Quelles Vacances(3) Sous La Tente

Après la séance de baise de l’après midi on a été, mon ami Slim et moi au village faire des courses, on est revenus vers 8 heures du soir, on a remarqué que le camping s’est un peu rempli, il y avait de nouvelles tentes et de nouvelles caravanes immatriculées à l’étranger, allemandes, françaises.
- tiens des nouveaux
- oui même des étrangers
- je ne savais pas que ce camping était connu
- bien sûr qu’il est connu, il est sur le Routard
On prépare notre dîner, on mange et on va au café du camping regarder un peu la télé, vers 23 heures on revient à la tente, le camping était calme, aucun bruit sauf une brise légère qui fait trembler les feuilles de l’arbre au dessus de notre tente. Notre tente était dans le noir loin des réverbères. On se couche tout nus notre dessein était connu à l’avance, on devrait se faire plaisir avant de nous endormir, on a parlé un peu
- j’espère que ce qu’on fait là ne fera pas de nous des homosexuels, je lui dis
- je ne crois pas, c’est juste une aventure qui va s’arrêter en rentrant chez nous
- moi je commence à y trouver du plaisir
- moi aussi
- maintenant que nous avons notre bac et qu’on va à la fac on va habiter ensemble j’espère
- bien sûr que j’y pense
- on se couche, il faudra qu’on se lève tôt, j’ai envie de faire un tour dans les bois
- bonne nuit
je lui tourne le dos, il se colle à moi, me mettant sa bite entre les fesses et commence à me caresser le dos, sa tige était rigide et pointait à mon trou du cul, je recule mon derrière ,il met de la salive sur sa bite et m’embroche, je ne pouvais que l’accepter, je lève ma jambe de façon à lui laisser de l’espace, il commence des va et viens saccadés, je gémissais et lui comme un forcené essayant d’aller plus loin dans mon cul, et il jouit m’inondant de sperme, pendant ce temps j’avais bandé, je me désengage et je me retourne et je l’embrasse fougueusement ,il descend vers ma bite et commence à me sucer.

- j’ai envie que tu me pénètres, il me dit
- oui, mets toi en position
il se mit à quatre pattes en courbant l’échine et sortant son cul, je lui dépose un bisou sur la rondelle et commence à lui lécher le derrière, essayant d’enfoncer ma langue dans son anus, il gémissait et se tortillait par le plaisir que je lui donnais, considérant qu’il était prêt à me recevoir je pointe ma verge à son trou,j’engage le gland et c’est parti,il était bien dilaté,je vais jusqu’au top des couilles,OOOOOOHHHHHHH,il gémit et exhale une grande bouffée, je le prends par les hanches et commence à le pilonner, c’est une position qui me plait beaucoup, je vais doucement me retirant entièrement et revenant avec une pénétration lente ,il appréciait par des gémissements qu’il émettait , ma séance dura quelque 15 mn,je ne voulais pas terminer, lui non plus il couinait ,de temps en temps il se tourne vers moi et je l’embrasse.
Je lui caresse le dos pendant que je le baise, je glisse ma main par en dessous et je commence à le branler, cela a augmenté son plaisir
- vas y tu le fais bien tu apprends vite
- oui maître,
- plus vite, branle moi plus vite
je commence à aller plus vite dans mes pénétration et la branle que je lui fais, il éjacula sur ma main ,il venait d’avoir un orgasme, il m’enserre la verge avec les spasmes de son anus ce qui augmenta l’adhérence et je jouis lançant des jets de sperme à ne pas en finir et je m’affale sur lui il se mit à plat ventre ; on reste ainsi jusqu'à ce qu’à être vaincus par le sommeil,je glisse à côté de lui et on s’endort ,crevé par tant d’ébats.

Je me réveille avant lui et je le regarde,il était couché sur le dos, il dormait toujours, un sourire au lèvres, j’y dépose un bisou.
La tente sentait encore le sexe de la veille, je n’ai pas voulu le déranger, je m’habille et je vais aux toilette, je prends une douche et je rentre à la tente, Slim avait ouvert les yeux, il était assis.
- bonjour
- bonjour
- oh quelle nuit
- et quel plaisir
Il s’habilla, on ouvre pour aérer la tente, il va prendre sa douche, moi je prépare le petit déjeuner, on prend notre café et on va dans la forêt pour une promenade. On devait aller jusqu’au lac le plus proche, y passer la journée, on emmène de quoi manger et boire et on s’en va.