La Vengeance De Soussou
LA VENGEANCE DE SOUSSOU Par Gérache
Cette histoire que je vais vous raconter a commencé il y a plusieurs années. A lépoque Soussou était très jeune ; et déjà elle était remarquable. Je nai jamais réellement su quel était son véritable prénom : Soumia ? Souhila ? Personne devant moi ne lavait jamais appelée autrement que Soussou. Ce surnom lui a toujours collé à la peau. Même son mari lappelle comme cela alors que lui, il connaît parfaitement son véritable prénom.
Très jeune, elle se faisait remarquer dans le quartier où elle habitait, (le même que celui où habitaient mes parents) par une beauté hors du commun : grande de taille pour son âge (près de 1,75), superbement proportionnée, avec ce quil fallait là où il fallait ; mais surtout, pour cette région du monde pleine de brunettes, elle était blonde ; une vraie blonde. Elle était consciente de sa beauté et de sa différence avec le reste des filles du quartier. Elle en était tellement consciente quelle en jouait, déjà : elle paradait tout le temps pour se faire admirer, en changeant de tenues à chaque fois quelle sortait dans la rue. Toutes les filles du quartier lappelaient, qui par jalousie (la majorité) qui par admiration devant sa beauté, son élégance naturelle et son mépris des règles sociales, « le Top Model ».
Elle ne passait jamais inaperçue. Les quelques années quelle vécut dans le quartier avant de se marier, elle était dans tous les esprits des garçons qui tous cherchaient à attirer son attention et à la séduire, et même ceux dhommes beaucoup plus âgés qui fantasmaient sur elle. Du plus loin que je me rappelle, je ne lai jamais vue sans sa mère, une espèce de vielle mégère, qui veillait sur elle et sen prenait, parfois même physiquement, à quiconque sapprochait trop près delle. Personne narrivait à comprendre pourquoi elle la maternait autant. Elle avait quatre autres filles plus grandes, presque aussi belles quelle, mais on aurait dit que pour la maman, il ny avait que Soussou qui existait.
Pour en revenir à Soussou, les ambitions cachées de sa mère (si elle nen avait jamais eues) nont pas abouti, puisquà lâge de dix neuf ans, elle sétait mariée et avait quitté le quartier pour aller vivre avec son mari, gendarme, à lintérieur du pays. Tout le monde avait été étonné du mariage de Soussou, mais après un certain temps même les rumeurs les plus malveillantes (elle était certainement enceinte et sétait mariée pour camoufler sa grossesse, disaient les mauvaises langues) sétaient calmées. Le quartier avait fini par oublier jusquà lexistence de Soussou. Même moi.
Je faisais partie de ces hommes déjà mûrs qui flashaient sur cette jolie plante et qui cherchaient à attirer son attention, malgré la présence du Cerbère qui la protégeait en permanence. Elle avait toujours fait plus grande que son âge et elle en jouait avec délectation. Elle savait quelle était provocante et quelle faisait tourner la tête de tous les mâles du quartier ; elle en profitait pour les aguicher encore plus, en shabillant en pin up. Javais près de trente ans à lépoque ; javais beaucoup de succès auprès des femmes qui voyaient en moi un beau parti : javais fini mes études supérieures depuis longtemps déjà et javais une très bonne situation professionnelle et matérielle. Sans être très riche, je vivais confortablement et faisais mener à mes parents une vie elle-même confortable. Je vivais seul dans un appartement de luxe, dans un quartier chic, pas très loin du quartier où vivaient mes parents. Javais beaucoup de relations dans le grand monde et je changeais très souvent de petite amie.
Mais chaque fois que je rencontrais Soussou, je sentais des frissons me parcourir et sa pensée me poursuivait bien longtemps après la rencontre. Je mimaginais toutes sortes de choses. Si elle jetait un regard de mon côté pendant que lon se croisait, je me disais que je lintéressais. Si elle était entrain de sourire (même si le sourire quelle avait sur les lèvres avait une toute autre signification) je mimaginais que cétait pour moi. Je narrêtais pas de fantasmer sur elle. Et je mimagine aujourdhui encore, que tous les hommes de mon âge qui la connaissaient, vivaient les mêmes aventures imaginaires que moi ; avaient les mêmes fantasmes.
Je reçus donc lannonce de son incompréhensible mariage comme un coup de marteau sur la tête ; je restais longtemps décontenancé et malheureux. Et puis la vie avait repris son cours normal ; le quartier avait fini par oublier Soussou, tout comme moi dailleurs, qui me remis à papillonner de fille en fille et à vaquer à mes affaires professionnelles. Des années après, en rendant visite à mes parents dans mon ancien quartier, jai revu Soussou qui elle aussi était venue rendre visite à ses parents. Elle descendait dune voiture conduite par un officier de gendarmerie (son mari).
Javais dabord remarqué une belle paire de jambes longues et blanches qui se posaient par terre lune après lautre. Et en relevant la tête pour voir la propriétaire de ces jambes splendides jai reconnu Soussou, encore beaucoup plus belle que dans mon imagination. Les années passées navaient pas enlevé une once à sa beauté et à son charme. Elle mavait tout de suite reconnu. Elle ne sétait pas encore levée de son siège pour sortir de la voiture. Elle avait remarqué que mes yeux étaient rivés sur ses jambes et sur ses genoux ronds qui apparaissaient sous la jupe de son tailleur.
Elle alla à la rencontre de sa mère qui lattendait à lentrée de limmeuble et lembrassa longuement. Javais limpression quelle ne voulait pas entrer tout de suite à la maison ; quelle reprenait ses vieilles habitudes de vouloir se faire admirer par tous les hommes qui passaient et se faire jalouser par toutes les filles et femmes qui pouvaient la voir. Elle était toujours aussi provocante. Moi, dans mon imagination, je me disais quelle traînait ainsi pour me laisser le temps de ladmirer et pour mettre le feu à mes sens. Cest en effet ce qui arriva. Bien longtemps après quelle fut rentrée chez ses parents, bien après que son mari soit reparti, je restai là devant le bâtiment sans vouloir monter chez mes parents et sans vouloir partir chez moi. En mon for intérieur, je me disais quelle nallait pas tarder à ressortir accompagnée de sa maman, comme elle le faisait autrefois et quelle allait me donner loccasion de laborder pour lui faire part des sentiments quelle avait réveillés en moi. Jattendis longtemps ; et bien sûr, elle nest pas ressortie.
Je revins le lendemain, et le surlendemain et plusieurs jours après, en vain. Jappris quelques temps après quelle était repartie chez elle, mais quelle nallait pas tarder à revenir pour passer la nuit chez ses parents. Elle avait en effet déménagé de la caserne de gendarmerie du trou perdu dans lequel elle vivait avec son mari et avait emménagé dans une autre caserne plus près du quartier. Elle pouvait donc ainsi venir régulièrement rendre visite à sa maman et même passer la nuit chez elle quand son mari était de permanence.
Je lai effectivement rencontrée quelques jours plus tard sur le seuil de la porte dentrée du bâtiment. Je lai saluée et me suis approché delle pour lui parler.
- Il faut que je te vois » lui ai-je dit presque timidement.
Elle ma regardé, sourit puis dune voix très basse elle ma dit :
- Adresse-toi à maman !
Jétais estomaqué ; elle ne ma pas laissé le temps de lui demander des explications et est rentrée chez elle. Je restais là debout comme un idiot ne sachant quoi comprendre, ni quoi faire. Je suis monté voir mes parents, dîné avec eux et je suis ressorti environ deux heures plus tard. En arrivant devant la porte de lappartement des parents de Soussou, celle-ci souvrit et laissa sortir sa maman.
Il faut que je vous parle, très rapidement, de cette femme, que tout le monde prenait pour une sorcière, tant elle était méchante et brutale dès quil sagissait de défendre sa nombreuse smala. Tout le monde, y compris moi, la craignait et lévitait pour ne pas être victime dune des ses nombreuses agressions verbales et parfois physiques. Visiblement elle mattendait, connaissant mes habitudes quand je venais voir mes parents. Elle maborda sans aucune trace dagression, ni dans sa voix ni dans ses gestes.
- Tu tintéresses à Soussou et Soussou sintéresse à toi ; tu la veux et elle te veut. Seulement cela ne peut pas se passer simplement entre vous ; dune part, elle est mariée et son mari est jaloux et violent ; dautre part moi jai besoin dargent pour moccuper de ma famille. Donc si tu la veux tu dois respecter mes conditions : elle vient te rendre visite en ma compagnie, la nuit ; je reste avec elle tout le temps quelle sera avec toi ; je ne vous gênerai pas. Par ailleurs nous devons repartir très tôt le matin toujours ensemble. Et enfin avant quil narrive quoi que ce soit entre vous, je veux que tu me donnes de largent, beaucoup dargent. Quen dis-tu ?»
Inutile de dire que je restais bouche bée, sans dire un seul mot. Je me repris au bout de quelques secondes et je lui dis :
- Je suis daccord, mais je veux que cela se passe aujourdhui même. Combien dargent veux-tu ?
Elle me dit une somme que je navais pas en totalité sur moi. Je lui donnai ce que javais et lui promis de lui donner le reste le soir même à la maison. Elle réfléchit un cours instant, me dit daccord et rentra très vite à la maison.
Je réfléchissais très longuement pour comprendre ce qui se passait. La maman me donnait (vendait serait plus juste) sa fille en exigeant dêtre présente tout le temps que durerait notre étreinte et de recevoir une somme dargent conséquente en contrepartie. La curiosité, autant que le désir, guidait mon comportement. Je voulais cette fille, dune part parce quelle était belle et désirable et dautre part parce quelle représentait pour moi un mystère. Je voulais absolument connaître le fin mot de lhistoire.
Le soir venu, jétais dans mon appartement à préparer matériellement la soirée. Javais rempli le réfrigérateur de tout ce qui pouvait se consommer, y compris quelques bières pour moi, en cas de déception. Javais demandé auparavant à la femme de ménage qui passait une fois par semaine de venir exceptionnellement laprès midi pour mettre de lordre dans lappartement. Tout me semblait parfait. Jattendais donc la venue de Soussou et de sa maman. Elles arrivèrent vers dix neuf heures. Soussou était vêtue de son tailleur strict de couleur bleu sombre, celui-là même quelle portait le jour où elle exposa à ma vue interloquée, lintérieur de ses cuisses blanches. Elle avait les cheveux, dune blondeur de blé, qui lui arrivaient aux épaules avec des mèches qui lui agaçaient les yeux et quelle chassait de temps en temps par un mouvement de tête très gracieux, qui à force dêtre répété était devenu un tic chez elle. Jouvris la porte très vite et les fit entrer directement dans le grand salon, meublé avec goût (du moins je le crois, parce que jai mis beaucoup de temps, dargent et de recherche pour le meubler de façon moderne, confortable et fonctionnel pour mes relations amoureuses).
Je crois que jétais le plus mal à laise des trois. Je leur ai demandé de sasseoir sur le large divan en cuir et je restai debout, ne sachant pas trop comment my prendre. Soussou aussi ne semblait pas très à laise ; elle restait sagement assise, ses beaux genoux ronds et brillants restaient sagement serrés, le torse bien droit, comme si elle avait peur de se laisser aller à senfoncer dans le profond divan. Elle avait les yeux baissés, très loin du regard provocateur quelle mavait lancé lautre jour en descendant de voiture. La mère par contre semblait très à laise ; elle appréciait la situation dont elle était seule à détenir le fil conducteur. Elle jetait un regard curieux et intéressé au salon ; visiblement elle appréciait sa richesse et son confort. Au bout dun moment elle parla :
- Je sais que tu es choqué par ce que je tai dit ce matin ; je vais texpliquer pourquoi je suis ici ; Soussou est marié à un vrai malade : un homme très fortement jaloux et violent. Il naccepte pas que sa femme sorte seule ou avec quelquun dautre que lui ou moi. Je suis la seule personne en qui il ait un peu confiance, se disant que la mère ne peut pas accepter que la fille aille avec quelquun dautre que son mari. Je lui ai toujours fait croire quil avait raison. Sa jalousie va jusquau point quil lui téléphone à nimporte quelle heure du jour ou de la nuit et lui demander de parler avec moi pour sassurer quelle est bien en ma compagnie. Il ny a que cela qui le rassure. Voila donc pourquoi je vous impose ma présence. Je ne vous gênerai pas. Je vois que tu as plusieurs chambres ; je dormirai dans lune delle pendant que vous resterez ici ou ailleurs dans ta chambre. Je vous laisse faire connaissance pendant que je visite la cuisine. Nous navons pas encore mangé, comptant sur toi pour bien nous nourrir. Je men vais moccuper du repas.
Elle joint le geste à la parole et alla saffairer dans la cuisine. Ses paroles mont très largement réconforté ; je restai quelque temps silencieux assis dans un fauteuil en face de Soussou. Je perdais beaucoup de mon assurance devant elle ; elle mintimidait plus que toute autre femme ne la jamais fait. Je voulais masseoir à côté delle et la prendre dans mes bras pour la protéger. Jétais tellement attiré par ses genoux et par le paradis qui se cachait au dessus deux que je voulais y poser mes mains pour les caresser mais surtout pour les ouvrir et revoir limage qui sétait offerte à moi au cours de lépisode de sa sortie de voiture. Jadmirai sa grande bouche à moitié ouverte, entourée par les plus belles lèvres ourlées que je nai jamais vues. On avait envie de les mordre dès quon la regardait. Ses yeux ! Ses merveilleux yeux de gazelle, de couleur marron clair qui sharmonisait parfaitement avec sa peau très blanche, au regard profond et parfois provocateur, très légèrement maquillé. Même son nez quelle avait un peu trop long ne dépareillait pas lensemble. Son menton venait compléter harmonieusement lensemble du visage ; il était volontaire, légèrement pointu et relevé ; il ne tombait pas comme ceux de la plupart des femmes de ma connaissance et navait pas de début de double menton que lon voit chez beaucoup de femmes. Le cou était long dune blancheur immaculée, à la peau brillante et lisse. Le reste du corps, celui qui était caché, je vous en parlerai plus tard ; mais déjà je supputais quil était à limage du visage, beau et attirant.
Javais envie de déposer un léger baiser sur son cou pour vérifier la douceur de sa peau. Je mapprochais doucement et je massis près delle ; elle ne bougea pas. Jétendis mon bras pour lui entourer lépaule et la serrer contre moi ; au début elle offrit une petite résistance, mais comme jinsistai elle se laissa faire. Je déposai un léger baiser sur son cou et me rendit compte de la douceur de soie de sa peau. Elle eut un léger frisson et me repoussa sans brutalité en disant :
- Ma mère va bientôt revenir !
Je me rendis compte que cest la première fois que je lentendis parler ce soir. Je me mis donc à la faire parler de son mari ; ma curiosité était plus forte que mon envie de démarrer les préliminaires de lamour. Elle parlait difficilement ; il fallait lui tirer les mots presque un à un. Voila ce que je retins de son histoire avec son mari.
Quand ils sétaient mariés, elle était très jeune, dix neuf ans. Elle était séduite par cet homme grand, fort et viril. Mais ce qui la le plus attirée, cétait son uniforme dofficier de la gendarmerie nationale. Luniforme est en effet, aujourdhui encore, le symbole dautorité, de pouvoir et de reconnaissance sociale dans nos contrées. Au début il était aux petits soins pour elle et était très gentil. Mais très vite sa nature jalouse prit le dessus. Il acceptait très mal que la beauté éclatante de se femme soit lobjet de regards concupiscents des hommes (de la compagnie de gendarmerie dans laquelle ils vivaient dabord, de toute la ville ensuite). Il avait commencé à lui interdire de shabiller de manière à attirer les regards, puis de sortir seule et enfin de sortir tout court. Quand elle se rebellait, il la cognait pour lui monter quelle nappartenait quà lui et que seul lui avait le droit de la regarder, de ladmirer, de fantasmer sur elle et de la posséder.
Elle avait souffert le martyre tout le temps quelle avait habité dans cette compagnie de gendarmerie de lintérieur du pays ; elle ne pouvait même pas exiger daller rendre visite régulièrement à ses parents pour prendre un peu de vacances ; lendroit où ils habitaient était trop loin pour pouvoir se permettre de sy éloigner quelque temps. Son travail était contraignant et exigeait une présence permanente à proximité de la compagnie quil dirigeait. Elle avait fini par développer contre lui une rancune immense ; elle avait juré de se venger à sa façon. Il ne supportait pas quelle soit admirée par les autres hommes, elle le fera cocu un jour pour bien lui montrer que cest elle qui aura le dernier mot. Elle nattendait que loccasion.
Celle-ci se présenta le jour où son mari eut une promotion et fut muté au nord, tout prêt de lendroit où vivaient ses parents à elle. Elle en fut heureuse et exigea de son mari quelle rende régulièrement visite à sa maman ; et même quelle y passât la nuit. Après avoir refusé au début et après quelle lui fait le coup de la grève du sexe (cest très facile pour une femme de trouver toutes sortes de prétextes pour ne pas se donner à son homme) il finit par céder, mais posant cette fameuse condition dêtre toujours aux côtés de sa maman. Elle sen ouvrit à sa mère, qui comprit tout de suite le profit quelle pouvait tirer da la situation. Quand je lui demandai « pourquoi mavoir choisi moi ?» Elle répondit que cétait dabord un hasard ; que je lui plaisais déjà beaucoup quand elle était très jeune, et enfin, quavec moi, elle était sûre que tout allait se passer dans la discrétion. Je voulais lui poser la question gênante de largent, mais je nai pas osé (jappris plus tard, quelle nétait pas au courant de la transaction. Je crois quelle na jamais su que sa maman profitait de la situation pour arrondir les fins de mois difficiles de son foyer ; elle navait que la faible retraite de son vieux mari pour faire vivre la nombreuse famille).
Je recommençai à lenlacer et la caresser doucement, en surveillant du coin de lil la porte de la cuisine ouverte pour vérifier que la mère continuait de saffairer dans la cuisine, nous mijotant un gentil repas. Je lembrasai sur la joue qui me faisait face, me rapprochant petit à petit de ses lèvres que je voulais absolument croquer. Elle me laissait faire, mais ne répondait pas encore à mes avances ; elle restait assise bien sage, les genoux toujours serrés, le torse bien droit et la tête haute. Je mis beaucoup de temps pour la dégeler et la sentir bouger son corps pour le rapprocher du mien, insensiblement mais de manière inéluctable. Jen profitais pour lui retourner la tête vers moi et poser mes lèvres sur les siennes. Elle resta un moment la bouche close, puis sur insistance de mes lèvres et de ma langue, elle finit par louvrir et laisser pénétrer ma langue dans sa bouche. Je me mis à la recherche de sa langue que je finis par trouver et avec laquelle jentrepris le jeu du chat et de souris ; dès que ma langue rencontrait la sienne, cette dernière séloignait ; je recommençai la manuvre à plusieurs reprises, profitant au passage de son abondante salive sucrée, que javalai goulûment. Et puis elle se prit au jeu et laissa sa langue au contact de la mienne qui la titillait et avec laquelle elle entreprit un duel coquin ; parfois cétait ma langue qui attaquait la sienne et qui essayait de lui grimper dessus ou de lui passer par en dessous ou même de lenrouler. Parfois cétait la sienne qui sortait de sa bouche pour entrer par effraction dans la mienne et venir y chercher une giclée de salive quelle avalait aussi goulûment que moi je buvais la sienne. Nos baisers se multiplièrent et devinrent torrides. Ni elle, ni moi ne pensions plus à sa maman. Nous étions seuls au monde dans cet appartement.
Tout en continuant à lembrasser, je me mis à lui dégrafer les boutons de son chemiser fermé à lintérieur de la veste de son tailleur quelle avait gardée sur elle. Mes gestes étaient fébriles comme ceux dun jouvenceau amoureux. Je mis un temps fou pour arriver à mes fins. Quand tous les boutons furent ouverts je quittais sa bouche pour regarder à lintérieur de son chemisier. Elle avait un soutien gorge à balconnets en soie noire, qui mettait en valeur une poitrine fière, bien plantée et ferme. Ses seins avaient une masse appréciable, sans être grands. Ils étaient dune blancheur de lait. Jen sortis un pour le voir en entier et lui caresser le téton violacé et dru. Elle poussa un petit soupir de plaisir et me demanda avec ses yeux de continuer à rouler comme cela son téton entre mes doigts ; doucement, en le pinçant de temps en temps pour mieux tester sa dureté. Jen fis de même avec le deuxième téton ; elle continuait de gémir tout doucement et commençait à tortiller insensiblement ses hanches. Je sentais le désir monter en elle et finir par lenvahir. Je lui dis à loreille
- Allons dans la chambre, ta mère comprendra !
Après une très courte hésitation, elle me fit oui dun léger mouvement de tête et quitta le divan pour me suivre dans la chambre. Nous y allâmes presque en courant, tant notre désir dêtre ensemble dans un lieu sûr, était fort. Arrivés dans la chambre, je fermai la porte et je plaquai mon amante contre elle pour lui donner un très long baiser passionné, mouillé et torride. Elle y répondit avec autant de passion et dardeur ; nos langues sentremêlaient et nos salives se mélangeaient passant de sa bouche à la mienne et inversement. Javais limpression dêtre devenu le maître du temps ; notre baiser dura une éternité et ni elle, ni moi ne voulûmes y mettre fin. Mon corps était parcouru par une série de décharges électriques qui mirent tous mes sens au supplice; mon bas ventre me faisait mal, tant lexcitation était forte. Mon membre était devenu monstrueux et voulait se libérer du slip et du pantalon dont il était prisonnier. La bosse quil faisait sur le devant de mon pantalon était énorme. Soussou sen rendit compte quand il venait se frotter contre son ventre. Elle arrêta le baiser, me poussa par les épaules pour que je méloigne delle et elle regarde mon entrejambes :
- Oh là là ! fit-elle, ne me dit pas quil est aussi grand !
Je lui pris la main et la guida vers mon bas ventre pour quelle vérifie par le toucher. Le contact de sa main qui commença pétrir mon engin à travers le tissu du pantalon et du slip électrisa mes nerfs. Mon membre devint encore plus gros et plus dur et commença à me faire mal tant il était tendu.
- Sort-le ! lui ordonnai-je, espérant que le ton sans réplique que je prenais nallait pas la choquer.
Bien au contraire; elle obéit avec empressement, curieuse de dadmirer lengin. Elle sy prit avec une telle habileté quau bout de quelques seconds je me retrouvai le pantalon et le slip baissés sur mes genoux et le sexe en lair tendu vers le ciel, raide et dur comme de la pierre. Elle ladmira un moment en silence puis me dit tout doucement à loreille :
- Tu vas méclater la vulve avec un tel engin ! Je croyais que celui de mon mari était grand, mais comparé au tien on dirait une merguez !
Cela eut le don de décupler mon excitation. Je voulais la voir à genoux devant moi et me sucer. Jallais le lui ordonner ; elle devança mon ordre, se mit à genoux et pris mon sexe dans une de ses mains et essaya den faire le tour. Elle ny arriva pas ; elle sy prit à deux mains pour le branler. Visiblement cela lexcitait de tenir un aussi gros zob dans ses mains. Elle commença à faire un mouvement de caresse à deux mains de haut en bas, puis de bas en haut. Je navais encore jamais connu cette façon de masturber un homme ; de temps en temps une de ses mains séloignait de lautre et allait pétrir les couilles qui étaient devenues aussi dures quune pierre. Puis elle reprit la manuvre de masturbation à deux mains. Je sentais que si elle continuait comme cela, elle allait me faire jouir.
Or je ne voulais pas jouir dans ses mains ; je voulais le faire dans sa bouche. Elle ne me laissa le temps de le lui demander (ordonner ?). Elle arrêta de me masturber posa le gland de mon membre entre ses lèvres entrouvertes, ouvrit très largement sa bouche et se lenfonça précautionneusement dans sa bouche, puis dans gorge, en faisant un effort pour ne pas vomir. Lenvie était tellement forte que jétais tenté de commencer un mouvement rapide de va-et-vient afin de me libérer de cette pression insupportable ; je sentais que mon sexe allait éclater. Je me retins pourtant de tout geste maladroit qui pouvait la faire vomir. Je la laissais faire ; lentement tout dabord, puis de plus en plus vite, au fur et à mesure que sa bouche et sa gorge shabituaient à la présence de lénorme bâton, elle entreprit elle-même le mouvement de va-et-vient que jattendais si ardemment. Sa langue jusque là absente du scénario, se mit de la danse et vint de temps en temps titiller le gland et lenvelopper, lui envoyant ainsi dagréables décharges électriques qui avaient le don de gonfler encore plus mon membre. Elle sentit le moment où jallais éclater ; jeus peur un moment quelle ne se retire pour me faire éjaculer à lextérieur. Elle ny fit rien ; au contraire elle accéléra le mouvement et bientôt jexplosais dans sa gorge. Je lui envoyais une première longue décharge dun sperme épais, chaud et gluant qui alla directement au fond de sa gorge. Elle faillit , mais résista à lenvie de se retirer pour mieux respirer ; elle retira légèrement sa tête pour dégager sa gorge et reprit le mouvement qui allait libérer mon ventre du reste de sperme emmagasiné. Il sortit à grandes giclées qui allèrent tapisser le fond de sa bouche. Elle mit un peut de temps pour tout avaler ; mais elle finit par boire la toute dernière goutte, sans rien rejeter à lextérieur.
Jétais fier delle. Je savais quelle navait pas joui et quelle sétait efe à faire avec moi une chose quelle avait toujours refusée à son mari : avaler son sperme. Je la fis se relever, la pris dans mes bras et lui donna un long baiser qui sentait encore mon sperme- pour la remercier. Je la fis asseoir sur le lit, lui demanda douvrir ses genoux et ses cuisses pour me mettre en contact avec son intimité. Elle ne se fit pas prier mais commença dabord par enlever sa veste de tailleur quelle portait encore, puis sa chemise (elle garda le soutien gorge à balconnets, ce ne me gênait aucunement) et remonta, sans lenlever, sa jupe jusquà ses hanches. Je découvris tout à coup son jardin secret, même si sa culotte de soie noire faisait encore barrière à mes yeux exorbités. Le haut de ses genoux était absolument conforme à ce que jimaginais : dune blancheur laiteuse, la peau ferme et brillante, tout en muscles longs, superbement galbés ; le tout menant à lantre du diable; celle pour laquelle tant dhommes, y compris moi, seraient prêts à être damnés.
Je mis ma main sur ses genoux et entrepris de les caresser en suivant leur rondeur et en remontant délicatement vers le haut de ses cuisses. Ma main caressante se faisait de plus en plus lourde au fur et mesure quelle se rapprochait du petit renflement de son entrecuisse. Elle ouvrait de plus en plus grand ses cuisses, de manière à faciliter la progression de ma main. Tout en la caressant je regardais son visage ; ses yeux étaient fermés ; elle était totalement à lécoute de son corps tendu comme un arc, en attente de la délivrance. Elle gémissait presque en silence et frémissait chaque fois que ma main se rapprochait de sa culotte. Quand enfin je touchai cette dernière, elle se tendit encore plus. Elle eut un sourire béat de satisfaction, tout en avançant ses hanches pour mindiquer quelle voulait que ma main pénètre à lintérieur de la culotte et prenne possession des lieux. Jécartais le tissus de la culotte et découvrit une chatte, complètement épilée, brillante dhumidité.
Ses grandes lèvres ressemblaient aux lèvres de sa bouche, fortement ourlées et brillantes. Elles étaient une invite aux caresses. Je les ouvris légèrement pour y faire pénétrer deux doigts qui entreprirent de caresser ses petites lèvres et qui se mirent à la recherche du clitoris. Ils ne tardèrent pas à le découvrir et à le titiller. Au contact de son clitoris, elle eut un petit cri de plaisir. Elle murmura dans un souffle :
- Continue ! Continue ! Ne tarrête pas ! Cest trop bon !
Jintroduisis un troisième doigt et continuais à farfouiller dans son vagin dégoulinant dun liquide visqueux et doux qui me remplissait la main. Ma main entreprit un mouvement rapide de va-et-vient qui lui fit pousser des gémissements de plus en plus bruyants. Elle nétait plus silencieuse et navait plus peur dêtre entendue de sa maman, dont elle avait oublié jusquà la présence. Elle poussait des petits cris de plaisir et me prit la main pour lui faire imprimer le rythme qui lui convenait le mieux.
Elle haletait de plus en plus fort. Je la regardais prendre son plaisir, les yeux fermés, deux doigts jouant avec un de ses tétons quils caressaient doucement, en même temps quelle forçait ma main à aller de plus en plus vite dans son vagin. Je voyais ses lèvres devenir blanches à force dêtre tendues vers la jouissance finale ; je voyais la salive sortir de sa bouche et sétaler sur son menton puis descendre vers son cou ; je voyais ses narines palpiter ; je la voyais aller irrémédiablement vers la jouissance. Une jouissance que je pressentais violente.
Effectivement, elle éclata soudain, comme un tonnerre et poussa un long râle de plaisir très sonore. Elle se mit à dire des mots incompréhensibles, parmi lesquels je crus déceler cette phrase répétée à linfini :
- Je jouis ! Je jouis !...
Elle se détendit petit à petit, ouvrit grand les yeux, me regarda avec la tendresse dune chatte repue et me fit un sourire éclatant de bonheur. Je gardais ma main encore un moment dans son vagin, puis je la retirai pour la mener à ma bouche pour sentir lodeur de girofle de sa chatte et goutter à son liquide qui avait un goût salé très agréable. Elle rit de bon cur en me voyant faire cela.
Je lui fis garder ses jambes écartées pour garder limage des sa chatte sans poils, plus luisante que jamais. Ses petites lèvres continuaient de palpiter sous les grandes lèvres ouvertes. Cétait une invitation à venir les embrasser et les sucer. Je ne me fis pas prier ; je me mis à genoux au bas du lit, lui arracha brutalement sa culotte, lui écarta les genoux et les cuisses et avança ma tête vers sa chatte. Je lui demandai de relever ses genoux de manière à poser ses pieds sur le bord du lit ; ce quelle fit avec plaisir me mettant sous les yeux, en même temps que sa chatte ouverte, mouillée et luisante, lanneau serré de son anus, dun couleur sombre indéterminée. Cétait le paradis qui se présentait à mes yeux. Je posai ma bouche sur sa vulve et après avoir ouvert ses grandes lèvres avec mes doigts, je fus accueillis par cette odeur enivrante que javais sentie auparavant en gouttant à son liquide : une odeur de girofle très agréable. Je ne pus mempêcher de sortir ma bouche un moment de ce réceptacle à plaisir, pour lui dire que sa chatte était parfumée au clou de girofle. Elle eut un gloussement de plaisir et me prit la tête pour la remettre à sa place.
Je me remis à la lécher et à la sucer avec application, utilisant ma langue pour pénétrer le plus loin possible dans son vagin, mes lèvres pour emprisonner et titiller son petit clitoris rose et ferme et, toute ma bouche pour aspirer son précieux liquide qui coulait abondamment. Je faisais bouger ma tête en suivant le rythme que Soussou lui imprimait en la tenant fortement serrée entre ses mains. Je sentais tout le plaisir quelle prenait à ce cunnilingus forcené ; elle relevait son bassin aussi haut quelle le pouvait tout en plaquant ma tête contre son sexe dans une tentative désespérée de la faire rentrer en entier dans son vagin. Elle gémissait maintenant sans retenue et annonçait quelle allait jouir, quelle allait me déverser du jus dans ma bouche ; quelle voulait que je le boive en entier, sans laisser aucune goutte méchapper ; quelle voulait que je lui mette un doigt dans le cul pour la faire jouir encore plus.
Je mouillais un doigt avec son jus visqueux et entrepris de forcer lentrée de son cul. Il y est entré assez facilement, bien que lanus soit encore bien serré. Je me fis la remarque quelle nétait pas totalement vierge de ce côté là, mais que son anus na pas encore reçu une verge dhomme; elle devait se contenter du doigt de son mari pendant quil la baisait par devant. Mon doigt se mit à tourner à lintérieur de son anus, le plus profondément quil put, au rythme du mouvement de ma bouche dans sa chatte. Elle poussa un gémissement long et saccadé puis dans un râle rauque et puissant elle déchargea, déchargea et déchargea encore. Elle coulait comme une fontaine en gémissant et criant quelle adorait baiser comme cela, comme une pute, sans se retenir, sans faire semblant. Cétait tellement fort chez elle que jeus peur un moment quelle ne sévanouisse. Puis elle se calma petit à petit, desserra son étreinte sur ma tête et me permit de mieux respirer.
Je reprenais mon souffle et vint mallonger près delle en la regardant avec tendresse. Je lui demandais pourquoi elle avait tendance à fermer les yeux quand elle faisait lamour. Elle me répondit quelle navait jamais fait attention à ce détail.
- Probablement, pour mieux me concentrer sur la jouissance ! me dit-elle. Je nai jamais autant joui de ma vie. Jai aimé faire lamour avec mon mari, mais jai toujours été obligée de me retenir, pour quil ne me prenne pas pour une salope ou une pute. Lui, il pouvait jouir comme il voulait en me prenant dans toutes les positions qui lui plaisaient, surtout celles qui font mal et me font crier de douleur. Il a un côté violent et sadique quil assouvit avec moi. Il ny a aucune tendresse en lui quand il baise. Il assouvit un désir, sans plus. Et puis, dès quil sent que jy prends un quelconque plaisir, il devient fou de colère en hurlant que je suis une salope qui ne pense quà ça et, quà la moindre occasion, jirai me faire baiser par nimporte qui. Il me fait peur quand il est comme cela. Je me suis donc toujours retenue de montrer mon plaisir, sil marrivait den avoir. Et jen ai eu très peu.
Ces confidences sur loreiller ont eu le don de me la rendre encore plus chère. Je lui demandais comment elle faisait pour jouir, pour avoir une vie sexuelle équilibrée.
- Tu as dû tromper ton mari quelques fois pour prendre du plaisir ! Ne me dis pas non, je ne te croirais pas !
Elle répondit que jétais le premier ; non pas quelle nen ait pas eu envie, mais quà aucun moment son mari ne lavait lâchée dun pouce pour quelle trouvât un peu de liberté pour senvoyer en lair avec quelques gendarmes de la caserne, ou avec le premier venu.
- Tout ce temps là je me suis contentée de mes doigts et de mon imagination.
Je lai prise dans mes bras pour la réconforter, lembrasser et lui dire que jétais tombé amoureux fou delle. Cest le moment que choisit sa maman, dont on avait oublié jusquà lexistence, pour frapper à la porte et crier que le repas était prêt. La panique sempara de Soussou qui plongea sous le drap et y cacha jusquà sa tête. Moi qui avais gardé un tee-shirt, je cachai la nudité de mes jambes et de mon intimité sous le même drap que Soussou et criai à la maman dentrer. Elle ouvrit la porte en la poussant avec un pied, les bras chargés dun lourd plateau contenant un repas pantagruélique et vint le déposer sur le lit. Elle souriait béatement. Jeus limpression fugace quelle se comportait comme une maman qui venait de marier sa fille et à qui elle rendait visite le lendemain de sa nuit de noce. Elle était fière de sa fille ! Comprenne qui peut les idées farfelues qui peuvent passer dans la tête dune maman.
Elle appela doucement sa fille pour quelle sorte sa tête de dessous le drap. Ce que Soussou fit, toute rouge de crainte, de honte, de timidité et que sais-je encore. La maman contourna le lit et alla sasseoir à côté de sa fille en lembrassant sur le front et en lui disant quelle était fière delle ; de ce quelle venait de faire cette nuit. Elle sétait bien vengée dun mari qui croyait avoir tous les droits et qui a fini par avoir ce quil méritait.
- Même sil ne lapprenait jamais, tu auras quand même toujours la joie de savoir quil porte une immense paire de cornes ! conclut-elle.
Elle se tourna ensuite vers moi et me dit de bien prendre soin delle, quelle a déjà trop souffert pour son jeune âge et quelle a besoin dun soutien ferme pour sen sortir et demeurer forte. Jétais très ému et promis tout ce quelle voulait. Elle est ressortie de la chambre en disant quelle allait manger dans la cuisine et puis dormir un peu, en attendant le moment où le fou allait appeler. Soussou pleura quelques secondes et vint se blottir tout contre moi, comme si elle avait besoin dêtre protégée. Je lentourai de mes bras et lui susurrai des mots dencouragement et damour. Je lui dis quil était temps que lon se nourrisse pour retrouver un peu des forces que nous avons perdues au combat. Elle sourit à ces mots, rapprocha le plateau et se mit à manger de très bon appétit. Sa maman nous avait préparé un repas très bon avec ce quelle avait trouvé dans le réfrigérateur : des steaks bien épais et bien tendre, des haricots verts sautés, des pommes sautées, de la salade verte et un panier de fruits de saison. Et une grande carafe de jus de fruits quelle avait pressés elle-même. Soussou avait un appétit dogresse, elle mangea tout, sans rien laisser, puis sattaqua aux fruits. Je la regardais manger avec admiration.
Quand elle eut fini de manger, elle se leva pour ranger le plateau sur une table basse qui se trouvait à coté du lit en me faisant admirer au passage toute son anatomie qui était restée dénudée, revint se blottir dans mes bras et me demanda de lembrasser. Ce que je fis avec empressement. Un baiser plus calme et plus tendre que ceux échangés auparavant.
- Tu ne maimes déjà plus ! » se plaignit-elle.
Jouvris des yeux tout étonnés. Elle me sourit et me dit quelle veut un baiser torride, pas un baiser tendre.
- Je suis encore en chaleur et toi tu nas joui quune seule fois. Je veux te donner encore beaucoup de plaisir. Je veux que toute ta vie tu te rappelles de Soussou et du plaisir que tu as pris avec elle. Et celui que tu lui as donné !
Je repris donc sa bouche et lui appliquai un violent baiser brûlant, mouillé et pénétrant. Elle ouvrit ses lèvres et desserra ses dents pour laisser passer ma langue qui sest mise à la recherche de la sienne. Le combat de langues reprit jusquà lessoufflement ; nos salives continuaient de passer dune bouche à lautre et de descendre avec volupté dans nos gorges. Dune main je lui tenais la nuque pour que sa bouche reste collée à la mienne et de lautre main je me mis à lui pétrir les fesses quelle avait rondes, bombées et fermes. Je passai dune fesse à lautre pétrissant ses chairs voluptueuses.
- Tourne-toi et montre-moi tes fesses !
Elle obéit et me présenta son joli fessier bien bombé, ferme et tellement doux au toucher. Je posais mes lèvres sur une des fesses et me mit à lembrasser et à la lécher sans relâche ; je passai à lautre fesse pour lui faire subir le même traitement. Elle poussait des petits rires de contentement. Je la fis mettre à quatre pattes, en lui faisant relever ses hanches le plus haut possible.
Elle se laissa faire en calant bien sa tête dans un duvet. Elle me présentait ainsi son superbe cul ; le panorama montrait à mes yeux, fous de désir, ses deux orifices damours : une chatte superbe, sans aucune trace de poils qui ne demandait quà souvrir et soffrir à ma queue qui avait repris des proportions monumentales du fait de lexcitation due au spectacle des ses deux réceptacles damour offerts à ma vue et à ma gourmandise ; un orifice anal avec une rondelle sombre serrée et palpitante.
- Jai envie de tenculer » lui dis-je, tout en commençant à lui lécher son anus pour le mouiller et le lubrifier.
Elle ne me répondit pas, mais ne fit rien pour me dissuader. Je continuais donc à faire jouer ma langue entre ses fesses, tentant sans succès de la faire pénétrer à lintérieur de son cul. Son anus avait presque le même goût, salé et acide, que sa chatte. Je plongeai deux doigts dans son vagin, qui sétait remis à mouiller pour retirer un peu de son liquide visqueux et me mit à lubrifier son anus. Rapidement je pus introduire un doigt, puis deux dans son anus qui restait serré. Je fis tournoyer mes doigts à lintérieur en essayant délargir lentrée pour permettre à mon membre dy entrer sans faire trop de dégâts. Je savais quelle était encore vierge de ce côté.
Je lui ouvris ses fesses très grand et installa le gland de mon sexe face à louverture de lanus, sur la rondelle. Elle eut une légère crispation de crainte, mais ne fit rien pour mempêcher de continuer. Jappliquais une pression assez forte pour forcer louverture, le gland entra difficilement ; je restai comme cela un moment pour que le cul de ma belle shabitue un peu à ce membre qui la pénétrait. Elle maccueillit dans son cul sans même un petit cri de douleur. Peut-être que je ne lui ai pas fait mal, pensai-je sur le coup. Je continuai la pression pour faire rentrer toute la hampe jusquau fond, jusquà ce que mes couilles viennent rencontrer ses fesses. Elle ne cria pas non plus. Je fis faire à mon gourdin le chemin inverse toujours avec précaution et le replongea au fond de la cavité. Elle commença à gémir ; je ne sais si cétait de plaisir ou de douleur. Peu mimportait la raison ; je nen avais cure ; jétais trop excité et son cul était si accueillant, que je me mis à y aller comme une bête. Ses gémissements étaient devenus plus forts ; je les couvris par les hans de bûcheron que je poussais chaque fois que je la pénétrais. Je lançais ma main vers sa chatte à la recherche de son clitoris ; au bout dun moment je le trouvai et me mis à le masturber en même temps que jaccélérai le mouvement de va-et-vient de mon gourdin dans son cul. Elle criait maintenant ; de plaisir ! Je criais aussi que jadorais lenculer comme cela ; quelle était maintenant toute à moi ; que jallais lui remplir le cul dun beau sperme abondant, épais et brûlant ; que je lui ferai sucer mon zob une fois sorti de son cul ; que je laimais
Au bout dun moment je sentis que jallais cracher tout mon foutre et que jallais jouir comme une brute dans son cul. Jaccélérai le mouvement de mes doigts dans son vagin et sur son clitoris de manière à la faire jouir en même temps que moi. Elle nattendait apparemment que cela et elle explosa sur ma main, tandis que jexplosai dans son cul. Nous poussâmes tous les deux un long râle rauque de plaisir et pendant que mon gourdin explosa en lançant plusieurs giclées de sperme au fond de son anus, son vagin à elle se mit à décharger, sur ma main et à lextérieur, une grande quantité de son précieux liquide. Je sortis doucement de son cul, la retourna sur le dos et plongea ma bouche dans son vagin pour lécher et boire tout le jus que pouvais récupérer. Elle me demanda de me retourner de manière à mettre mon pénis un peu assoupi au niveau de sa bouche pour le sucer ; pour sucer les traces de sperme qui restaient et tout ce quil avait ramené en ramonant son cul. Comme jaimais cette femme qui me donnait tant de plaisir ! Je le lui dis et tirait delle un sourire un peu las et un peu triste dune lionne rassasiée.
Cest à ce moment que son téléphone portable se mit à sonner.
- Cest mon mari, fit-elle en répondant après avoir laissé le téléphone sonner quelque temps. Oui Redha, dit-elle dune voix forte et coléreuse. Quest-ce que tu me veux à cette heure-ci ? Laisse-moi un peu tranquille !
De lautre côté du téléphone, je devinais une voix hésitante, sexcusant dappeler si tard. Il avait dû lui dire quelle lui manquait et quil avait envie de lavoir près delle.
- Non ce nest pas cela que tu cherche ! Tu cherches à savoir si je ne suis pas entrain de baiser avec un autre homme ! Jen ai absolument marre de tes soupçons ! Je suis toujours sous la garde de ma mère ! Comment veux-tu que jaie les moyens de moffrir à quelquun dautre ! Et puis à force de soupçons et de méfiance, je vais finir par trouver une occasion pour te tromper !
A lautre bout du fil, Redha, semblait sexcuser et assurer sa femme quil navait absolument aucun soupçon. Si cétait le cas, il ne laurait pas laissé passer tant de nuits chez ses parents. Dailleurs demanda-t-il « où est ta maman ? » Elle répondit furieuse (quelle comédienne !)
- Où veux-tu quelle soit ? Elle dort à côté ! Tu ne veux tout de même pas que je la réveille, rien que pour tassurer quelle est avec moi ! Il nen est pas question ! Quest-ce que tu crois ? Quun homme est à côté de moi et quil me fait des choses. Et bien oui ! Il y a un homme à mes côtés qui ma baisée comme un dieu ; qui a un zob bien plus gros et plus long que le tien ; qui ma pénétrée de partout ; qui ma fait jouir comme jamais toi tu ne mas fait jouir ; qui ma fait hurler de plaisir ; tout le quartier a du entendre mes cris à force de jouir ! Et en plus je suis tombée amoureuse de lui et je vais te quitter pour le suivre au bout du monde !
De lautre côté du téléphone, Redha devait fulminer et exiger de sa femme quelle lui passe sa mère. Il devait menacer très fort, y compris de venir cette nuit même pour lui régler son compte à elle et à son amant. Sentant quelle était allée trop loin, Soussou prit un ton plus doux tout en lui assenant ses vérités.
- Tu sais bien que rien de tout ce que je tai dit nest vrai. Mais je te prie de croire que si tu continues avec ta jalousie maladive et ta suspicion, tout cela deviendra un jour vrai ; et tu ne devras ten prendre quà toi-même. Je vais réveiller maman pour te parler et te rassurer, espèce de malade.
Elle se retourna vers moi avec un large sourire de victoire et tout en me lançant une illade coquine, elle appela sa maman. Celle-ci, qui semblait parfaitement connaître le manège, mit moins dune seconde pour débouler dans la chambre et prendre le téléphone des mains de sa fille. Elle parla quelques secondes avec son gendre en prenant le ton sévère dune femme quon a réveillé pour rien, lui souhaita tout de même bonne nuit et rendit le téléphone à sa fille, avant de quitter la chambre avec un petit rire moqueur. Soussou reprit le téléphone et dit à son mari :
- Tu es rassuré maintenant ? Alors bonne nuit et laisse nous dormir tranquillement ».
Et elle raccrocha sans plus attendre. Elle plongea sur moi en riant en me submergeant de baisers.
- Je suis contente de moi ! dit-elle. Cest la première fois que lui parle aussi crûment ; cela ma soulagée et, jai honte de te le dire, cela ma excitée de lui parler ainsi tout en étant entre tes bras. Jai la chatte qui coule, rien que dy penser. La prochaine fois, je lui parlerais avec ta verge dans le cul. Ma vengeance nen sera que plus forte.
Jai mis ma main entre ses cuisses et effectivement elle coulait très fort. Cela ma excité et a réveillé mon sexe qui sétait quelque peu écroulé. Lenvie de la pénétrer en force encore une fois sest faite entêtante. Je lai embrassée sur le bout des lèvres, puis sur les yeux, puis sur le front et enfin le lobe de son oreille gauche et je lui ai murmuré :
- Je veux tempaler ! Je veux te baiser à la levrette pour mon seul plaisir ! Je veux te faire mal pour te faire sentir que tu mappartiens que tu es à moi pour toujours! Je veux que tu ressentes la force de ma queue entrain de te posséder ; que tu ten rappelles toute ta vie ! Tu es à moi, rien quà moi ! Mets-toi vite en position que je te fasse crier, comme tu las dit à ton mari !
Pendant tout le temps que je lui parlais elle me regardait avec ravissement ; ses grands yeux ne quittaient pas ma bouche et elle souriait. On aurait dit que je venais de prononcer des paroles damour tendre ou de passion et quelle les attendait depuis des lustres.
- Oui je veux tappartenir, le plus longtemps possible ; toutes les nuits où je pourrais me libérer, je les passerai avec toi ; si tu veux toujours de moi. Je viens de tomber sérieusement amoureuse de toi et rien ne me fera plus plaisir que de te donner du bonheur.
« Baise moi fort ! » dit-elle en se mettant à quatre pattes, la tête tournée vers le bas du lit, en me présentant son superbe fessier et en remontant le plus haut possible ses hanches afin dêtre à la hauteur de mon gourdin qui frétillait déjà à lidée daller se réfugier dans la grotte du paradis. Nous navions pas besoin de préliminaires ; elle était déjà toute mouillée et moi je bandais à mexploser le sexe. Je pris ma queue dans une main et je dirigeais le gland vers louverture de la fente entre les deux grandes lèvres qui sécartèrent gentiment pour le laisser passer. Une fois en position jattrapais ma partenaire par les hanches pour les immobiliser pendant que dune forte poussée du basin jintroduisis lengin jusquau fond du vagin. Elle se raidit légèrement ; jai du lui faire un peu mal en y allant aussi franchement. Je nen avais cure ; je me retirai jusquà lentrée de la grotte et fit rentrer la bête une seconde fois tout aussi franchement. Elle gémit, tourna la tête, me fit un grand sourire et me dit quelle sentait bien mon engin qui lui remplissait totalement sa chatte.
- Jadore ton gros zob, bien ferme et viril entrain de me défoncer la vulve !
Les phrases et les mots quelle prononçait devenaient de plus en plus incompréhensibles au fur et à mesure que jaccélérai le rythme du va-et-vient et que jentrepris en même temps des mouvements circulaires de mon bassin afin de ne pas laisser le moindre espace libre à lintérieur de son vagin. Je frottai et limai violemment les parois de son vagin. Maintenant elle criait des onomatopées sans réelle signification, si ce nest quelle montrait son plaisir grandissant et quelle me poussait à poursuivre et à y aller encore plus franchement.
Tout à coup, je me suis rendu compte que cétait la première fois que mon sexe pénétrait dans son vagin. Je lavais sucée, je lavais enculée, mais je navais pas encore baisé sa chatte. Cette idée que je la baisai par là pour la première fois accrut mon excitation au point que mon sexe, je ne sais par quel miracle, se mit encore à grossir dans son vagin. Je mis une main sur sa poitrine à la recherche dun sein que je voulus palper et pétrir. La rencontre de ma main et de son sein la faite frémir et lui a fait augmenter le volume de ses cris. Jétais si bien à lintérieur de ce vagin chaud et gluant, bien serré sur la hampe de mon pénis ! Cétait le paradis ! La salive coulait de ma bouche et aller sétaler sur le dos blanc de ma belle. Elle-même bavait en même temps quelle criait. Tout à coup, à laccélération de ses cris et au commencement dun râle rauque et profond, je compris quelle allait jouir très fort. Jamplifiais et accélérais le mouvement de va-et-vient jusquà ce que mon sexe éclatât dans son vagin en envoyant au fond plusieurs giclées dun sperme abondant, épais et brûlant. Dans le même temps, ma Soussou déchargea abondamment en poussant des grands cris de plaisir mêlés à des mots exprimant très fort sa jouissance
- Cest bon ! Bon ! Bon !... Du miel !
Je jouis ! Jouis !... Merci ! Merci !
»
Quand cela sarrêta, nous étions à bout de force, complètement épuisés et
heureux. Mon Dieu ce que jaime cette femme ! Ce quelle me donne de bonheur ! Elle sétait blottie dans mes bras, sa tête au creux de mon épaule, me caressant doucement et distraitement la poitrine. Sa respiration reprenait petit à petit son rythme normal. Elle ne tarda pas à sendormir ainsi dans mes bras. Moi je restais longtemps éveillé, à écouter la respiration de ma belle. Jétais dans un état de béatitude totale. Je ne mendormis quaux premières lueurs du matin. Jai été réveillé par de petits coups frappés à la porte de la chambre par la maman qui appelait Soussou.
- Il est temps de partir, ma chérie », lui dit elle à travers la porte.
Soussou se leva dun bond ; shabilla à la va vite comme si elle sattendait à voir surgir le diable. Elle membrassa très vite sur le front et me dit :
- Au revoir mon ange ; il faut que je parte tout de suite ; il ne va pas tarder à venir me chercher chez mes parents ; il faut quil nous trouve là-bas, maman et moi.
Elle était presque prise de panique en apprenant quil était presque sept heures.
- A à huit heures tapantes, il sera à la maison ; il faut appeler le taxi qui nous a amené hier ! dit-elle à sa mère.
Ce quelle fit. Dix minutes plus tard le taxi klaxonna et Soussou se rassura. Elle membrassa encore sur la joue et sortit la première ; jen profitai pour glisser discrètement une liasse de billets dans la main de sa mère qui me fit un grand sourire en me disant bien bas :
- Je te la ramènerai. Elle mérite elle aussi dêtre heureuse.
Et elle partit à la poursuite de sa fille. Mon histoire avec Soussou dura exactement cinq ans. Cinq ans de plaisir, de bonheur et de jalousie (la mienne, envers son mari !) Lhistoire prit fin le jour où son mari eut une autre promotion et fut muté dans le grand sud pour une longue, trop longue durée. Je revois sa maman assez régulièrement. Je continue, presque par reconnaissance davoir fait ce quelle avait fait pour nous, sa fille et moi, à laider financièrement. Jespère toujours que je reverrais ma belle et quelle finira par me revenir pour que lon puisse continuer notre belle histoire.
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