Chaude Partouze
Jai longtemps travaillé avec une collègue de quelques années plus jeune que moi, mariée elle aussi, très chaude et très salope.
Dailleurs, lorsque nous avons commencé à sortir ensemble, elle ma avoué quelle avait toujours trompé son mari, avec ses
différents employeurs principalement. Elle venait travailler dans des tenues très affriolantes : jupes amples et transparentes, pas
de soutien gorge. Elle était blonde, un peu menue, très bien faite, la chatte totalement épilée. Comme son bureau était juste en
face du mien, elle samusait à mexciter en me dévoilant ses cuisses et des petites culottes. Elle mavait bien attiré dans ses filets
et lorsquun jour, alors que je ne my attendais pas, elle membrassa à pleine bouche dans un local attenant à nos bureaux, elle
comprit que je deviendrais son amant attitré. Ce que je fus effectivement pendant trois années pleines. On baisait tous les matins
en arrivant les premiers au travail, parfois nous allions à lhôtel entre midi et 14h (Formule 1 où nous croisions parfois des
couples sur le parking qui nous regardaient avec un air complice). Il nous arrivait de partir tous les deux en voiture pour le travail
et là, je ne faisais que la caresser et souvent, il fallait nous arrêter dans un endroit tranquille pour baiser à fond. Je suis un
homme aujourdhui de 53 ans, très chaud et vicieux, qui adore le sexe et qui ai toujours multiplié les aventures extraconjugales :
maîtresses, exhibitionnisme et voyeurisme, expériences bi nombreuses, etc. Jétais aux anges avec Christine qui adorait sucer, se
faisait baiser dans toutes les positions et aussi enculer. Et qui adorait mexciter avec des jolies tenues (petits sous-vêtements,
jupes courtes, bottes en hiver, etc.).
Avec elle, nous avons fait de lexhibitionnisme un soir dans un lieu que les Toulousains voyeurs et exhibitionnistes connaissent
bien (Pech-David) et elle sétait faite branler et sucer par de nombreux hommes (tout en me suçant et en mavalant deux fois de
suite).
(Chantal) mariée mais très salope également, qui avait un amant depuis 4 ans, Fabrice. Eux aussi avaient envie dune expérience
échangiste et nous avions dialogué un bon moment en nous chauffant bien à distance. Nous avons donc fixé un rendez-vous :
un après-midi dans un hôtel (Campanile) de la périphérie toulousaine. La femme était grande et mince et lhomme plus petit
quelle mais bien fait. Christine était vêtue dune petite jupe qui lui arrivait à mi-cuisses, je lui avais demandé de ne pas mettre
de culotte. Une fois arrivés dans la chambre, Fabrice et moi avons commencé à caresser nos maîtresses respectives. Il a fait
remonter la jupe de Chantal qui a dévoilé une adorable petite culotte bleue, de très jolies cuisses et un beau petit cul et lorsquils
ont vu que Christine ne portait rien sous sa jupe, ils ont commencé à la caresser. Puis nous nous sommes mis à quatre sur le
grand lit et avons baisé chacun notre maîtresse. En fait, ce jour-là, nous ne nous sommes pas beaucoup mélangés. Fabrice avait
une très belle queue et il remplissait Chantal très bien, par tous les trous. Elle la sucé longuement, puis elle sest faite baiser
dans toutes les positions (elle avait un coup de rein extraordinaire, une grande salope !), puis enculer à fond. Elle lui criait : « tu
me fais mal, salaud. Défonce-moi ! ». Moi, tout en baisant Christine et en me faisant sucer par elle, je branlais Chantal et lui
caressais les seins. Mais cette salope était insatiable et si elle ne voulait pas que je la pénètre, elle vint me sucer à un moment, en
me mettant sur le dos, les bras en croix quelle maintenait fermement plaqués sur le lit et en mavalant la bite jusquaux couilles.
Elle continua ce va-et-vient pendant un bon moment jusquà ce que je me vide tout dun coup dans sa bouche.
nen perdit pas une goutte puis elle se retourna vers son amant, la bouche pleine de mon foutre et lembrassa goulûment. A un
autre moment, tandis quelle était assise sur Fabrice et se faisait bourrer le cul par lui, je vins lui tendre ma bite à hauteur de sa
bouche et elle me resuca, mais pas à fond cette fois. Chrsitine nous regardait et se branlait pendant ce temps. Elle est très docile
et javais envie de baiser devant elle. A un moment, les deux femmes se sont caressées et sucées. Fabrice et moi étions très
excités et voulions les caresser mais Chantal nous a dit : « pas touche. Juste les femmes entre elles ». Cest là que je vis que
Christine était bi également. Je lui ai avoué ensuite que moi aussi et raconté certaines de mes aventures homo et comment je
trouvais les mecs (aires dautouroute, réseaux téléphoniques, etc.).
Nous avons baisé tout laprès-midi puis sommes rentrés chacun chez soi. Je nai eu que le temps de prendre une douche avant
que ma femme ne rentre et denlever les cheveux blonds de ma belle maîtresse quelle avait lhabitude de laisser un peu partout
dans mes habits (jusque dans mon slip !).
Jai vécu 3 années de bonheur avec Christine jusquà ce que je sois obligé de quitter Toulouse pour des raisons professionnelles.
Nous nous sommes alors perdus de vue. Jai bien tenté de la revoir, même si javais à ce moment-là une autre maîtresse avec qui
je suis resté deux ans, mais je pense quelle a dû me remplacer depuis.
Jaimerais retrouver ces sensations extraordinaires de linterdit et des tabous totalement dépassés. A bon entendeur et «
entendeuse »
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