La Mere Et Ses Deux Filles ;1Ère Partie Dalila, La Première Fille
LA MERE ET SES DEUX FILLLES
Première partie
DALILA , LA PREMIERE FILLE
Lhistoire que je vais vous raconter mest arrivée, au printemps, à un moment ou jeffectuais une inspection dans un chantier que réalisait mon entreprise, près dune cité populaire dans la banlieue est dAlger. A lentrée du chantier javais remarqué une bande bruyante ds et de jeunes qui remplissaient seaux et jerricans à partir dun robinet se trouvant à lentrée du chantier. Il faut dire que le problème de pénurie deau était récurrent dans cette région. Tous ceux qui, comme moi, avaient les moyens de disposer dune réserve permettaient à la population alentour de lutiliser.
Mon regard avait été très vite attiré par une fille, qui dune part dénotait dans le spectacle par son âge assez avancé (elle avait lair davoir au moins dix huit ans) et dautre part était dune beauté remarquable. Elle avait une peau très blanche, contrastant très fort avec des cheveux noir-corbeau. Elle était assez grande, pour une fille de ce pays ; elle devait mesurer 1,75 mètre. Elle était vêtue dune simple robe de coton ; une de ces robes dintérieur longues et légères qui épousent, quand elles bougent, les formes des filles ou femmes qui les portent. Ses cheveux étaient en désordre, même sils étaient courts. Il faut dire que déjà le fait quelle était tête nue, dépareillait totalement dans cette contrée où la quasi-totalité des filles pubères portaient le hidjab, cette tenue islamique qui, parait-il, mettait à labri du regard concupiscent des hommes, la vertu des femmes.
Je navais pas pu mempêcher de contempler longuement cette espèce damazone qui narrêtait pas de gesticuler et dapostropher le gardien du chantier qui servait leau. Elle réclamait dêtre servie en priorité et le gardien, probablement pour la garder auprès de lui le plus longtemps possible, refusait dobtempérer. A chacun de ses gestes, sa robe se plaquait contre son corps et mettait en valeur des hanches étroites, des fesses rondes et bombées, des jambes longues et bien dessinées et surtout une paire de seins de taille moyenne mais au galbe irréprochable.
Jétais sûr quelle ne portait pas de soutien gorge. Et cette idée commençait à titiller mes sens quelques peu endormis, après une nuit sexuellement bien remplie. Les mouvements quelle faisait, plaquaient de temps en temps le léger tissu de sa robe contre ses hanches et ses fesses et mettaient en évidence le dessin du contour de sa culotte: elle ne portait pas de string, contrairement à une majorité de filles et de femmes modernes. Jétais sûr quelle portait une culotte en coton qui cachait toute son intimité, à limage dun caleçon de garçon. Cela navait rien dérotique, mais cette idée quelle pouvait porter une telle vieillerie, aiguisait encore plus mon intérêt pour elle.
Elle avait une voix un peu rauque, comme si elle fumait beaucoup ; ce nétait pas, bien sûr, le cas. Cétait sa voix naturelle; une voix qui vous pénétrait par la peau et qui allait titiller la colonne vertébrale et le bas ventre de lhomme qui lécoutait. Une voix qui ferait bander un mort.
Jappelai le gardien et lui donnai lordre de la servir en priorité. Elle ma regardé (elle venait de découvrir ma présence) et ma lancé un bruyant merci, accompagné dun sourire aguicheur. Je crois que je suis tombé amoureux de ce sourire; elle avait de petites dents très blanches, pas des dents de publicité pour une marque de dentifrice, mais des dents de carnassière qui aime croquer la vie. Ses lèvres pleines, sans être proéminentes ni même trop lippues, étaient naturellement rouges, comme des cerises. Sa bouche était un peu trop grande, mais lensemble, visage fin, petit nez pointu, grands yeux noirs rieurs, créait une harmonie saisissante. Le tout en faisait une belle jeune fille pleine de santé et un peu aguicheuse et dévergondée. Ce nétait pas pour me déplaire.
Une fois son jerrican rempli, elle sapprocha de moi pour me remercier encore. Je lui proposais de laider à porter son jerrican jusquà chez elle. Elle refusa. Je lui ai dit que jaimerais la revoir. Elle jeta un regard intéressé à ma voiture (une grande marque) et me demanda pourquoi je voulais la revoir.
- Tu me plais et jaimerais te connaître.
- Comment veux-tu me connaître ? Comme une femme ?
- Comme une femme, oui.
- Mais je suis trop jeune.
- Oui. Cà ajoute à ton charme. Et plus je te regarde, plus mon désir de te posséder grandit. Viens avec moi, je te donnerais tout ce que tu désires.
- Tu es fou ! Si mon père et ma mère tentendaient, ils te aient.
- Non si tu leur dis qui je suis et tout ce quils pourraient avoir comme bénéfices. Ecoute, va voir ta maman et dis lui que tu as rencontré un homme riche qui veut tavoir comme petite amie et qui est capable dexhausser tous ses besoins matériels, si elle accepte de te laisser partir avec moi.
- Tu es fou ! Elle nacceptera jamais. Et puis qui te dit que moi je veux partir avec toi ?
- Je suis sûr que tu es intéressée : tu ne manqueras de rien. Et je ferais de toi une vraie dame, riche et belle. Fais ce que je tai dit ; va demander à ta maman et si elle accepte appelle moi et je viendrai te chercher. Prend mon numéro de téléphone et appelle-moi, ce soir.
- Je nai pas de portable.
Jai pris lun des deux téléphones que jutilisais (pour limpressionner javais choisi celui qui avait les options les plus modernes !) et je le lui ai offert. La discussion commençait à durer un peu trop et la bande ds, intrigués par le manège qui se passait à côté de la voiture, se rapprochait dangereusement. La fille a pris le téléphone et est partie sans rien dire. Au bout de cinquante mètres elle a posé son lourd jerrican et sest retournée vers moi ; elle ma fait un sourire, un signe de la main et ma lancé une illade qui ma fait comprendre que pour elle cétait OK.
Je restais planté là à côté de la voiture pendant un certain temps. Je venais de me rendre compte que je ne lui avais même pas demandé son prénom. Je suis remonté dans la voiture, excité à la seule idée de la revoir et de lamener dans mon antre de célibataire endurci et de lui faire découvrir le paradis.
Cela ne sest bien sûr pas passé comme je lavais espéré. Jai attendu longtemps son coup de fil : je crois quun mois entier sétait passé avant quelle ne mappelle. Javais même commencé à loublier. Je métais convaincu que cétait mieux ainsi, quelle était trop jeune et que jallais membarquer dans une aventure que je naurais pas pu maîtriser.
Mais au moment où elle ma appelé, tout était redevenu possible. Elle ma dit que sa mère a fini par accepter (après semble-t-il de longs palabres avec le mari qui mettait son honneur de mâle en jeu) mais quelle exigeait que je trouve du travail pour son père qui avait fait lobjet dun licenciement économique et qui était au chômage depuis plusieurs mois. Ce que bien sûr jai accepté. Je lai fait recruter dans le chantier où javais fait la connaissance de sa fille.
Jai été la chercher le lendemain en début de journée. Je lai amenée dans le duplex que je venais dacquérir au dernier étage dun immeuble que ma société venait de construire et que je navais pas encore occupé.
Mon assistante que javais prévenue auparavant nous attendait à lintérieur. Je lui ai présenté Dalila (cest son prénom), lui ai donné une liasse de billets et lui ai demandé de laccompagner dans les magasins pour acheter vêtements, sous vêtements et souliers et lamener dans un institut de beauté pour arranger sa coiffure et la maquiller à linstar dune nouvelle mariée. Jétais sûr que mon assistante qui connaissait parfaitement mes goûts en la matière (elle avait été longtemps ma maîtresse) soccuperait de Dalila comme il fallait. Elle lui donnerait même les conseils quil fallait pour quelle reste toujours à mon goût.
Je les ai laissées partir et jai passé la journée à mon travail. Le soir jai rejoint mon appartement et trouvé une vraie merveille qui mattendait; lassistante a réellement fait un travail dorfèvre. La sauvageonne que je lui avais confiée sétait transformée en une belle plante, habillée sobrement avec une tenue qui mettait en valeur ses longues jambes pleines (les souliers à talons hauts quelle portait, maladroitement encore, mettaient en valeur ses mollets, ses cuisses et sa croupe quon dirait dessinés par un artiste), ses genoux bien ronds, ses hanches étroites, ses fesses dafricaine, ses seins tendus et fermes.
Lassistante lui avait par ailleurs choisi une coiffure qui respectait la forme de son visage et mettait en valeur ses grands yeux noirs, à peine maquillés. Le maquillage lui-même était discret ; il ne servait quà mettre en valeur sa grande bouche et ses lèvres pourpres. Javais remarqué quelle ne fermait jamais totalement sa bouche. Même au repos elle laissait ses lèvres légèrement entrouvertes, lui donnant lair de vouloir goûter à tout et de croquer la vie à pleines dents. Son regard coquin ne faisait quaccen cette image de jeune fille en attente des belles choses que la vie voudra bien lui offrir, pour les avaler goulûment.
Elle nétait pas encore à laise dans ses nouveaux habits, ni dans sa nouvelle silhouette, ni dans sa nouvelle apparence physique. Elle se regardait constamment dans la glace du salon, comme si elle voulait se persuader que cétait bien elle quelle voyait en face. Mais petit à petit elle prenait de lassurance et finissait même par marcher avec ses hauts talons sans vaciller ou trébucher. Il se dégageait delle toute la volupté du monde et toutes sortes dimages coquines me traversaient lesprit pendant que je ladmirais. Je la déshabillais du regard, cherchant à deviner les images de paradis que le tailleur, les bas et les dessous cachaient à ma vue.
Jai remercié lassistante qui sen alla, contente de son travail et je suis resté seul avec Dalila. Pour ne pas leffaroucher en lentreprenant immédiatement (ce que de toute évidence, elle attendait que je fasse) je lui ai proposé de lamener manger au restaurant, histoire de lhabi à ma présence et de faire plus ample connaissance. Histoire aussi de dégeler latmosphère et préparer la suite dans les meilleures conditions possibles.
Nous avons donc été manger dans un des restaurants chic de la capitale, dans lequel javais mes habitudes. Je ne me rappelle pas de ce que nous avions mangé ; cela na dailleurs aucune importance. Ce dont je me rappelle par contre, cest quon était assis côte à côte dans un box à labri des regards indiscrets. Je la faisais parler delle, de ce quelle faisait, de sa famille, de ses amis, de ses amours. Je sus ainsi quelle était encore lycéenne et quelle devait passer son baccalauréat dans moins dun mois maintenant. Quelle navait pas bien travaillé et quelle était sûre déchouer à lexamen. Quelle navait pas beaucoup damies filles parce quelles étaient jalouses delle et surtout, quelle ne portait pas le hidjab. Quelle avait eu un petit copain quelle croyait aimer, mais quil exigeait delle quelle change de tenue et avec lequel elle avait rompu récemment.
Question relations sexuelles, elle navait aucune expérience, même pas de flirt poussé avec son petit copain : juste quelques baisers furtifs. Elle avait bien eu une expérience d (13 ans) avec un proche cousin qui la convaincu de lui montrer sa chatte pendant quil lui montrait son zob et quil se masturbait. Mais cela ne lavait pas beaucoup marquée. Cest là aussi que jai découvert que Dalila navait pas de problèmes avec les mots : elle appelait un chat un chat et un zob, un zob. Elle nétait pas effarouchée par les mots, quoiquils aient comme signification et quoiquils renferment comme pesanteur sociale.
Cest à ce moment que le cochon qui sommeillait en moi a commencé à se réveiller et ma poussé à des mots et des gestes qui ont enflammé mon sang et ont commencé à lenflammer elle aussi. Je me suis mis à lenlacer tendrement et à lembrasser sur le cou. Je lui ai murmuré à loreille quelle était belle et que javais hâte de lui faire découvrir le paradis de lamour (ou le septième ciel, comme elle disait). Je lui ai demandé de membrasser sur la bouche; ce quelle fit avec maladresse, en gardant ses lèvres fermées. Je lui ai demandé de recommencer en ouvrant ses lèvres et en me donnant sa langue. Ce quelle a fait docilement, mais sans encore y mettre de la passion ou du désir.
Je lui ai dit que cétait bien, mais quelle a encore beaucoup de chemin à parcourir avant datteindre la perfection du baiser sensuel. Elle a alors recommencé et petit à petit ses lèvres ont pris la mesure des miennes et sa langue pénétrait dans ma bouche et allait se mesurer à la mienne dans un fabuleux duel qui mit tous mes sens à vif. Au bout dun quart dheure, elle était devenue une spécialiste du baiser mouillé infernal ; celui qui réveille tous les sens et fait bander comme un âne. Des baisers prometteurs dune nuit torride.
Jai mis ma main sur son genou droit ; un genou rond et dodu, dune douceur de soie. Je lai sentie frémir et se crisper un peu. Jai laissé ma main sur son genou, comme si je navais pas senti sa crispation ; elle ma laissé faire sans dire un mot. Jai avancé ma main à lintérieur de sa cuisse, tout en la forçant à sécarter au fur et à mesure quelle remontait vers la naissance de ses cuisses ; vers le paradis. Elle était tentée de refermer ses jambes de manière à mempêcher daller plus loin. Je lui ordonnais doucement à loreille, mais dune voix sans réplique :
- Ouvre-les !
Elle obéit sans un mot et laissa ma main aller à la rencontre de sa culotte (cétait un string !). Elle se crispa un peu plus et resserra ses cuisses sur ma main sans comprendre quen la tenait prisonnière elle lui permettait ainsi de caresser sa chatte à travers son string. Je sentis son souffle devenir plus court et son corps commencer à remuer insensiblement; irrésistiblement. De mon autre main, jentrepris de caresser son sein droit à travers son chemisier. Elle navait pas mis de soutien gorge. Son sein était tendu et ferme. Fiévreusement je dégrafais les premiers boutons de son chemisier pour mettre à nu ses mamelons. Le spectacle qui soffrait à mes yeux était féerique : des seins blancs, de taille moyenne, dessinés pareils à des pommes avec des tétons violacés, tendus vers le ciel et appelant les caresses.
Je pris entre mes doigts le téton droit et le pinçait doucement quelques secondes avant de passer à lautre sein. Son souffle devint encore plus court ; sa bouche souvrait à moitié, comme si elle avait besoin de respirer plus fort. Elle murmurait des mots incompréhensibles, qui nétaient destinés quà elle seule. Nous restâmes ainsi un bon laps de temps : elle la jupe relevée, les jambes entrouvertes et les seins en lair ; moi avec une main caressant sa chatte à travers le tissu de sa culotte et manipulant lun et lautre de ses tétons entre mes doigts. Inutile de dire que jétais au summum de lexcitation : mon membre était tellement tendu quil me faisait mal. Javais limpression quil nallait pas tarder à traverser mon slip et mon pantalon. Je pris sa main droite et la posai sur lui. Involontairement elle résistait et jai du appliquer plus de force pour lui faire atteindre la monstrueuse boursouflure que faisait mon pénis prisonnier du slip et du pantalon.
Je fis faire à sa main les mouvements de caresse et lui ordonnait de continuer toute seule. Elle obéit, mais sy pris maladroitement. Je me remis à lui guider la main, lui montrant les gestes quil convenait de faire, lui faisant faire des pressions de plus en plus fortes sur mon sexe. Elle comprit très vite la manuvre et accomplit toute seule et de manière de plus en plus experte, les gestes de la masturbation à travers le pantalon. Je ne tenais plus. Je crois que si lon nétait pas dans un lieu public (bien que retiré, discret et protégé par un patron et des serveurs qui me connaissaient) je laurais prise sans plus attendre.
Au lieu de cela je lui ai demandé, toujours à loreille, et toujours sous la forme dun ordre donné gentiment, denlever sa culotte et de remonter sa jupe de manière à me laisser regarder son intimité. Elle hésita un moment, puis releva sa jupe et passa ses doigts à lintérieur de lélastique de son string et gigota un peu pour le retirer. Elle se mit dans la position que je lui demandais : la jupe relevée, les jambes ouvertes et sa chatte découverte et offerte à mon regard salace.
Jai eu à admirer quelques jolies chattes dans ma vie, mais jamais une qui ma fait de leffet comme celle de Dalila. Dabord elle nétait pas totalement rasée comme il est de tradition dans nos contrées pour une fille préparée pour sa nuit de noces. Connaissant mes goûts (et pour cause !), mon assistante a certainement dû insister auprès de Dalila pour lui faire garder une petite touffe de poil noir sur son pubis. Tout le reste était imberbe et mettait en valeur une vulve dessinée par un artiste avec des grandes lèvres gonflées, ouvertes sur des petites lèvres rouge sang et laissant entrevoir un clitoris bien formé et de bonne dimension.
Je tendis la main pour caresser cet ensemble paradisiaque. Instinctivement, elle referma ses jambes. Je les lui fis rouvrir et commençai un mouvement de caresses superficielles. Dès que je touchai son sexe, je la sentis se tendre et pour la première fois gémir doucement. Elle me prit la main et lui fit faire un mouvement de pression qui entrouvrit ses grandes lèvres et lamena à la rencontre de son clitoris. Elle bandait presque aussi fort que moi ; son clitoris était ferme ; dès que je le touchai, sa chatte se mit à mouiller et à répandre sur ma main un liquide visqueux. Elle continuait à guider ma main pour lui faire faire tous les mouvements qui aiguisaient encore plus son envie et son excitation. Elle se masturbait certainement comme cela quant elle était seule dans son lit et quelle était excitée.
Je sentais le plaisir lenvahir ; ses gémissements se faisaient plus forts. Jai craint un moment quelle fasse trop de bruit et quelle attire la curiosité des clients du restaurant qui étaient dans les autres boxes. Je lui donnais un long baiser de manière à la faire taire et lui susurrais à loreille de se calmer ; « quand nous serons à la maison, tu pourras crier autant que tu voudras », lui dis-je. « Allons-y tout de suite ! », me répondit-elle.
- Patience ma grande, lui répondis-je, nous avons tout le temps. Tu peux commencer à prendre du plaisir ici même, ce ne sera quun début.
- Je suis trop excitée me dit-elle ; jai besoin de me lâcher pour jouir ; je veux crier mon plaisir, je veux que tout le monde mentende gémir et jouir sous tes caresses.
Je compris alors quil me serait difficile de la faire taire et je pris la décision de quitter le restaurant avant quun scandale néclate. Je lui fis rabattre sa jupe, je lui dis de refermer les boutons de son chemisier et jappelai le garçon pour la note. Comme par hasard, il ne mit pas plus de quelques secondes pour apparaître avec la note dans la main (comme sil attendait à lentrée du box, empêchant les autres clients de sapprocher et profitant tout seul du spectacle que nous donnions).
Je gardais pour moi le string, lui refusant lautorisation de le remettre. Dans la voiture, je lui demandai de relever encore sa jupe et de me laisser regarder sa chatte tout en conduisant. Ce quelle fit sans se faire prier. Elle sadossa contre la portière, plia le genou gauche et posa le pied sur le siège de manière à moffrir le spectacle encore mouillé de son intimité. Je me remis à bander très fort ; je dégrafai ma braguette tout en conduisant et sortis du pantalon mon pénis qui était au summum du désir : il sétait considérablement allongé et était dur comme de la pierre. Elle le regardait étonnée par sa taille et par sa circonférence. Elle me dit quelle nen avait jamais vu daussi grands dans les photos tirées de films pornographiques quelle regardait parfois avec ses copines de lycée.
Je lui pris sa main et lui demandait de le caresser : elle le fit sans attendre. Elle a fini en très peu de temps par acquérir le coup de main qui tirait de moi un flot gémissements de plaisir. Elle senhardit même à rapprocher sa bouche de lui et à déposer quelques baisers furtifs sur le gland. Je lui demandais, toujours en conduisant (lentement pour faire durer le plaisir), de lécher le gland, puis de lintroduire dans sa bouche. Sa langue agile telle une anguille se mit à parcourir mon gland et à lenvelopper ; puis elle laspira et il pénétra dans sa bouche sans y entrer profondément ; sa langue continua son jeu de titillement qui ne faisait quagrandir mon excitation. Je lui pris brutalement la tête pour lui faire enfoncer mon sexe jusquau fond de la gorge. Elle eut un mouvement de recul. Elle me dit que javais failli la faire vomir.
Je mexcusai et lui dis quon était arrivé. Je laissai la voiture au garage et nous primes lascenseur pour monter jusquau dernier étage où se trouvait le duplex que nous occupions. Dans lascenseur, je ne tentais rien, sinon lenlacer tendrement, comme laurait fait nimporte quel homme amoureux. Elle se blottit dans mes bras les quelques secondes que dura la montée et resta silencieuse, jusquà ce que nous pénétrions dans lappartement. La porte à peine fermée, elle entreprit de se déshabiller totalement et doffrir à mon regard son corps splendide, brillant dans sa nudité. Je me rendis compte que cétait la première fois que je la voyais toute nue. Toutes les femmes ou filles nues que jai vues et possédées, même les plus belles, avaient une ou des imperfections qui gâchaient quelque peu leffet de la nudité. Cest pour cela dailleurs que javais toujours préféré baiser des femmes sans les déshabiller totalement ; jenlevais les culottes, jenvoyais au diable les soutiens gorges, mais je leur faisais toujours garder un habit léger qui les protégeait de la nudité totale et qui les rendaient encore plus désirables.
Mais Dalila nue, cétait une vraie merveille ! Je ne sais pas si cétait dû à sa jeunesse, mais son corps ne présentait pas la moindre boursouflure, ni le moindre pli qui aurait altéré sa beauté. Elle navait ni culotte de cheval, ni des hanches trop large, ni seins trop gros ou trop petits. Tout en elle était parfait : un ventre plat, des hanches étroites, des jambes longues et bien galbées, des fesses rondes, bombées et dures, des seins posés bien haut et tendus vers le ciel ; une peau blanche très douce, comme celle dun bébé. Et pour le bonheur des yeux, un pubis proéminent, légèrement poilu, dominant une vulve dégagée, aux grandes lèvres charnues comme dessinées par un peintre figuratif.
Elle se laissait admirer sans fausse honte. Elle mettait même du plaisir à montrer avec une certaine impudeur les endroits de son corps qui ne soffraient pas directement et naturellement à mes yeux : sa vulve et même son anus quelle me montrait en se retournant et en se penchant en avant. On aurait dit quelle avait fait cela tout au long de sa courte vie : soffrir au regard des hommes pour les faire mourir de désir. (Jétais sûr que dans ses fantasmes de jeune fille, il y avait cet aspect exhibitionniste : soffrir au regard de mille garçons pour les faire bander et jouir de ce pouvoir illimité dexcitation). Et moi comme tous ces garçons auxquels elles devaient penser dans ses séances de masturbation juvénile, jétais gonflé à bloc. Mon sexe me faisait mal à force de bander et de se heurter au tissu de mon slip; il voulait quitter sa cachette, se retrouver à lair libre et soffrir à la vue de ma dulcinée.
Je lui ai donc demandé de sapprocher de moi et de me déshabiller en commençant par mes souliers. Elle sexécuta et se mit à genoux pour défaire les lacets et ôter mes souliers, puis mes chaussettes. Elle voulut continuer directement par le pantalon ; je la retint et lui demandai de soccuper de ma veste et de ma chemise. Elle môta la veste quelle jeta par terre sans ménagement ; puis dégrafa doucement les boutons de ma chemise, sortant celle-ci du pantalon. Elle entrouvrit la chemise sur ma poitrine velue et caressa celle-ci avec ses doigts électrifiés. Chaque caresse équivalait à une légère décharge électrique, qui allait vers ma colonne vertébrale et qui, de là, irradiait sur tout mon corps et allait titiller mon bas ventre qui me faisait mal à force dêtre excité. Pour corser la dose, elle se mit à déposer des baisers brûlants sur ma poitrine, mes tétons et mon ventre.
Je ny tenais plus. Je ne voulais plus quelle me déshabille; jenlevais moi-même mon pantalon et mon slip et lui offrit ainsi à admirer mon pénis tendu à lextrême, tel un sabre menaçant. Elle poussa un petit cri en redécouvrant mon engin quelle trouva énorme. Elle le prit dans sa main et le branla quelques secondes ; puis elle se mit à genoux et commença à me lécher les couilles, puis la hampe, puis le gland comme une vraie experte (Je vois là les leçons de mon assistante, quelle a assimilées très vite, parce que naturellement très douées pour les choses de lamour). Tout dun coup, comme si elle avait entendu ma supplique muette, elle aspira le gland, puis lensemble du sexe qui pénétra ainsi dans sa bouche et alla se caller au fond de sa gorge. Cette fois elle neut pas cette réaction de rejet, quelle avait eue dans la voiture ; elle commença tout doucement un mouvement de va et vient en faisant jouer sa langue; malgré quelle me faisait un peu mal avec ses dents (elle nétait pas encore assez experte pour éviter la morsure des dents) le mouvement de sa langue sur mon gland à lintérieur de sa bouche, conjugué au va et vient de mon sexe, me procurait un tel plaisir que je narrêtais pas de gémir.
Jétais à deux doigts de lui éjaculer dans la bouche, ce que je voulais à tout prix éviter, à ce moment de notre relation. Je me retirais donc de sa bouche en ignorant ses protestations : elle prenait goût à la fellation. Je la fis se lever, la pris dans mes bras et la portai jusquau grand fauteuil du salon. Je la fis asseoir délicatement, le dos callé sur le dossier du fauteuil ; je lui ouvris les jambes et me tint face à sa chatte grande ouverte, laissant découvrir ses grandes lèvres charnues, ses petites lèvres toutes rouges et son clitoris gonflé à bloc, et offrant à mon regard plein de concupiscence, son vagin brillant dhumidité, ainsi que son pucelage. En dessous de sa vulve, entre ses fesses je pouvais voir la rondelle brune, bien fermée, de son anus.
Je commençais par caresser sa vulve moite avec ma main et écartait les grandes lèvres pour offrir le tout à ma bouche gourmande. Je lui léchais les petites lèvres et prenait son clitoris en mes dents ; je le mordillai légèrement de manière à lui donner le plus de plaisir possible. Elle poussait des petits gémissements de plaisir et bougeait son bassin au rythme de ma bouche. On dirait quelle cherchait à se faire dépuceler par ma langue qui entrait et sortait de son vagin à une allure de plus en plus rapide. Ses gémissements se transformaient maintenant en petits cris ou en râles, qui sortaient du fond de sa gorge et quelle narrivait pas à retenir. Elle ne parlait pas, nordonnait rien, mais ses mains retenaient ma tête entre ses cuisses et lui faisait faire tous les mouvements quelle désirait. Dune pression elle me faisait descendre et remonter la langue de son pubis vers son anus et vice et versa ; dune autre pression elle me commandait de faire pénétrer ma langue jusquà rencontrer son pucelage et dentamer un mouvement de va et vient qui portait son plaisir à un paroxysme ; dune autre pression elle voulait que je ne moccupe que de son clitoris, que je suçai et mordillai, jusquà la faire jouir.
Je ne me rendais pas bien compte, mais il me sembla quelle avait joui plus dune fois dans et grâce à ma bouche. Elle avait déchargé plusieurs fois et javais bu avec délectation tout son jus. Il avait le goût particulier de la fille vierge. Jai toujours aimé sucer les filles et femmes encore vierges; leurs chattes ont une odeur et un goût particuliers, très différent de ceux de femmes mariées ou non vierges. Il me semble que cela réside dans le fait que les vulves des vierges nont pas encore pris lhabitude de pénis qui frottent sur le vagin et font secréter les glandes qui le tapissent ; par ailleurs, les vulves et les vagins des vierges sont fermes et offrent à la bouche une résistance élastique très agréable.
Je retirai ma bouche du sexe de Dalila, tout décidé à la pénétrer sans précaution aucune, tellement jétais excité. Je voulais jouir en elle tout de suite. Mais tel nétait pas son avis à elle. Elle me laissa me lever et, tout de suite, approcha sa bouche de mon sexe qui dardait comme un sabre. Elle laspira avec une telle adresse que jen restais tout ébahi ; elle avait appris en très peu de temps ce que des femmes plus expérimentées mettaient beaucoup de temps à assimiler : lart de sucer un homme, en évitant de mordre son sexe et en utilisant la langue pour parfaire et maintenir, à un niveau très élevé, son excitation ; lart aussi de faire rentrer le sexe jusquau fond de la gorge, en évitant le réflexe de rejet et de vomissement. Tout cela, ma Dalila lavait appris en quelques minutes, de manière instinctive, en devinant ce qui devait être fait et ce qui ne devait pas lêtre.
Elle me suça de manière si experte, sa langue enroulant et titillant mon gland, ses mains magrippant par les hanches de façon à commander le mouvement de va et vient que mon pénis réalisait dans sa bouche et jusquau fond de sa gorge, quau bout dun moment je ne pus retenir un énorme orgasme qui me fit pousser un hurlement de plaisir et me fit abondamment éjaculer à lintérieur même de sa bouche. Elle navait pas lhabitude de recevoir du sperme et pourtant, elle ne fit aucune difficulté à avaler une grande partie tout en laissant couler sur sa joue, son cou et sa gorge une autre partie que le mouvement de va et vient de mon pénis avait expulsé de sa bouche. Je me retirai heureux et reconnaissant. Elle était curieuse de ce sperme épais et abondant, dont elle avait encore le goût dans la bouche et qui lui recouvrait maintenant une partie de sa gorge. Je lui pris la main et lui fis étaler le liquide sur ses seins ; elle me laissa faire en riant ; elle y prenait du plaisir, elle menleva la main et continua à étaler toute seule le sperme sur son ventre jusquà son pubis. (Je lui interdisais daller plus bas, de peur quelle ne tombât enceinte). De temps en temps, elle portait ses doigts remplis de sperme vers sa bouche pour les lécher. Ce geste me fit rebander de plus belle.
Je lui dis que je voulais la dépuceler tout de suite; lui faire mal pour quelle sache quelle mappartenaitt à jamais. Visiblement elle avait peur du dépucelage ; certainement des réminiscences de discussions de jeunes filles sur la douleur de la nuit de noces, le sang qui coule et la brutalité des hommes. Cela suffit à calmer quelque peu mes ardeurs. Je lui proposai de prendre une douche pour enlever sueur et sperme dont on était couvert et daller ensuite dans la chambre pour nous reposer. Nous prîmes une douche bien chaude; nous flirtâmes un peu dans la salle de bain. Elle voulut que cela soit moi qui la nettoie de haut en bas ; ce que je fis avec un plaisir tellement évident que mon sexe sest remis à bander et à vouloir la pénétrer sous la douche même. Elle refusa parce que, dit-elle, ce nest absolument pas commode et quelle tient à avoir un dépucelage normal, allongé sur un lit et pas debout sous la douche. Je me rendis à ses arguments, tout en me laissant masturber par elle en utilisant le gel douche pour mieux faire glisser mon sexe dans sa main. Elle sy prit de manière tellement experte que jai bien failli jouir ; ce que je ne voulais pas, préférant garder léjaculation et la jouissance pour sa chatte et son anus.
En effet jétais bien décider à la dépuceler ce soir même par devant et par derrière. En réalité je ne lui ai pas encore parlé de sodomisation ; je supputais quelle appréhendait cela de la même manière que le dépucelage ; plus encore, en tenant compte des tabous sociaux. Mais jétais sûr que mon assistante lui avait touché un mot du plaisir que me procurait la sodomisation dune femme; surtout vierge. Elle-même je lavais sodomisée au bureau en la forçant un peu au début ; puis elle y avait pris goût ; et chaque fois que nous couchions ensemble cela se terminait toujours par une enculade à la hussarde ; cela lui faisait autant mal que plaisir, et elle en jouissait autant que moi.
La douche terminée je la pris dans mes bras pour lamener dans la chambre qui était vaste et belle et disposait dun superbe lit à baldaquin, véritable champ de bataille pour les amoureux. Nous étions toujours nus et moi je continuais de bander comme un âne. Je la posai sur le lit et la fis allonger sur le dos, toute offerte à ma vue. Elle avait toujours cette position impudique de tout me montrer à la fois de son corps, y compris son anus que ses jambes relevées et ses genoux repliés présentaient à mon regard. Je lui dis de se retourner et de sallonger sur le ventre pour mieux admirer sa beauté ; ce quelle fit sans rechigner. Je vins me placer à ses pieds derrière elle et commencer à lui caresser et lui embrasser les fesses. Elle y prenait du plaisir et remuait son bassin pour bien montrer quelle aimait cela. Je remontais vers ses fesses toutes rondes, dodues et fermes et je les couvrais de baisers. Elle continuait à remuer ses hanches pour mencourager à poursuivre. Je lui ai ensuite pris ses hanches de manière à relever ses fesses et à présenter à ma bouche et à mes doigts lanneau brun de son anus. Elle se laissa faire sans rouspéter. Je commençais à lui ouvrir les fesses et lui lécher lanus.
Il avait un léger goût de salé et avait encore lodeur de gel douche. Je le mouillais avec de la salive de manière à permettre à mon doigt dy pénétrer et délargir un peu lentrée. Elle poussa un petit cri, mais ne protesta pas. Je recommençais à la lécher et à essayer dy faire pénétrer ma langue. Elle aimait cela et me le fit savoir en poussant ses petits cris de plaisir ; je continuais donc à la lécher, à lenduire de salive et à y faire entrer un doigt, puis deux doigts, toujours pour élargir lentrée; puis jessayais dy introduire la langue. A chaque fois que je faisais entrer mes doigts elle poussait un petit cri de douleur, puis se remettait à gémir de plaisir quand ma langue prenait la place. Au bout dun moment, je ny tenais plus ; mon sexe était en état de transe ; il nen pouvait plus dattendre. Je mis donc une dernière couche de salive et me mis en position pour lenculer.
Elle sentit quil se préparait quelque chose et se retourna, non pas pour protester, mais pour me faire un large sourire et minviter à y aller doucement, pour ne pas trop lui faire mal. Quel bonheur ! Je présentais donc le gland de mon pénis à lentrée de lanus. Il était dur comme de la pierre. Je savais que jallais lui faire mal et je crois que cela mexcitait encore plus. Je poussai doucement pour forcer lentrée ; elle poussa un petit cri. Je marrêtai une seconde et je repris la poussée ; la salive aidant, mon sexe pénétra à moitié ; elle cria encore, toujours doucement. Le canal était vraiment étroit et mon engin trop gros. Je poussai une troisième fois, cette fois-ci violemment ; mon sexe pénétra totalement ; mes couilles vinrent se coller aux fesses de ma chérie. Cette fois-ci elle cria très fort de douleur. Je restais un instant au fond de son cul, tout en lui parlant doucement et lui caressant le clitoris avec ma main gauche. Elle recommença à gémir ; cette fois-ci de plaisir.
Je repris le mouvement de mon sexe à lintérieur de son cul ; doucement au début pour lui faire le moins mal possible, plus rapidement ensuite quand le canal sétait élargi et lubrifié, permettant ainsi une pénétration plus facile. Ma main gauche chatouillait toujours son clitoris. Elle gémissait de plus en plus fort, de douleur dun côté et de plaisir de lautre. Moi, jétais au paradis ; je poussai des hans de bûcheron à chaque fois que je pénétrai dun seul coup son cul jusquau fond et quand je revenais vers lentrée, javais un gémissement de plaisir. Elle maccompagnait dans mes mouvements : elle même criait quand je la pénétrais avec quelque violence et elle gémissait quand je ressortais et que ma main titillait son clitoris. Je crois quà la fin, elle ne ressentait plus la douleur de la pénétration en force ; elle ne gardait que le plaisir qui la fit jouir en même temps que moi. Elle eut un orgasme violent, qui lui fit serrer son anus sur mon sexe et me fit moi-même jouir en éjaculant une énorme quantité de sperme dans son cul. Je continuais un temps à faire le mouvement de va et vient pour tout éjaculer ; le va et vient éjecta pratiquement tout le sperme de son cul et descendit le long de sa vulve pour venir sétaler sur les draps du lit. Elle se laissa tomber sur le ventre, tourna la tête vers moi, me sourit et me traita de salaud pour lavoir dépucelé par derrière, avant de lavoir fait par devant. Je lai embrassée et lui ai demandé daller vite se laver avant que mon sperme ne pénètre dans son vagin.
Cette phrase a eu le don de la réveiller et de la faire partir à toute vitesse vers la salle de bain. Jétais le plus heureux des hommes. Je venais de faire lamour avec une déesse, belle et soumise ; totalement offerte à mon plaisir et qui prenait visiblement du plaisir à men donner. Il me restait à la dépuceler. Javais décidé que cela ne se ferait pas cette nuit, mais demain au réveil : nous serions plus frais et plus en forme. Cétait sans compter sur la volonté de Dalila de tout consommer cette nuit. A son retour de la salle de bain, elle me lança son sourire irrésistible et me dit de sa voix rauque et basse, quil ne lui restait plus que le dépucelage de devant pour devenir une vraie femme. A lEntendre, elle navait même plus peur de la douleur.
- Cela ne peut pas me faire plus mal que ce que jai vécu tantôt, quand je tu mas enculée !
Sa nudité et son impudeur continuaient à avoir sur moi un effet aphrodisiaque ; je nétais plus fatigué et je naspirais quà la posséder encore et encore. Je lai allongée sur le lit, jambes largement ouvertes, genoux repliés de manière à me laisser voir en un seul regard sa chatte brillant de moiteur et son anus, maintenant moins fermé quauparavant. Je me mis à lui sucer le clitoris, à le mordiller de manière à lui redonner du désir. Je navais pas à forcer la dose; au bout de quelques secondes elle se remit à gigoter et à gémir et serrant très fortement ma tête de manière à ce que je continue la manuvre. Elle bougeait de plus en plus fort ; ce sont ses hanches qui donnaient le rythme à ma bouche et ma langue. Je buvais avec délectation tout le liquide qui sortait de son vagin. Un moment elle sarrêta, retira ma tête dentre ses cuisses, me regarda avec ses grands yeux de gazelle et me dit de sa voix rauque :
- Prends-moi !
Je pris un préservatif dans un tiroir de la table de nuit et lenfilais. Je me mis à genoux devant elle qui gardait ses jambes relevées posées sur son ventre; je lui soulevai le bassin de manière à mettre sa vulve au niveau de mon pénis. Je commençais un mouvement de caresse de sa vulve avec mon sexe; je montais et descendais le long de la fente en exerçant une pression sur son clitoris, de manière à maintenir au plus haut son excitation. De temps en temps je pénétrai dans lantre et allai exercer une petite pression sur son pucelage, afin de tester sa résistance. A chaque fois que je touchais son hymen, je sentais chez elle comme une crispation, une crainte. Je relâchais la pression et recommençais le mouvement de frottement de bas en haut et de haut en bas, en marrêtant quelques secondes sur son clitoris. Elle gémissait et gigotait de plus en plus fort. Un moment jai cru quelle allait se dépuceler toute seule, en gigotant comme elle le faisait.
- Prends-moi ! Prends-moi ! Vas-y enfonce le ! narrêtait-elle pas de supplier.
Dun coup sec jappuyais sur son hymen qui se déchira sous la forte pression de mon pénis. « Aie ! » fit-elle. Jenfonçais mon sexe au plus profond de son vagin ; mes couilles venaient buter sur ses grandes lèvres ouvertes. Jentrepris un long mouvement de va et vient depuis le fond jusquà louverture et de louverture jusquau fond en faisant attention à ne pas trop réveiller la douleur. Elle gémissait, haletait et prononçait des mots que je ne comprenais pas. De la bave coulait de sa bouche; ses yeux restaient grands ouverts et me fixaient comme sils me suppliaient de ne pas arrêter le mouvement. Elle donnait à son bassin un mouvement qui exigeait de moi daccélérer le rythme du va et vient de mon pénis à lintérieur de son ventre. Je la sentais au bord de lexplosion. Je me sentais aussi au bord de lexplosion. Elles se produisirent en même temps; moi déversant un flot de sperme, beaucoup moins épais quau début, dans le préservatif et poussant un long râle de plaisir ; elle le souffle court, gémissant et jouissant fortement en répétant « oui ! oui ! oui ! ».
Elle relâcha brusquement tous ses muscles et resta ainsi comme évanouie pendant de longues minutes en reprenant son souffle. Son visage rayonnait dun superbe sourire inconscient, signe dun grand bonheur. Ses yeux étaient lourds et avaient du mal à rester ouverts. Je continuais à admirer sa beauté. Comme je laimais ! Je remarquais une petite flaque de sang sur le drap du lit et la lui montrait. Elle eut un grand sourire et me dit tout doucement :
- A partir daujourdhui, cest toi mon maître ! Je garderais ce drap pour te rappeler chaque fois que cest toi qui ma faite femme !
Elle sest blottie dans mes bras et sest tout de suite endormie. Je suis resté longtemps éveillé, à surveiller son sommeil et à me dire que javais beaucoup de chance de lavoir. Cest ainsi que finit cette première nuit avec Dalila. Lhistoire, elle, continua longtemps, plusieurs années, avec des développements coquins avec sa maman Fahima et sa jeune sur Feriel.
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