Au Cinéma Ce Soir
Mon maître memmenait au cinéma. Comme toujours, cest lui qui avait choisi ma tenue, et je lavais enfilée. Une jupe moulante rouge qui marrivait à mi-cuisses, en coton assez lourd, avec bas à couture et porte-jarretelles. Un soutien-gorge ouvert sous un chemisier rouge assez léger, mais pas transparent, et une des chaussures à talon assez hautes. Plus mon collier, et un Rosebud décoré dune pierre rouge. Mon maître sait que me faire marcher avec ça, surtout en talons, est un bon moyen de mexciter. Donc, de me faire pointer les seins.
De son côté, il emporta un sac messager. Je savais dexpérience quil pouvait avoir tout et nimporte quoi dedans. Et aussi que cela me vaudrait des surprises.
Une fois au cinéma, il acheta nos tickets et choisit les places. Je ne saurais plus vous dire de quel film il sagissait, un polar je crois. Les bandes-annonces passèrent, puis les pubs, puis le film commença. Jétais un peu trop électrisée pour me concentrer, nous étions venus à pied vingt minutes de Rosebud, jétais toute chose. Une dizaine de minutes après le début du film, il se pencha vers moi et me donna un sac en plastique.
Va dans les toilettes pour hommes, dit-il. Trouve une cabine, mais ne verrouille pas la porte. Retire tout ce que tu as sur le dos à part le porte-jarretelles, les bas et les chaussures, et pousse le sac sous la porte quand tu as fini.
Je déglutis. Jétais écarlate. Mais je me suis levée, en répondant :
Oui, maître.
Dans les toilettes pour hommes, il ny avait quune personne, à un urinoir. Je lui présentai mes excuses, marmonnai vaguement une histoire de toilettes en panne chez les femmes.
Il sourit dun air compréhensif, en prenant soin de garder ses parties cachées.
La première des trois cabines était occupée, jallai jusquà la dernière. Une fois à lintérieur, je me déshabillai avec le moins de bruit possible. Jentendis le robinet souvrir, puis la porte se fermer, et supposait que lhomme était parti.
Après quelques minutes je crois toujours inquiète, jentendis une chasse deau, puis une porte souvrir. La première cabine ! Prise par ce que je faisais, javais oublié quil y avait quelquun dautre ! Je lentendis se laver les mains, puis jentendis le froissement du sac en plastique. Il séclaircit la gorge.
Euh, il y a quelquun ? Quelquun a laissé un sac de vêtements
Jétais coincée. Soit il se penchait, et il verrait mes pieds. Soit il apportait le sac au personnel du cinéma.
Oui, oui, répondis-je. Cest moi.
Oh, pardon. Euh
tout va bien ?
La porte des toilettes souvrit. Se referma.
Oui, oui, merci, tout va bien.
Puis, pétrifiée, jentendis la porte de ma cabine souvrir. Je retins ma respiration.
Euh
vous êtes sûre que ça va ?
Oui, oui. Jattends quelquun
Mmmh
Bon, si vous le dites.
Je sentis une main sur mes reins. Il me caressa les fesses, puis les cuisses. Jétais figée sur place. Mon maître ne mavait rien dit sur la situation. Jessayais de savoir ce qui lui plairait le plus sil arrivait, mais je narrivais pas à penser. Entre la situation et lexcitation ressentie un peu plus tôt, mon esprit restait totalement vide. Je me souviens avoir dit quelque chose de particulièrement stupide :
Non, sil vous plaît. Jattends vraiment quelquun, vous savez.
Oui, oui. Cest pour vous éviter de vous ennuyer, le temps quil arrive.
Sa main se posa entre mes cuisses. Un doigt effleura mon Rosebud et me fit frissonner. Il eut un rire très léger, puis glissa un doigt entre mes lèvres.
Jétais terriblement embarrassée. Coincée comme ça, nue, avec ses doigts en moi, mon corps se décida visiblement avant mon cerveau. Je sentis mon sexe souvrir autour de ses doigts, pour laider à entrer. Il le remarqua sans doute, car il glissa un doigt en moi, et commença à faire tourner sa main dun côté et de lautre. À chaque mouvement, mon Rosebud sursautait un peu. Je sentais mes genoux commencer à flageoller.
Eh bien, tu me sers déjà les doigts. On jurerait que tu vas jouir. Tu imagines ? Personne ne va me croire. Oh, attends.
Je lécoutais à peine, concentrée sur ses doigts. Je me souviens mêtre demandée pourquoi les hommes tutoient toujours les femmes qui soffrent à eux. Puis il mavait parler de jouir.
Je nai pas le droit de jouir si mon maître ne my autorise pas expressément. Il mavait fallu des mois et des mois pour apprendre à résister aux orgasmes, mais je faisais de mon mieux.
Puis jentendis le faux déclic que font les appareils photo sur les téléphones. Paniquée, je revins à moi.
Quest-ce que vous faites ?
Je prends un souvenir, pour que les copains me croient. Attends, je vais filmer pour quon voie où on est. Tu vas jouir dans les toilettes des hommes, tu sais.
Non, je ne dois pas jouir, répondis-je en gémissant. Je ne sais pas si jai le droit.
Non, Nathalie, tu nas pas le droit, répondit mon maître.
Jeus un nouveau hoquet de surprise.
Maître, quand est-ce que
Juste quand ce monsieur ta trouvée. Cest moi qui lui ai fait signe dentrer, en fait. Mais toi, tu ne jouis pas.
Drôle de nana que vous avez là. Elle séclate vraiment, hein. Je peux me la faire ?
Non, je préférais que non. Mais vous pouvez vous branler sur son dos.
Jentendis une braguette souvrir, puis lhomme retira ses doigts dun coup. Jétais là, je sentais mes hanches se tendre en arrière, jessayais de retenir des gémissements, quand je sentis son sperme méclabousser le dos.
Celui-ci vint me rejoindre, et me dit de me redresser, face à lui. Je sentis un peu de sperme rouler sur mon dos. Il tenait ma laisse à la main, et lattacha à mon collier.
À quatre pattes, ordonna-t-il.
Jétais tellement excitée, de la situation et du traitement que lautre mavait fait subir, que jaurais fait nimporte quoi pour quil me laisse jouir. Je me mis à quatre pattes, et suivis mon maître sur quelques pas. Il me dit de magenouiller devant lurinoir, dos au mur.
Là, il me prit la bouche, sans un mot. Son gland se pressa contre mes lèvres, et je me mis au travail. Mais très vite, je dus le laisser faire. Il me tenait le visage entre ses mains et prenait ma gorge. Je respirais entre deux coups de reins, pour quil puisse mutiliser aussi longtemps quil le faudrait.
Il commençait tout juste à grogner quand la porte souvrit. Alarmée, jouvris les yeux et me rappelai où je me trouvais. Le nouveau venu sexcusa de manière affolée et ressortit. Au même moment, mon maître se retira de ma bouche et éjacula sur mes seins. Il referma son pantalon et me regarda. Jétais à bout de souffle, et encore plus excitée. Je voulais jouir ! Il reprit ma laisse et mordonna de le suivre.
Après quelques pas, je vis quil se dirigeait vers la porte. Je mimmobilisai aussitôt. Il nallait pas me faire ça ? Me traîner dehors, nue à quatre pattes, avec du sperme sur le dos et sur les seins ? Et si on me voyait ?
Je gémis, et faillis le supplier de sarrêter.
Il tira plus fort, et je le suivis. Heureusement, il ny avait personne dans le couloir. Il ne me mena quà la porte den face, les toilettes des femmes. Désertes, heureusement. Là, il me dit de me lever. Sortit une chemise de nuit de son sac, et me la donna, ainsi quune large ceinture ne cuir. La nuisette était rouge, on aurait dit du satin, et je vis le tissu se coller immédiatement au sperme sur mes seins.
Avant de rentrer dans la salle de cinéma, il glissa la main sous ma nuisette et enfonça un uf dans ma chatte. Une fois à nos places, il me dit de masseoir par terre. Il déclencha luf, qui vibra de plus en plus fort, avant de se calmer, puis de sintensifier de nouveau. Il se pencha, mautorisa à jouir autant que je voulais, et me caressa les cheveux en regardant la fin du film.
Javais les cuisses très raides, en me relevant.
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