Fariza, Ma Première Femme
Fariza , ma première femme
Jusquà lâge de dix-neuf ans, à mon entrée à luniversité, je neus que des flirts sans lendemain avec des copines étudiantes. Rien qui aurait pu satisfaire mes innombrables phantasmes érotiques de fin dadolescence. Mes relations avec mes copines se limitaient à quelques baisers et à des attouchements superficiels qui me laissaient sur ma faim. Javais à un moment tissé une relation sérieuse avec une superbe fille de mon âge, qui venait souvent rendre visite à des parents habitant à côté de chez nous. Physiquement, elle avait tout ce quil fallait. Des formes plantureuses et des rondeurs bien placées, une bouche sensuelle qui était un véritable piège à fantasmes, des yeux noirs immenses, une longue chevelure abondante et raide de couleur corbeau, qui lui tombait sur les épaules. Mais il ne me fallut pas longtemps pour découvrir quelle était du genre qui refuse tout contact charnel en dehors du mariage. Or je nétais pas prêt pour le mariage. Ma relation « sérieuse » ne dura pas plus dun mois. Elle prit fin au moment où jai revu Fariza, une jolie voisine, très amie avec ma mère, qui nous rendait visite quotidiennement quand mes parents habitaient encore avec nous (avant daller jouer aux gentlemen-farmers !).
Cétait un petit bout de femme (probablement moins de 1,60 mètre), toute menue, au teint très mat et à la figure toute ronde. Elle était encore très jeune, malgré que je lai toujours connue mariée et quelle avait déjà deux s. Ma mère laimait beaucoup et dès son arrivée dans la maison à côté de la notre, elle lavait prise sous sa protection pour essayer de lui redonner un peu de la chaleur humaine que son mariage lui avait fait perdre. En effet, ses parents lavaient marié très jeune au vieux monsieur qui habitait la maison à côté de la notre. Un petit commerçant qui devait avoir à lépoque déjà près de soixante ans, qui, pour on ne sait quelle raison, ne sétait jamais marié et qui avait jeté son dévolu sur cette fille quil avait entrevue en allant rendre visite à sa famille, dans un lointain village de Kabylie.
Quand elle arriva comme nouvelle mariée dans la maison voisine, je ne devais pas avoir plus de dix ans. Jentendais souvent ma mère parler delle en la plaignant. Jusquà quelques mois après son mariage, elle continuait à refuser ce mari qui était tout le contraire du prince charmant, auquel elle rêvait depuis quelle était toute petite fille. Elle se sauva plusieurs fois pour retourner chez ses parents ; son père la ramenait toujours, après lui avoir caressé le dos avec sa ceinture en cuir. Et puis elle tomba enceinte une première fois, puis une deuxième fois et mit au monde deux garçons qui sont devenus le centre de sa vie. Elle sétait prise damitié pour ma mère, qui lui avait ouvert très large les portes de notre maison et qui lui prêtait son épaule secourable sur laquelle elle avait déposé des tonnes de larmes ! Elle venait pratiquement tous les jours chez nous ; à peine son mari sorti pour rejoindre son échoppe, elle accourait chez nous pour papoter avec ma mère. Moi, trop jeune, je navais jamais réellement fait attention à elle.
Ce nest que bien des années plus tard, à un âge plus avancé où les démons de la sexualité sinsinuaient en moi, sans rien pour les satisfaire, que je regardai ce petit bout de femme avec plus dattention. Je devais avoir dix-huit ans quand pour la première fois je sentis mes sens vibrer pour elle. Javais lhabitude, depuis que je la connaissais, de lui faire la bise quand je la rencontrais à la maison. Cétait pour nous naturel quun embrasse une parente quand il la rencontrait ; et ma mère exigeait quon la traitât comme une parente.
Plus rien ne se passa entre nous, jusquau départ de mes parents, ou de temps en temps elle venait voir si lon ne manquait de rien (une recommandation de maman !) et jetait un regard réprobateur au défilé permanent de nos copains et copines. A chaque fois, je jouais à chercher ses lèvres en lui faisant la bise traditionnelle et à chaque fois elle retirait vite sa tête pour faire échouer la manuvre. Mais jamais, elle ne rouspétait, ni ne disait rien, pour me faire cesser ce jeu puéril. En dehors de cela, rien ne se passa entre nous jusquà mon entrée en fac. Les horaires de luniversité navaient rien à voir avec ceux du lycée qui étaient stricts. Mes matinées étaient souvent libres et jen profitais pour dormir tard et me réveiller tard. Le matin, je me retrouvais toujours seul ; tous les autres sortaient tôt.
Ce matin là jétais dans la cuisine entrain de me préparer un copieux petit déjeuner, quand Faïza fit son entrée.
- Tu as toujours voulu membrasser, et bien voilà cest maintenant fait ! » dit-elle en riant de bon coeur et en me montrant ses petites dents pointues.
Jessayais de me donner une contenance, en lui tournant le dos, feignant de moccuper du lait qui était sur le feu. Elle se plaça derrière moi, me prit par la taille et colla sa poitrine sur mon dos nu :
- Tu nas pas apprécié mes lèvres, on dirait !
Et elle se mit à promener sa bouche sur mos dos. Je sentais son souffle chaud sur ma colonne vertébrale et je commençais à avoir des frissons dont je ne savais pas encore si cétait de lexcitation ou un coup de froid. Ses mains qui sétaient croisées sur ma taille se séparèrent pour me caresser le ventre et le torse. Elles étaient dune douceur infinie. Cette femme avait de lélectricité dans les mains ; à chacune de ses caresses, je sursautai comme si je recevais une petite décharge électrique qui irradiait sur tout mon corps et se transformait en une douce chaleur très agréable. Elle continua longtemps à me caresser ainsi, insistant beaucoup sur mes tétons, quelle titillait avec un doigt. Pour je ne savais quelle raison, javais peur de me retourner et de lui faire face. Pourtant mon excitation était à son comble.
Mon sexe sétait brusquement réveillé et faisait une immense tente avec le tissu du pyjama (je ne portais pas de slip, qui pouvait le comprimer). La main qui me caressait le ventre descendit tout doucement vers le bas. Tout mes sens étaient tendus vers le moment où elle allait entrer en contact avec mon membre, tellement tendu quil me faisait mal. Elle finit par y arriver en tâtonnant. Son contact, même à travers le tissu me fit leffet dune forte décharge électrique, douloureuse et délicieuse à la fois. Je poussai un gémissement de plaisir et lui pris la main pour lappuyer plus fort sur mon sexe. Elle comprit linvitation et se mit à palper mon membre plus franchement. Je lentendais murmurer sur mon dos
- Comme il est grand ! Il faut que tu me le montres ! Jai entendu toutes les filles du quartier parler de toi et de ton sexe en des termes flatteurs ! Je croyais que cétait des histoires ! Elles avaient donc raison les coquines ! Tourne-toi que je mate lengin !
Elle me força presque à me retourner, le sexe en étendard. Elle séloigna légèrement pour avoir une vue panoramique sur lui, le prit à deux mains et se mit à le pétrir avec force. Elle avait de toutes petites mains ; elles narrivaient pas à en faire totalement le tour. Elle le caressa longtemps avec un sourire béat sur les lèvres. Ses yeux sétaient voilés ; sa respiration devenait de plus en plus courte et rapide; sa bouche sétait légèrement ouverte et sa langue sortait de temps en temps pour humecter ses lèvres. Elle leva la tête vers moi et me tendit sa bouche pour que je lembrasse. Mes réflexes damant à la hauteur revinrent dun coup. Je lattrapai par la nuque et attirai sa tête vers moi. Je collai ma bouche sur la sienne et lui donnai un violent baiser qui mit le feu à nos corps. Nos bouches étaient collées lune à lautre et ne voulaient plus se quitter ; nos salives se mélangeaient et constituaient un nectar quelle et moi nous nous disputâmes pour le déguster.
Sa main ne quittait pas mon gourdin qui était devenu monstrueux à force dexcitation. Je poussais presque inconsciemment mon bassin vers son ventre pour lui faire sentir lintensité de mon désir. Elle le lâcha et vint coller son ventre contre lui et continua ainsi à le caresser par des mouvements latéraux de ses hanches. Je ny tenais plus. Je la soulevai du sol et alla la déposer et lallonger sur la table de la cuisine, ses fesses sur le rebord et les jambes ballantes. Je soulevai les pans de sa robe et les remontai sur sa taille. Elle ne portait pas de culotte ! Le spectacle qui soffrait à ma vue était féerique : elle avait une chatte poilue ; des poils qui ne cachaient pas la beauté de son petit sexe aux grandes lèvres longues et ourlées qui laissaient entrevoir des petites lèvres cramoisies, donnant sur un tunnel sombre. Le teint mat des ses cuisses et de son ventre ajoutait à lharmonie densemble. Je mis ma main sur sa chatte pour en tester la douceur et la moiteur. A son contact, tout le corps de Fariza se crispa ; elle souvrit un peu plus pour lui permettre daller fourrager à lintérieur de sa vulve. Jécartai les grandes lèvres qui déjà dégoulinaient de mouille et fit pénétrer deux doigts entre ses petites lèvres à la recherche de son clito que je trouvai rapidement. Je le pris entre les doigts pour le titiller.
Elle poussait de tous petits gémissements de plaisir, tout en tortillant ses fesses pour mieux sentir mes caresses. Elle mattrapa la main qui fourrageait dans sa chatte et lobligea à utiliser un troisième doigt pour aller plus loin dans son vagin. Par la pression quelle mettait sur ma main elle me demandait de la masturber plus franchement et plus en force. Je mappliquais à faire faire à mes trois doigts de longs mouvements de va-et-vient dans son vagin, tout en caressant au passage son clito. Elle ne gémissait plus, elle criait ! Elle voulait que je la masturbe comme cela jusquà la faire mourir de plaisir ! Elle voulait quaprès cela je la baise avec mon gros zob et que la fasse jouir plusieurs fois ! Quà partir de maintenant je lui appartenais totalement ! Très vite la jouissance vint ; puissante et bruyante. Elle criait très fort quelle allait mourir ! Quelle jouissait ! Quelle coulait ! Quelle était au paradis ! Et puis tous ses muscles, tendus à lextrême, se relâchèrent ; elle saffaissa totalement sur la table de la cuisine.
Je la regardais, mi étonné, mi heureux. Etonné, parce quà aucun moment je navais imaginé que jallais faire un jour lamour avec cette femme. Heureux, parce que je trouvais chez elle cette soif de jouissance dont je rêvais chez la femme qui mappartiendra. Elle reprit rapidement ses sens et me regarda avec ses yeux de biche apaisée. Elle me fit un grand sourire coquin et me dit dans un souffle :
- Nique moi !
Mon gourdin pendant tout le temps que je la masturbais était resté sur sa faim. Il voulait sa part du gâteau ! Je me mis entre les jambes de ma maîtresse, lui souleva les genoux jusquà sa poitrine et présentai mon dard devant lentrée de sa chatte. Sans ménagement aucun, pensant que cétait comme cela quil fallait faire, je le fis pénétrer dune brusque poussée de mon bassin jusquau fond ; jusquà ce que mes couilles vinrent cogner contre ses grandes lèvres. Je sentis que je lui avais fait mal, mais elle ne dit rien, ni ne fit rien qui me dissuadât de continuer. Je continuai donc à honorer sa chatte visqueuse et chaude et à frotter et limer les parois de son vagin à grands coups de mon gourdin qui était heureux dans ce merveilleux tunnel. Malgré les deux s quelle avait eus, son vagin était resté très élastique ; il enserrait fortement mon sexe qui ressentait ainsi très intensément chaque frottement avec les parois du tunnel. Cétait vraiment autre chose que le plaisir que mapportait la masturbation à laquelle javais recours pratiquement tous les matins pour apaiser mes sens en feu. Cétait autre chose que les flirts, même très poussés, avec mes copines étudiantes.
Fariza ressentait la force de mon sexe et savourait linstant. Pendant tout le temps que la fourrais elle narrêtait pas de dire quil lui appartenait, quil était fait sur mesure pour sa chatte et que jamais plus ils ne se quitteraient. Je continuais à la tirer comme une brute en la faisant crier de plaisir. Elle dodelinait sans arrêt de la tête et son dodelinement saccélérait au fur et à mesure que grandissait en elle le plaisir que lui donnait lengin qui la défonçait. Elle aimait réellement se faire tirer comme cela en force et sans ménagement. A aucun moment, elle ne sollicita de moi que je la caresse, que je lembrasse ou que je moccupe en même temps de ses seins. Non, ce quelle voulait, cest que mon engin montre toute sa force, lui démolisse la chatte et la fasse jouir comme une bête.
- Jaime ton gros zob ! Jaime les gros zobs ! Jadore les gros zobs ! Jadore être niquée par des gros zobs !
Et soudain, elle sarrêta de parler pour pousser un long râle et décharger avec violence. Ses ongles se plantèrent sur mes reins quelle tirait avec force, dans une tentative de garder en elle mon engin. Moi je continuais imperturbablement mes longs mouvement de va et vient dans son con. Je sentais que la jouissance nallait pas tarder à arriver ; jaccélérai le mouvement en lui remontant encore plus haut les genoux que je maintenais fermement de part et dautre de sa poitrine. Mes couilles arrivaient jusquà lentrée de sa chatte très largement ouvertes et repartaient en sens inverses pour revenir rapidement jusquà lentrée de sa fente. Mes coups de boutoir répétés réveillèrent son désir ; elle se remit à gigoter, à dodeliner de la tête et à baver de plaisir. Au moment même où jexplosais en elle en poussant un puissant râle de jouissance et en libérant une tonne de foutre dans son vagin, elle eut un très fort orgasme qui lui fit décharger une tonne de jus qui vint se mêler à mon sperme.
Nous restâmes comme cela lun dans lautre un long moment, reprenant notre souffle et puis nous nous séparâmes en nous regardant, avec chacun un sourire de contentement et de bonheur. Je sentais en effet quelle était heureuse et quelle venait de vivre un moment passionnant entre mes bras. Je la soulevais de la table de la cuisine sur laquelle elle était encore à demi allongée et la portai jusque dans ma chambre pour la mettre au lit et mallonger près delle. Je voulais encore la garder avec moi pour lui refaire lamour et surtout pour apprendre à mieux la connaître. Jétais en effet tout étonné de la facilité avec laquelle elle sétait offerte à moi. Je lui posais toutes sortes de questions pour faire plus ample connaissance. Elle ne soffusquait pas de ma curiosité malsaine. Elle répondait aux questions simplement, presque avec détachement.
Elle mapprit ainsi beaucoup de choses sur elle et la vie quelle a eue avec son mari ; en plus de tout ce que je connaissais delle, à travers ce que nous en disait ma mère. Que ses parents lavaient échangé contre une importante dette quils avaient contractée envers son mari et quils ne pouvaient pas régler. Quelle avait longtemps refusé dappartenir à son mari, pensant que tant que le mariage nétait pas consommé, elle était légalement célibataire. Quelle avait espéré longtemps un miracle qui laurait délivrée. Que son mari, à bout de patience, avait fini par la violer. Que depuis, elle était devenue neurasthénique. Jusquà la naissance de ses deux fils qui sont, depuis, devenus le centre de sa vie. Sexuellement, elle navait que des relations épisodiques avec son mari. Une fois tous les quinze jours, toujours de nuit et dans le noir, il la chevauchait rapidement prenait son petit plaisir et sendormait. Actuellement, beaucoup plus vieux et plus fatigué, il se contentait dune fois par mois ou tous les deux mois ; encore préparait-il la séance longtemps à lavance, en prenant des décoctions de plantes, réputées regonfler les capacités sexuelles des hommes, quil achetait chez un herboriste renommé de la ville.
- Tu ne vas pas me dire que tu nas jamais trompé ton mari ! Que jamais de ta vie tu nas connu de jouissance sexuelle avec un homme ! Ce serait assez incroyable !
- Tu sais, me répondit-elle, jai honte de te lavouer mais pendant une période, pour me venger du sort injuste qui métait fait, jai eu un véritable comportement de pute ! Quand jétais en chaleur et que je narrivais plus à prendre du plaisir en solitaire, je sortais et allais dans un quartier loin dici, pour faire du stop à des voitures conduites par des hommes seuls. Le plus souvent, ils memmenaient dans un endroit discret et me tiraient sur le siège arrière de la voiture. Ils me ramenaient ensuite là où ils mavaient prise et me donnaient rendez-vous pour le lendemain. Bien sûr je nallais pas au rendez-vous. Mais je recommençais quelques semaines après. Jusquau jour où je suis tombé dans un piège qui a failli me coûter très cher. Je suis montée avec un homme dune trentaine dannée. Il récupéra en cours de route un ami qui lattendait en me disant quil allait le déposer en chemin. Au lieu de cela il fila à toute vitesse et ne sarrêta quà lintérieur dune forêt, située à quelques kilomètres de la ville et que tous les couples sans domicile utilisaient comme lupanar. Ils memmenèrent dans un coin reculé, mont frappé violemment pour mobliger à la soumission, mont violé à tour de rôle plusieurs fois, mont dépossédé de tout ce que javais sur moi et mont laissé là, à demi morte, mes habits déchirés, sans argent. Heureusement que je portais toujours un voile (un haïk) quand je faisais ce genre de sortie; je men couvris, arrêtait un taxi de passage, lui expliquait que je venais de me faire agresser et voler tout mon argent et mes bijoux et quil fallait que je rentre chez moi. Je lui promis quil sera payé dès que jarriverais à la maison. Il me crut et me ramena chez moi. Depuis cette mésaventure, jai arrêté mes parties de dragage et je ne me suis plus jamais faite sauter dans une voiture ; ni nulle part ailleurs !
Je lembrassais longuement pensant naïvement que mes baisers suffiraient à refermer ses plaies. Elle répondit longuement à mon baiser. Je lui demandai de se déshabiller pour que jadmire la beauté de son corps. Elle refusa. Elle a dailleurs toujours refusé de se mettre nue devant moi. Il y avait chez elle une sorte de pudeur incompréhensible, qui faisait quelle me laissait voir nimporte quelle partie de son corps, mais isolément; jamais la totalité à la fois. Javais vu et admiré sa chatte, ses fesses, son anus, son ventre, sa poitrine, mais jamais tout cela en même temps. Elle disait quelle nétait plus très jeune pour avoir gardé un corps parfait et désirable (« comme tes petites copines ! » ajoutait-elle souvent) et que les deux grossesses quelle a eues avaient déformé son corps ; quelle avait grossi et quelle est devenue trop ronde; et plein dautres inepties du même acabit ! En fait elle était encore très jolie et désirable. Il est vrai quelle navait rien dune pin up; son corps était un corps de femme, pas celui dune jeune fille. Elle avait certes pris un peu de poids et sa chair nétait plus aussi ferme que quant elle était jeune fille. Elle avait même un début de petit ventre super coquin. Mais le tout était encore magnifique et bandant. Je ladorais telle quelle était !
Tout le temps quelle parlait, elle narrêtait pas de me caresser la poitrine et le ventre. Elle sétait mise sur un coude pour mieux me regarder.
- Tu es beau, jeune et vigoureux ! Jaurais été heureuse davoir un mari comme toi ! Je laurais adoré et jamais, au grand jamais, je ne laurais trompé.
Elle déposa un baiser sur mon cou, puis sur ma poitrine, mes tétons, mon ventre, mon nombril ; elle regardait avec admiration mon sexe se réveiller et reprendre sa position en étendard, en attente dune chatte à pourfendre. Elle le caressa légèrement, déposa un petit baiser sur le gland, le lécha un moment et dit tout à coup :
- Je vais lenfourcher !
Et joignant le geste à la parole, elle se mit à califourchon sur mes genoux remontant sa robe jusquà sa poitrine et vint sempaler sur mon gourdin bien dressé à la verticale. Elle descendit son bassin jusquà sasseoir sur le haut de mes cuisses. Elle posa les paumes de ses mains sur mon ventre et entama un mouvement de bas en haut avec ses hanches. Son vagin était totalement mouillé ; il dégoulinait même de ce jus chaud et visqueux qui allait sétaler sur mes couilles. Elle souriait aux anges pendant quelle allait et venait sur mon membre ; elle me regardait avec des yeux brillant de désir et de lubricité. Elle cherchait en moi les signes de satisfaction pour ce quelle était en train de faire et pour le plaisir quelle était entrain de me donner. Je lui dis que jaimais baiser avec elle et quelle me donnait beaucoup de plaisir. Je la pris par la taille et la positionna de manière à ce que je fasse moi-même les mouvements de va et vient. Et je me mis à la piner en force. Au bout de quelques allers-retours bien ressentis, elle se mit à crier et à baver. Elle criait que jétais son homme, son maître, son Dieu ! Que je la faisais jouir comme une folle ! Quelle adorait mon zob ! Que je devais la piner encore plus fort et plus vite ! Quelle sentait lorgasme arriver à toute vitesse !
Je ralentis le mouvement pour quelle ne jouisse pas tout de suite. Je voulais accroître lintensité de son orgasme. Je la reposais sur mes cuisses et me mis à la recherche de son anus. Je voulais la branler en même temps que je la tirais. Je mouillai un doigt avec le jus qui sortait de sa chatte et lenflai brusquement dans son cul.
- Aie !tu mas fais mal !
Je fis tourner lentement mon doigt dans son anus et la remis en position pour recommencer le mouvement de va-et-vient dans son vagin. Elle parut un moment décontenancée par cette nouvelle sensation, mais très vite elle ny trouva que du plaisir et du bonheur. Elle repartit dans un long et bruyant soliloque où il était question de gros zob, de double pénétration, de plaisir, de jouissance, de maître, de cul, de sa chatte offerte pour la vie, damour. Tout en criant elle bavait sur moi, me poussant à me relever un peu pour aller cueillir et boire un peu de sa salive sucrée.
- Je vais jouir ! Finit-elle par annoncer, dans un souffle.
Jaccélérai le mouvement de mon bassin pour être à son diapason. Mon sexe dans sa chatte et mon doigt dans son anus allaient de concert. Ils se rencontraient à travers les parois du vagin et du cul et, à chaque fois, la rencontre augmentait lintensité du plaisir que lon prenait elle et moi. Elle déchargea subitement en râlant et se baissant pour membrasser sur la bouche pendant quelle jouissait. Elle déversa une tonne de salive dans ma bouche et une tonne de jus sur mon sexe et mes couilles. Je narrêtais pas mon mouvement. Je sentais la jouissance arriver, mais je voulais quelle ait un autre orgasme, avant que je ne décharge.
Et cest effectivement ce qui arriva. Elle eut une deuxième jouissance, aussi forte que la première et une autre plus légère au moment où mon sexe explosa en elle, tirant de moi un long râle de satisfaction. Jétais fier de moi ! Fier davoir, à ma première vraie expérience, réussi à donner autant de plaisir à une femme! Fier de la sentir si heureuse et si reconnaissante ! Elle avait le regard apaisé et heureux dune lionne repue !
- Je taime ! dit-elle. Je taime vraiment ! Je crois que je suis tombée amoureuse de toi, il y a quelques années, quand tu tamusais à chercher mes lèvres ! Tu étais trop jeune alors pour que je prenne au sérieux un sentiment quelconque, vis-à-vis de toi ! Et puis ta mère était encore là ! Mais depuis que je vois défiler toutes tes copines ici, jai compris que je devenais jalouse et que je voulais être à leur place. Aujourdhui, jai pris mon courage à deux mains et je suis venue prendre ma part ! Je ne te lâcherai plus ! Cet immense gourdin mappartient désormais ! Cest lui mon maître ! Gare à toi si tu loffres à une autre femme !
Quel baume pour mon amour propre de garçon ! Je lattirai contre moi et lembrassai partout sur son visage. Elle ronronnait entre mes bras comme une chatte repue se reposant près de la cheminée. Javais encore mon sexe ramolli dans sa chatte et mon doigt dans son cul ; elle voulut se retirer en faisant des mouvements verticaux, de bas en haut pour sortir le sexe et de haut en bas pour se débarrasser du doigt. Mon zob sortit sans problème mais mon doigt refusa de le faire ! Je tenais à le garder à lintérieur de son anus, parce que javais pris la décision de finir la journée avec elle en lenculant. Je le lui dis à loreille, sachant que lidée allait lui déplaire. Javais remarqué quelle navait jamais été pinée de ce côté-là. Même dans les aventures extra conjugales quelle avait eues, elle navait pas subi de pénétrations anales.
- Il ne faut pas faire cela! Cest interdit par la morale et la religion (haram !)
Je ne répondis rien me contentant de continuer à faire tourner mon doigt dans son cul, doucement en montant et descendant.
- Tout à lheure tu avais trouvé délicieux que je te baise tout en te fourrant le doigt dans le cul. Tu y as trouvé beaucoup de plaisir parce que cela ajoutait beaucoup dintensité au coït. Tu verras que ce sera aussi bon avec mon zob. Bien quavec lui tu souffriras un peu au début !
Entre temps mon engin, que la perspective denfourner son petit cul titillait beaucoup, sest remis en position de combat. Sans plus attendre je la soulevai de dessus mes cuisses sur lesquelles elle était assise tout ce temps et la renversai sur le ventre. Elle tenta bien un tout petit mouvement de résistance, pour la forme. Mais me laissa faire ! Je la mis en travers du lit de manière à me mettre debout derrière elle, lui relevai les hanches jusquau niveau du gland tuméfié de mon sexe, lui ouvris les fesses pour dégager lanneau de lanus, y déposai un peu de salive pour humecter lentrée et mis le bout de mon gland à lentrée de son anus et sans plus attendre impulsai une forte poussée qui introduisit la tête de mon sexe dans le tunnel.
- Non ce nest pas bien ! Non ce nest pas bien ! fit-elle dune voix de plus en plus inaudible.
Je sentais au son de sa voix et surtout à son absence de résistance quelle disait le contraire de ce quelle voulait. Je ne tins pas compte des paroles quelle prononçait. Je poussai plus fort et tout mon sexe se retrouva à lintérieur de son cul ; seules ses fesses mempêchèrent daller plus loin. Sa voix protestait encore « non, ce nest pas bien ! Non, ce nest pas bien ! Non
. ! » Mais au fur et à mesure que mon membre la fourrageait et que le plaisir commençait à sinstaller, elle arrêta ses protestations qui se transformèrent rapidement en des suppliques pour la tirer plus fort. Bientôt elle se mit à crier
- Ne tarrête pas ! Vas-y plus fort ! Cest bon ! Enculesmoi ! Tires-moi ! Mets tes doigts dans mon vagin ! Branles-moi pendant que tu mencules ! Fais moi jouir très forts avec ton zob dans mon cul et tes doigts dans ma chatte !
Je lécoutais en bandant de plus en plus fort, jusquau moment où, ny tenant plus mon sexe éclata en répandant des torrents de spermes dans son cul. Elle criait quelle jouissait aussi (bien que je ne sois pas sûr que cela fût vrai) et quelle voulait recevoir dans son cul tout mon foutre. En réalité elle navait fini par aimer la sodomisation que beaucoup plus tard ; mais je lui fis très reconnaissant de mavoir laissé lenculer aussi souvent, sans quelle ny prenne réellement de plaisir. Il ne devait pas être pas loin de midi, ce matin là quand elle se leva en catastrophe en disant :
- Mes fils, ils vont renter à la maison dans quelques minutes ! Il faut que je rentre tout de suite pour leur faire à manger et quils retournent à lécole laprès midi !
Linstinct de mère ! Pendant longtemps, jusquau moment où elle et sa famille déménagèrent pour aller habiter une villa quils avaient fini de construire dans un quartier plus huppé en bord de mer, nous continuâmes à nous voir et à faire lamour. Entre temps elle tomba enceinte (de moi !) et mit au monde une merveilleuse petite fille quelle prénomma « Zohra » du prénom de ma mère. Je crois navoir jamais été plus heureux que pendant la grossesse de Fariza. Les six premiers mois je voyais grossir son ventre avec délectation. Je regardai son ventre prendre du volume avec curiosité et le caressais en attendant la réaction de mon bébé qui était en elle (javais entendu parler des coups de pieds quun bébé donnait à partir du cinquième mois et je voulais en être témoin !) Nous avions continué à faire lamour jusquau moment où son ventre était devenu énorme et quelle avait peur que les efforts physiques que nous faisions allaient déclencher une fausse couche. Depuis nous nous contentions de nous caresser. Et puis elle accoucha et comme si nous étions mariés, nous reprîmes nos relations intimes jusquà ce que son mari décide quil était temps de déménager.
Je crois quen réalité il navait jamais été dupe; quil savait que sa femme avait un amant et que celui-ci était le père de sa fille Zohra. Il ferma les yeux, sachant quil naurait jamais eu le dernier mot avec Fariza que tout le monde aimait, surtout ses garçons qui ne pouvaient vivre sans elle. Il savait que sa femme le trompait avec un garçon du quartier, sans savoir lequel. Mais il lui était resté reconnaissant de ne pas lavoir quitté, alors que maintenant elle en avait les moyens. Je crois quau fond, il aimait réellement sa femme.
Quelques temps après leur déménagement du quartier, il tomba malade et séteignit rapidement. Ce fut là la cause essentielle de notre séparation à Fariza et moi. Après cela, elle ne voulut plus faire lamour avec moi. Elle fit le pèlerinage de La Mecque et depuis, shabilla en tenue islamique. Elle venait nous (me) rendre visite de temps en temps, dans le seul but de nous (me) montrer sa (ma) fille. Jétais heureux dêtre devenu papa, mais frustré de ne pas pouvoir le crier sur tous les toits ! Aujourdhui encore ma fille ne sait pas que je suis son père et mappelle tonton quand je la rencontre, en me faisant la bise. Sa mère a toujours insisté pour quelle membrasse chaque fois que nous nous rencontrons, comme elle embrasserait un parent très proche, son papa par exemple !
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