Nassima Et Ses Filles: Première Partie - Nassima
NASSIMA ET SES FILLES
Première partie
NASSIMA
Jai connu Nassima sur son lieu de travail, à linspection des impôts. Comme cela arrive trop souvent avec le fisc (probablement la moins bien organisée de toutes les administrations publiques et certainement la plus imbue de ses prérogatives régaliennes) ma société avait été rendue destinataire dun avis de pénalités pour des déclarations fiscales et des règlements non effectués. Ce nétait bien sûr pas le cas, mais il fallait se déplacer jusquaux bureaux de linspection avec les preuves que tout avait été fait à lintérieur des délais réglementaires.
Généralement, ce genre de démarches était effectué par Soraya, mon assistante qui sen acquittait admirablement. Elle était à laise dans les dédales tortueux de ladministration, contrairement à moi. Je navais jamais eu datomes crochus avec les administrations en général et le fisc en particulier. Soraya sétait absentée pour la semaine, me laissant sur les bras les problèmes administratifs en suspens avec, évidemment, ce fameux dossier fiscal quil fallait traiter. Il faut dire que comme à son habitude, Soraya mavait mâché le travail en préparant de manière claire et synthétique le dossier. Je navais quà le montrer tel quel à linspecteur, il ny trouvera absolument rien à redire, maffirma-t-elle.
Ce matin là donc, le dossier dans ma serviette, je me rendis à linspection des impôts, un peu inquiet tout de même. Jattendis mon tour pendant une heure et je fus reçu par linspecteur, dans son petit bureau. Tout me semblait triste et terne dans ces bureaux, y compris la salle dattente où tous ceux qui étaient là, étaient silencieux et avaient lair inquiet et parfois énervés. Linspecteur me reçut debout derrière son bureau (aimablement, il faut bien le reconnaître) me disant quil navait pas plus de cinq minutes à ma consacrer, devant se rendre à une importante réunion, chez le directeur. Je lui exposai donc les faits rapidement, lui montrai quelques documents, pour étayer ce que je disais et attendis son verdict.
- Il semble bien quil sagit là dune erreur de nos services, fit-il avec le sourire. Toutefois, il faudra contrôler tout cela dans le détail ; cela risque de prendre un peu de temps. Je vais vous confier à mon adjointe qui vérifiera les documents avec vous et vous remettra un rectificatif à lavis de pénalités. Suivez-moi.
Je le suivis dans un bureau à côté et me présenta à son adjointe. « Madame X », fit-il. Elle me fit un large sourire, et tendit sa main droite pour une poignée franche et ferme. Son chef lui expliqua en quelques mots mon cas, insistant sur la nécessité déplucher tout le dossier et sur la remise, le cas échéant, dun rectificatif. Il sen alla tout de suite après en sexcusant.
Dès que javais franchi la porte du bureau, jai été frappé par lambiance qui y régnait. Absolument rien de la tristesse environnante. Tout était lumineux : la fenêtre était grande ouverte ; des reproductions de tableaux représentant des fleurs aux couleurs éclatantes étaient accrochées aux murs ; des fleurs du jour reposaient dans un superbe vase sur un meuble à fichier. Le bureau était presque vide et ne comprenait quun seul dossier (probablement celui quelle était entrain de traiter, au moment de notre intrusion), contrairement à celui totalement encombré et en désordre de son chef. Mais la véritable lumière de ces lieux, cétait son occupante.
Dans mon inconscient (et je suppose que cest la même chose pour tous) un agent du fisc, quel que soit le niveau hiérarchique quil avait atteint et quel que fut son sexe, ne pouvait pas avoir un abord agréable ; il ne pouvait être que terne dans son apparence physique (toujours de noir ou de gris vêtu), et de mine triste. Ce nétait bien entendu quun préjugé, mais il était tenace ! Ladjointe, elle, était le total contraire de cette image. Elle était resplendissante : belle, le teint clair, un sourire rayonnant sur les lèvres, une chevelure flamboyante roux foncé; dénormes yeux rieurs, dune couleur claire se situant entre le vert et le noisette ; une grande bouche gourmande entourée de lèvres charnues, superbement dessinées ; des joues rondes, donnant limage dune femme pleine de santé et croquant la vie à belles dents.
Elle devait avoir la cinquantaine bien sonnée. Mais elle était tellement belle quon lui en donnait au plus quarante. Dévidence, cétait une femme qui prenait soin de son corps et qui devait faire beaucoup dexercices physique pour sentretenir. En se levant pour maccueillir, javais remarqué quelle était relativement grande et plantureuse. Lâge avait accentué ses rondeurs naturelles. Elle avait une poitrine large et forte avec des seins gonflés et tendus que son chemisier et son soutien gorge avaient du mal à contenir. Une taille quon ne pouvait pas qualifier de fine, mais qui donnait une très forte impression de fermeté, tant le ventre était plat. Les hanches étaient larges, portant un fessier imposant, rond et bombé. Lui aussi donnait cette même impression de fermeté que tout le reste de son corps. Ses jambes étaient longues et pleines, avec des mollets musculeux, lisses et brillants. Les genoux qui apparaissaient sous les pans de la jupe de son tailleur étaient ronds et potelés et dégageaient une forte impression de douceur.
Elle illuminait le bureau de sa seule présence. Je ne pus me retenir de lui faire un compliment sur sa beauté, même si, au moment où je prononçai mes mots, jeus la crainte quelle ne les prenne mal. Bien au contraire, le sourire rayonnant quelle avait sur les lèvres sélargit encore plus et elle me remercia gentiment. Elle ne me laissa pas le temps daller plus loin. Elle minvita à masseoir sur lune des chaises placées devant son bureau, alla reprendre sa place derrière, me demanda le dossier que javais apporté et sans plus soccuper de moi, elle sy plongea totalement. Elle compara les informations contenues dans lavis de pénalités et celles du dossier, étudia un à un tous les documents que javais apportés comme preuve de ma bonne foi, jaugea tous les cachets et les signatures, puis au bout de dix minutes, elle releva la tête, me fit un superbe sourire et dit de sa voix chantante :
- Cest très clair ! Il sagit bien dune erreur de nos services ! Je vais vous délivrer un document qui annulera les effets de lavis de pénalités.
Elle se leva, alla vers la grande armoire qui se trouvait contre le mur en face de son bureau et farfouilla un moment, à la recherche de limprimé idoine. Pendant tout ce temps là, elle me tournait le dos et me laissa admirer à loisir ses formes : ses hanches larges, ses fesses bombées, lintérieur de ses genoux et la naissance de ses cuisses, qui apparaissaient quand elle se baissait pour chercher sur les étagères du bas de larmoire, ses mollets qui me donnaient envie de les caresser. Elle trouva enfin le document quelle cherchait et se retourna. A lintensité de mon regard, elle sut que jétais entrain de détailler ses formes, mais fit celle qui navait rien remarqué. Elle retourna à son bureau, remplit limprimé, se leva encore pour aller le faire signer et cacheter dans le bureau de son chef et revint me le remettre.
- Voilà, monsieur, fit-elle de sa voix si particulière; je vous prie de bien vouloir nous excuser pour cette erreur et ce désagrément. Je vous assure que je veillerai personnellement à ce que cela ne se reproduise plus.
- Au contraire ! me suis-je entendu lui répondre. Si cela ne se reproduisait plus, je naurais plus le plaisir de vous rencontrer et dadmirer votre charme et votre gentillesse ! Avec vous, ladministration des impôts devient un lieu dans lequel jaimerai souvent revenir !
Il me semblait quelle avait légèrement rougi à ce compliment. Profitant de lavantage que javais pris, et voulant absolument la revoir et faire plus ample connaissance avec elle, je voulus linviter au restaurant.
- Il est bientôt midi, lui dis-je, jaimerai vous inviter à manger dans un petit restaurant dans le coin !
Elle fit non avec sa tête et sa main.
- Je me suis toujours fait un point dhonneur de refuser, tout ce qui pouvait donner limpression quil peut sagir de corruption. Manger avec vous au restaurant, dans ce quartier et à midi y ressemblerait très fort. Par contre, si vous minvitez quelque part ailleurs, le soir, je ne dirai pas non !
Jai failli sauter de ma chaise en faisant le geste de quelquun qui venait de gagner un match ou un combat.
- Non pas devant chez moi ! Tout le monde me connaît et me surveille ! Disons devant votre bureau ! Jy laisserai ma voiture.
Et effectivement elle arriva à lheure, encore plus belle que la matinée, vêtue dune longue robe noire moulante, mettant en valeur lensemble de ses formes plantureuses. Elle avait un léger manteau, noir lui aussi, posé négligemment sur son avant-bras gauche.
Elle me fit un large sourire en voyant que jadmirais le spectacle.
- Je te plais ? fit-elle, passant immédiatement au tutoiement.
- Bien plus que cela ! Répondis-je. Tu es splendide ! Jai vraiment de la chance de sortir avec une telle merveille !
- Arrête ! Je connais ta réputation de séducteur ! Alors dis-toi bien quavec moi, ça ne marche pas !
Elle prit mon bras et nous allâmes vers ma voiture stationnée à lintérieur de la cour de limmeuble de la société. Nous prîmes la route de la côte ouest, et chemin faisant nous discutâmes de choses et dautres, le plus souvent delle et quelquefois de moi. Jappris ainsi quelle sappelait Nassima, quelle était divorcée deux fois, quelle avait deux grandes filles de trente et de vingt ans, chacune dun lit différent; quelle vivait seule avec la petite ; que la grande vivait sa vie toute seule. Quelle ne devait compter que sur elle pour vivre et faire vivre sa famille. Quelle navait plus aucune relation avec ses ex. Quelle menait une vie pépère et quelle était pratiquement fiancée avec un ancien collègue qui avait pris une retraite anticipée de ladministration des impôts et sétait installé à son compte en tant que conseiller fiscal.
Nous passâmes un agréable moment dans un des restaurants de la Madrague, un petit port situé à louest dAlger, qui accueillait sans discontinuer tout le gratin de la ville à la recherche dun lieu tranquille, sécurisé et faisant de la bonne cuisine à base de poisson. Nous continuâmes à faire connaissance et à parler de choses et dautres. Jétais bien avec elle : elle était très cultivée et pouvait discourir pratiquement sur nimporte quel sujet dactualité ou de culture. Je lécoutais parler de sa bizarre voix chantonnante en la regardant et en admirant sa beauté. Je voulais la prendre dans mes bras, mais je nosais pas. Javais peur de leffaroucher. Nous sortîmes du restaurant vers vingt deux heures. Nous marchâmes un peu pour prendre lair et puis, timidement je lui proposai daller chez moi continuer la soirée. Elle mit un peu de temps pour répondre. Probablement quelle pesait le pour et le contre, dans sa tête. Ou alors faisait-elle durer le plaisir pour me taquiner. « Oui ! » fit-elle, semblant avoir pris sa décision depuis longtemps déjà.
Comme un jeunôt qui venait dapprendre une excellente nouvelle, je fis le geste de la victoire, en lançant un poing vers le ciel. Ce geste puéril la fit rire franchement. Je mis mon bras sur ses épaules et lemmenai vers la voiture. Elle se laissa conduire sans rien dire. Dans la voiture, elle éprouva comme un besoin de se justifier davoir si facilement accepté ma proposition.
- Ne crois surtout pas que je suis une femme facile. Au contraire, je suis devenue très exigeante sur mes relations masculines. Depuis mes deux mariages ratés, je me méfie beaucoup des hommes. Je suis divorcée depuis maintenant quinze ans et je nai connu que très peu dhommes depuis. Pourtant rien ne men empêche : je suis encore désirable et jai beaucoup de succès. Mais très peu dhommes ont su gagner ma confiance, comme tu las fait toi aujourdhui. Tu tes comporté comme un gentleman avec moi. Et pourtant jai senti et je sens encore lenvie que tu as de moi ! A aucun moment tu nas eu de geste déplacé.
Je lai regardée longuement et lui fis un grand sourire.
- Tu me plais, lui dis-je. Beaucoup plus que tu ne le crois ! Jai envie de te prendre dans mes bras ici même, dans la voiture, pour que tu ressentes tous les sentiments qui maniment. Je ne te connais que depuis ce matin, mais tu mes devenue déjà indispensable. Cette nuit, si tu veux bien, je te donnerai la preuve de ce que je dis.
Tout en parlant, je lui caressais la nuque sous sa magnifique chevelure rousse. Cela semblait lui plaire. Cette femme aime la douceur, me dis-je en moi-même. Je lui pris la main gauche et la porta à ma bouche pour un léger baiser. Elle frissonna légèrement, comme si tout à coup elle avait froid. Je la pris par lépaule et lattirai vers moi. Je lenlaçai en lui faisant poser sa tête contre la mienne. Cest dans cette position damoureux que nous sommes arrivés chez moi. Nous rentrâmes vite à la maison. En femme curieuse, elle commença à visiter lappartement ; Il lui plut beaucoup ; elle le trouvait grand et confortable (pas comme celui quelle habitait depuis près de vingt ans, dit-elle). Elle trouva que cétait meublé avec goût :
- Je suis sûr quil y a une femme derrière les meubles et la décoration !
Je lui expliquais queffectivement cétait une femme, mon assistante, qui sen était occupé, avant même que je ne my installe. Elle navait pas encore vu la chambre. Je ly amenai. Elle resta quelque secondes à admirer le grand lit à baldaquin.
- Cest ton champ de bataille, fit-elle. Il a dû en connaître des combats damoureux !
- Pas tant que cela ! », Répondis-je hypocritement, en la prenant dans mes bras pour lembrasser.
Elle se blottit tout contre moi et leva la tête pour me tendre ses lèvres. Nous échangeâmes tout dabord un tout petit baiser timide. Puis je menhardis et lui prit sa bouche pour lembrasser comme javais vraiment envie de le faire. Avec force. Je collai mes lèvres contre les siennes très fortement, lobligeant à les ouvrir et à laisser ma langue pénétrer dans sa bouche. Elle ne résista pas. Elle nattendait que cela. Au jeu du baiser torride, Nassima était championne. Tout y passa, ses lèvres qui prenaient possession des miennes puis qui se laissaient posséder, ses dents qui grinçaient contre les miennes ; sa langue agile comme anguille, qui frétillait dans nos deux bouches au contact de la mienne ; sa salive sucrée quelle sécrétait en abondance et quelle me faisait boire, tandis quelle avalait goulûment la mienne.
Nos nerfs étaient tendus comme des arcs. Je sentais le désir monter en nous et nous envahir complètement. Son corps se collait au mien et elle frottait son ventre contre mon bas ventre. Elle avait senti la bosse que faisait mon sexe à lintérieur du pantalon et cela augmenta son désir. Elle se tortillait tout contre moi, en essayant dintroduire une de ses cuisses entre les miennes. Ce geste conjugué à lintense chaleur qui laccompagna, mit le feu à mon sang. Mon sexe donnait des signes de folie : il voulait transpercer les tissus du pantalon et de sa robe pour aller se loger dans son intimité. Mon bassin faisait des mouvements latéraux pour faire sentir à ma belle toute lexcitation de la bête. Elle y répondait par un mouvement analogue de son bassin. Comme elle était plus petite que moi, cest sur son ventre que mon sexe frottait. De temps en temps, elle essayait de se mettre sur la pointe des pieds pour mettre son bas ventre à hauteur du mien. Sans résultat.
Sa respiration devenait plus rapide ; des petits sons de désir et de plaisir sortaient de sa bouche. Nous cessâmes nos baisers torrides au moment où elle et moi nen pouvions plus dexcitation. Nos bouches se séparèrent. Elle séloigna légèrement de moi pour fixer limmense bosse que mon sexe faisait sur mon pantalon. Elle tendit la main pour le saisir à travers le tissu. Au contact de sa main, jeus un irrépressible gémissement de plaisir. Elle le caressa un peu, me regarda dans les yeux et avec un sourire coquin elle me dit quelle le voulait tout de suite. Elle nattendit pas ma réponse pour commencer à défaire la ceinture, ouvrir le bouton et la braguette et plonger sa main à lintérieur pour attr lengin sous le slip. Elle le sortit tel un trophée et ladmira un moment.
- Il me convient totalement ! » fit-elle les yeux brillants de désir.
Elle se mit à le palper, le tâter, le caresser.
- Tu veux que je le suce maintenant ? » dit-elle.
- Non tout à lheure ! Maintenant jai envie de te prendre et pénétrer en toi ! Je veux te faire jouir comme une folle et jouir en toi comme un fou ! Je veux que tu mappartiennes tout de suite ! Après on fera lamour ! Maintenant on baise pour monter au ciel, grimper aux rideaux et jouir comme des bêtes !
Joignant le geste à la parole je la soulevai du sol et la déposai sur le lit (en réalité, jétais tellement excité que je ly ai jetée et non pas posée). Je farfouillai sous sa robe pour aller à la recherche de son intimité. Je voulais la voir, la toucher, la caresser.
- Doucement ! dit-elle, tu vas déchirer ma robe. Laisse-moi lenlever.
Elle se leva et en moins de temps quil ne faut pour le dire, elle se débarrassa de sa robe quelle jeta par terre et resta en petite tenue, une espèce de chemise de nuit noire, un string et un soutien gorge. Elle se rallongea sur le lit et me tendit les bras pour que je la rejoigne. Je me suis mis à lembrasser de partout : sur tout le visage, le cou, les épaules, la gorge. Je tentai de rabattre les deux bretelles qui retenaient lespèce de chemise de nuit quelle portait, pour dégager son opulente poitrine. Jy arrivai avec difficulté, mais quel régal pour les yeux, quand ses seins apparurent ! Ils sortaient des bonnets de son soutien gorge et pointaient fièrement vers le plafond comme deux immenses obus. Ils étaient blancs avec des tétons marron entourés dune large auréole violacée. Ils étaient imposants. Je tendis mes deux mains pour les pétrir. Quelle sensation de douceur et de fermeté. Malgré leur taille, ses seins étaient restés fermes. Jétais sûr que même si elle enlevait son soutien gorge, ils ne tomberaient pas. Ses tétons étaient encore plus fermes.
Elle semblait adorer que je lui pétrisse les seins et lui titille les tétons. Elle avait le souffle court et ouvrait sa bouche pour respirer plus fort. Ses yeux se voilaient de désir et semblaient supplier pour la téter comme un bébé. Japprochai ma bouche dun de ses seins et commençai par lembrasser et lui lécher le téton ; elle gémit et commença à tortiller tout son corps. Jintroduisis le téton dans ma bouche et me mit à le téter avec vigueur, en prenant bien soin de surveiller mes dents qui désiraient le mordre. Cela lui plaisait tellement quelle posa sa main sur ma nuque pour empêcher ma tête de quitter lendroit. Elle gémissait de plus en plus. En même temps que je tétais un sein, je caressais le deuxième en insistant sur le téton, quelle avait très sensible. Cela dura quelques minutes avant que je ne passe à lautre sein pour le téter aussi, mais surtout pour libérer ma main et lenvoyer en expédition vers son ventre et son bas ventre.
Je lui caressai rapidement le ventre à travers le léger tissu de sa chemise de nuit. Il était lui aussi très ferme (cétait une vraie sportive appris-je par la suite). Je descendis plus bas à la recherche de son jardin parfumé. Je la sentis qui écartait ses jambes pour y laisser pénétrer ma main, qui alla se caller entre ses cuisses. Elle eut un long frisson de plaisir et me prit la main pour lappuyer plus fort contre sa chatte. Même à travers le tissu de sa chemise et son string, je la sentais battre et palpiter sous ma main. Jarrêtai de la téter et me déplaça légèrement vers le bas pour être plus à laise dans la manuvre que jallais entreprendre et avoir une vue panoramique du spectacle qui allait soffrir à mes yeux. Je relevai le dessous de sa petite chemise sur son ventre et entrepris de lui arracher son string. Il céda très vite sous leffort et donna à ma vue une vision de paradis : un pubis rond et bombé avec une touffe de poils noirs (la coquine nétait pas rousse !) donnant sur une magnifique chatte dodue et longue, et totalement épilée. Pas une trace de poils alentour ! (Je me fis la réflexion quelle sétait préparée spécialement pour cette nuit ! Et cela me fit bander encore plus !)
Javançai ma main pour caresser cette bouche damour brillante de moiteur, ouverte et offerte à ma concupiscence. Au moment même où ma main se posa sur ses grandes lèvres (qui avaient une ressemblance inouïe avec les lèvres de sa bouche : aussi grosses, ourlées et dodues !) elle se tendit comme un arc et remonta le bassin, afin que ma main exerce une plus grande pression. Jentrouvris les grandes lèvres et contempla un moment le spectacle qui soffrait à mes yeux exorbités : des petites lèvres roses, un immense clito apparent et raide (elle bandait, la coquine !) et une entrée de vagin qui commençait à dégouliner de son jus visqueux. Je vins me placer entre ses jambes pour mieux jouir de ce spectacle de rêve et pendant quelques secondes je me posais la question de savoir si jallais la pénétrer là tout de suit ou bien la faire jouir avec ma bouche. Je linterrogeais des yeux, elle ne me fit aucune réponse ; elle attendait avec impatience de jouir. Peu lui importait comment. Joptais pour le cunnilingus.
Je mis ma tête entre ses cuisses que je lui fis relever très haut et entrepris de fourrer ma bouche sur et dans sa chatte. Je léchais, suçais, mordillais et aspirait pendant de longues minutes. De temps en temps je happais son gros clitoris tout dur entre mes lèvres, le mordait un peu pour tester sa sensibilité, le tétait et le titillais avec ma langue. Elle tortillait son bassin en gémissant et en criant de ne pas marrêter :
- Cest trop bon ! Continue ! Ne tarrête pas !
Et ma bouche entreprit de sintroduire à lintérieur de son vagin. Ny parvenant pas je lançai ma langue à lassaut du tunnel. Elle voulait aller au fond, mais était trop courte pour y parvenir. Nassima, criait toujours et poussait son bassin vers lavant pour aider ma langue à aller plus loin. Elle gémissait, se tortillait, disait des choses que je nentendais pas bien du fait que ses cuisses sont venues enserrer ma tête et que dune main elle la maintenant serré contre sa chatte, de peur de la voir se retirer.
Sa chatte coulait comme une fontaine, me donnant à boire à satiété. De temps en temps je retirai ma tête pour respirer un peu plus librement, mais surtout pour amener ma langue à lui lécher lanus et le mouiller. Je reprenais aussitôt le chemin de sa chatte et de son vagin. Ayant jugé que son anus était suffisamment mouillé, jy introduisis brusquement un doigt qui alla senfoncer dans son cul. Nassima redoubla ses gémissements. Cette nouvelle introduction lui faisait visiblement plaisir. Je faisais faire à mon doigt des mouvements de montée et descente en même temps quil tournait à lintérieur de son boyau. Ajouté au travail que faisaient ma bouche et ma langue sur et dans sa chatte, lintensité du plaisir de mon amante décupla. Elle ne tarda pas à avoir une première jouissance très forte qui menvoya dans la bouche une grande rasade de son jus que jeus du mal à avaler en une fois. Je continuai encore un moment à la sucer et à lui masturber le cul, ayant lintuition quelle ne tarderait pas à jouir de nouveau. C e quelle fit en poussant un long râle de plaisir et en déchargeant une autre rasade de son jus dans ma bouche.
Elle relâcha subitement tous ses muscles et senfonça dans le lit. Je restai un moment ma tête sur son pubis à respirer les effluves qui sortaient de son sexe et à lui caresser la petite toison quelle avait gardé pour rendre sa chatte encore plus appétissante. Et je vins mallonger tout à côté delle et lattirait contre moi pour lui faire sentir mon excitation. Mon sexe, qui avait atteint sa taille extrême, alla se frotter contre son bas ventre, cherchant la voie pour atteindre la terre promise. Cela lamusait de voir le terrible engin si désemparé. Elle le prit dans une main et le guida entre ses cuisses, mais sans les ouvrir, pour lui céder le passage. Elle voulait quil reste entre ses cuisses serrées et y fasse un mouvement de va et vient en allant se frotter au passage sur les grandes lèvres. Elle ne voulait pas encore de pénétration. Le mouvement daller-retour entre ses cuisses serrées, ainsi que le frottement contre ses grandes lèvres mouillées, faisaient monter la pression dans mon sexe qui nallait pas tarder à exploser sil devait continuer ce jeu. Je lui fis arrêter le mouvement en lui disant que je ne voulais pas déverser mon sperme à lextérieur. Je le voulais tout en elle. Elle mavoua bien plus tard, que ce frottement superficiel de mon sexe sur sa chatte lui rappelait ses premières aventures sexuelles quand elle était très jeune et quil lui était interdit de se faire dépuceler (elle appelait cela le « pinceau » !)
Moi je ny tenais plus. Il fallait absolument que je la tire pour libérer toute lénergie que javais emmagasinée. Je vins me mettre entre ses jambes que je forçais à souvrir encore plus. Je lui fis lever les genoux de manière à ce que ses pieds soient posés à plat sous ses cuisses, et vins poser mon gland entre ses grandes lèvres. Jattendais ce moment depuis si longtemps. Je la regardais qui épiait le moment où mon engin allait la pénétrer. Elle avait les yeux brillants et la bouche ouverte. Je lui souris et en même temps, dun coup sec, je pénétrais dans le paradis. Elle eut un gémissement de plaisir et ses mains vinrent agripper mes reins pour mattirer vers elle et me garder au fond de son vagin. Celui-ci était brûlant, large et visqueux.
Ce nétait pas un vagin de jeune fille ou de jeune femme ; cétait un vagin de femme mure, largement ouvert et dégoulinant de mouille. Un vagin qui exigeait un membre de bonne dimension pour le satisfaire. Le mien était dune bonne taille et pourtant pour la satisfaire je dus déployer le grand jeu : faire tourner mon bassin de manière à ce quil entraîne mon sexe dans son mouvement circulaire. Ainsi je frottais sur lensemble de la paroi du vagin et lui donnai la sensation dun plus gros zob qui la remplissait totalement. Elle aima la manuvre quelle accompagna dun mouvement analogue de son bassin, mais en sens inverse. Cétait divin ! Elle aimait tellement quelle se mit à crier des insanités :
- Tu baises comme un Dieu, mon salaud ! Tu sais ty prendre pour faire jouir les vieilles putes comme moi ! Continues, ne tarrêtes surtout pas ! Baises moi encore plus fort ! Dis-moi que tu ne tarrêteras pas et quon recommencera tout de suite après ! Je vais jouir ! Je vais jouir très fort !
Et effectivement elle déversa une première fois, en accompagnant sa jouissance dun long râle. Moi je narrêtai pas pour autant le mouvement des mon bassin. Au contraire, jallai plus vite. Au bout dun moment, elle se remit à gémir, sentant le mouvement saccélérer dans son vagin ; elle souleva un peu la tête pour regarder la manuvre et admira lengin qui entrait et sortait de sa chatte. Elle sourit en disant « cest beau ! » reposa sa tête et se remit à faire bouger ses hanches pour nous donner plus de plaisir. Elle me dévisageait en attendant de voir le moment ou jallais exploser en elle. Ca lexcitait au plus haut point de me voir la tirer avec tant dardeur ; de sentir mon manche la pénétrer profondément ; de mentendre ahaner comme un boxeur qui cogne sur un sac de sable ; de sentir la jouissance monter en moi ; de voir mes traits se tirer, ma bouche souvrir très grand et laisser sortir des torrents de salive. Et puis jéclatais en lui envoyant plusieurs flots successifs de foutre dans sa chatte, en poussant un interminable gémissement de mourant. Exténué, je tombais sur elle qui resserra ses bras sur moi en membrassent tendrement sur tout le visage. Je mattendais à ce quelle jouisse une deuxième fois avec moi. Mais elle ne le fit pas. Elle semblait avoir eu son compte au cours de sa dernière jouissance.
Nous restâmes allongés un moment sans rien dire. Et puis elle se remit à me parler de sa vie amoureuse. Elle mavoua quelle avait beaucoup flirté quand elle était jeune, mais quelle était restée vierge jusqu'à ce quelle se marie une première fois, à lâge de dix neuf ans. Elle avait beaucoup aimé ce premier mari, qui était beau et fort. Il lavait totalement subjuguée. Et puis, il était beau parleur ! Si bien quelle avait accepté de lépouser, sans même penser à la vie quils pouvaient avoir ensemble. Il navait pas de logement propre et le couple était donc obligé de vivre avec la mère du mari ; une maman méditerranéenne, qui navait jamais coupé le cordon ombilical qui la liait à son unique .
Sa vie avait été un enfer avec cette femme. Elle était très bien avec son mari, mais la jalousie de la maman lui avait rendu la vie impossible. Laventure avait tout de même duré deux ans, le temps daccoucher dune fille et de souffrir encore plus de léloignement de son mari qui sétait avéré totalement immature. Il ne supportait pas la présence du bébé qui, disait-il, lui avait volé sa place. Elle sen retourna donc chez ses parents. Le temps de trouver un travail (linspection des impôts, quelle na, depuis, jamais quittée) et un logement (de fonction) dans lequel elle avait élevé, seule, sa fille Nawal, jusquà son deuxième mariage.
Son deuxième mari était encore plus beau que le premier ; et tout aussi viril. Avec lui elle avait atteint les sommets de la jouissance sexuelle. Elle avait fait lamour avec lui bien avant le mariage. Elle mavait avoué quelle lui avait pratiquement la main pour quil lépouse. Elle savait quil était volage et totalement égoïste. Elle nen avait cure ; elle était folle de lui ! Souvent, il lui arrivait de découcher en prétextant quil avait passé la nuit avec des copains, à jouer aux cartes. Elle supportait tout de lui, surtout quils avaient eu ensemble une superbe fille quils avaient prénommé Amal, (lespoir !). Le drame qui avait amené la séparation eut lieu quelques années après leur mariage. Le mari avait cessé de travailler depuis plus dune année et vivait aux crochets de sa femme. Il passait le plus clair de son temps dehors, à jouer, et perdre, aux cartes ou à dormir jusquà midi.
Nawal la grande fille venait davoir dix huit ans. Elle était déjà magnifique. Il flasha sur elle et un matin, il la viola. Nawal ne dit rien jusquau moment où elle tomba enceinte et se vit obligée de tout raconter à sa mère. Le ciel lui tomba sur la tête. Elle chassa son mari et soccupa de trouver un médecin qui accepterait de pratiquer un avortement sur sa fille. Elle dut emprunter une grosse somme auprès dun ami et trouva un docteur qui pratiquait lavortement illégal. Tout se passa bien du point de vue médical. Mais Nassima ne pardonna jamais à son aînée davoir, selon elle, brisé son foyer et mit un terme au plus grand amour de sa vie. Elle lenvoya vivre chez sa grand-mère maternelle. Elle a maintenant trente ans et ne lui parle toujours pas.
Jeus le cur serré en écoutant cette triste histoire. Je ne voulais pas quon en reste sur cette note triste. Je lui proposai de rester avec moi le week-end et daller faire un tour en Kabylie où javais un pied à terre qui nattendait que nous. Elle accepta, toute heureuse de sévader un moment. Elle appela sa fille Amel (Il devait être plus de minuit !), la réveilla et lui dit de ne pas sinquiéter ; quelle était avec lami dont elle lui avait parlé laprès midi et quelle allait partir avec lui en week-end en Kabylie. A lautre bout du fil je sentais la fille agacée davoir été réveillé pour si peu de chose. « Cest la prunelle de mes yeux » me dit-elle.
- Elle est belle comme un cur ; un jour je te la présenterai. Je lui ai déjà parlé de toi en lui disant quon allait manger ensemble et que probablement je resterai avec toi pour la nuit. Oui, nous nous disons absolument tout. Même ces choses là ! Elle est entrain de terminer des études dinterprétariat et pense travailler dans la diplomatie.
Nous fîmes encore une fois lamour avant de dormir (cette fois-ci je la pris à la levrette, la meilleure façon daprès moi de tirer delle le maximum de jouissance). Nous partîmes en Kabylie, tôt le jeudi matin. Nous fîmes toutes sortes demplettes en cours de route. Et nous arrivâmes dans le joli petit village de bord de mer, qui en cette période de lannée était totalement vide. Nous y passâmes deux journées entières en promenade sur limmense plage et en faisant lamour, y compris sur le sable dans une crique retirée. Nous rentrâmes à Alger le samedi matin en passant par le bureau pour quelle récupère sa voiture et quelle rentre chez elle (elle ne travaillait pas les samedis).
Nous nous revîmes régulièrement, la plupart du temps chez moi. Nous continuâmes à prendre du plaisir ensemble, jusquau jour où elle mannonça quelle allait se marier. Je nen crus pas mes oreilles ! Javais totalement oublié que, déjà le premier jour, elle mavait annoncé quelle était pratiquement fiancée. Je ny avais pas prêté attention. Jétais comme un boxeur mis KO mais qui refuse de sécrouler. Jétais assommé.
- Pourquoi ? Jai fait quelque chose qui ta déplu ? Tu nes pas bien avec moi ?
- Non répondit-elle, un peu triste. Cela fait longtemps que jai promis à mon ami de lépouser. Je tai dit quil avait pris sa retraite anticipée et quil sest lancé dans laventure de la profession libérale. Ce que je ne tai pas dit, cest que cest quelquun de très bien. Qui ma toujours soutenue quand jen avais besoin ; qui ma dépannée en argent dans des moments difficiles ; qui a toujours été là pour moi. Il ne ma jamais rien demandé en contrepartie. Il est devenu veuf, il y a une dizaine dannée. Et il na pas voulu refaire sa vie avec quelquun dautre que moi. Il a tout accepté de moi, même les quelques aventures que jai eues avec des hommes. Il na même jamais voulu faire lamour avec moi, attendant patiemment le mariage. Ces jours-ci, comme sil avait senti que jallais lui échapper, il est revenu à la charge. Je nai pas voulu le rendre plus malheureux. Je pense même que jai de la tendresse pour lui. Et puis, il a une bonne situation, une grande maison et pas ds. Toi tu es fort, tu sais te dé brouiller. Tu es un séducteur et je sais que tu ne resteras pas seul longtemps. Jai passé avec toi des moments merveilleux, les meilleurs de ma vie avec un homme. Mais tout a une fin.
Jai eu du mal à accepter cette nouvelle. Jai tempêté, crié, supplié, menacé ; rien ny fit ! Elle sen alla et je ne lai pratiquement plus revue seule. Elle se maria effectivement quelques semaines plus tard et eut même le culot de minviter à son mariage. Et moi celui dy aller pour vivre les derniers instants de mon amour !
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