Na Leslie Tr 64

Leslie à Paris – P64 - Rencontre au salon, 2ème partie.

Le lendemain.
Après cette première journée au salon et une nuit pleine de rêves érotiques où des mâles superbement membrés viennent me prendre à tour de rôle mon petit trou, je me réveille le matin avec une superbe érection et une envie de sexe incontrôlable.
Après avoir pris une bonne douche, je me prépare donc pour partir et retourner au salon, mais la journée d’hier m’a rendue un petit peu salope et, aujourd’hui, j’ai envie de faire un peu d’exhibition. Alors avant de m’habiller je passe mes bijoux intimes après avoir mis une chaine de cheville en maille de forçat, je me passe ma chaine de taille, puis je me pare le sexe du cockring crown, puis je met mon bijou de verge « œil de cristal rubis », je me trouve ainsi très désirable mais je n’oublie pas de m’enfiler dans l’anus mon petit bijou d’amour, le rosebud que j’ai acheté quelques temps auparavant et qui décore mon œillet par la pierre rouge laissée apparente une fois le rosebud fiché en moi. Je me regarde dans la glace et me trouve très allumeuse ainsi, celui qui va découvrir mon intimité verra mon anus plugé et la pierre obstruant mon œillet et mon joli sexe en pleine liberté décoré de mes bijoux intimes.
Je m’habille dans la même tenue que la veille, sans toutefois mettre de string.
Un petit déjeuner, puis je sors pour prendre mon taxi, en attendant sur le trottoir je ne manque pas de remarquer l’effet produit sur certains mâles.
Puis me voila partie pour ma deuxième journée de salon.

Au salon.
La visite est cool et je flâne dans les travées du salon me laissant guider par mon instinct et ma curiosité, je sens mon rosebud bougé dans ma rondelle au rythme de mes pas, douce sensation de se savoir prise sans que personne ne le sache et décorée par des bijoux intimes qui ne demandent qu’à être dévoilés au premier regard inquisiteur, je suis dan un état de semi-érection et je sens la chaine qui retient mon sexe s’incruster dans mes fesses.

Voila maintenant plus d’une heure que je parcoure le salon et il est bientôt midi.
Je ne manque pas de passer pas très loin du stand de mes deux amants de la veille sans toutefois me montrer afin de laisser la surprise pour le soir, si toutefois je vais les retrouver à leur hôtel. Puis passant devant un stand je suis intéressée par les produits proposés qui vantent les économies d’énergie dans la construction, de plus l’homme qui tient le stand est très beau et viril.

Une rencontre sur un stand et un instant merveilleux.
Je flâne un instant sur le stand regardant les affiches, prenant un air intéressé, et je sens le regard de l’homme se posé sur ma silhouette et un instant plus tard il est prêt de moi pour me dire :
- Puis-je vous renseigner mademoiselle ?
- Oui certainement, je réponds, si vous aviez des fiches descriptives, je serais preneuse.
Il me guide vers un petit salon où il demande de m’installer en me proposant un café que j’accepte.
Tandis qu’il prépare mon café, je m’installe confortablement dans un fauteuil bas qui fait que ma jupe se relève à mi-cuisse sur moi, à la lisière de mes bas. Avec un peu de chance et si la curiosité le chatouille je vais pouvoir lui en mettre plein les yeux.
Après avoir disposé mon café devant moi, il s’installe en face de moi et nous commençons à converser, et pendant la discussion je sens son regard chercher l’intérieur de mes cuisses.
Brun, athlétique et viril cet homme ne me laisse pas indifférente car c’est tout à fait mon type d’homme et je peux me refuser à ce genre d’hommes qui me font un tel effet.
Néanmoins tout en continuant la conversation j’entreprends d’écarter un peu plus les jambes et faire que ma jupe se relève un peu plus sur mes cuisses, aussitôt la satisfaction se lit dans son regard qu’il pose sur moi.
Il peut voir la lisière de mes bas et mes cuisses ouvertes lui dévoilent certainement mon sexe nu décoré de mes bijoux intimes, je sens une douce chaleur montée en moi rien que de penser à cela, sans changer de position et de ton il me dit :
- Vous êtes très belle et peu farouche par rapports à ce que vous offrez à mon regard, d’ailleurs ce que vous me donner en spectacle est tout à fait séduisant et me plait beaucoup, pourrais-je vous inviter à déjeuner ce midi.
- Sans problème, j’en serais ravie, lui dis-je.
- Alors allons-y et ne perdons pas de temps.
Le temps de donner un coup de téléphone à un collègue pour venir le remplacer et nous voila partis pour notre tête à tête, en chemin il me dit :
Je m’appelle Olivier et je vous emmène diner juste en face du palais des expositions à mon hôtel.
- Impeccable, je réponds, Leslie et je vous suis étant votre obligée.
Je me dis en moi-même qu’il ne sera pas exclut que nous finissions dans sa chambre et cela me plait.

Le déjeuner se passe tranquillement et nous conversons sur différents sujets, à un certain moment la conversation se porte sur ma personne et Olivier me pose la question suivante :
- Vous êtes une très belle femme, mais par rapport à ce que j’ai admiré tout à l’heure vous avez ce plus qui fait que vous êtes spéciale.
- Cela vous dérange ?
- Non pas du tout, me répond t’il, mais j’ai l’envie de mieux vous connaître, disons de façon plus intime.
- Vous me plaisez et si vous le désiré je vous suis.
Il se lève et me dit :
- Allons dans ma chambre !
Je me lève et nous partons, en traversant le hall, les regards nous observent et un instant plus tard Olivier referme la porte de sa chambre sur moi, nous voila maintenant face à face dans l’intimité.
Il se penche alors vers moi et pose ses lèvres sur les miennes, sa langue force mes lèvres, que j’ouvre avec délectation et nous échangeons un baiser torride où nos langues se mêlent intimement.
Il me caresse les cuisses à la lisière de mes bas et ses mains douces sur ma peau nue me font tressaillir, une main monte plus haut vers mon intimité et Olivier touche mon sexe du bout des doigts me faisant à nouveau frémir, il me guide au milieu de la pièce et me fait poser les mains à plat sur la table, puis passe derrière moi et me caresse les seins au travers de mon chemisier, je sens mon érection grandir.
Mais Olivier me demande de cambrer les reins et relève ma jupe sur mes reins, il contemple la vision qui s’offre à lui et me dit que c’est magnifique et que je suis très belle ainsi ornée de mes bijoux intimes.
Revenant derrière moi, il me fait écarter d’avantage les jambes afin de bien voir le rosebud fiché en moi.
- Vous êtes parée avec de jolis bijoux, mais je crains de devoir de vous les enlever.

Il passe sa main sur mon sexe et joue avec le bijou qui le décore, je bande comme une malade, il va avoir du mal à m’enlever mon cockring crown, il me défait du bijou en me disant que mon sexe paré de mon anneau est trop beau ainsi et qu’il tient à ce que je garde.
Je suis offerte et il lui suffirait de m’enlever le rosebud pour pouvoir me prendre ainsi debout, c’est à cet instant que je sens Olivier se défaire derrière moi le pantalon tombe à ses pieds et d’une main il m’enlève le rosebud laissant la place libre à ses désirs.
Je sens son gland se poser sur mon œillet et je me cambre encore plus pour lui faciliter la pénétration, d’un coup de reins il pousse sur mon anus qui s’ouvre d’un seul coup lui permettant de m’investir complètement.
- Aie !
Il est gros et je suis surprise par la pénétration que je reçois.
Olivier s’active un instant en moi et sort de moi, il me retourne vers lui et commence à me déshabiller en me disant :
- Leslie, t’es canon et je veux te voir nue, complètement offerte, tu es si désirable.
Je suis nue devant lui n’ayant que mes bas et mon porte jarretelles, le sexe dressé vers lui, le cockring m’enserre la base du gland et me fait un peu mal, il va falloir camer mes désirs pour l’enlever sans douleur, Olivier se déshabille à son tour et se présente nu devant moi.
Il est très poilu et bronzé intégral, son sexe est de bonne dimensions mais surtout très large et circoncis, un très beau sexe comme je les aime, alors prenant les choses en main je l’installe dans le fauteuil et me place entre ses cuisses et prends son sexe en bouche, Olivier bande comme un taureau et je prends un immense plaisir à le sucer, se laissant aller sous la caresse il commence à gémir en disant :
- Oui, c’est bon, ta bouche, Leslie, est divine.
Pendant que je suce son sexe j’enlève le cockring de la base de mon gland.
Je sens monter la sève en lui, alors j’arrête ma fellation, je me relève et me positionne en levrette sur le lit, Olivier à compris, il s’installe derrière moi entre mes jambes et rentre à nouveau son sexe en moi, Olivier me sodomise à nouveau et je suis au ange le cul défoncée par ce membre large qui écarte mes chairs intimes.
Olivier va et vient dans mon anneau, je le sens vraiment excité et je pense qu’il ne va pas tarder à jouir, je resserre mon muscle anal autour de sons sexe et je me sens aussitôt envahir par une douce liqueur chaude au fond de mon conduit.
Olivier me tient fermement contre lui toujours fiché en moi, il ne débande pas, il se met à me caresser la poitrine et recommence a aller et venir en moi, je sens son souffle chaud sur ma nuque et soudain il me demande :
- Leslie, comment veux-tu jouir ?
C’est bien la première fois qu’un amant incrusté dans mon cul me pose cette question, je lui réponds :
- Comme il te plaira de me faire jouir, en me branlant en m’enculant ou en m’offrant ton petit trou.
- Tu sais Leslie, me dit-il, je ne suis pas certain d’avoir envie de me faire enculer, mais avec toi c’est différent.
- Tu es vierge, je lui demande.
- Non, mais mes amants n’ont pas été très doux et j’ai un mauvais souvenir.
Tout en conversant sur l’éventuelle sodomie d’Olivier, celui-ci continue à s’activer dans mon trou en me limant en douceur mais en cadence me donnant beaucoup de plaisir. Je sens monter en moi la jouissance d’autant qu’Olivier à prit mon sexe en main et le branle au rythme de ses pénétrations.
- Oh putain, dit-il, je vais jouir.
Une nouvelle fois je sens qu’Olivier se contracte dans mon dos et son sexe avoir des soubresauts au fond de mon intimité qu’il remplit à nouveau de sa jouissance.
Nous restons imbriqués ainsi quelques secondes, puis Olivier sort de moi et m’embrasse à pleine bouche, puis me dit :
- Tu es formidable, je suis heureux de cette rencontre.
- Moi aussi, lui répondis-je.
Je rassemble mes affaires, remet mon rosebud et me rhabille puis je dis au revoir à Olivier qui me demande :
- Reverrons-nous un jour ?
- Peut-être, mais c’est une autre histoire, lui dis-je.
En nous embrassant une dernière fois, Olivier me glisse sa carte de visite, en me disant :
- Contactes-moi quand tu veux, je viens aussitôt.

A suivre……