La Mere Et Ses Deux Filles ; 3Ème Partie: Feriel, La Deuxième Fille
LA MERE ET SES DEUX FILLLES
Troisième partie
FERIEL, LA DEUXIEME FILLE
Le ménage à trois dura un certain temps. Tout le temps que jétais présent dans le duplex, je réservais les nuits à Dalila et les matinées à sa mère. Comme je voyageais beaucoup pour mon travail, je noccupais le logement que la moitié du temps. Mais cette moitié de mon temps, je la vivais pleinement avec mes deux amantes. Les nuits, je laissais ma jeune étudiante me raconter ses fantasmes et les vivre pleinement avec moi, prenant toujours plus de plaisir ; et men donnant autant. Les matinées, cest la maman, qui venait me réveiller (pendant que sa fille allait à luniversité pour ses cours), me préparer un copieux petit déjeuner, me le servir au lit et transformer ce dernier en champ de bataille pour amoureux.
Cest à loccasion dune de nos mémorables séances damour torride, quest apparue dans ma vie la deuxième fille de Fahima. Celle-ci, qui sappelait Feriel, avait deux ans de moins que sa grande sur. Elle était maintenant en dernière année de lycée et préparait un bac sciences. Elle était plus petite que Dalila, environ 1,65 mètre, plus mince, avec un joli petit minois tout rond et très expressif. Elle avait de grands yeux noirs, quà son âge, elle maquillait déjà de manière experte, pour accen la profondeur du regard. Elle avait un regard troublant, mi rieur, mi sérieux et parfois provocant. Sa bouche était beaucoup plus petite que celle de sa sur. Les lèvres étaient pleines, ourlées et fermes. Tout comme sa sur, elle ne fermait jamais totalement sa bouche. Elle gardait ses lèvres légèrement entrouvertes et faisait sortir assez régulièrement le bout de sa langue pour les humecter. Ce geste, probablement inconscient, était chargé de sensualité. On aurait cru quà chaque fois quelle le faisait, elle pensait à des choses érotiques qui lexcitaient.
Ses cheveux étaient très noirs, mi long et très fortement bouclés, comme cétait la mode en ce temps là.
Je lavais rencontrée plusieurs fois, mais je navais encore jamais flashé sur elle. Elle était encore trop jeune quand javais fait la connaissance de sa grande sur. Dautre part javais lesprit accaparé par mes relations avec Dalila et Fahima qui avaient longtemps suffi à mon bonheur. Cétait la manière dont notre première rencontre érotique sétait déroulée qui avait tout déclenché. Cétait un matin ; il devait être neuf heures et je venais dêtre réveillé par Fahima qui, comme à laccoutumé, mavait préparé et ramené un copieux petit déjeuner au lit (elle lavait aussi préparé pour Dalila qui lavait pris dans la cuisine, avant de partir pour luniversité). Je mangeais doucement tout en regardant Fahima, qui me regardait aussi.
Ce fut au moment où elle était agenouillée par terre devant moi, entrain de sucer goulûment mon pénis, quapparut sur le seuil de la chambre Feriel, toute essoufflée et ébouriffée (elle avait dû monter tous les étages à pieds) nous surprenant dans cette position pour le moins gênante. Je laperçus au moment même où elle sengagea dans la chambre et sarrêta nette (je sus par la suite que son école avait fait grève et quelle avait donc décidé de revenir à la maison pour y travailler son bac ; comme elle navait pas les clés de la maison, elle savait où trouver sa maman pour les récupérer). Un instant je fus pris de panique : javais peur du scandale et de la détérioration des relations mère/fille. Fahima qui ne se doutait de rien, continuait méthodiquement son travail daspiration de ma queue. Je pris sa tête entre mes mains pour lempêcher de se retourner et de voir sa fille ; je fis semblant de laider dans le mouvement de va et vient que faisait sa bouche sur mon membre, dont la raideur navait pas souffert de lapparition de Feriel.
Au lieu de crier, hurler ou senfuir, Feriel était restée là debout, à regarder la scène. Cela ne semblait pas la troubler outre mesure ; elle devait bien sûr connaître la nature nos relations, entre sa maman et moi. Elle regardait la scène, sa maman les fesses en lair et la bouche pleine dune queue de dimension respectable et moi debout devant elle me faisant sucer avec délectation.
Mon excitation était à son paroxysme. Je me mis à faire moi-même le mouvement de va et vient dans la bouche de ma maîtresse. Fahima comprit très vite que javais très envie déjaculer et se servit de sa langue et de sa main pour tiller mon gland à chaque fois quil revenait à leur niveau et forcer ainsi léjaculation. Cétait trop bon la maman qui suce comme une déesse, la fille qui regarde silencieuse mais participe par la pensée à lacte et moi qui allait avoir un immense orgasme, que mentalement, je dédiais à Fériel.
Je continuais à garder la tête de ma maîtresse serrée entre mes mains pour quelle ne se retourne pas et lançais un regard suppliant à la fille, pour quelle quitte la chambre. Elle me fit un sourire coquin et quitta la chambre en ondulant son petit cul bien serré dans son jean, pour mexciter encore plus. Je relâchai létreinte de mes mains sur la tête de Fahima et la fit se lever. Elle ne sétait doutée de rien. Feriel revint quelques minutes après ; cette fois ci, elle sonna à la porte dentrée (qui était bien sûr ouverte), attendit quelques secondes et louvrit elle-même en appelant sa maman. Elle la trouva sur le seuil de la chambre, ayant remis un peu dordre à sa tenue. Elle lui demanda les clés de lappartement et sen alla sans un regard pour moi. La maman ne tarda pas à la rejoindre.
Je mis beaucoup de temps à me calmer ; à calmer mon excitation pour cette fille qui se mit depuis à occuper totalement mon esprit ; même quand jétais avec sa grande sur ou avec sa maman. Il fallait absolument quelle mappartienne ! Mon instinct de prédateur sétait réveillé. Je me mis à échafauder toutes sortes de plans, plus biscornus les uns que les autres, pour la séduire et lamener à mappartenir. Jai fini par me dire que le plus simple était de demander à sa maman de me loffrir, comme elle mavait déjà offert (vendu ?) Dalila. Un matin que lon venait de faire lamour (moins bien que dhabitude, par ma faute, tant mon esprit était plein de Feriel) je lui ai susurré à loreille :
- Je veux que tu me fasses un superbe cadeau, qui prouvera ton amour pour moi !
- Tout ce que tu veux ! me répondit-elle.
- Feriel ! lui dis-je dans un souffle.
Elle en fut estomaquée et resta longtemps silencieuse, certainement à réfléchir à la réponse cinglante quelle allait me faire. Et puis au bout dun moment, elle me dit :
- Pourquoi Fériel ? Dalila et moi ne te suffisons plus ?
Je ne savais plus quel argument lui donner ; lui dire la vérité ? Lui inventer une quelconque histoire de besoins physiologiques ou psychologiques ? Finalement je lui dis que depuis que je lai vue lautre jour dans lappartement, je narrivais pas à la faire sortir de mon esprit et que même mes relations avec elle et Dalila commençaient à sen ressentir.
- Même quand je baise avec toi et avec Dalila, elle est toujours présente !
Au début, elle ne voulait rien entendre : elle mavait même proposé de moffrir une très jolie fille qui venait demménager avec ses parents dans un appartement voisin.
- Une jeune vierge, très sensuelle dont le rêve est de se faire dépuceler par un homme comme toi, riche et généreux.
- Cest Feriel que je veux, personne dautre pour le moment ! lui assénai-je, avec violence.
Finalement elle comprit que rien ne me fera changer davis, pas même la menace quelle et Dalila (quelle me menaça de mettre au courant) me quittent. Environ un mois après lévènement, elle arrêta de bouder ; visiblement elle avait parlé avec Feriel et celle-ci laurait convaincu que la situation lui convenait totalement ; que je lui plaisais et quelle était daccord pour me partager avec elle et Dalila. Cest du moins ce que je compris de lexposé touffu quelle me fit dont je ne retins que ceci : elle était daccord pour me faire le cadeau que je lui demandais ; cela lui coûtait beaucoup et cétait la preuve irréfutable de son amour pour moi. Elle me dit bien sûr de ne pas informer, pour le moment, Dalila. Jacceptai avec empressement et nous nous mîmes à échafauder un plan pour que Fériel vienne passer la nuit avec moi à un moment où Dalila serait absente.
Cette situation se présenta quelques jours plus tard ; Dalila devait passer la nuit chez une copine étudiante pour réviser avec elle les examens de fin de semaine (en réalité elle venait de tenter une expérience homosexuelle avec cette copine et elle y avait pris goût : le prétexte des révisions nous arrangeait tous les deux). Feriel se présenta chez moi en début de soirée. Je ne lavais plus revue depuis lépisode de la fellation avec sa mère. Elle était toujours la même : elle ne semblait pas impressionnée, ni même gênée par la situation. Elle était habillée de la même manière que ce fameux matin (cétait peut-être fait exprès pour me rappeler lépisode et maintenir la pression sur moi). En fait, je crois que cétait moi, le plus gêné des deux ; javais un peu honte de moi. Mais sa vue, le souvenir qui me restait delle entrain de mimer une fellation, la jouissance qui sen suivit aussi bien pour elle que pour moi, commençaient à réveiller mes sens.
Je lui pris la main et la fit entrer dans lappartement sans un mot. Je la fis avancer devant moi pour admirer sa démarche ondulante et sa croupe de petite pouliche. Elle était super bandante, même habillée comme cela: jean serré et chandail ample. Je la fis asseoir sur le divan et pour me donner un peu de contenance, je lui proposai une boisson. Elle fit non de la tête et me fit signe de mavancer vers elle ; ce que je fis sans comprendre où elle voulait en venir. Quand jarrivais à sa hauteur elle posa sa main sur mon pantalon à hauteur de lentrecuisse et commença à caresser mon sexe, qui jusque là était resté très sage. Au contact de sa main ma queue commença à sémouvoir et à grossir. Très rapidement elle atteint sa dimension dérection qui fit une bosse volumineuse au niveau de la braguette.
- Je veux voir ton zob ! » dit-elle dans un souffle.
Mais au lieu dattendre que jouvre moi-même la braguette, elle entreprit de défaire ma ceinture, dégrafer les boutons de mon pantalon, ouvrir la braguette, abaisser le pantalon et le slip sur mes genoux et mettre à lair libre mon énorme bite qui se dressa immédiatement à la verticale. Elle faisait tout cela avec des gestes nets et précis, sans aucune hésitation, comme si elle avait fait cela toute sa vie. Mon excitation était à son comble. Elle prit ma queue dans sa petite main et se rendit compte quelle narrivait pas à lentourer.
- Je me demande bien comment elle pourra rentrer dans ma chatte! Elle va me déchirer ! dit-elle dans un souffle.
Sans attendre de réponse, elle se mit à genoux par terre et avança sa tête vers mon gland boursouflé ; elle se mit à promener ses lèvres à demi ouvertes tout autour de lui en donnant de temps en temps des coups de langue pour le titiller un peu plus. Puis tout à coup, elle ouvrit toute grande sa bouche et essaya dy introduire le bout de ma queue ; elle dut louvrir encore plus, pour quil entre : elle avait une toute petite bouche. Au bout dun tout petit moment elle trouva la formule idoine pour que la pénétration se fasse bien, sans quelle ne me morde et sans quelle ne sétrangle avec une queue aussi énorme. Sa bouche épousa parfaitement la forme de mon pénis ; jeu limpression quelle avait été moulée sur la forme et la dimension de mon sexe en érection.
Je sentais une agréable sensation de chaleur moite dans cette bouche paradisiaque. Je me posais la question de savoir si jallais entreprendre le mouvement de va et vient dans sa bouche ou si je devais attendre quelle en prenne elle-même linitiative. Comme si elle avait entendue ma pensée, elle se mit à avancer sa tête vers mon bas ventre jusquà faire totalement disparaître ma queue dans sa bouche ; elle eut un petit hoquet, sarrêta un moment et reprit le mouvement en sens inverse. Elle fit sortir mon manche de sa bouche, le regarda, le lécha sur toute sa longueur et le remit à lintérieur en poussant doucement pour quil la pénètre jusquau fond de la gorge. Elle refit la manuvre plusieurs fois, tout doucement comme pour habi sa bouche et sa gorge au mouvement de va et vient. Mon excitation narrêtait pas de grandir ; mon sexe continuait à grossir dans sa bouche. Je sentais mon corps en entier frémir comme sil recevait des petites décharges délectricité très agréables. Elle semblait deviner mes sensations ; elle accéléra tout à coup le rythme du va et vient en recouvrant de temps en temps le gland tuméfié avec sa langue. Au bout dun moment, je sentis mon membre éclater et envoyer avec violence une grosse giclée dun sperme épais et brûlant au fond de sa gorge. Cela la surprit un moment ; elle ne connaissait pas cette sensation davaler un liquide visqueux, dru et chaud. Très vite elle reprit le mouvement de va et vient pour faire expulser le reste de mon liquide, quelle avala jusquà la dernière goutte ; elle eu un réflexe irrépressible de vomir, mais se reprit rapidement et remit tout à lintérieur de sa gorge et donc de son estomac.
Je sortis ma queue de sa bouche et lui releva le visage pour la regarder. Elle me lança un superbe sourire, comme pour me dire « tu vois, jai réussi mon examen ! ».
- Jai été bien ? me dit-elle.
- Plus que cela, tu as été divine !
- Tu veux que je recommence ?
- Non pas tout de suite ! Je vais dabord te faire lamour.
Je la fis asseoir sur le divan et commençai à lembrasser. (Je me rendis compte à ce moment là que je ne lavais pas encore embrassée, ni même caressée; nous étions passé directement à la fellation, sans aucune préparation !) Je posai ma bouche sur la sienne et forçai ses lèvres à souvrir sous la pression de ma langue. Elle ouvrit sa bouche, me rendit très longuement mon baiser ; ma langue se mit à chercher la sienne à lintérieur de sa bouche ; elle la trouva très vite et se mit à la lécher ; je bus avec délectation toute la salive quelle menvoyait et elle fit de même en venant chercher ma salive à lintérieur de ma bouche. Sa langue était agile, chaude et humide. Elle était pleine délectricité. Ses baisers mouillés avaient le don de faire bouillir mon sang. Comme si elle ne venait pas de jouir quelques minutes auparavant, ma queue se réveilla dun seul coup et redevint énorme.
Je pris la main de ma compagne et la posa sur mon sexe pour lui faire comprendre quil attendait la suite avec impatience. Elle comprit que javais envie de la tirer là, tout de suite. Elle commença par enlever son chandail ; elle navait rien en dessous. Je me trouvai tout à coup en face dune poitrine juvénile, avec de petits seins en forme de poire bien fermes et dressés vers le ciel. Jen pris un dans une main et y mis une légère pression. Elle poussa un petit gémissement de plaisir. Elle était très excitable à cet endroit me fit-elle comprendre. Je recommençai à la palper doucement ; puis je pris ses tétons entre les doigts de mes deux mains et je me mis à les rouler doucement entre eux. Ce geste la fit frémir ; elle commençait à gémir doucement en me prenant les mains pour les forcer à continuer le mouvement.
- Je mouille ! me dit-elle dans un souffle. Continue !
Je continuais un moment en la regardant se trémousser et lentendant ronronner tout doucement de plaisir. Une main quitta lentement son sein et descendit le long de son ventre pour aller vers son pantalon ; elle alla se blottir entre ses cuisses et se mit à caresser son sexe à travers le tissu. Cela eut pour effet de faire tendre tous ses muscles et de lui faire relever ses hanches pour mieux garder le contact avec mes doigts.
- Enlève ton pantalon ! lui ordonnai-je.
Elle déboutonna son jean, souleva ses hanches et dun geste rapide fait descendre son pantalon jusquà ses chevilles. Elle portait un string dun blanc immaculé qui était en harmonie avec la blancheur laiteuse de sa peau.
Je laidai à se débarrasser totalement de son pantalon et magenouillai devant elle, en lui écartant les genoux pour me positionner en face de sa chatte que je désirais regarder et admirer. Jécartais le tissu du string qui cachait sa chatte et découvrit le jardin du paradis. Elle était totalement épilée, y compris au niveau du pubis, quelle avait brillant et bombé. Ses grandes lèvres étaient fines et ouvertes ; elles laissaient voir les petites lèvres luisantes dun rouge très vif. Le clitoris était tout petit mais déjà dressé et dur sous leffet de lexcitation. Le string me gênait ; je le lui arrachai violemment en lui arrachant un petit cri de douleur. Je lui écartai les jambes de manière à avoir sa chatte totalement offerte à ma vue et à ma bouche.
- Je vais te bouffer la chatte ! lui murmurai-je dans un souffle.
Je posai ma bouche entre ses grandes lèvres et suçai goulûment les petites lèvres, puis le clitoris et plongeai ma langue à lintérieur du canal vaginal, sombre et étroit. Elle prenait un immense plaisir à se faire sucer la chatte ; elle poussait des petits gémissements et me tenait la tête pour la maintenir en place et lempêcher de sen aller ailleurs. Elle prononçait des mots incompréhensibles qui voulaient certainement dire «Encore ! Encore ! Ne tarrête pas ! » Elle bougeait son bassin au rythme du va et vient de ma langue dans son vagin et continuait à couler abondamment. Je bus tout son jus avec délectation. Il avait le goût et lodeur dune fille vierge, un peu visqueux, acide et salé. Une merveille pour mes papilles ! Je continuais à la lécher longtemps, arrêtant de temps en temps le mouvement de ma bouche, de mes lèvres et de ma langue, pour quelle ne jouisse pas tout de suite. Je voulais faire durer le plaisir pour que sa jouissance finale soit paroxysmique, phénoménale. Je sortis un moment de sa chatte pour aller lui titiller lanus avec ma langue. Elle avait un petit anneau brun très serré. Je le léchai un moment en le mouillant avec ma salive, tentant dy introduire un doigt. Cétait difficile, tellement la rondelle était serrée. Je retournai dans sa chatte en continuant à la lécher et sucer son clitoris jusquà ce quelle se mette à gigoter comme une folle et à crier :
- Baise-moi ! Baise-moi ! Mets-moi ton gros zob à lintérieur ! Défonce-moi la chatte!
Je ne lécoutais pas. Je voulais dabord quelle jouisse grâce à ma bouche et à mon doigt dans son cul. Jaccélérai le mouvement de ma bouche et de ma langue dans son vagin et sur son clitoris ; je mouillai un doigt avec le liquide qui sortait de sa chatte et en lubrifiait lanus pour quil souvre et le laisse pénétrer. Je poussai un peu pour forcer lentrée et lintroduisis à demi dans lorifice. Elle poussa un petit cri de douleur, puis trouva la manuvre très agréable et excitante à souhait. En même temps je suçais goulûment ses grandes et petites lèvres, ainsi que son clitoris et je faisais pénétrer ma langue dans son vagin jusquà ce quelle rencontre lhymen. Je suçais sa chatte en y prélevant tout le liquide qui y émanait. Le tout, en faisant tourner doucement mon doigt incrusté dans son anus. Elle se sentait défaillir tant lexcitation était forte et forte lenvie de jouir et de décharger. Jaccélérai la manuvre en la suçant de plus en plus fort et en introduisant plus en avant mon doigt dans son anus et en le faisant tourner un peu plus vite. Je la sentis se tendre comme un ressort et pousser un long râle rauque très sonore, avant déclater comme un tonnerre et décharger, en criant, dans ma bouche et sur ma main.
- Je jouis ! Je jouis ! Je jouis ! dit-elle dans un souffle en se relâchant totalement et en saffaissant sur le fauteuil.
Je retirai ma bouche de sa superbe chatte et mon doigt de son anus, tout en continuant à admirer les deux orifices qui soffraient encore à ma vue. Je bandais comme un âne et si je mécoutais je la défoncerais sans plus attendre, tellement ma queue était tendue et mon bas ventre douloureux à force de désir encore inassouvi.
Elle ouvrit les yeux pour me regarder et comprit très vite que jétais encore très excité et que jétais capable de la dépuceler sans ménagement. Cette idée semblait la faire rêver. Elle me lança un superbe sourire aguicheur en me disant, dans un souffle :
- Dépucèle-moi à la levrette !
Merveilleuse Feriel ! Même vierge et novice elle trouve le moyen dépater un homme comme moi ! Il ne mest encore jamais arrivé de dépuceler une fille dans la position de la levrette. Cest une position qui ne permet pas de sy prendre avec précaution et dadoucir le dépucelage, déjà douloureux de nature. Mais rien quà cette pensée, je sentis mon membre, déjà à lapogée de son développement, grossir un peu plus. Il était devenu monstrueux à force de désir et dattente. Je lui ai dit :
- Daccord ! Retourne-toi !
Elle se mit à quatre pattes, la tête bien callée contre le dossier du fauteuil, les fesses très hautes et bien ouvertes. Comme cela javais un aperçu panoramique de son cul et de sa chatte en même temps. Je me posais la question de ce qui était le plus plaisant : lui défoncer lanus ou lhymen. Joptai pour lhymen en voyant des gouttes de liquide sortir de sa chatte. Elle continuait de mouiller et sa chatte déjà bien lubrifiée était en attente de la saillie. Je lui ouvris les grandes lèvres avec mes doigts et me mis derrière elle. Je présentais le gland bouffis et violacé de mon membre à lentrée des petites lèvres et lui fis faire un lent mouvement de caresse des bas en haut en appuyant légèrement sur le clitoris et de haut en bas toujours en revenant sur le bouton. Elle aimait ces caresses faites avec mon sexe dur, mais doux au toucher. Elle commençait à bouger son fessier en suivant le rythme que jimprimais à mes caresses. De temps en temps pour jauger la largeur du vagin et la résistance de lhymen, jintroduisais mon membre avec délicatesse et allait buter sur lhymen, sans forcer.
Le vagin était très étroit, mais parfaitement lubrifié ; mon membre néprouvait aucune difficulté à aller et venir à lintérieur ; il se refermait sur la partie de la hampe qui pénétrait et lenveloppait comme une gaine. Je ressortais doucement et reprenait le mouvement de caresse sur la fente de ma belle et sur son clitoris. Elle continuait à gigoter et gémir de plaisir, se crispant de temps en temps quand elle sentait mon membre la pénétrer pour aller cogner légèrement sur son pucelage. Chaque fois elle sattendait au choc qui allait la déchirer et lui faire atrocement mal. Dun côté elle avait peur du geste et de la douleur qui allait sensuivre, dun autre côté elle était en attente de la saillie quelle voulait voir arriver immédiatement. Elle était en chaleur comme une chienne et rien ne pouvait y mettre un terme que cette pénétration brutale quelle souhaitait et craignait en même temps. Jétais conscient de son état desprit ; au mouvement de ses hanches, à ses gémissements saccadés, à ces paroles incompréhensibles qui sortaient de sa gorge, je savais quelle attendait avec impatience la poussée qui allait la délivrer.
Moi-même je ny tenais plus. Je sentais mon membre gonfler chaque fois quil pénétrait, même imparfaitement dans le vagin, chaud, doux et visqueux. Il voulait aller plus loin, sans plus attendre. Chaque fois que je me retirai, je le sentais déçu. Et puis ny tenant plus, en la tenant par les hanches pour quelle ne bouge plus, je lui enfonçai brusquement mon membre tout au fond en défonçant la fragile barrière constituée par lhymen. Elle poussa un long cri de douleur et chercha à expulser mon sexe en retirant sa croupe. Je la maintins fermement et restai un long moment sans bouger pour lhabi à la présence de mon engin dans son ventre. Puis je me mis à remuer doucement mon membre à lintérieur de son vagin étroit sans encore entamer le mouvement de va et vient qui me fera jouir mais qui lui fera encore très mal. Le petit mouvement de mon membre tout au fond de son sexe eut pour effet de réveiller son désir et de le porter à son paroxysme. Elle recommença à gémir et à bouger sa croupe. Je lui pris la tête dune main pour la retourner et lembrasser ; elle me regarda par-dessus son épaule, me laissa lembrasser sur la joue et sur le seul coin de la bouche auquel je pouvais avoir accès.
Elle me fit un petit sourire danimal pris au piège et me dit dune voix à peine audible : « je taime ! » Je continuais à bouger doucement au fond de sa grotte ; puis je fis le mouvement de sortir tout doucement ; arrivé à lendroit de la déchirure la douleur revint et elle cria, plus faiblement cette fois. Jentrepris de retourner au fond du vagin puis de revenir à lentrée avec des mouvements dabord très lents, puis de plus en plus rapide. Maintenant elle criait franchement, sans que je susse si cétait de douleur ou de plaisir. Probablement les deux à la fois. Je ne faisais plus attention à ses cris ; en fait ils émoustillaient mes sens et satisfaisaient mon côté pervers. Il me plaisait beaucoup quelle souffre sous mes coups de boutoir. Je ne prenais plus aucune précaution ; je lempalais avec force et jen tirais un immense plaisir. Feriel criait et moi jahanais comme un bûcheron. Tout à coup elle se mit à hurler quelle allait jouir et mordonnait de continuer, de ne pas marrêter. Je sentais à ses cris, sa respiration et le mouvement de ses hanches quelle nallait pas tarder à avoir un orgasme très fort et quelle allait décharger toute leau de son corps. Cette idée mit le feu à tout mon corps ; je sentis mon membre gonfler et éclater au fond de son vagin ; en même temps quelle sétait mise à jouir et décharger, mêlant son liquide à mon sperme.
Je continuai le mouvement, toujours violent, de va et vient de mon membre et eut encore deux ou trois giclées qui mont totalement vidé. Je me retirai de son vagin et vit mon membre tout rouge, taché de son sang. Un peu de sang se mit à couler le long des ses grandes lèvres et menaçait de tomber sur le divan. Elle prit bien vite sa culotte et essuya le sang avant quil narrive sur le tissu du divan. Elle se retourna, sallongea sur le dos et relâcha tous ses muscles dans un long gémissement de lionne rassasiée.
- Merci davoir fait de moi une femme !» me dit-elle en me tendant ses lèvres pour un baiser damoureuse.
Je me surpris à penser alors « Merde, on na pris aucune précaution pour la grossesse ! ». Je le lui dis. Elle eut un petit rire coquin et me dit quelle na aucune chance de tomber enceinte : elle allait avoir ses règles le surlendemain au plus tard. Nous prîmes ensemble une douche froide rapide en flirtant un petit peu, sans plus. Puis nous allâmes nous coucher pour nous remettre de nos émotions. Elle farfouilla dans la penderie pour trouver quelque chose à se mettre. Elle dénicha une de mes chemises à manches courtes et lenfila en guise de robe de nuit. Elle était superbe dans cette chemise beaucoup trop grande pour elle ; elle lui arrivait aux genoux. Elle se blottit dans mes bras pour y passer la nuit. Je mis très longtemps à mendormir, évitant de trop bouger pour ne pas la réveiller. Elle dormait comme un bébé, un sourire heureux sur les lèvres. Moi je passai la nuit entre veille et sommeil, prenant soin de ne pas la déranger. Jétais dans un état de béatitude complète. Elle dormit très longtemps dun profond sommeil, certainement rempli de rêves coquins ; de temps en temps, en effet, elle poussait un petit gémissement révélateur et rapprochait un peu plus sa croupe contre mes cuisses ; ce contact agréable de sa croupe contre mon bas ventre créait en moi une sensation très agréable qui titillait mon sexe, sans le réveiller réellement. Lenvie était encore là, mais elle était douce et supportable; mon membre avait eu son comptant pour la nuit et pouvait donc attendre le lendemain pour se réalimenter.
Fahima, comme à son habitude avait préparé un petit déjeuner copieux. Elle frappa à la porte de la chambre et entra avec un grand plateau sur les bras. Elle nous trouva Feriel et moi, assis sagement sur le lit, le dos bien callé contre le dossier du lit et de gros coussins moelleux. Moi jétais nu sous le léger drap qui recouvrait nos intimités ; elle, portait toujours ma chemise quelle avait boutonnée jusquau col, tout en étant toute nue en dessous. Fahima posa le plateau sur le lit, en silence en nous examinant longuement. Ses yeux paraissaient tristes et elle semblait fatiguée. « Comment ça va ?» lui dis-je pour détendre un peu latmosphère.
- Tu nas pas lair très en forme, ce matin !.
- Je nai pas fermé lil de la nuit, répondit-elle dune voix qui me semblait distante.
- A cause de nous ?
Elle mit un long moment à me répondre ; puis comme si elle avait décidé de crever labcès, elle se lança dans une longue diatribe qui mêlait morale, jalousie et désir. Elle avait passé la nuit à cogiter sur ce que sa fille et moi étions entrain de faire toute la nuit. Dun côté elle en était un peu jalouse et dun autre elle sexcitait toute seule à imaginer toutes les choses que je faisais à sa fille (à aucun moment elle ne sétait dit que sa fille savait manuvrer un homme et quelle était la maîtresse duvre dau moins une partie du scénario). Ses sens finirent par se réveiller et tout son corps se mit à frémir et demander du plaisir. Son mari dormait à côté delle dun sommeil profond et bruyant. Elle essaya de le réveiller en lui caressant son sexe ; sans aucune réussite. Elle passa donc la nuit à se caresser et eut quelques petites jouissances qui nont pas calmé son ardeur. Elle disait tout cela dune voix monocorde en nous regardant manger avec un appétit dogres. Elle reprit le plateau quelle posa à côté sur la petite table et vint sasseoir sur le bord du lit, en nous regardant lun et lautre avec curiosité ; elle nosait pas poser la question quelle avait sur le bout des lèvres. Je devinais ce quelle voulait savoir.
- Elle est merveilleuse ! lui dis-je en montrant Feriel. Elle a de qui tenir ! Elle est courageuse et dure à la douleur. Elle est totalement orientée amour et sexe et ouverte à tout !
La maman eut un sourire triste, tout en regardant sa fille qui a tendu un bras pour menlacer, comme pour dire à sa mère : « il est à moi ! ». Dans un geste de défi, elle fit entrer une main sous le drap et la posa sur mon sexe qui commençait déjà à donner des signes de fébrilité. Elle le caressa longuement, lui faisant prendre des proportions gigantesques. Elle continuait de me caresser, tout en défiant sa mère du regard. Poussant le bouchon encore plus loin, elle introduisit sa tête sous le drap et alla déposer un petit baiser sur le gland de mon pénis. Elle sarrêta, ressortit sa tête et fit un sourire moqueur à sa mère qui semblait bouillir intérieurement. Elle recommença le manège mais cette fois en suçant goulûment mon gourdin et surtout en rejetant le drap pour montrer toute la scène à sa mère. Elle fit pénétrer la totalité du membre jusquau fond de sa gorge, tout en me caressant les couilles qui venaient cogner contre ses lèvres. La manuvre dura longtemps ; jétais au bord de lextase prêt, à éclater dans sa bouche.
Fahima ne lentendait pas de cette oreille; elle se dressa brusquement, tira sa fille par les cheveux en la faisant crier de douleur et, telle une furie, lui cria que la matinée cétait pour elle.
- Tu las eu toute la nuit pour toi ! Moi il ne peut mappartenir que les matinées comme celle-ci ! Alors dégage de là et en vitesse !
Joignant le geste à la parole, elle releva les pans de sa robe, mit à nue sa chatte et vint se mettre à califourchon sur mes cuisses. Elle prit mon gros gourdin dans une main et le dirigea dun seul coup sur sa fente. Sa chatte dégoulinait déjà ; mon sexe neut aucune peine à pénétrer dans son vagin ; elle sassit complètement sur lui faisant même pénétrer les couilles. Elle prit appui sur mon ventre et commença une série de mouvements verticaux, et de temps en temps circulaires, pour que toutes les parties de sa chatte profitent du frottement. Elle y allait de bon cur, avec violence. On dirait quelle voulait se venger de quelque chose qui lavait faite souffrir. Telle une furie chevauchant un étalon, elle faisait monter, descendre et tourner ses hanches. De plus en plus vite ; de plus en plus fort. Un moment, elle sarrêta pour souffler et mordonna :
- Mets mois deux doigts dans le cul !
Je mexécutai en commençant par mouiller les doigts avec le liquide visqueux qui sortait de sa chatte et les introduisit dans son cul en y allant au plus profond que je pus, compte tenu de la position. Mes doigts sentirent la présence de mon pénis, à travers la paroi du rectum. Javais limpression de me masturber en même temps que je baisais un énorme vagin tout chaud et visqueux. Jétais au paradis.
Feriel entre-temps entreprit de manifester sa présence; en même temps quelle regardait sa mère sempaler avec furie et extase sur mon gourdin, elle se mit à genoux sur le lit en me faisant bien face pour que je ne perde rien du manège, ouvrit complètement la chemise, avança son pubis pour bien montrer sa superbe petite chatte, et commença à se caresser, tout en mettant en mouvement ses hanches. Elle commença par sucer son doigt pour bien le mouiller et le posa sur ses grandes lèvres quelle entreprit décarter pour sattaquer à son petit bouton rose. Elle se caressait comme si elle était encore vierge ; elle nintroduisait pas franchement ses doigts dans le vagin ; elle caressait superficiellement, comme si elle avait peur de se dépuceler. Elle était de plus en plus excitée ; dune part à cause de la scène presque surréaliste à laquelle elle participait ; dautre part à cause des cris de plus en plus forts et obscènes de sa mère qui continuait de chevaucher mon membre ; ensuite à cause de ce membre quelle ne quittait pas des yeux chaque fois quil réapparaissait de dessous le vagin de sa maman ; et enfin à cause du fait que je la regardais se masturber avec délectation. Elle était tendue comme un arc ; elle bavait de plaisir et laissait inconsciemment couler de la salive de sa bouche. Jaurai aimé pouvoir recueillir cette salive et la boire ; mais le poids de sa mère men empêchait.
Tous les trois nous étions au bord de lévanouissement. Chacun de nous sentait quil allait exploser, mais voulait que le plaisir dure encore longtemps. La mère était la première à céder. Elle poussant un long râle de jouissance, tout en accélérant le mouvement pour me faire jouir en même temps quelle. Mes deux doigts dans son cul continuaient de la creuser et de frotter sur mon membre à travers la fine membrane de séparation. Jaccélérais le va et vient de mes doigts. Nous explosâmes tous les deux en même temps ; elle déchargea toute son eau sur mon membre et sur mon bas ventre ; je lui envoyai plusieurs longues décharges de sperme épais, chaud et visqueux au fond de son vagin ; elles ressortirent presque immédiatement pour aller rejoindre le liquide de ma maîtresse sur mon pubis, mes couilles et le lit. Feriel aussi se mit à jouir, de manière moins bruyante que nous : elle ramassa entre ses doigts une partie du liquide que sa jouissance a dégagé et me donna sa main à lécher. Je le fis avec empressement et avalait goulûment le liquide au goût salé et acide.
La maman saffala brusquement sur moi, à bout de force. Elle relâcha tous ses muscles et passa un long moment ainsi allongée, sa tête à côté de la mienne, sa poitrine étalée sur mon torse, le cul en lair et les jambes écartées de part et dautre des miennes. Elle releva la tête, me regarda avec un sourire qui avait perdu la tristesse qui lhabitait quelque temps auparavant. Elle semblait heureuse ; elle avait retrouvé son amant. Elle me donna un très long baiser plein damour et de reconnaissance. Elle se leva pour regarder le fruit du coït sur mon pubis et mes cuisses, eut un petit rire et se baissa pour lécher tout cela : mon sperme et son liquide mêlés. Elle avala quelques gorgées, puis, prise dune soudaine inspiration, elle demanda à Fériel de venir en faire de même. Feriel nhésita pas une seconde, montrant par là quelle était bien la fille de sa mère. Toutes deux entrèrent alors en compétition pour savoir laquelle allait avaler le maximum de liquide.
Quel spectacle délicieux !
Le ménage à quatre continua ainsi longtemps et donna à chacun de nous une grande part de bonheur, quaujourdhui encore, des années après, je garde au fond de moi comme un trésor profondément enfoui. Dalila sest mariée et est devenue une mère de famille responsable : elle me donne régulièrement de ses nouvelles par mail ; elle continue daprès ce quelle écrit à avoir quelques écarts de conduite, en prenant son pied avec sa copine, à linsu de son mari.
Fériel a terminé ses études et est partie en France pour une post graduation. Elle a déniché un petit ami français bien gentil et doté dun énorme sexe, mécrit-elle.
- Tu sais il maime et me traite comme une reine; sauf quand on fait lamour, où là, je suis sa chienne ! Je prends tellement mon pied avec lui !
Fahima soccupe maintenant exclusivement de son mari qui est tombé malade. Elle est devenue un peu bigote ; croyant que la maladie de son mari est une punition divine, à cause de son comportement immoral. Je crois quelle ne tardera pas à faire le pèlerinage de la Mecque pour laver tous ses péchers !
- FIN -
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