Yvonne Et Nadia
YVONNE ET NADIA, FORMATRICES
Le premier poste de travail que javais occupé, après luniversité et les deux années de service national, était celui de chef de service formation au sein du seul institut national de formation au management qui existait à ce moment. A lépoque, les responsables ne craignaient pas de lancer, immédiatement dans le bain de la responsabilité, les jeunes diplômés de luniversité.
Le directeur de linstitut mavait chargé de mettre sur pied une structure de formation destinée aux gestionnaires des petites et moyennes entreprises, ainsi que de recruter les formateurs chargés den assurer la formation et de monter les programmes adéquats. Aidé dun bureau détudes français, je me suis mis à luvre et rapidement jen étais arrivé au recrutement des seize formateurs nécessaires pour le démarrage. Le bureau détudes et moi (avec bien sûr lapprobation du Directeur Général de lInstitut) avions opté pour le système de formation par binômes qui devaient prendre en charge et assurer la formation de gestionnaires de PME.
Sans réellement le faire exprès, javais recruté seize jeunes diplômés de lenseignement supérieur, huit garçons et huit filles. Les binômes sorganisèrent deux-mêmes, un garçon, une fille. Il y avait les couples déjà constitués à leur recrutement: trois. Des couples qui sétaient formés par affinité : quatre. Et un couple qui sétait formé par défaut, parce que cétait tout ce qui restait. Au début, quelques problèmes liés à la promiscuité hommes/femmes sétaient produits. Deux filles avaient crée quelques zizanies à lintérieur du groupe. La première avait fait divorcer son binôme, qui était marié en dehors du groupe et lavait épousé. La deuxième avait fait divorcer son amant du moment (qui nappartenait pas au groupe) et lavait jeté par la suite sans autre forme de procès (lamant en question est par la suite devenu un romancier en renom, très connu sur les places littéraires mondiales !).
Parmi les couples constitués, il y en avait un qui était remarquable, pour ne pas dire étrange: la femme était totalement soumise aux exigences de son mari. Pour moi cette ostensible démonstration de soumission était incompréhensible de la part dune femme qui avait fait des études supérieures et qui avait, de loin, plus de compétences que son mari. Mais enfin, tant que le binôme fonctionnait et que la formation se déroulait sans à coups, je navais pas à me mêler de la vie intime du couple. La femme shabillait de manière sévère et portait des tenues strictes qui ne laissaient rien transparaître des éventuelles formes quelle pouvait avoir. Ses cheveux étaient toujours relevés en un horrible chignon retenu par une barrette noire. Elle portait daffreuses lunettes à écailles, avec de gros verres pour myopes.
Par ailleurs, elle sinterdisait de parler avec les hommes du groupe, autrement que pour des problèmes strictement professionnels. Son mari était en permanence sur son dos. Je ne crois pas lavoir vue un instant, seule et reposée. Elle paraissait tout le temps sur le qui vive ; elle se surveillait constamment. Il me semblait comprendre que son mari était très jaloux et quil pouvait devenir méchant et violent, sil lui arrivait de soupçonner que sa femme pouvait avoir un intérêt quelconque pour un autre homme. Il lui interdisait tout. Et elle acceptait tout ! Jai oublié de dire quelle se prénommait Nadia.
Yvonne, elle ne faisait pas directement partie du groupe. Je lavais recrutée par lintermédiaire dune demande de recrutement quelle mavait envoyée directement de France et à laquelle elle avait joint un curriculum vitae qui mettait en évidence un profil idéal de la formatrice. Je nhésitais pas un instant pour la recruter, bien quadministrativement, la chose était plutôt difficile. Elle rejoignit donc le groupe et sy intégra immédiatement.
Je navais flashé sur aucune des filles du groupe, si ce nest très furtivement sur une femme mariée appartenant à une société cliente de lInstitut quon avait intégrée au groupe avec un de ses collègues pour une formation des formateurs qui devaient par la suite prendre en charge la formation des gestionnaires de leur entreprise. Mais avec elle, cela avait été furtif, bien quintense. Son mari, lavait vite obligée à sortir du groupe et à retourner dans son entreprise. Il avait certainement soupçonné quelque chose.
Larrivée dYvonne changea quelque peu la donne. Sa joie de vivre était rayonnante. Très vite elle était devenue le centre naturel du groupe : nayant pas de binôme, elle était libre. Elle donnait limpression de papillonner dun binôme à lautre et de samuser à créer des jalousies auprès des femmes. Mais même comme cela, aucune des femmes du groupe ne la détestait. Je crois que toutes lui enviaient quelque chose : qui son impertinence ; qui la sympathie quelle suscitait ; qui sa gaîté communicative ; qui son intelligence et sa compétence professionnelle ; qui enfin lintérêt quelle suscitait auprès des hommes.
Dès le début, elle mavait intéressée. Je lavais souvent invitée à partager mes repas le soir dans le petit restaurant dans lequel javais lhabitude de souper après le travail, quand jétais seul. Nous étions tous les deux libres et pouvions nous permettre daller où bon nous semblait. Elle acceptait gentiment et se laissait même prendre en charge par moi. Nous discutions de tout et de rien ; surtout de politique. Elle avait de la sympathie pour la gauche communiste française et pour les idées tiers-mondistes. Nous refaisions le monde, en buvant quelques verres de bon vin et en riant aux éclats au détour dune bonne blague (souvent salace !) que je racontais ou quelle racontait.
Et puis un soir, tout naturellement, elle maccompagna chez moi, dans lappartement de fonction que joccupais alors. Tout aussi naturellement je lai prise par la main pour lemmener directement dans la chambre. Je lai prise dans mes bras pour lembrasser à pleine bouche et la basculer sur le lit. Elle se laissa faire, certainement grisée par tout le vin quelle avait ingurgité. Je mallongeais auprès delle et lui prit son visage entre mes mains. Je lobservais longuement. Ses yeux avaient perdu leur côté rieur et étaient devenus soudainement très brillants. Je lembrassais partout sur son visage, ses joues, son nez, ses yeux, son front et sur la bouche qui était ouverte et attendait son tour.
Le baiser que nous échangeâmes était tellement torride et sensuel que mon pantalon avait du mal à contenir mon sexe qui voulait quitter sa cachette. Elle savait embrasser, la coquine! Elle savait surtout se servir de sa langue pour faire monter la pression. Elle était comme une anguille, insaisissable. Elle pénétrait dans ma bouche, cherchait ma langue, la taquinait un moment, puis senfuyait en ramassant au passage une bonne rasade de salive. Elle y revenait quelques secondes plus tard pour recommencer le même manège. Je me laissai prendre au jeu et me mit à faire faire à ma langue le même parcours entre ma bouche et la sienne.
Elle frissonna légèrement quand je me mis à les lui caresser, tout doucement, à tour de rôle. Elle aimait ce genre de caresses, en douceur. Elle prit ma main pour la maintenir sur un sein et le caresser plus longuement, en commençant par le téton pointu. Gêné par ses vêtements, je lui demandai de les ôter. Ce quelle fit en un tour de main en envoyant son pull et son tee-shirt en bas du lit. Elle resta ainsi la poitrine nue, et les petits seins pointés vers le ciel. Je repris mes caresses sur un sein, tout en embrasant et tétant le deuxième. La belle était aux anges ! Elle souriait de plaisir et poussait de petits gémissements qui avaient le don de mexciter encore plus. Je nen pouvais plus, tellement la sensation que mon sexe allait éclater était forte. Je retirai ma main de son sein et allai caresser rapidement son ventre plat tout en me dirigeant vers son bas ventre. Jessayai fiévreusement de déboutonner son jean pour ouvrir la voie de son jardin parfumé. Je my pris tellement mal, quelle se chargea elle-même de lopération.
Elle alla même plus loin que mes désirs ; elle enleva totalement son pantalon et resta en culotte de soie rose. Je regardai un moment le beau spectacle de cette délicieuse femme en culotte. Je me mis à embrasser son ventre, en marrêtant un instant sur son nombril que je chatouillai légèrement avec ma langue. Elle eut un petit rire et poussa ma tête pour quelle aille soccuper de choses plus sérieuses. Je descendis pour mettre ma tête au niveau de son bas ventre et de son pubis à travers la soie de sa culotte. Elle cambra son bassin pour faire avancer son bas ventre contre ma bouche. Je descendis plus bas pour embrasser sa chatte, toujours à travers sa culotte. Elle ouvrit plus grand ses cuisses pour donner plus despace à ma tête et lui permettre de fourrager plus facilement. Dun doigt, jécartai sa culotte pour découvrir le jardin parfumé de ma belle. Ce que je vis, ma fait bander encore plus fort : une chatte légèrement poilue, toute en longueur, avec des grandes lèvres très charnues, une fente brillante de mouille qui laissait voir les deux petites lèvres dun rouge très vif et lentrée du tunnel sombre et mystérieux. Je déposai un gros baiser tout mouillé sur ses grandes lèvres et pris possession de sa vulve que jembrassai et suçai avec fureur.
Elle tortillait ses hanches et les poussait en avant dans lespoir dy faire pénétrer toute ma bouche. Elle gémissait sans cesse. Elle se mit à se caresser les tétons avec une main tout en maintenant, de son autre main, ma tête entre ses cuisses. De temps en temps, elle poussait un petit cri de plaisir quand ma langue rencontrait son clito et quelle le titillait. Sa culotte commençait à me gêner et à magacer. Je la lui enlevai presque violemment. Je levai la tête pour admirer le spectacle de sa chatte ouverte et offerte et y replongeai très vite ma bouche, pour fourrager, sucer, téter et boire son jus quelle déversait à satiété. Ma langue allait et venait dans son vagin prenant au passage du jus au merveilleux goût acidulé et salé. Sa chatte avait un parfum que je ne navais encore jamais rencontré chez une autre femme : vanillé. Je me demandai un moment si elle parfumait son sexe ou si cétait cela son odeur naturelle. Je ne poussai pas plus loin le questionnement tant jétais occupé à agacer son clitoris et quelle gigotait très fortement, tellement elle ressentait du plaisir à se faire sucer.
Je sortis un moment ma bouche de son vagin et allai à la recherche de son anus, Je le lui léchai un long moment en tentant dy introduire ma langue. Ny arrivant pas je retournai dans sa chatte et utilisa un doigt pour lui titiller en même temps lanus. Elle aima immédiatement ce que je lui faisais. Elle gémissait plus fort et montait et descendait son bassin au rythme de mes coups de langue dans son vagin et de mon doigt dans son cul. Mon doigt navait aucune peine à pénétrer et à se mouvoir dans son cul. Dévidence, il nétait pas le premier à lavoir pénétré. Elle avait dû se faire enculer souvent. Et jétais sûr quelle adorait cela. Quelles belles perspectives pour le reste de la nuit ! Elle ne tarda pas à avoir un très fort orgasme. Elle monta très haut son bassin, appuya encore plus fort sur ma tête, poussa un long râle bien sonore et déchargea dans ma bouche plusieurs giclées de son délicieux jus. Et soudain, elle relâcha tous les muscles de son corps et saffala sur le lit. Je restais un moment dans la même position, ma tête entre ses cuisses à lui lécher la vulve et à avaler goulûment sa sève. Puis je relevai la tête pour la regarder. Elle avait fermé les yeux, reprenait doucement sa respiration, un sourire béat sur la bouche. Je me levai pour mallonger près delle, lui donnant un tendre baiser sur la bouche et la serrai très fort dans mes bras. Elle ouvrit les yeux, encore brillants de plaisir et me sourit tendrement.
- Cétait très bon !» me dit-elle dans un souffle.
Je recommençai à lembrasser sur tout le visage et sur le cou. Je lui pris la main et alla la poser sur mon sexe qui voulait sortir et aller à la conquête de la belle. Elle eut un léger mouvement de recul devant les dimensions de lengin ; je la forçai à le palper; ce quelle fit tout doucement dabord, puis de plus en plus fort, tirant de moi des gémissements de plaisir. Elle savait sy prendre pour masturber un homme, la cochonne ! Me dis-je en moi-même. Au bout dun moment, ny tenant plus, je lui demandais de le sortir du pantalon et de le sucer. Elle déboutonna mon pantalon avec adresse et me lenleva pour lenvoyer rejoindre ses habits à elle, à côté du lit. Elle admira un moment lengin, fit la remarque quil allait lui éclater le vagin et le mit dans sa bouche. Sa grande bouche ne semblait éprouver aucune difficulté à avaler totalement le monstre. Elle connaissait parfaitement la technique pour lenfoncer dans sa gorge, sans éprouver lenvie de vomir, le faire ressortir jusquà lentrée de la bouche en le caressant au passage avec sa langue et à le replonger dans sa gorge.
Elle ne mit pas longtemps pour me faire jouir longuement dans sa bouche. Je déversai une quantité inouïe de sperme au fond de sa gorge, quelle avala totalement. Je ne crois pas quelle aimait réellement la fellation et ses conséquences, mais elle savait sy prendre et donner le maximum de plaisir avec sa bouche. Elle reprit mon sexe dans sa main et se mit à le titiller pour lui faire reprendre de la vigueur. Au bout de quelques secondes il était dressé à la verticale comme la hampe dun dau.
- Baise-moi ! me dit-elle en sallongeant sur le dos, les genoux relevés posés sur sa poitrine et la chatte et lanus totalement découvert.
Jétais tenté de lenculer avant de la prendre par devant. Mais je lus dans ses yeux quelle voulait que je la prenne par la chatte. Je me mis à genoux entre ses cuisses, positionna mon gourdin et dun coup de reins brusque je lenfonçais jusquau fond.
- Aie ! Tu mas fait mal ! Dit-elle en riant.
Son vagin était bien lubrifié, chaud et accueillant. Il était largement ouvert. Cétait sûr quil avait beaucoup servi. Mais il était si accueillant et si doux ! Mon engin sy trouvait bien. Il allait et venait en frottant très fortement sur les parois, tirant chaque fois de la belle un petit cri de plaisir. Jaccélérais le mouvement quelle accompagnait par un mouvement analogue de son bassin.
Elle voulait jouir rapidement, tandis que moi, je voulais faire durer le plaisir. Au moment où je sentais quelle allait décharger, je ralentissais le rythme des allers-retours de mon sexe et elle était obligée de refouler sa jouissance. Je lui dis que je voulais quelle ait une jouissance très forte, plus forte que la première. Je repris le pilonnage de son vagin et cette fois-ci, jy ajoutai un mouvement de basin circulaire qui fit quaucune partie de son vagin néchappa plus au frottement. Elle sentit la différence et se mit à gémir plus fort. Elle sadapta instantanément au nouveau rythme et fit faire à ses hanches le même mouvement circulaire, en sens inverse. Notre plaisir était ainsi multiplié par deux. Jahanais en même temps que je la tirai ; ses gémissements se transformaient petit à petit en râles. Nous étions chacun dans notre monde, à lécoute de notre jouissance que lon sentait arriver comme un torrent. Ni elle, ni moi, ne voulions plus la retenir. Elle arriva chez elle accompagnée dun long râle, dune respiration saccadée et dun flot de jus qui se déversa dans son vagin et sur mon sexe.
Chez moi, ce fut une explosion de foutre dans son vagin qui arriva en plusieurs vagues successives. Je criai quelle était bonne ! Quelle baisait divinement ! Quelle savait faire jouir un homme ! Que mon zob adorait sa chatte ! Quil fallait quon recommence tout de suite après ! Je jouissais en parlant. Elle, elle jouissait en silence. Tout le temps quavait duré notre relation, je ne lavais jamais entendue parler pendant quon faisait lamour. Ni pour minviter à lui faire quelque chose de précis ; ni pour crier quelle aimait ou quelle adorait ce que lon était entrain de faire. A la fin dun coït, elle pouvait avoir un commentaire du genre « cétait bon ! » sans plus. Cela ne me gênait pas, dautant que jétais sûr quelle aimait faire lamour avec moi et quelle en tirait de profondes jouissances et des orgasmes très forts. Cétait une simple remarque que je me faisais quand je la voyais jouir. Même quand je lai enculée la première fois, elle avait crié son plaisir et elle avait joui très fort, mais navait pas prononcé un mot pour me dire quelle adorait cela. Elle jouissait et cela lui suffisait.
Elle est restée avec moi tout le temps qua duré le projet : trois ans. Son contrat étant venu à expiration, elle avait dû quitter le pays pour aller travailler à Paris pour le bureau détudes qui nous accompagnait. Jai de temps en temps de ses nouvelles. La dernière fois, quand elle mavait invité à la présentation dun livre quelle avait écrit pour raconter son expérience professionnelle en Algérie. Elle mavait même dédicacée le livre avec une phrase gentille « au mentor qui ma accompagnée et soutenue tout au long de cette expérience ! ».
Tout le temps quYvonne était avec moi, je navais pas eu beaucoup daventures amoureuses. Par contre celle que javais eue avec Nadia mavait réellement secoué, tant elle était inattendue et forte. Son mari, malgré lassurance quil mavait donnée au moment de son recrutement quil allait être dispensé des obligations du service national, avait été appelé sous les daux et laissa son binôme seul deux années entières. Javais dû le faire remplacer par Yvonne et javais crée ainsi le seul binôme non mixte du groupe. Cela arrangeait son mari qui était rassuré quant à la fidélité de sa femme. Le binôme devait prendre en charge une opération de sélection de candidats à la formation qui devait se dérouler dans la ville dOran. Tout était organisé pour que la sélection se déroule sur deux jours. Les billets davion étaient pris, les candidats convoqués. Ce fut alors que le grain de sable apparut. Yvonne devait partir en urgence en France pour aller au chevet de sa maman malade. Personne pour la remplacer à Oran. Tous les autres formateurs étaient pris. Il ne restait plus que moi. Contraint et je me résolus à laccompagner et à remplacer Yvonne au pied levé. Professionnellement, cela ne me posait aucun problème; cétait le fait de passer deux journées complètes avec Nadia qui me gênait un peu.
Nous fîmes donc le voyage ensemble ; elle dans sa tenue stricte, avec ses lunettes et son chignon. Moi, faisant semblant dêtre à laise avec elle, alors que cétait tout le contraire qui se passait. Nous fûmes accueillis à Oran par le responsable de lantenne de lInstitut qui nous amena directement au grand hôtel de la ville et nous y laissa, en nous donnant rendez-vous pour le lendemain matin pour les travaux de sélection. Nous prîmes chacun notre chambre et nous nous donnâmes rendez-vous une demi heure plus tard au salon de lhôtel pour étudier les dossiers des candidats que, moi, je navais pas eu le temps de regarder.
Une demi heure après jétais dans le salon attendant Nadia, pressé den finir avec les dossiers pour aller manger et peut être sortir en ville pour prendre un pot. Jattendis un peu, puis vis arriver de loin une splendide plante qui venait vers moi. Elle portait une tenue légère faite dun chemisier en soie presque transparent qui laissait voir un soutien gorge à balconnet de couleur sombre et une jupe qui sarrêtait au dessus des genoux, quelle avait ronds, blancs et brillants. Les jambes, elles aussi très blanches, étaient superbes, longues, avec des mollets bien galbés qui donnaient envie de les caresser. La démarche était ondoyante et provocante. Jeus tout de suite envie de tirer cette femme.
Elle vint sasseoir en face de moi avec un sourire moqueur sur les lèvres. Je mis un temps fou pour reconnaître Nadia, totalement métamorphosée. Jen étais resté la bouche ouverte détonnement. Ma surprise devait se lire sur mon visage et lui tira un petit rire de satisfaction.
- Je te plais ! me dit-elle tout de go.
Je nétais absolument pas préparé à ce qui se passait là et à ce qui allait obligatoirement se passer, compte tenu du tutoiement quelle navait jamais utilisé auparavant et de sa tenue aguichante.
- Oui ! » lui répondis-je dune voix mal assurée.
Elle était profondément enfoncée dans le fauteuil qui me faisait face, sa jupe relevée à mi cuisses, les genoux légèrement écartés pour offrir à mes yeux ébahis un panorama de rêve. La blancheur de sa peau sous sa jupe de couleur sombre était dun érotisme absolu. Je ne pouvais quitter du regard ces cuisses blanches et luisantes, légèrement ouvertes qui laissaient entrevoir sa culotte de soie noire. Je me mis à bander comme un âne !
Elle nétait nullement gênée par la situation ; elle semblait même apprécier mon émoi.
- Tu me trouves belle et désirable, nest-ce pas ? Dis moi que je te plais et que tu veux me sauter, là tout de suite !
Si je mattendais à celle-là ! Jétais là comme un idiot, devant une femme superbe, les jambes écartées, me montrant sa culotte et me demandant si je ne voulais pas la sauter, sans que je ne sache quoi lui répondre !
- Oui, tu me plais et je veux te sauter là tout de suite ! Dis-je en évitant son regard moqueur.
- Viens tasseoir à côté de moi ! Je ne peux pas rester longtemps dans cette position, sinon tous les hommes de lhôtel vont accourir pour mâter le spectacle !
Je me levai péniblement en essayant de cacher avec une main la monstrueuse excroissance que faisait mon sexe sur mon pantalon, et allai masseoir à côté delle, sur le grand fauteuil. Elle me prit la main pour la porter à sa bouche et y déposa un léger baiser. Je ne savais plus quoi penser. Et puis elle se mit à parler de sa voix douce, qui plaisait tant à ses stagiaires.
- Je sais que tu es étonné de me voir ainsi, habillée comme une pute et parlant comme une pute ! Tu ne reconnais que la madame X, donnant une image delle totalement soumise à son mari, complètement effacée et tremblante devant lui. Je sais que cest cette image que tout le monde a de moi. Je sais aussi que tu sais que professionnellement cest moi la plus compétente des deux. Mon mari ne marrive pas à la cheville ! Tous mes stagiaires me lont dit et répété. Pourtant je continue de vivre dans son ombre. Je lai beaucoup aimé et je lai épousé malgré le refus de mes parents. Ils mont pratiquement renié depuis mon mariage. Il ne me reste plus que lui comme famille. Malheureusement, mes parents avaient raison quant au comportement de mon mari. Il est devenu maladivement jaloux. Il ne peut pas supporter quun homme me regarde et ait envie de moi. Jai beau le rassurer que je naime que lui, quaucun autre homme ne présente dintérêt pour moi, il na jamais pu accepter les regards concupiscents des hommes. Cest vrai que jai un corps qui attire les regards malsains et les remarques insanes. Jai toujours fait bander les hommes qui croisaient mon chemin!
-
. (ne sachant encore à quoi men tenir, je ne disais rien, sinon la regarder avec des yeux interrogateurs.)
- Jai donc décidé de cacher mes appâts dans des tenues strictes et de menlaidir pour le rassurer. Tu as vu le résultat ! Mais même comme cela, il nest pas rassuré et me soupçonne toujours davoir des désirs cachés pour dautres hommes. Même aujourdhui, à des centaines de kilomètres dici, dans sa caserne, il doit penser que je suis entrain de le tromper. Et bien, cest ce que je vais faire avec toi. Tu me plais vraiment ; tu sembles fort et viril et surtout tu es un homme discret. Je ne sais pas si tu as compris que jai monté cette histoire de toutes pièces avec Yvonne. Sa mère na absolument rien ! Elle voulait simplement aller la voir et me laisser seule avec toi ! Ça ten bouche un coin ! Nest-ce pas ! Et ce nest pas fini, quand tu sauras quYvonne et moi nous sommes ensemble depuis longtemps, depuis quelle est arrivée dans le groupe ! Elle avait tout de suite remarquée que je navais rien à voir avec limage que je donnais de moi. Je lai invitée à la maison en labsence de mon mari ; elle ma déshabillée et ma découverte comme je suis réellement. Elle a bandé pour moi ; jai bandé pour elle et nous sommes devenues amantes. Tu ne savais pas quYvonne était bisexuelle ? Et moi aussi ?
Jallais de surprise en surprise. Je nétais pas choqué quYvonne soit bisexuelle, ni que Nadia le soit aussi. Il y a longtemps que ce genre de pratique ne me choque plus. Mais lapprendre de cette manière avait de quoi menlever bien des certitudes. Yvonne mavait mis purement et simplement Nadia dans les bras, pour que je fasse lamour avec elle, quelle mapprenne sa bisexualité et quelle me partage avec elle ! Cest tout ce programme que javais du mal, pour le moment à digérer.
- Il est temps daller manger ! » dis-je à Nadia, décidant ainsi darrêter la discussion et de prendre le temps de réfléchir un peu.
Elle me prit la main et la garda dans la sienne tout le temps que nous marchâmes vers le restaurant de lhôtel, comme des amoureux. Elle ne la lâcha quune fois installés à une table. Nous commandâmes très vite; mangeâmes tout aussi vite, tout en nous observant en silence. Le sourire moqueur quelle avait sur les lèvres depuis quelle mavait rejoint au salon, ne la quitta pas une seconde. Nous repartîmes du restaurant comme nous y étions venus, main dans la main.
Chemin faisant, elle me dit à loreille :
- Dans ta chambre ou dans la mienne ?
- Dans ma chambre, répondis-je sans hésiter, croyant naïvement que dans ma chambre, je retrouverais la direction des évènements.
- Que nenni ! Elle continua à mener la barque à sa guise.
Dès que jeus refermé la porte de la chambre sur nous, elle sauta sur moi et se mit à membrasser comme une folle. Partout sur le visage, les joues, les yeux, le front et sur la bouche. Ses baisers étaient brûlants et fiévreux. Javais limpression de fondre sous sa bouche, tellement elle était chaude. Tout le temps quelle membrassait, sans me laisser lopportunité de faire quoi que ce soit, elle parlait dune voix saccadée et rauque, où le désir le disputait à lenvie de sexpliquer sur son comportement.
- Tu me plais ! Tu es un vrai homme ! Yvonne ma beaucoup parlé de toi et de tes performances au lit ! De ce que tu fais aux femmes ! De ce que tu aimes quelles te fassent ! Chaque fois quelle me parlait de toi, jétais obligée denlever ma culotte tellement elle était mouillée ! Je veux que tu me baises, comme tu baises Yvonne, mieux que tu baises Yvonne, parce que je suis plus belle quelle ! Je veux monter au ciel avec toi ! Et je voudrais tant que mon mari me voie comme cela dans tes bras ! Je voudrais quil me voie entrain de jouir comme une folle avec toi ! Quil en crève de jalousie !
Je ny tenais plus ! Je décidais de reprendre la situation en main et en un tour de main Nadia était nue comme un ver, debout devant le lit ! Mon Dieu quelle était belle ! Cétait véritablement une bombe sexuelle : toute en rondeurs, avec les dimensions de la perfection : des seins magnifiques hauts perchés sur sa poitrine et tendus vers lavant avec les tétons marrons pointant vers le ciel ; un ventre plat avec, au milieu, un mignon petit nombril, superbement dessiné ; des cuises musclées et fermes toutes en rondeur, des genoux ronds et lisses appelant les caresses ; des fesses rondes et bombées, relevées comme celles des africaines ; des hanches étroites ; des épaules larges et musclées, rondes, lisses et brillantes. Le tout donnant une forte impression de douceur de la peau et de fermeté de la chair. Rien quà la regarder, je bandais à en faire craquer mon pantalon. Ny tenant plus, je me déshabillais très vite et me retrouvait nu comme un ver devant elle. Nous étions là à nous regarder et à nous admirer lun lautre, attendant celui ou celle qui ferait le premier pas. Ce fut elle que se rapprocha de moi pour prendre possession de mon sexe, le caresser et le branler à me faire mal.
- Il est magnifique ! Je vais me régaler avec !
Elle se mit à genoux pour lembrasser et le sucer. Je la fis se relever. Je ne voulais pas quelle me suce ; je voulais la sauter là tout de suite; pour mon plaisir dabord. Je le lui dis. A mon grand étonnement elle accepta et se mit en position pour que la prenne à la levrette. Elle se mit à quatre pattes en travers du lit, les fesses très haut placées pour être à la hauteur de mon sexe. Je lui écartais les grandes lèvres et fit entrer un doigt dans son vagin pour en tester lhumidité. Elle était déjà totalement mouillée. Je ne cherchai donc pas à la mouiller davantage. Je plaçais mon membre tendu comme une perche sur la fente de sa chatte et sans plus attendre je me mis à la tirer comme une brute, sans précaution aucune, en ahanant comme un bûcheron. Elle ne dit rien un moment et puis dun coup elle se mit à gémir fort. Je lui dis de ne pas trop crier sinon on allait ameuter tout lhôtel. Elle sen foutait totalement ! Elle continuait à gémir pendant que je lui bourrais sa chatte.
- Baise-moi plus fort ! Encore plus fort ! Démolis-moi le vagin ! Jaime ta queue ! Elle est forte ! Elle est énorme ! Elle est faite pour me baiser moi, rien que moi ! Ejacule en moi tout ton foutre ! Fais-moi un !
Et tout dun coup, elle déchargea très fort en râlant. Elle remplit son vagin de jus qui dégoulina à lextérieur. Je continuai à la tirer de plus en plus fort. Je lui criai que jallais la faire jouir encore une fois et que plus jamais elle noffrira sa chatte à quelquun dautre. Je lui attrapais un des seins que je me mis à pétrir en même temps que je continuai à lui fourrer la chatte. Le geste fit renaître du désir en elle et elle se remit à gémir et à bouger son bassin pour accompagner mes coups de reins. Elle tournait ses hanches pendant que je faisais entrer et sortir mon membre dans sa chatte. Au bout dun tout petit moment, je sentis que jallais exploser en elle et accélérai le mouvement pour la faire jouir en même temps. Le torrent de sperme, trop longtemps contenu, se déversa en de fabuleux jets dans son vagin, pendant quelle aussi déchargeait en force. Je bavais de plaisir sur son dos ; elle bavait elle aussi, mais sur le lit. Je la renversai pour lavoir face à moi et lembrassai fortement sur la bouche tout en lui prenant les seins dans mes mains et les pétrissant.
- Maintenant tu peux me sucer lui dis-je ! Je vais te remplir de sperme cette nuit ! Je ten mettrai dans la bouche, dans le cul, dans le vagin, sur tout le corps ! Tu aimeras ça ! Que dis-je ? Tu adoreras ça !
- Oui ! Tout ce que tu voudras ! Mais avant je veux faire quelque chose que jai toujours voulu faire devant un homme : me masturber alors quil me regarde ! Tu veux ?
Avant même que je ne réponde, elle posa sa main sur sa chatte et se mit à se masturber vigoureusement en regardant mon sexe, à qui le spectacle avait redonné de la vigueur. Elle faisait entrer deux doigts à lintérieur de son vagin et leur fit faire des mouvements de va et vient à une allure de plus en plus rapide. Elle me regardait maintenant dans les yeux, cherchant à y lire le désir que javais delle. Elle me souriait pendant quelle continuait de se caresser. Tout à coup je vis ses lèvres sétirer et se pincer et devenir toutes blanches, ses yeux se voiler, tous les muscles de son visage se tendre et le tout se relâcher subitement dans un râle de jouissance. Un flot de salive sortit de sa bouche en même temps que ses gémissements se faisaient de plus en plus inaudibles. Elle arrêta de se caresser, me lança un sourire éclatant et me tendit sa main pour que je la lèche. Je la lui léchai goulûment. Jadorais le goût salé de ses sécrétions.
- Tu dois me prendre pour une folle ou une malade ! me dit-elle. Cest vrai que jai des fantasmes bizarres; celui là en est un que ne je pouvais réaliser quavec un homme comme toi, très large desprit! Mes autres fantasmes sont plus classiques, si on veut dire ! Jaimerais baiser avec deux hommes membrés comme toi ! Celui-là je sais quun jour je le vivrais ! Probablement pas avec toi, parce que je sais que tu naimes pas partager ! Jaimerais te partager avec une autre femme ! Et cela je sais que ça arrivera au moins avec Yvonne ! Mais mon fantasme le plus cher, cest de me faire baiser par toi, devant mon mari, pour me venger de toutes les misères quil ma faites et quil me fait encore !
Plus je lécoutais et plus le temps passait et plus je découvrais en elle des facettes inconnues qui mouvraient des perspectives érotiques extraordinaires. Je me disais en moi-même « pauvre mari qui passe à côté dune telle femme ! ». Cette nuit là, la nuit qui suivit et les trois autres de rab que nous nous accordâmes, avaient été torrides et merveilleuses. Nous rentrâmes à Alger, en ayant bâclé le travail pour lequel nous étions partis, mais follement heureux et en nous promettant de trouver un stratagème pour nous revoir et reprendre nos amours là où nous les avions laissées. A Alger elle reprit sa tenue de fille sage et se comporta en public avec moi comme elle le faisait auparavant, avant notre aventure oranaise.
Avec Yvonne, à qui javais tout raconté et qui était contente du coup quelles avaient monté ensemble, nous nous arrangeâmes pour nous retrouver de temps en temps, la journée, chez elle, dans son studio. Nous fîmes ménage à trois, pendant plus dune année et demi, jusquau retour définitif de son mari de larmée et jusquà la naissance dune petite fille, quelle disait être de moi. Elle resta encore un temps avec son mari, eurent deux autres s ensemble, et puis un jour elle décida de tout plaquer et de divorcer. Elle prit ses s, quitta son mari et alla sinstaller dans sa ville natale. Elle y enseigne, aujourdhui encore, à luniversité. Elle a quitté sa tenue de fille sage pour une tenue plus séante, qui mettait en valeur sa beauté et la rendait attirante. Elle vit actuellement avec un homme, plus jeune quelle, mais dont on dit quil est fou amoureux delle.
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