de surprise.
- Il ne pourra jamais pénétrer en moi ! il est trop grand ! tu vas méclater la vulve !
- Ne ten fait pas, lui répondis-je ! Je te garantis quune fois que tu lauras essayé, tu vas ladorer et tu ne pourras plus ten passer !
Tout en plaisantant, je vins mallonger près delle pour lembrasser et la caresser. Je voulais savoir ce quelle voulait faire : se faire dépuceler tout de suite, tel quil était prévu ou alors me laisser lui faire lamour à ma façon, de manière quelle prenne le plus de plaisir possible et que cette nuit devienne pour elle la plus belle de sa jeune vie.
Sans attendre sa réponse, je me mis à lembrasser partout : tendrement sur le front, les joues, les yeux, le menton ; plus voluptueusement sur la bouche et surtout sur le cou, les épaules, entre ses seins, à lintérieur de ses aisselles. Elle semblait aimer et commençait à se trémousser tout en me caressant la tête. Je moccupais un moment de ses seins que jembrassai, tétai et mordillai. Elle avait les tétons extrêmement sensibles. Elle aimait que je les caresse, les palpe et les enroule doucement entre mes doigts. Elle poussait de petits gémissements, à peine audibles au début, puis plus de plus en plus forts et saccadés.
Tout en continuant à moccupait de ses seins, jenvoyai ma deuxième main explorer le reste de son corps: je caressai doucement son ventre, son bas ventre et marrêtai un moment sur son pubis, brillant, bombé et dune fermeté et dune douceur infinies. Elle arrêta un moment de gigoter et se crispa un peu en sentant mes doigts sapprocher de sa chatte. Je posai un doigt entre ses grandes lèvres, fermes et élastiques, et le fis aller et venir pendant un moment le long de la fente. Très vite, je sentis que sa chatte était entrain de mouiller ; elle commençait même à couler.
Je poussai mon doigt vers les petites lèvres brillantes dhumidité et le fit pénétrer légèrement à la recherche de son clitoris. Je le trouvai assez facilement : il était petit, ferme et super sensible. Dès que je le touchai, Leila se tendit et releva les hanches pour me faire comprendre quelle aimait cette caresse. Je me décidai alors de la faire jouir avec ma bouche, en lui faisant un cunnilingus denfer. Je me plaçai au bas du lit, lui fit relever les jambes quelle posa sur sa poitrine, et posai ma bouche sur les grandes lèvres de sa chatte. Immédiatement, Leila remonta ses hanches pour garder un contact encore plus étroit avec ma bouche. Elle me prit fermement la tête pour lempêcher de quitter lendroit. Ma bouche se mit à embrasser, lécher et sucer cette chatte, au superbe goût légèrement salé et acidulé et à lodeur de vanille. Jétais comme ivre, ivre de son jus et de son parfum. Avec la langue, je titillai de temps en temps son clitoris que jessayai dattr avec les lèvres et les dents. Chaque fois que jy arrivai, le corps de ma belle se tendait, ses hanches se levaient et elle poussait un petit cri de satisfaction.
Elle ne parlait pas ; elle était toute à son plaisir de découvrir des sensations encore inconnues pour elle. Elle se mit soudain à gigoter plus fort et avec ses mains forçait ma tête à bouger à un rythme qui lui convenait le mieux. Je sentais quelle nallait pas tarder à jouir et jen étais heureux. Jessayais de faire pénétrer ma langue au plus loin dans son vagin, comme si je voulais la dépuceler. Elle aimait et faisait remonter et descendre ses hanches au même rythme que celui de ma langue à lintérieur de sa chatte. Au bout dun long moment, ses gémissements sintensifièrent et devinrent de plus en plus saccadés et sa respiration plus rapide. Elle se crispa, poussa un long râle et déchargea dans ma bouche.
Tout son corps se détendit ; elle relâcha tous ses muscles et saffaissa au plus profond du lit. Je sortis ma tête dentre ses cuisses et vint mallonger près delle en quémandant un regard et un sourire. Au fond de moi, je voulais quelle me remercie de lui avoir donné du plaisir. Elle resta un long moment les yeux fermés, reprenant sa respiration et ses esprits. Quand elle ouvrit les yeux, ces derniers brillaient de mille feux et le sourire lumineux quelle menvoya me fit comprendre quelle était vraiment heureuse.
- Je taime! fit-elle dans un souffle.
Elle nétait certainement pas tombée amoureuse de moi aussi vite, mais jétais sûr quau moment où elle disait cela, elle était sincère. Je lai reprise dans mes bras en lui susurrant à loreille que moi aussi je laimais et que je laimerai encore plus quand je lui aurai fait lamour et quelle mappartiendra.
- Immédiatement ! fit-elle, en me donnant un léger baiser sur la bouche. Dépucelle-moi ! Je veux sentir ton engin me pénétrer et méclater lhymen ! Dun côté, jai peur que tu me fasses très mal et que je naime pas ; dun autre jai hâte de le sentir en moi et de devenir une vraie femme. Promet-moi de ne pas me faire mal.
- Nai pas peur, même si je te fais un peu mal, tu verras, ce sera tellement bon que tu en redemanderas.
Jétais tellement excité que mon sexe avait pris des proportions monstrueuses. Il était tellement tendu quil me faisait mal. Il lui fallait absolument défoncer cette superbe chatte offerte. Je lui dis que jallais lui faire lamour. Elle fit oui dun imperceptible mouvement de tête. Je me positionnais entre ses jambes, les lui fis écarter et relever de manière à avoir un accès direct à sa chatte, positionnai le gland de mon sexe entre les grandes lèvres que jouvris avec mes doigts. Initialement, jétais décidé à y aller franchement et à la dépuceler brutalement, dun seul coup de reins.
Mais comme je sentais quelle avait peur et quelle était trop crispée, jai changé davis et my pris avec plus de douceur. Au lieu de la pénétrer directement, je me mis à lui caresser la chatte avec le gland de mon sexe. Je fis monter et descendre mon engin le long de la fente en faisant pénétrer de temps en temps le gland entre les petites lèvres pour aller titiller le clitoris de ma belle. Elle adorait ce que je lui faisais ; elle le montrait en fermant les yeux, en poussant de petits gémissements qui ressemblaient à des ronronnements de chatte heureuse et surtout en bougeant lentement ses hanches pour accompagner le mouvement de mon manche à lentrée de son vagin.
De temps en temps, je poussai lengin à lintérieur pour aller cogner sur son hymen. A ce moment je la sentais qui se crispait et ne se rassurait quune fois quil revenait à lentrée. Dun côté elle craignait le moment fatidique de la déchirure de son hymen, dun autre elle lespérait et elle lattendait impatiemment. Je continuai à jouer au même jeu pendant un temps, de manière à ce quelle se rassure et reste détendue, croyant que je continuerai à ne pas forcer le chemin, jusquà ce quelle minvite elle-même à le faire. Et puis au moment où elle ne sy attendait plus, je la pénétrai profondément, faisant éclater au passage la fine membrane de son hymen. Elle poussa un grand cri de douleur en me plantant ses ongles dans le dos. Je restai un moment sans bouger au fond de son vagin.
Je ne repris le mouvement de va-et-vient que quand la douleur était devenue supportable : entre temps je me mis à lembrasser doucement et à lui murmurer des mots tendres pour la calmer. Quand je me remis à bouger, cétait tout doucement, de manière à lui faire le moins mal possible. Mon engin allait et venait lentement au fond de son vagin en faisant très attention à sarrêter avant datteindre la blessure pour ne pas réveiller la douleur. En très peu de temps, elle oublia sa douleur pour se concentrer sur le plaisir que lui procurait le mouvement de mon engin qui allait et venait et qui frottait contre les parois de son tunnel. Elle ressentait la force et la chaleur de mon sexe, ainsi que sa douceur. Elle commençait à gémir de plaisir et à parler. Cétait la première fois quelle parlait pendant quelle prenait du plaisir. Elle me tenait fermement par les hanches, comme si elle avait peur que je sorte et labandonne sans lavoir faite jouir.
- Continue comme cela ! Cest bon ! Cest très bon ! Ne tarrête pas ! Plus vite ! plus vite ! plus fort ! plus vite ! Je vais jouir ! je vais jouir tout de suite ! Je jouiiiis !
Pendant que je continuais à la pilonner, avec un ahanement de bûcheron et sans plus me soucier de la douleur quelle pouvait ressentir et quen fait elle ne ressentait plus, noyée quelle était par le plaisir, elle explosa dans un immense râle de jouissance et déchargea une quantité impressionnante de mouille. Le violent va-et-vient de mon sexe dans son vagin inondé de mouille produisait maintenant un clapotis denfer, qui ajoutait encore plus dintensité à mon excitation. Je sentais que moi aussi jétais sur le point de jouir. Mais je ne voulais pas encore le faire. Je voulais donner à mon amante une autre jouissance. Je ralentis donc le mouvement de manière à refouler le flot de sperme qui voulait jaillir et me remis à aller et venir, à un rythme beaucoup plus lent, dans la chatte de Leila. Elle ne tarda pas à sortir de la torpeur dans laquelle lavait plongée sa première jouissance et à sentir une autre montée de désir lenvahir. Elle ouvrit les yeux pour me regarder la pilonner, me fit un grand sourire et saccrocha de nouveau à ma taille pour me signifier de ne pas marrêter.
- Cest tellement bon ! Jai encore envie de jouir ! Cest merveilleux ! Ne tarrête pas ! Fais-moi monter au septième ciel ! Jadore ton zob ! Jaime le zob ! Jaime être baisée ! Baise-moi ! Baise-moi ! Plus vite ! Plus fort ! Encore ! Je sens monter lorgasme ! Je vais jouir ! Je jouiiiis !
Elle eut effectivement un deuxième orgasme, aussi fort que le premier. Moi aussi, je ny tenais plus et il fallait que je décharge. Je sentais monter en moi la jouissance ; elle arriva très vite et très fort, tel un torrent impétueux. Dans un râle de mourant, jéjaculai plusieurs giclées dun sperme épais et brûlant, qui allèrent se répandre dans le fond du vagin de Leila et dont une partie sortit à lextérieur, expulsée par le va-et-vient de mon engin. Jétais exténué et heureux. Je maffalai sur ma belle et nous restâmes ainsi plusieurs minutes à reprendre notre souffle et à apprécier ce fort moment de bonheur.
Je me relevai au bout dun moment pour me placer à côté delle et la regarder. Elle était tellement belle ainsi, dans son impudique nudité et avec son air de lionne repue et heureuse. Elle avait ouvert les yeux et me regardait avec tendresse. Exactement de la même manière que moi je la regardais.
- Je suis sûre dêtre tombée amoureuse de toi ! Cest toi que jaurai dû épouser, pas Lyes. Lui il ne pourra jamais me donner le bonheur que tu viens de moffrir. Je veux que tu restes avec moi ; que tu ne quittes jamais.
- Moi aussi, je voudrai te garder. Tu es si belle, si sensuelle. Tu peux me croire, je ne vais pas te lâcher aussi facilement. Je vais maccrocher à toi comme un aimant ! Même ton mari ne pourra rien faire pour méloigner de toi ! Il est maintenant temps de dormir.
Elle ne mit pas longtemps à sendormir. Elle dormit serrée contre moi, un sourire béat sur les lèvres. Je passai une grande partie de la nuit à veiller sur le sommeil de ma belle, en faisant attention à ne pas trop bouger pour ne pas la réveiller. Ce nest que très tard au petit matin que jai pu plonger, moi aussi, dans un sommeil rempli dimages de ma Leila. Cest la sonnerie du téléphone de la chambre qui nous réveilla, aux alentours de huit heures. Lyes appelait pour nous avertir quil avait commandé un copieux petit déjeuner et quil allait nous lapporter dans la chambre. Cela neut pas lair détonner Leila. Elle se leva promptement, et dans sa magnifique nudité, elle alla déverrouiller la porte. Elle revint très vite se remettre au lit, et se serra contre moi et entreprit de membrasser et de me caresser partout : sur le visage, le cou, la poitrine, le ventre et même le sexe qui commençait à avoir des émois et à sexciter.
Nous neûmes pas le temps daller plus loin ; Lyes frappa à la porte et Leila lui dit dentrer. La porte souvrit laissant passer un chariot chargé de trois petits copieux déjeuners, que poussait le mari de ma belle. Il était vêtu dune fine robe de chambre en soie (une espèce de kimono asiatique) qui mettait en valeur un corps svelte et sportif et qui accentuait cette impression de féminité qui métait déjà apparue la veille. Il ne semblait nullement gêné par la situation. Il semblait même sen amuser.
- Alors les tourtereaux, la nuit sest bien passée ?
Ni moi, ni Leila ne répondîmes. Leila était assise en haut du lit, adossée au mur de la chambre contre un oreiller moelleux quelle avait posé là, pour éviter le contact direct de son dos nu contre le mur. Elle avait remonté la couette de manière à cacher sa poitrine nue. Rapidement la couette descendit sur ses cuisses, laissant ses merveilleux seins à lair libre. Cela ne semblait pas la gêner outre mesure. Moi-même javais fait la même chose en madossant contre le mur pour pouvoir avaler ma part de petit déjeuner à laise. Lyes lui, était assis au bord du lit, plus bas que nous. Nous mangeâmes ainsi dans un silence un peu gêné, mais de très bon appétit, au moins pour Leila et moi.
- Je ne tavais pas menti quand je tavais assuré que cétait une fille merveilleuse, fit Lyes, plus pour détendre latmosphère que pour rappeler une vérité.
- Elle est plus que merveilleuse, mentendis-je répondre. Je ne comprends pas comment un homme peut ne pas tomber sous son charme et la vouloir toute à lui.
Lyes rougit légèrement au reproche que je venais de lui faire et haussa les épaules, comme pour dire, que ce nétait pas de sa faute si la nature lavait fait comme cela. Il naimait que les hommes et il ny pouvait rien. La seule chose qui comptait pour lui, cétait de sauver la face et, marginalement que Leila, quil appréciait beaucoup, nen souffre pas trop. Il voulait quelle ait des s, de préférence avec moi, qui porteront son nom et qui deviendront ses héritiers aux yeux de tous.
Leila qui écoutait notre dialogue sans broncher, mais le visage fermé, se mit soudain à me caresser sous la couette en regardant son mari avec effronterie. Elle savait quil comprenait quelle était entrain de me masturber sous la couette. Il resta de marbre. Elle voulu aller plus loin dans la provocation et tira dun coup la couette pour dévoiler mon engin dressé comme un mât vers le plafond de la chambre. Jétais très gêné, mais laissais faire. La situation, même gênante, ne mavait pas fait débander ; au contraire, le contact de sa main si douce, qui faisait des allers-retours sur mon manche depuis le gland jusquau bout de la hampe, était tellement agréable que lexcitation allait crescendo. Je surveillais Lyes qui regardait le spectacle et semblait subjugué. Je ne sais si cétait la situation qui le perturbait où si cétait mon sexe qui le mettait dans un état second. Il semblait perdu et ses yeux se voilaient imperceptiblement, comme sil pensait à quelque chose de particulier ; chose qui devait être très agréable.
Leila ne sarrêta pas en si bon chemin dans la provocation : elle lança un regard salace à son mari et se mit à embrasser et lécher mon sexe avec entrain. Jétais au comble de lexcitation. Au bout dun moment elle ouvrit la bouche et y fit pénétrer le gland quelle se mit à téter goulûment, tout en jetant de temps en temps un regard sur son mari, qui restait toujours immobile, le regard perdu. Elle se mit ensuite à faire aller et venir sa tête de manière à faire faire un va-et-vient torride à mon sexe. Jétais tellement excité que jai dû arrêter le mouvement de sa tête pour ne pas éjaculer dans sa bouche. Elle sarrêta un moment, puis reprit de plus belle. Elle ne sarrêta que sur mon insistance, parce que je ne voulais pas jouir dans sa bouche.
- Ça cest un beau zob ! dit-elle à son mari sur un ton virulent. Ce nest pas comme celui de ton ami Mahmoud ! Nest-ce pas ? Tu aimerais bien quil soccupe de ton petit cul ! Et bien non ! Il est à moi ! Et rien quà moi ! Regarde le bien, je vais lui demander de soccuper de mon cul !
Et puis se tournant vers moi, elle me demanda de lenculer. Je me trouvais dans une situation paradoxale. Dun côté je savais pertinemment que Leila me demandait de lenculer uniquement pour punir son mari de lavoir manuvrée, en lui faisant croire quil était amoureux delle. Dun autre côté, je ne croyais pas quelle voulait vraiment faire lamour de cette façon : la sodomisation ne devait pas être, du moins pas encore, lun de ses fantasmes érotiques. Je me promettais bien de lui faire aimer la chose, mais je savais que cela allait prendre un peu de temps. Le temps de shabi à lidée, puis dessayer une fois, puis une autre, puis encore une autre, jusquà finir par apprécier et, plus tard, à aimer vraiment.
Je ne voulais donc pas la sodomiser dans ces conditions. Je lui dis à loreille de se calmer et que si elle voulait vraiment faire lamour devant son mari, jallais la baiser à la levrette. Jétais sûr quelle allait apprécier et que cela fera mal à son mari de la voir jouir autant devant lui.
Elle se mit immédiatement en position, à quatre pattes, la tête enfoncée dans loreiller et les fesses relevées de manière à être au niveau de mon manche. Tout en jetant un regard furtif à Lyes qui ne bronchait toujours pas, je me mis derrière ma belle, pris mon zob dans la main et le guidai vers la fente de sa chatte. Je lui caressai légèrement les grandes lèvres avec mon sexe pour lexciter et me rendit compte que cétait déjà fait et quelle mouillait très fort. Jintroduisis le gland jusquà lentrée du vagin et dune forte poussée des hanches, la pénétrai brutalement jusquau fond. Elle poussa un cri de douleur, au moment où mon sexe raviva la blessure encore fraîche de son hymen, mais se reprit très vite, ne voulant montrer à son mari que de la jouissance. Jentrepris de la piner en force tout en faisant attention à ne pas trop lui faire mal.
Elle se mit à gémir de manière ostentatoire pour montrer à son mari son plaisir de se faire piner par un homme, un vrai. Au début, cétait certainement du chiqué ; elle faisait semblant. Puis petit à petit, je sentis quelle prenait vraiment du plaisir et que ce dernier allait crescendo. Ses gémissements devenaient moins bruyants mais plus intenses ; sa respiration était de plus en plus saccadée ; elle commençait à parler avec des mots et des phrases incompréhensibles, mais qui signifiaient que je devais continuer à la piner comme cela et à lui donner du plaisir. Elle avait oublié jusquà la présence de son mari. Elle était dans son plaisir et voulait en profiter au maximum. Moi aussi javais oublié la présence du mari et ne moccupait plus que de faire jouir ma belle Leila.
Je la tirai de plus en plus fort, tout en moccupant de lui palper les seins. Elle aimait que je lui caresse les seins à tour de rôle, pendant que mon zob soccupait de sa chatte.
- Oui ! Oui ! Continue ! Tire-moi comme une chienne ! Va jusquau fond de ma chatte ! Fais y rentrer tes couilles ! Ecrase-moi les seins ! Jaime ! Jaime ! Jadore ! Ouiiiiii !
Elle eut un orgasme impressionnant : un râle qui dura une éternité, de la bave qui sortait de sa bouche en torrents, le corps tendu comme un arc et une chatte qui se remplit dune énorme quantité de mouille !
- Ejacule en moi mon chéri ! Je veux que tu me remplisses de ton foutre ! Mais laisses-en un peu pour ma bouche ! Jai soif, je veux boire du sperme.
Je ne mis pas longtemps avant de jouir à mon tour et denvoyer une grosse quantité de sperme dans son vagin. Je sortis très vite de son tunnel pour lui offrir à boire les giclées qui restaient. Elle se retourna et présenta sa bouche largement ouverte devant mon sexe doù jaillit le restant due foutre. Elle avala goulûment et se lécha les babines en narguant son mari qui se tenait maintenant debout devant le lit.
Il sétait levé pour mieux regarder la scène. Il ne quittait pas des yeux mon sexe qui malgré la forte éjaculation était encore debout. Leila comprit très vite que ce qui intéressait son mari, ce nétait pas ce quelle venait de faire avec moi, cela il semblait sen moquer totalement, mais mon zob dont les fortes dimensions limpressionnaient et lexcitaient. Elle se mit en colère, me prit le sexe dune main et recommença à me lécher et sucer. Je me remis à bander comme un âne. Cest sûr que cest lincongruité de la situation qui mexcitait autant.
Leila faisait maintenant rentrer mon gourdin jusquau fond de sa gorge. Elle saidait de deux mains ; la première pour caresser mes couilles lautre pour accompagner la fellation, en me masturbant. Jétais aux anges. Mais tout à coup elle sarrêta, regarda son mari et lui dit dun ton où il ny avait plus de colère :
- Tiens ! Je te loffre ! viens le sucer !
Jétais estomaqué. Leila voulait que son mari vienne prendre sa place et me sucer, comme si jétais son amant. Je nai pas de préjugés spéciaux contre les homosexuels, mais naturellement, je navais aucune attirance envers eux. Jopposais donc une petite résistance à ce qui était entrain de se passer, tout en sachant que jallais rapidement céder à la volonté de la belle Leila.
Lyes ne se fit pas prier ; et comme sil nattendait que cela, il vint prendre la place de sa femme et entrepris de me faire une fellation des plus torrides. Au début, javais cru que jallais débander, tant la chose ne mintéressait pas. Cétait sans compter sur le savoir-faire de Lyes. Il suçait comme une femme ; jallais même écrire : mieux quune femme. Il savait exactement ce quil fallait faire, comment utiliser sa langue pour accroître lexcitation, comment écarter ses dents pour quelles ne mordent pas le pénis, comment saider de ses mains pour caresser et les couilles et la partie de la hampe qui nétait pas dans la bouche, comment faire entrer le manche jusquau fond de sa gorge, sans déclencher le réflexe de vomissement.
Leila ne resta pas à ne rien faire. Elle participa à lopération en se caressant doucement les seins et la chatte, et en me fixant droit dans les yeux pour me communiquer son excitation et le plaisir quelle prenait à se masturber pendant que son mari me faisait une pipe. Il ne fallut pas longtemps pour quelle et moi jouissions ensemble : moi en en éjaculant dans la bouche et la gorge de Lyes qui avala tout le sperme avec délectation ; elle en déchargeant dans sa main quelle me tendit pour lécher. Ce que je fis avec plaisir, tant son jus était délicieux.
Lyes, me regarda avec des yeux suppliants dont je ne compris pas tout de suite la signification. Cest Leila qui mexpliqua à loreille quil voulait que je lencule pour que lui aussi ait sa part dorgasme.
- Vas-y encule le ! ordonna-t-elle.
Javais entre-temps débandé. Javais eu ma part de plaisir et mon sexe était maintenant repu. Et puis lidée de sodomiser un homme ne me branchait absolument pas. Je le dis à Leila. Cela ne larrêta pas pour autant. Elle se tourna vers son mari qui était encore allongé sur le lit, délaça le cordon de sa robe de chambre, écarta les pans de cette dernière et dénuda la poitrine et les cuisses de Lyes. Je maperçus quil avait une belle peau blanche et luisante, sans aucune trace de poils. Il était épilé de partout : les aisselles, la poitrine, les bras, les pubis et les jambes. Il avait un tout petit sexe, qui en ce moment était en érection, mettant en évidence son excitation.
Elle le fit se retourner sur le ventre de manière à exposer ses fesses qui étaient elles aussi blanches et luisantes, comme tout le reste de son corps. Il avait un petit cul bien rond qui paraissait très ferme. Leila, comme si elle avait fait cela toute sa vie, se mit à caresser les fesses de son mari, faisant de temps en temps pénétrer deux doigts dans la raie, puis à lintérieur de lanus de lhomme. Pendant quelle opérait, elle me regardait droit dans les yeux, pour me communiquer sa volonté. Son mari semblait apprécier les caresses et surtout les doigts qui fouillaient son cul. Au bout de quelques minutes, elle mordonna de prendre sa place et de doigter son mari.
Je fis ce quelle disait. Je me mis à caresser les fesses de lhomme, qui étaient, il faut bien lavouer, très douces et très fermes. Leila me demanda dutiliser ma salive pour lubrifier lanus et lentrée du boyau. Lyes qui nattendait que cela se mit en position de me présenter son cul en se mettant à quatre pattes sur le bord du lit et en remontant très haut ses hanches. Je mis un peu de salive sur mes doigts et entrepris de lubrifier lanus. Je my repris plusieurs fois avant datteindre un résultat satisfaisant. Entre-temps javais recommencé de bander, même si ce nétait pas avec la même force que tantôt.
La coquine de Leila, sétait positionnée derrière moi et sétait mise à me caresser le dos avec ses seins, tout en envoyant sa main droite vers mon sexe pour le faire bander plus fort. Elle me caressa si bien de ses seins et de sa main que la petite érection de départ devint une vraie bandaison de mec assoiffé de cul.
- Baise-le maintenant, ordonna-t-elle !
Ce que je fis, sans plus attendre. Je me plaçai derrière lhomme, positionnai le gland de mon gourdin devant lentrée du cul et dun coup brusque lenfonçait dans le boyau. Il pénétra sans aucune difficulté jusquà ce que mes couilles vinrent buter contre ses fesses. Même si lanus était ouvert, il restait encore très élastique et moulait parfaitement toute la hampe de mon sexe. La sensation était assez agréable ; même si elle était très différente de celle que donnait un cul de femme.
Lyes lui navait pas ce genre de réflexion ; tout ce qui lintéressait cétait ce gros zob qui était entrain de le piner avec force. Au début, il était resté silencieux, puis petit à petit, il sétait mis à gémir et à bouger ses hanches de manière à accompagner mes coups de boutoir. Je ne voyais pas son visage, mais jétais convaincu quil était illuminé de bonheur. Je le sentais à sa manière de gémir de plaisir et à son souffle court et saccadé. Il ne parlait pas. Jusquau moment où je sentis quil allait jouir parce que ses gémissements devenaient plus forts, plus rauques et plus rapides. Et tout à coup, il se mit à crier :
- Ahhhhh ! Lâche ton foutre dans mon cul. Je vais jouir ! Déverse ton sperme ! Tu me donneras ton zob pour que je le suce ! je vais le nettoyer avec ma bouche ! Je jouiiiiis !
Je lâchai le peu de sperme qui me restait dans le cul de Lyes qui avait maintenant relâché tous ses muscles et sétait affalé sur le lit, mentraînant avec lui. Je sortis vite mon sexe de son cul et me mis debout. Il se retourna, me prit par la main pour que je ne méloigne pas de lui, se mit à genoux devant moi et entreprit de me nettoyer le zob, qui était devenu maintenant tout mou, avec sa bouche et sa langue. Il avala tout avec délectation. Quand il eut terminé, il me lança un regard reconnaissant, avec sur les lèvres un sourire de béatitude, comme sil venait de vivre un vrai moment dextase.
Javais un peu honte de moi et de ce que je venais de faire. Mais en voyant le sourire de bonheur qui illuminait le visage de Leila, assise toujours nue sur le bord du lit, je me sentis heureux. Heureux davoir rencontré cette femme, quhier encore je ne connaissais pas et dont jétais tombé éperdument amoureux. Heureux davoir été son premier homme.
Notre histoire à tous les trois continua tout le temps que dura mon séjour professionnel dans lhôtel - dix jours qui a coïncidé avec celui du couple. Leila passa toutes les nuits suivantes dans ma chambre. Nous y avions fait lamour comme des bêtes toutes ces nuits là. Chaque matin Lyes nous rejoignait avec son chariot à petit déjeuner et participait à nos jeux amoureux. Je dois à la vérité de dire que jai fini par aimer son petit cul et sa manière un peu honteuse de quémander sa part de plaisir, même sil ne recevait en fait que ce que voulait bien lui laisser Leila.
Pendant ces dix jours, je navais travaillé que quelques après-midis. Je laissai la responsabilité du chantier à un collaborateur qui était sur place en permanence ; je nintervenais que rarement. Cela me laissait du temps pour vivre pleinement mes aventures amoureuses. Nous rentrâmes à Alger par route, dans le luxueux quatre/quatre de Lyes. Cétait lui qui conduisit pendant tout le trajet ; pendant que Leila et moi nous nous prélassions à larrière du véhicule en flirtant, plaisantant et, deux fois de suite en faisant lamour pendant que le véhicule roulait. Arrivés à Alger, Leila et son mari rejoignirent la villa quils occupaient dans un quartier chic de la banlieue ouest. Moi je retrouvai mon appartement dans un quartier populaire de la capitale.
Avec Leila, lhistoire sest poursuivie pendant plusieurs années. Nous nous retrouvions presque toutes les nuits chez elle pour vivre une vraie passion amoureuse. Lyes avait retrouvé son petit ami Mahmoud, dont il était très amoureux. Il me le présenta un soir que lui aussi était venu passer la nuit chez son ami. Nous sommes vite devenus amis; il était sympathique et drôle et aimait sincèrement Lyes, quil appelait sa femme. A aucun moment il napprit ce qui sétait passé entre Lyes et moi. Leila tomba enceinte et mit au monde deux magnifiques jumelles. Nous avions continué à nous aimer passionnément pendant très longtemps. Javais vu grandir mes deux filles jusquà lâge de quatre ans. Et puis, comme beaucoup de monde en ces temps dinsécurité, toute la famille émigra au Canada (accompagnée de Mahmoud, le petit ami de Lyes). Aujourdhui encore je continue de rêver au retour prochain (quau fond de moi je sais irréaliste) de Leila et des filles (et parfois même de Lyes).
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