Le Modèle

Je suis modèle: je pose pour des photographes amateurs ou professionnels. Je demande toujours de l'argent: c'est mon gagne pain. La plus part du temps tout ce passe à merveille: j'arrive, je me présente si on ne me connait pas et ensuite je me met entièrement nue, ce que je préfère, pour des raisons d'honoraires. Je prend la pose et bouge selon les indications que je reçois. Je crains un peu les amateurs qui souvent prennent un modèle pour une fille facile, ce qui au moins pour moi n'est certes pas le cas.
Pourtant une fois je me suis laissée embarquer dans une histoire un peu..... délicate. J'avoue je suis assez attirée par les filles. Et cette fois mon employeur était justement un très jolie fille, très bien faite et surtout très sympathique: une brunette aux yeux clairs. Faites donc comme moi.
Elle doit me photographier en diverses poses: classiques, artistiques, un peu olé-olé , bref des choses quasi normales, sauf peut être pour la plus osées où je montrais carrément mon sexe, ce que je refuse toujours. Mais cette fois là, je me suis laissée aller, sans doute pour lui plaire. Elle devait s'en apercevoir et me demandait de venir me reposer sur le divan en m'offrant une liqueur que nous partagions. Elle était habillée et moi totalement nue et finalement pas gênée par ses regards très indiscrets sur mon anatomie, il me semblait que ses yeux me faisaient des caresses.
Je lui demandais si je lui plaisais, comme femme. La réponse était :
- bien sur vous êtes adorablement sexy. .
Pour appuyer son affirmation elle venait très près de moi et posait ses lèvres sur les miennes. Je répondais au baiser et étant nue je me permettais de lui caresser les seins à travers son chemisier: elle ne portait rien dessous. Elle enlevait ce léger vêtement et me rendait les caresses. Je reprenais l'avantage en glissant une main sous la jupe et en remontant vers sa chatte. Elle ouvrait largement les cuisses et me permettais de trouver rapidement son clitoris entre les lèvres de son sexe.

Je commençais à lui donner du plaisir en la branlant. Elle offrait encore plus son con. Je continuais la caresse sur le clitoris et entrait deux doigts dans la chatte. Elle jouissait plusieurs fois.
Elle ôtait la jupe et nue, à son tour elle voulait me faire jouir. Je ne refusais pas sa masturbation au contraire, je l'embrassais tout le temps qu'elle me branlait. Elle me demandais si j'aimais me servir d'un godemiché, j'avouais que seule je m'en servais pendant mes masturbations fréquentes. Elle me disait que pour elle c'était pareil mais qu'elle ne s'en été jamais servie avec une autre femme. J'étais d'accord pour que nous l'utilisions.
Elle allait le chercher dans sa chambre et revenait avec un très gros gode, plus gros que le mien en tout cas. Je lui demandais où elle se le mettait:
- dans le con ou le cul ?,
- ça dépend de mes envies.
Pour montrer comment elle s'en servait, elle commençait par le rentrer lentement dans son sexe et en allant de plus en plus rapîdement, elle se faisait jouir. Je lui caressais les seins et l'embrassais pendant sa masturbation. Ensuite dès cette jouissance finie, elle le mettait sur son petit trou et là je regardais attentivement: elle le posait le rentrait légèrement, le ressortait et je voyais son cul s'ouvrir de lui même. A ce moment là elle entrait le gode en elle et le faisait aller et venir pendant qu'avec l'autre main elle se branlait. Je lui faisais ôter sa main: je me mettais à la sucer: elle jouissait très fort.
Je lui demandait de me baiser avec le godemiché: elle le faisait avec beaucoup de maestria et je jouissais comme rarement. Ensuite elle me mettait le gode sur le cul et sans que je lui demande quoique ce soit, elle arrivait à m'enculer et à me faire jouir encore plus fort que dans le con, et pourtant je n'étais pas adepte de la sodomie.
Nous nous sommes arrêtées un instant pour reprendre nos esprits. Mais le désir était là. Nous nous sommes installés sur le tapis et avons fait un nombre incalculable de 69 en nous mettant toujours un doigt dans le cul. Enfin nous nous sommes baisées directement con contre con et là c'était pour nous le sommet du plaisir lesbien.
Je ne l'ai pas faites payer, bien sur, mais actuellement les photos qui sont prises sont pornographiques: nous nous voyons souvent, au moins une fois par semaine et baisons toujours avec autant de plaisir, même si je continu à me masturber souvent en pensant aux lèvres de son con que j'aime écarter pour aller lui sucer le clitoris.