A La Rencontre De Tamana
Cette histoire est une pure fiction. Je l'ai écrite pour un correspondant qui m'a fait flipper lors de l'échange de nos expériences de mec à mec. Je savais seulement qu'il était "un noir de 22 piges", bien monté, qu'il plantait des gars de sa race avec force et vigueur. Je savais aussi qu'il fabulait de pouvoir pomper le dard d'un mâle blanc et le farcir de sa semence !
A la rencontre de Tamana.
Cette fois je fabule ferme, une vraie déconnade cérébrale
mais ça fait du bien, je bande ferme en écrivant
tellement j'essaie de t'imaginer
mon cher Tamana. En tous cas je suis très près de toi. Tu n'as certainement pas le look que je vais te donner mais tu me caches tout. La seule chose que je sache c'est que tu as aussi un peu plus de 20 berges, que tu es africain et que ta peau est noire ébène. Si je me trompe totalement, c'est sans rancune
j'espère.
Je suis assis dans un avion et je viens te voir. La situation est un peu con, je ne sais même pas à quoi tu ressembles et je vais chercher un jeune noir parmi les Africains. Cela ne va pas être gâteau à l'aéroport surtout que toi tu attends un petit blanc parmi les passagers d'un avion en provenance d'Europe. Mais j'ai confiance, je sais que lorsqu'on se verra de loin on se reconnaîtra comme si on avait toujours été ensemble. J'ai décidé de ne pas sortir trop vite de la zone passagers, par chance mon sac est arrivé presque le dernier sur le tourniquet à bagages, la bousculade était terminée. Je peux donc y aller sans plus attendre. D'emblée je t'ai vu, un beau mec, plutôt grand vêtu d'un jeans classique et d'un chouette polo jaune qui met bien en évidence sa peau couleur ébène. Toi aussi tu devines que c'est moi et simultanément on s'avance l'un vers l'autre. T'as un mouvement de recule lorsque je veux te faire une accolade. Je dis alors très fort: "Salut cousin ça fait plaisir de te revoir" et on s'enlace brièvement. C'est très bref mais ce premier contact physique nous fait frissonner tous les deux
ça promet de chauds moments intimes entre nous-deux.
T'es venu en scooter, tu te mets dessus et le tient en équilibre pendant que je monte à califourchon derrière-toi. Assis, j'avance mes hanches contre toi en me tenant à tes épaules et tu te redresses en sentant bien mon paquet contre tes fesses galbées et fermes. Sans rien dire tu me repousses du cul pour que tu puisses t'asseoir complètement. J'ai les jambes largement écartées, collé tout contre toi je pourrais facilement t'embrocher si on était nus et si je bandais correctement. Tu démarres sec et je te tiens aux hanches pour ne pas tomber. Le trajet n'est pas long, je te sens tendus et crispé, t'as presque l'air agacé lorsque que j'enserre ta taille et glisse un peu ma main à plat sous ton polo pour tâter ton abdomen durci par la conduite du scooter.
Mais on arrive, l'enregistrement est vite fait, l'hôtel est simple et la chambre tout au bout d'une aile, un peu loin de tout
on va être tranquille. Tu m'y accompagnes très détendu et sitôt la porte poussée tu m'enlaces avec force, cherche mes lèvres pour un long baisé amoureux. Je t'enlace aussi et te rend ton baisé, nos hanches se plaquent et nos jambes s'encastrent, je sens bien ton paquet de couilles contre les miennes. Notre baisé s'allonge, nos langues se cherchent et nos salives se mélangent. On ne dit pas un mot, je sens bien que tu frissonnes autant que moi d'un désir sexuel naissant et on se frotte l'un à l'autre sans retenue. Tu sens bon
un peu acide peut-être mais il fait chaud et un filet de sueur humidifie ton front, je t'aime Tamara tu sens l'homme, le vrai, t'es un mec puissant et viril.
Comme des amants de longue date on visite la chambre, le lit est de bonnes dimensions et la douche a l'air impec. J'enlève ma chemise qui me sert presque de veston et reste en t-shirt, maintenant on se regarde vraiment
j'aime tes lèvres charnues, ta tête un peu ronde et tes cheveux crépus, coupés très courts. Ton corps est balaise, très beau mec, ta peau sombre semble douce et sacrément sensible je suis certain que tu dois jouir avec intensité
rien qu'à te regarder
je bande.
Toi-aussi tu me scrutes, jauge mon corps et ma musculature souple puis tu fixes ton regard sur mon entre-jambes. L'un comme l'autre on a le tissu de la braguette vachement tendu. Tu t'approches de moi, me fais face de toute ta carrure et très gentiment tu me dits: "Viens Olivier, laisse-toi faire je veux boire ta sève et te faire l'amour, j'en rêve depuis très longtemps". Tu me prends par la nuque d'une main, me relève la tête et m'embrasse tendrement. De l'autre main tu me masses la queue à travers le tissu du jeans. Je me laisse aller contre-toi, t'enlace en frissonnant et te masse aussi la verge. Tu te cabres légèrement et tu commences à dégrafer mon jeans, défaire la ceinture puis m'ouvrir la braguette. J'apprécie la douceur avec laquelle tu fais ça, délicatement tu écartes le tissu et me dégage le sexe encore tout emballé dans mon slip. J'ai presque la queue à l'air lorsque que je prends tes mains, te regarde droit dans les yeux et te dis: "Mettons-nous à l'aise, enlève aussi ton jeans".
Joignant le geste à la parole, je finis d'enlever mon jeans et retire mon t-shirt. De ton côté, tu te déculottes rapidement et je t'aide à enlever ton polo. C'est torses nus, nos slips salement déformés par nos érections qu'on s'enlace à nouveau et qu'on se bascule sur le lit. On se chevauche en roulant l'un sur l'autre, s'affrontant au corps à corps on se masse le torse, le ventre et nos puissants pectoraux. On jouit tous les deux de plus en plus raide lorsque que tu glisses sur moi et que tu viens m'embrasser tendrement, un long baisé que je te rends avec plaisir. Tu me souris gentiment abaisse ta tête sur mon thorax, embrasses et suce un téton
puis l'autre. Tu continues à descendre et tu tournes ta tête pour découvrir mon sexe. Tu vois une sacré bosse et devines ma tige toute érectée dans le slip. Je sens en toi une envie insoutenable, ta langue souligne le creux de mon nombril et très délicatement tu dégages mon glaive. Je te tiens la tête pendant que tu me déculottes, je relève les jambes pour faire glisser le slip et tu me mets totalement à nu.
Creusant le ventre et en écartant les cuisses, je pousse mes hanches contre toi et t'offre mes parties génitales. On gémit tous les deux, toi de pouvoir engloutir ma verge congestionnée et moi de sentir ma queue happée par ta bouche avide. T'es un sacré salop de m'avoir fait croire que tu n'avais jamais pompé un mec. Comme un chef tu prends mon gourdin en mains et tu me suces le gland et la hampe avec avidité. Ne sortant pas de la douche, je sens certainement le mâle et tu te grises un peu avec mon musc. Mais tu y vas fort, chiquant mon gland tu dégustes ma mouille en gémissant de satisfaction. Tu aspires ma verge par bonnes lapées et du bout de la langue tu forces l'ouverture de mon méat
puis tu aspires délicatement comme pour tirer mon venin. J'ai vraiment les couilles en feu, je jouis comme un dingue, mon corps se crispe tout seul
j'arrive difficilement à me contrôler. Je pousse un petit cri en me cabrant et toi tu stoppes net en me libérant la verge. Tu la tiens fermement mais tu te gardes bien de la toucher ou l'effleurer car tu te rends bien compte qu'au moindre attouchement
je lâche ma sauce. Peu à peu ma tension s'apaise et mon corps se détend. Tu te glisses sur moi, torse contre torse et m'embrasse sauvagement. En te rendant le baisé je t'enlace et réalise que tu es encore en slip ! Excuse-moi Tamara, viens tourne toi sur le dos que je te mette à nu. A genoux à tes côtés je te retire ton sous-vêtement et découvre ton sexe
un sacré braquemard, une queue tendue à mort, une belle tige bien noire avec un gland rose tout gonflé. Une vraie belle pièce que j'empoigne à pleine main pour te masturber. Tu ne m'en laisses pas le temps, me prenant à bras le corps tu me recouches et c'est toi qui t'attaque à mon sexe. Tu recommences alors à lécher la collerette de mon gland sur tout le pourtour avant d'enfourner à nouveau toute ma verge et me sucer un bon coup. Tu jouis autant que moi, te tenant la tête je suis tes mouvements et savoure la chaleur de ta bouche. Tu arrives presque à avaler toute ma queue puis tu mordilles le gland, le suces et du bout de la langue tu titilles mon méat largement ouvert en quête du moindre jus de ma sève.
On se rend compte tous les deux que je vais lâcher la rampe et cracher un max de semence. Me tenant les hanches en forçant mes cuisses ouvertes tu me pompes avec force, suçant et aspirant ma verge à pleine bouche. J'essaie de me débattre mais tu me tiens et je suis terrassé par un orgasme soudain et violent. Je lâche mon sperme avec un feulement de soulagement, éjaculant de longs jets dans ta bouche je n'arrive pas à me retenir et découille tout le fruit de mes entrailles en gémissant de bienêtre. Dès que je me calme un peu, tu glisses sur moi et m'embrasses avec fougue
partageant les restes de mon sperme avec moi. Je te sens tout tendu contre moi
c'est vrai qu'il y a un sacré moment que tu bandes
tu dois avoir une folle envie de te soulager les couilles. De force je te repousse en t'obligeant à arquer ton corps en arrière. J'admire la forme de ton thorax, tu es large d'épaules avec une musculature fine mais nerveuse, ton ventre est plat
même légèrement creusé et ton torse se termine par des hanches étroites et osseuses. Pour couronner le tout, un mandrin impressionnant, une tige d'ébène chapeautée par un gland rose vif très congestionné. Une large collerette épaissit le tout et termine somptueusement ce magnifique dard. Avec avidité, je commence une douce fellation mais tu te tends et att ton jeans, en extrait une capote et m'enlace en me soufflant à l'oreille. "Je t'aime mon Olivier, laisse-moi te prendre". Pour toute réponse, je te prends le préservatif des mains, l'ouvre et présente l'anneau de gomme sur le sommet de ta barre. Avec plaisir tu cabres ton corps et pousses tes hanches contre moi. Du bout des doigts je commence à dérouler le condom par-dessus ton gland
ce qui te fait gémir et je termine en te massant à deux mains pour bien enrober ta verge
et là tu pousses franchement des râles de jouissance. Puis tu te redresses et prends les choses en mains en m'enlaçant au corps à corps face à face et en remontant mes jambes sur ta taille. Te penchant à nouveau tu sors du gel d'un tube et m'en met sur la rondelle. Tu me regardes droit dans les yeux, on se sourit, je t'enlace encore plus fort et on s'embrasse avec fougue. Tu me doigtes très délicatement et peu à peu tu sens que j'arrive à me détendre, tu relèves encore un peu plus mes jambes, tu te mets à genoux et présente ton mandrin contre mon anus. Nous sommes thorax contre thorax et tu me tiens fermement dans tes bras tout en poussant
par petites secouées
ta tige dans mon corps. Tu vibres de plaisir en gémissant de plus en plus fort. Je te serre aussi dans mes bras et t'encourage du regard malgré les lancées qui tenaillent mon corps par la pénétration de ton cône de chaire. D'une ultime poussée tu m'embroches totalement et crispé tous les deux ont reste un immense moment cabré l'un contre l'autre. Je te regarde, tu me regardes
on s'embrasse tendrement en jouissant de notre accouplement, peu à peu tu bouges les hanches d'une lente ondulation tu fais coulisser ta verge tendue dans mon fourreau. Je sens que tu jouis comme un fou, on transpire tous les deux, des gouttes perlent sur ton visage et nos corps sont moites et collants de sueur. C'est un moment vraiment intense, on s'aime d'homme à homme sans fioritures ni retenue. Tu me tringles avec vigueur, poussant ta virilité au plus profond de mes entrailles, ressortant presque complètement pour replanter à nouveau ta dague au fond de mon corps. Je sens bien que tu vas lâcher la rampe
et ton orgasme est magnifique. D'une ultime poussée tu m'embroches encore plus profondément, tu me serres dans tes bras à m' et tu lâches ton sperme. Criant, soufflant, gémissant ton corps se crispe maintes fois
soulignant chaque contraction de tes testicules. Je sais que je fabule mais j'ai l'impression que le bout de ta verge grossi encore
tellement tu injectes de semence dans la capote. Exténué tu retombes sur moi et nous restons amoureusement enlacé pendant que tu te calme. Bien plus tard nous partons sous la douche, discrètement tu balances la capote dans les chiottes mais j'ai le temps de voir que tu l'as farcie avec un max de sauce. Il faudra bien qu'on remette ça
j'adore masturber les mecs, voir et apprécier comme ils lâchent le fruit de leurs entrailles
mais ça c'est une autre histoire
admin
Jan. 31, 2023
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