La Mere Et Ses Deux Filles ; 2Ème Partie: Fahima, La Maman
LA MERE ET SES DEUX FILLLES
Deuxième partie
FAHIMA , LA MAMAN
Dalila et moi sommes restés ensemble longtemps. Mais elle nhabitait pas avec moi (je navais jamais voulu partager ma vie avec une femme; je préférais rester libre pour accueillir toutes les aventures que la vie voudrait bien moffrir). Mais comme jétais vraiment amoureux delle, je ne voulais pas quelle fût trop loin de moi. Je lavais donc installée avec ses parents au rez-de-chaussée de mon immeuble (Javais offert à ses parents le poste de syndic de limmeuble, qui leur permettait de disposer de deux salaires et dun logement gratuit et en même temps à Dalila dêtre près de moi, à ma disposition).
Dalila continuait ses études ; elle avait décroché son bac et était entrée à luniversité pour y étudier le droit. Nous passions souvent des nuits ensemble à faire lamour, avec chaque fois, de nouvelles choses à expérimenter. Je crois avoir fait avec elle tout ce quil était possible de faire pour assouvir des penchants sexuels quelque peu pervers. Elle se renseignait beaucoup et chaque fois, elle apportait avec elle une idée nouvelle qui aiguisait ses sens et quelle voulait expérimenter. Sa dernière idée était de me partager toute une nuit avec une nouvelle amie étudiante, qui lui plaisait beaucoup physiquement et avec laquelle elle voulait entreprendre une expérience homosexuelle. (Je vous raconterais peut-être un jour cette folle nuit. Mais pour le moment parlons plutôt de mon aventure avec sa maman, Fahima)
Jai fait la connaissance de la maman de Dalila, le jour où elle et sa famille étaient venues prendre possession de lappartement du rez-de-chaussée. Cétait une femme dune quarantaine dannées, grande et très bien conservée ; elle était un peu forte, mais sans trace de graisse. Ce qui était le plus apparent chez elle, cest sa croupe quelle avait proéminente et naturellement cambrée, comme une pouliche. Elle était habillée dune longue et large robe dintérieur en coton, dun ton orange ; la robe trop large ne donnait rien à voir de ses rondeurs, mais laissait deviner un corps plantureux et généreux.
- Je crois, quelle a oublié votre rendez-vous, me dit-elle ; il ne faut pas lui en vouloir, elle stresse fortement pour ses examens.
Elle me prépara un café tout en me parlant de choses et dautres : du travail quelle accomplissait dans limmeuble ; de la reconnaissance quelle avait pour moi, pour leur avoir offert, à elle et à son mari, ce travail ; de sa deuxième fille, Feriel, qui venait davoir dix-huit ans et allait passer son bac ; et de beaucoup dautres choses auxquelles je ne prêtais quune attention superficielle, pris que jétais dans ma contrariété. Elle vint sagenouiller devant moi pour me servir le café sur la petite table. Mes yeux tombèrent sur le décolleté discret quelle portait, mais qui grâce à la position agenouillée quelle prenait, laissait entrevoir la naissance de ses seins, que je devinais lourds, mais encore fermes. La couleur très blanche de sa peau me fit frissonner et procura une agréable sensation de chaleur à tout mon corps. Je commençais déjà à voir en elle autre chose que la maman de Dalila.
Sa position, à genoux devant moi, lodeur agréable qui se dégageait delle (un léger parfum à base de cannelle), ses grands yeux noisette et le sourire énigmatique quelle arborait en permanence, commençaient à me titiller et à me donner des idées bizarres. Lidée la plus saugrenue qui métait venue à lesprit, était de vérifier quelle ne portait pas de soutien gorge.
Elle avait toujours aux lèvres ce sourire énigmatique dont je ne connaissais pas la signification. Evidemment, elle ne portait pas de soutien gorge ; ses seins étaient effectivement lourds et volumineux, mais gardaient leur fermeté de jeune fille (malgré deux grossesses rapprochées). Je caressais longuement un sein, toujours à travers le tissu de la robe, puis lautre. Elle ne laissait rien entrevoir de ce quelle pensait ; elle ne faisait aucun geste pour me montrer que cela lui plaisait, ni que ce que je faisais était déplacé. Jinsistais dans mes caresses comme pris dans un piège, dont la seule manière de sortir était de créer en elle un émoi, qui maurait permis davoir raison.
Je menhardissais donc à introduire ma main à lintérieur du décolleté pour caresser directement ses seins sans lentremise du tissu. Les seins étaient fermes et leur peau encore très douce. Je pris entre le pouce et lindex un téton, y mettait une légère pression et le fis rouler longuement et en douceur. Je fis rentrer ma deuxième main dans son décolleté et moccupai aussi du deuxième téton. Je vis son regard changer et sadoucir et son sourire sélargir et devenir plus expressif ; son souffle devint plus saccadé et ses lèvres commençaient à avoir des tics de désir. Jaugmentais la pression de mes doigts ; elle se mit à gémir et à gigoter. Je retirai une main pour lattr par la nuque et lattirer contre ma bouche. Je lui demandais de membrasser, tout en posant mes lèvres sur les siennes. Elle répondit à mon baiser à la manière dune femme affamée. Ce fut un baiser violent, torride, humide, où la langue joue le rôle le plus important.
Elle se mit à gigoter en gémissant ; elle me prit par la taille pour minviter à la rejoindre par terre ; je descendis du fauteuil dans lequel jétais assis et me mit à genoux à côté delle. Elle souleva sa robe et prit ma main pour lintroduire entre ses cuisses. Sa position à genoux ne permettait ni de voir entre ses cuisses, ni même de lui caresser lentre cuisse. Jexerçais une pression assez forte sur son épaule pour quelle sallonge par terre et permette à ma main de monter vers la naissance de ses cuisses. Je commençais à lui caresser lintérieur des cuisses et à remonter doucement vers sa culotte. Elle portait une fine culotte dont la couleur noire créait un contraste saisissant avec la blancheur de la peau de ses cuisses. Je lui caressai légèrement son sexe à travers le tissu de sa culotte. Elle poussa un petit cri de plaisir et écarta encore plus ses cuisses ; jécartai sa culotte pour dégager et voir sa chatte. Une merveille ! Pas un poil ; des grandes lèvres épaisses et fermes qui donnent à son sexe la forme de deux quartiers dorange, de couleur sombre; les lèvres intérieures rouges et luisantes ouvertes sur un vagin humide et sombre ; un clitoris petit, mais bien dessiné et ferme.
Je fis entrer deux doigts entre ses grandes lèvres et me mit à jouer avec son clitoris ; elle sétait mise à gigoter, à bouger son bassin et à souvrir encore plus. Je lui enfonçai les deux doigts dans le vagin, en leur faisant faire un mouvement rapide de va et vient ; il était totalement mouillée ; il dégoulinait même de ce liquide poisseux et chaud quil déversait copieusement sur ma main.
Nous restâmes ainsi quelque temps allongés par terre sans rien dire ; puis je sentis ses mains aller vers mon pantalon, ouvrir la braguette et sortir mon sexe qui avait atteint une taille énorme, tant il était excité. Elle le regarda admirative et se mit à me branler. Je ne voulais pas quelle me masturbe ; je voulais quelle me suce ; je le lui fis savoir sans un mot en lui prenant la tête et lapprochant de mon pénis ; elle comprit très vite et se mit à lembrasser, le lécher et à laspirer à lintérieur de sa bouche. Elle savait sy prendre! Elle savait surtout utiliser sa langue pour pousser lexcitation à son paroxysme ; elle navait aucune peine à faire pénétrer ma longue queue profondément dans sa gorge. Elle ne me laissa même pas le loisir de faire moi même les mouvements de va et vient dans sa bouche ; elle sen occupa toute seule en faisant avancer et reculer sa tête, tout en me caressant les couilles. Je navais plus quune envie, cétait de jouir dans sa bouche et de lui faire boire du bon sperme bien épais et bien chaud. Elle semblait avoir compris cela et se mit à accélérer le mouvement de va et vient tout en continuant à titiller le gland de mon pénis avec sa langue. Je sentais la jouissance venir, violente. Au bout de quelques secondes je poussai un puissant râle de plaisir et éclatait dans sa bouche. Je lâchai une première grosse giclée de sperme au fond de sa gorge tout en continuant le mouvement de va et vient qui allait libérer le reste ; le reste vint immédiatement après, en trombes. Elle avala sans difficulté tout le sperme que je lui avais déversé et ne laissa même pas une goutte séchapper. Cette femme était une véritable pompe à sperme !
Après quelques secondes de repos, toujours allongés par terre, elle se leva pour saccroupir devant le fauteuil, la tête posée sur un coussin et les fesses en lair. Je navais pas eu encore le temps dadmirer son cul proéminent. Il était monumental, bien dessiné et ferme (je me disais que cette femme devait pratiquer un sport quelconque, pour navoir que du muscle à son âge). La peau des fesses était aussi blanche et aussi douce que celle de tout le reste de son corps. Je posais ma main sur elles pour les palper et les caresser, étant surtout intéressé par les deux trous qui me faisaient face : sa chatte encore luisante de tout le liquide quelle avait produit précédemment et son anus sombre et palpitant. Je me demandais ce que je voulais le plus lencônner ou lenculer. Je voulais faire les deux en même temps. Elle ne fit aucun geste pour maider à choisir. Je me décidais donc à lenculer tout de suite et de lencônner après. Je me mis derrière elle et plongeai deux doigts dans son vagin pour en retirer du liquide pour lubrifier son anus. Ce geste lui plut tellement quelle sétait mise à gémir à chaque fois que mes doigts entraient dans son vagin, puis se posaient sur son anus pour en lubrifier lentrée.
Au bout dun moment lanneau de son anus sest suffisamment distendu et pour pouvoir laisser mon engin pénétrer facilement. Je positionnai mon gland à lentrée du cul, jattrapai la belle par les hanches et jappliquai une pression assez forte pour faire pénétrer la partie supérieure de mon pénis. Je la sentis se raidir, mais elle ne dit pas un mot et némit aucune protestation. Je savais que je lui faisais mal et je lui sus gré de ne rien en laisser paraître. De toutes les façons, même si elle avait protesté, jaurais continué de la prendre en force. Cette pensée mexcitait tellement ! Mais devant cette absence de réaction négative, je me sentis encore plus le droit dy aller franchement ; je me mis à lenculer à la hussarde avec de grands gestes qui faisaient pénétrer le gland et la hampe jusquà ce que mes couilles rencontrent les fesses de ma belle. Je revenais rapidement à lentrée du cul, pour repartir de plus belle au fond. Je ne savais pas si elle y prenait quelque plaisir, mais elle mit tout son cur à maccompagner par des mouvements de hanches circulaires et à se mettre à mon diapason pour me donner le maximum de plaisir.
Je lui criai que jadorai lenculer. Que jadorai enculer les femmes. Que je pouvais passer ma vie à ne faire que ça. Je lui disais que je voudrai quelle me suce la bite juste après lavoir enculée. Je lui disais plein de choses, auxquelles elle ne répondait pas. Elle se contentait de maccompagner, de gémir un petit peu (de plaisir ou de douleur ?) et de me faire éclater à lintérieur de son cul si accueillant. Je déchargeai de manière violente, en lui envoyant plusieurs giclées de sperme brûlant et épais au fond du cul. Mes mouvements de va et vient qui continuèrent jusquà ce que jai terminé déjaculer, avaient expulsé la presque totalité du sperme qui a ainsi coulé entre ses fesses, sur la rainure de sa chatte pour sétaler par terre entre ses genoux. Une fois mon engin, encore raide, sorti de son cul, elle se retourna me fit me lever pour le lui présenter devant sa bouche et elle se mit à le sucer goulûment. Elle avait donc entendu tout ce que lui disais et sempressait de me faire plaisir.
Je lui demandai de me dire franchement si elle avait aimé se faire enculer : elle ma répondu que cétait la première fois quelle le faisait et quelle était prête à recommencer, mais seulement avec moi. Je navais pas trop bien compris ce que cela voulait dire, mais je lui étais reconnaissant de me lavoir dit ainsi. (Jai appris par la suite que ses relations sexuelles avec son mari étaient des relations traditionnelles, qui nacceptaient pas les travers des relations libres. De temps en temps, pour assouvir ses désirs cachés, elle profitait de son absence pour copuler librement avec un voisin, dont la femme était frigide. Mais même avec cet amant, elle navait jamais pratiqué la sodomisation, parce quelle navait jamais osé le lui demander et que lui-même sinterdisait de le faire).
Nous nous reposâmes quelques instants puis elle minvita à aller dans sa chambre pour faire lamour comme elle voulait, elle. La chambre était coquette, fraîche et bien tenue ; le lit accueillant et assez grand pour permettre des ébats torrides. Fahima me demanda de minstaller sur le lit, le temps pour elle de se doucher et de se changer. Je lui ai proposé de laccompagner sous la douche ; elle a refusé sous prétexte quelle ne voulait pas que je la voie toute nue.
- Dalila est belle nue; Fériel est belle nue ; moi non ; je ne suis belle et désirable quhabillée, même légèrement.
Je lai laissée aller à sa douche, pendant que je me reposais un peu. Cinq à dix minutes plus tard, elle revint ; elle avait changé de robe ; elle portait maintenant une robe courte, très légère, laissant entrevoir beaucoup de choses et deviner le reste. Cest vrai quelle était belle ainsi vêtue : toute nue sous cette robe qui lui arrivait à mi cuisse, mettant en valeur des jambes longues et fermes, de gros genoux ronds et des cuisses pleines à faire bander un mort. Jai déjà parlé de sa poitrine lourde et ferme ; sa nouvelle robe ne faisait quaccen cette fermeté de ses seins, tant ils poussaient le tissu comme sils voulaient à tout prix sortir. En se retournant pour se faire admirer, elle proposait à ma vue des fesses proéminentes et fermes, qui donnaient limpression quil sagissait de la croupe dune jeune pouliche en attente de saillie.
Mes sens nont mis que quelques secondes pour se réveiller : je sentais mon cur battre plus vite et mon bas ventre se remit à me faire mal, tant le désir était fort et mon envie de lui sauter dessus irrépressible. Elle ne lentendait pas de cette oreille. Elle me dit que dans son lit, cest elle qui menait la barque; je devais lui obéir au doigt et à lil. Je ny vis pour ma part aucun inconvénient ; elle mavait donné la preuve quavec elle, cétait toujours gagnant/ gagnant. Elle me demanda de me déshabiller totalement. Je me débarrassai rapidement de mes habits ; elle maida même à enlever mon pantalon et mon slip. Elle admira quelques instants mon sexe qui avait une taille colossale, à force dêtre excité.
- Il est juste à ma taille ! murmura-t-elle, en tendant sa main pour une légère caresse.
Elle sallongea à mes côtés mais en position inverse : sa tête au niveau de mon bas ventre ; ce qui amena ma tête au niveau du sien. Elle se retourna brusquement pour chevaucher ma tête de manière à mettre sa chatte au niveau de ma bouche.
- Mange-là ! ordonna-t-elle dune voix qui nadmettait aucune réplique.
Je mexécutai avec plaisir ; surtout que sa chatte était redevenue toute propre après la douche quelle venait de prendre. Elle sentait encore le gel douche. Jappliquai consciencieusement mes lèvres sur sa vulve qui ne tarda pas à se mouiller totalement sous leffet du désir. Jécartai ses grandes lèvres et me mis à lui lécher sa chatte de haut en bas et de bas en haut dans un mouvement rapide, qui lui fit pousser des gémissements continus de plaisir. Ses gémissements prirent plus dampleur quand je me mis à lui sucer le clitoris et à lui enfoncer la langue aussi loin que possible dans le vagin. Elle accompagnait la manuvre en soulevant et rabaissant son bassin à un rythme tantôt rapide, tantôt plus lent. Je sentais quelle ne voulait pas jouir tout de suite. Elle voulait une jouissance mutuelle.
Elle prit mon sexe dans la main et se mit à le masturber lentement avant de se mettre à lui lécher le gland et à laspirer totalement dans sa bouche et sa gorge. Elle entreprit un mouvement de va et vient en lui appliquant le même rythme que celui que réalisaient ses hanches sur ma bouche. Nous étions là collés lun à lautre, moi aspirant goulûment tout le liquide qui provenait de son vagin et elle suçant et léchant, tout aussi goulûment, mon manche quelle senfonçait jusquau fond de la gorge. Tout à coup elle accéléra le rythme du mouvement de ses hanches ainsi que du va et vient de sa bouche. Je sentais quelle était au bord de lexplosion et quelle nallait pas tarder à avoir un orgasme très fort. Effectivement elle déchargea très fortement et très longuement dans ma bouche, pendant quelle accélérait toujours le mouvement de sa bouche quelle aidait maintenant avec sa main de manière à me faire jouir en même temps quelle. Jexplosai dans sa bouche presque au même moment quelle déchargeait dans la mienne. Elle avala mon sperme jusquà la dernière goutte et moi je continuer de lécher sa vulve pour y prélever le précieux liquide qui pouvait encore sy trouver.
Elle se retourna pour me regarder et me sourire et vint sallonger sur moi pour me donner un baiser long et mouillé, comme pour me remercier de lavoir laissée mener la manuvre. Elle me dit quelle était encore excitée et quelle avait encore envie de jouir. Elle entreprit de réveiller mon sexe qui sétait affaissé, fatigué et repu. Elle le branla doucement en utilisant le liquide de son vagin pour lubrifier sa main. Ce geste daller chercher du liquide dans son vagin pour me masturber, suffit à réveiller mon sexe et à lui redonner de la vigueur. Elle me dit quelle allait sempaler toute seule sur mon dard et que cest elle allait me baiser. Elle voulait être le mâle qui baise et non plus la femelle que lon baise. Je lui ai dit daccord. Elle vint donc se mettre à califourchon sur mes cuisses et introduisit mon sexe bien raide et vertical dans sa chatte. Elle resta quelque temps sans bouger puis posant ses mains sur mes muscles abdominaux, elle entreprit de lever et descendre son bassin pour effec le mouvement de va et vient de son vagin sur ma verge. Elle sy prit de manière tellement experte, en faisant effec de temps en temps des mouvements circulaires à ses hanches quelle démultiplia mon excitation.
Ses seins, toujours cachés sous sa petite robe, suivaient le mouvement montant et descendant de ses hanches; jen pris un dans chaque main, sans les dénuder et me mit à les caresser. Cela lexcita encore plus et la fit redoubler dardeur. Elle accéléra le rythme en gémissant et bavant. Elle se mit à crier quelle allait jouir très fort et quelle voulait que je jouisse aussi très fort. Elle cria quelle adorait baiser ; quelle aimait les gros zobs comme les miens qui lui remplissent la chatte ; qui la pénètrent profondément et qui lui font mal. Quelle aimait sempaler sur eux. Quelle était une vraie putain. Tous ces mots étaient prononcés avec une voix saccadée, dans un souffle de plus en plus court ; jusquà la délivrance finale qui vint sous la forme dun long râle de jouissance qui dura une éternité. Elle se laissa tomber sur ma poitrine tout en gardant mon sexe encore bandant dans son vagin.
Elle saperçu que je navais pas encore joui. Elle membrasse comme pour me demander pardon, se mit à quatre pattes sur le lit, la tête enfoncée dans un oreiller et me demanda de la prendre à la levrette pour pouvoir décharger. Linvite était trop belle pour que je nen profite pas. Je me mis donc derrière elle, et sans précaution aucune je lui enfonçai mon membre dans sa chatte jusquau fond. Je le ressortis totalement et le lui enfonçai une deuxième fois tout aussi brutalement. Cela eut pour résultat de réveiller ses sens endormis par les orgasmes successifs quelle avait eus et se remit à gémir et à crier de la baiser comme une chienne, de lui faire mal et de linonder de mon sperme. Je me rendis compte que mes coups de boutoir lui faisaient mal et quelle aimait cela. Je redoublais dardeur, de plus en plus excité par ses cris et ses râles, jusquau moment où ny tenant plus jexplosai dans son vagin la noyant dun sperme qui, certes avait perdu de son épaisseur, mais restait encore abondant. Elle jouit en même temps que moi, mêlant le liquide quelle avait déchargé en abondance au sperme dont je venais de remplir son vagin.
Exténués, nous sommes restés accrochés lun à lautre un long moment. Elle me prit dans ses bras, membrassa longuement avec beaucoup de tendresse et me demanda de partir avant que ses filles et son mari ne reviennent. Je lui demandai si on allait se revoir ; elle me sourit pour me dire bien sûr. Elle était daccord, me dit-elle, pour me partager avec sa grande fille.
- A nous deux, nous allons te construire un véritable nid damour !
Elle ne crut pas si bien dire. Mais au lieu de deux, elles finirent par être trois à partager ce nid damour: Dalila, Fahima et Feriel.
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