Ma Belle Mère (Suite)

Ma belle mère (suite)

Souvenez-vous je suis Pierre, je vais à votre demande, vous raconter la suite de mon histoire avec ma belle mère. Comme je vous avais informé dans mon premier récit, ma femme est une femme volage. Aussi moi je suis devenu un peu homo, j'ai un copain Pascal avec ce meilleur ami nous sommes en couple depuis environ 4 ans. Ma femme et ma belle mère étaient au courant de cette situation.

Depuis quelques temps notre couple (homo) est tombé dans une sexualité plutôt monotone et une lassitude à en mourir. Depuis que nous avions rencontré la mère de mon épouse, nous étions tombés d'un commun accord que cette femme était en quelque sorte l'objet de nos fantasmes et de nos conversations la plupart du temps où Pascal et moi étions ensemble.

Et il y a de quoi, cette femme et une femme charmante, ayant des caractéristiques féminines qui ne laissent pas un homme indifférent, en d'autres termes une assez forte poitrine et de belle fesses bien rondelettes. Outre ses qualités physiques ma belle mère est une femme assez conviviale, affichant un large sourire à chaque instant qu'il fasse beau ou mauvais.

Cela faisait maintenant plus de six ans qu'elle avait divorcé de son mari, et aucun homme officiel n'était intervenu dans sa vie. A chaque fois, pour rendre une petite visite à ma belle mère (toujours sans ma femme) Pascal et moi nous nous faisions un plaisir ne serait ce que pour apercevoir la femme de nos convoitises qui éveillait en nous des pulsions sexuelles, que peut être la plupart d'entre vous qualifieront d'immorales.

Immoral ou pas, Pascal et moi avions convenu que nous devions tenter le coup car le désir devenait trop intense, nous étions décidés de passer à l'attaque, mais nous attendions le moment opportun.
Un jour ma femme avait gagné un voyage à deux pour les Baléare grâce à un jeu télé, au lieu d'y amener son homme elle décida de partir pendant une semaine en vacances accompagnée d'une copine, ce qui nous laissait l'occasion de mener à bien notre plan.



Samedi soir alors que mon épouse étaient probablement en train de siroter un cocktail au bord de la plage, Pascal et moi étions en train de nous rendre en direction de la résidence de ma belle mère, accompagné de 3 douzaines d'huitres bien fraiches, un grand plateau de fruit de mer, et de 3 bouteilles de vins blancs et du champagne. Nous ne l'avions pas du tout prévenue de notre passage. Lorsqu'elle vint ouvrir la porte elle fut toute étonnée de nous voir.

- Bonsoir belle maman ! Votre fille est aux Baléare, on vient vous faire une petite surprise et vous tenir compagnie pour que vous vous sentiez moins seule ce soir .

Elle était visiblement ravie de nous voir et nous fit rentrer sans aucune hésitation, elle n'était vêtue que d'une nuisette blanche et alla à son placard se recouvrir une robe de chambre pour notre plus grande déception. Nous discutions de ci et de rien pendant toute la durée du repas lui servant le plus souvent possible des verres de vins pour la rendre plus gaie, ce qui visiblement marchait, et dès que son regard allait en direction de son assiette nos yeux plongeaient profondément dans son large décolleté qui laissait entrevoir ses deux belle mamelles.

A la fin du repas alors que nous avions bien bu et manger nous nous assîmes chacun dans un fauteuil et ma belle mère s'assit dans le canapé, nous abordions alors différents sujets, elle essayait de parler des relations que nous avions chacun, avec sa fille, et aussi moi avec Pascal, mais nous essayions de changer la conversation sur d'autre choses, jusqu'à ce nous abordions le sujet de son divorce.

Nous lui demandions si depuis son divorce, elle avait eu d'autres hommes en vue, etc. elle nous répondit par la négative, nous dit aussi que cela ne nous regardait pas, nous prîmes alors un air désolé pour sa situation de femme seule et essayions d'aller un peu plus profondément dans le vif du sujet.

Je pris mon verre, le posai sur la table basse, et vint m'asseoir dans le canapé sur la droite de ma belle-mère, enlaçai mon bras autour de ses épaules et lui dis d'un ton admiratif :

- Vous êtes vraiment courageuse belle maman, J'ai énormément de respect pour vous.


Elle tourna timidement la tête dans ma direction et me répondit par un sourire. Puis Pascal vint à son tour s'asseoir à sa gauche et mit sa main sur son autre épaule, puis lui demanda :

- Mais ça vous manque pas de ne pas avoir un homme .

Embarrassée elle répondit :

- Oui bien sur !!!


- Donc si je n'en crois ce que vous dites cela doit faire bientôt plus de sept ans que vous n'avez pas fait l'amour.

- Oui ! sept ans avec un homme attitré, sept ans à peu près.

A ce moment ma main droite alla se poser sur la cuisse dénudée de ma belle mère la parcourant d'une longue caresse sur sa peau satinée, tandis que Pascal léchait le cou de la cette femme qui nous faisait tant bander.

- Arrêtez ! qu'est ce que vous faites !!!

- Nous vous voulons du bien, c'est tout.

Ma main remonta sa cuisse poussant au passage le bas de sa nuisette et essayant de se faufiler un passage jusqu'à son sexe, mais sa main bloqua mon poignet.

- Stop, je vous rappelle Pierre que vous vivez avec ma fille tout de même !!!

- Mais votre fille a besoin de sa mère, et sa mère a certains besoins, et nous, nous sommes là pour les combler, laissez vous faire, il n'est pas bon de retenir ses pulsions physiques.

Ma belle-mère lâcha alors ma main qui vint frotter directement sa toison pubienne, tandis que mes doigts se promenaient sur les lèvres enflées de son vagin. Sa respiration devenait de plus en plus rapide, Pascal continuait à lui lécher le cou, alors que ma langue, elle, glissait le long de son épaule droite, elle paraissait à la fois remplie d'extase et de remords.

- Oh mon Dieu, mais qu'est ce que je fais s'écriait elle.

N'ayez aucun soucis, votre fille ne saura jamais rien de ceci, nous voulons juste prendre soin de vos besoins sexuels, et vous pourrez toujours compter sur votre gendre pour cela , Pascal prit alors des deux cotés la nuisette et la retira laissant à notre admiration ses deux gros seins devant nos yeux.


Je caressais sa chatte et son sein droit en même temps d'une manière presque religieuse la complimentant de " Vous êtes si belle, je ne comprends pas comment une beauté comme vous peut elle passer sept ans de sexe.

Belle maman était maintenant assise complètement nue entre nous deux, dont chacune des mains pétrissaient avec passion et avidité le corps charnel de la mère de ma femme. Nos bouches étaient en train de téter passionnément sa grosse poitrine qui était petit à petit empreinte de notre salive, tandis que nos mains pétrissaient, caressaient, et chatouillaient cette vulve qui commençait à reluire tant ses sécrétions étaient abondantes.

Ma belle mère s'abandonnait peu à peu dans une pose des plus obscènes, écartant pour faciliter notre masturbation ses cuisses, et poussant de doux râlements :

- Oh, c'est vraiment mal ce que nous faisons, oh ! oh mais c'est si bon !!!

Au bout de cinq minutes nous la fîmes se lever et lui demandions de bien vouloir reposer sur un pied, tandis que l'autre reposerait sur le canapé, ce quelle fit, puis Pascal et moi nous abaissâmes, moi devant et lui derrière afin de lui lécher la chatte à deux. Pascal lui fourrait son visage dans son cul afin que sa langue puisse atteindre la fente que nous vénérions, tandis que moi j'avais le nez qui frottait dans ses poils, et que ma langue titillait le haut de ses lèvres vaginales et son clitoris.

Je crois que c'était la première fois que belle maman se retrouvait dans une telle position entre deux hommes qui s'occupent aussi bien de son gros minou, elle semblait dans un état second, dans une condition de nirvana. Chacune de ses mains était placée sur nos têtes, glissant ses doigts entre nos cheveux, comme pour caresser un bon toutou suite à une bonne action.

- Oh mon dieu !!! c'est divin disait elle en haletant.

Au bout de quelques instant cette situation tout à fait malsaine nous avait excité au plus haut point, nous nous relevâmes enlevant nos vêtements jusqu'à être complètement nus, nos deux verges gonflées au maximum en sa direction.


- Regardez ! Deux bonnes queues rien que pour vous lui dit Pascal avec un regard pervers.

Face à nos deux bites en rut, elle commença à paniquer, et à devenir plus lucide qu'il y a deux minute :

- Attendez, nous devrions réfléchir avant de faire une chose pareille.

- Non ! répondis je Il est désormais impossible de faire marche arrière, nous sommes désormais vos deux amants, et nous le resterons pour longtemps, à moins que vous ne vouliez que votre fille ne soit mises au courant.

- Non surtout pas !!!

- Alors laissez nous nous occuper de vous, vous verrez, tout va très bien se passer.

Pascal l'agrippa par les hanches et lui dit :

- Cambrez vous sur le coin du fauteuil que je vous prennes en levrette, voilà comme ça, relevez bien le cul pour que je puisse avoir plus de facilité à la rentrer. Voilà, super !!!

Belle maman reposait sur ses deux genoux sur l'accoudoir du fauteuil, tandis que Pascal pris sa verge dans sa mains la dirigeant à l'intérieur du con de ma belle mère.

- Oh ... Pierre, si tu savais comme c'est bon à l'intérieur, c'est tout chaud et humecté de sa mouille, ça glisse aussi bien qu'un surf sur une vague !!!

Visiblement mon pote était en train de prendre son pied en limant par des vas et viens la fente par laquelle était venu au monde ma propre femme, alors que belle maman recommençait à prendre goût à nos jeux malsains. Je pris alors mon phallus et l'approcha du visage de ma belle-mère, mais elle n'ouvrait pas la bouche, j'entrepris donc de caresser sa face avec mon gland, le laissant glisser sur ses lèvres, sur son menton, sur ses joues, et même sur son nez, ses deux bras étant occupés à tenir lavant de son corps en équilibre elle n'avait pas la possibilité d'empoigner ma bite, je lui demandais de bien vouloir déposer sur mon gland de sa salive, ce quelle fit. Je recommençais à caresser mon gland sur son visage, laissant une trainée de sa propre salive sur sa peau.

- Vas y Pascal , baise la plus vite !!!

Il redoubla alors d'énergie et Ma belle-mère se mis alors à crier :

- OOOHHHhhh.

Je saisis alors l'opportunité que sa bouche soit grande ouverte pour y engouffrer ma bite à l'intérieur, tenant sa tête entre mes deux mains, puis je fis coulisser par des aller-retours ma verge entre ses lèvres buccales, j'étais au summum, la meilleure sensation que j'ai pu vivre de toute mon existence, moi Pierre j'étais en train de pénétrer de mon sexe la bouche de ma belle mère qui avait presque deux fois mon âge, tandis que mon meilleur ami était en train de la culbuter par derrière, c'était la chose la plus perverse, la plus vicieuse que je faisais dans ma vie, mais aussi de loin la plus excitante et la plus exquise que mon corps et mon esprit ressentaient.

Cette vision de ma belle mère dont le corps, les fesses, et les seins ondulaient par la force de nos coups de reins me donnaient bientôt l'envie de jouir, mais je désirais garder ce moment pour plus tard. Je sortis donc mon membre enflé et raide de sa bouche, un fil de salive reliant le bout de mon gland de ses lèvres se fendit et vint se coller à son menton qu'elle essuya en passant la langue.

J'attendais deux minutes, pour que mon pieux perde de sa vigueur et observais pendant ce temps Pascal faisant de rapides va et viens dans la moule de ma belle-mère, créant un bruit régulier de clapets comme deux mains qui applaudissent, alors que ma belle mère était à son comble et fermait les yeux comme pour se concentrer sur son plaisir charnel. Après un certain moment d'attente je décidais d'y retourner.

Pascal ! Laisses moi venir à ta place.

- Belle maman, sil vous plait, venez plutôt vous étendre sur la moquette.

En se retirant je vis du sperme, il me semble, recouvrant la queue de Pascal, et quelques gouttelettes ruisselaient autour de la magnifique chatte de ma belle mère, mon pote avait apparemment éjaculé dans les entrailles de ma belle mère, mais son pénis était toujours en vigueur, mon pote est un dur à satisfaire.

Belle maman s'allongea donc sur le dos, les cuisses écartées comme pour me souhaiter la bienvenue dans son sanctuaire humidifié par de la sève blanche masculine mélangée à ses sécrétions féminines. Pascal avait raison, ce sexe était d'une chaleur accueillante exceptionnelle.

- Oh belle maman, si vous saviez ! ça fait tellement longtemps que j'attends ce moment, vous êtes tellement bandante et bonne !

Me regardant droit dans les yeux elle me répondit :

- Promettez moi que jamais personne ne sera au courant de cela.

Continuant mes étreintes entre ses cuisses suaves je répondis :

- Nous vous le jurons, nous voulons votre bonheur, et bien évidemment celui de votre fille. Mais vous devez nous promettre quelque chose en retour dit Pascal.

- Quoi ?

- Eh bien que nous resterons vos fidèles amants jusqu'à ce que vous vous remettiez avec un autre homme.

- Dans ces conditions j'accepte dit elle.

Je continuais à ramoner de ma bite sa pépette avec une régularité qui n'aurait rien eu à envier à un puits à pétrole, tandis que Pascal sirotait un verre de champagne la queue en l'air. Belle maman était en sueur totale, déjà qu'il s'agissait d'une chaude nuit d'été, nos corps actifs créaient dans la pièce une chaleur supplémentaire.

Je n'étais pas loin de l'explosion, je suis même à deux doigts de jouir. Je retirais d'un coup sec mon manche de ce trou que j'avais travaillé durant une dizaine de minutes et branlais ma bite au dessus de sa chatte. Un cri de jouissance m'envahit et il sorti de mon urètre une grande quantité de sperme chaud et gluant qui vint se coller dans sa toison pubienne, c'était sans aucun doute la meilleure baise de ma vie.

Je me ressaisis et allais vers la table me servir une coupe de champagne, tandis que belle maman restait allongée, et étalait de sa main droite le sperme entremêlé dans ses poils pubiens.

- Ah ! c'était vraiment bon disait-elle.

- Parce que vous croyez que c'est déjà fini ? rétorqua Pascal.

Il alla se coucher sur le dos sur le canapé. Allez venez me chevaucher belle-maman !

- Encore !!! dit elle.

- Eh bien oui ! il faut bien rattr ces sept ans d'abstinence.

Elle bue un verre de champagne et se positionna au dessus de la verge de Pascal et s'empala d'un coup sec jusqu'à ses testicules, la machine sexuelle s'était remise en marche. Regardant le spectacle torride qui s'offrait à mes yeux une idée me vint. Je sorti du living room pour aller dans la salle de bain chercher un produit qui soit assez lubrifiant, j'avais d'abord trouvé de la crème, puis de huile pour peau de bébé. Je pris donc le flacon et retournais dans le salon où les deux amants continuaient à copuler d'une façon presque bestiale.

J'enduis ma belle queue d'huile et demandais à Pascal de bien vouloir positionner ses fesses sur l'accoudoir du canapé, il la souleva pour rester à l'intérieur d'elle, et fit comme je lui avais demandé. Je vins alors derrière cette chère belle maman et lui écartais les fesses pour apercevoir sa petite rondelle qui apparemment n'avais jamais été travaillée.

- Que faites vous Pierre ? Non ! je n'aime pas cela !

je persistais mais elle continuait :

- Jai déjà essayé et ça ne m'a pas plu, arrêtez !!!

- Si vous n'avez pas aimé c'est que la personne avec qui vous l'avez fait ne s'y connaissait pas, laissez moi faire, vous aurez d'autres sensations.

au fur et à mesure que mon phallus s'enfonçait dans son anus elle poussait des Oh mon dieu ! oh mon dieu !. Ca y est, malgré son rectum étroit j'avais poussé ma bite au plus profond de son cul et j'enclenchais mon mécanisme. D'un coté ma queue retrait dans son trou de balle et de l'autre celle de Pascal s'occupait de son vagin. Elle était prise en sandwich entre deux jeunes hommes. Bien quelle semblait ne pas apprécier au début, elle se lâcha telle une chienne en chaleur au bout de quelques minutes :

- Oh ! oh ! je ne savais pas que de telles choses puissent être aussi bonnes, je pourrais rester là à me faire prendre pour l'éternité tellement c'est bon !!!

Ensuite nous fîmes tous les trois l'amour pendant toute la nuit, je pourrais vous raconter nos petits jeux pervers comme masturber sa chatte avec le goulot de la bouteille de champagne, etc, mais cela risquerait d'être trop long. Elle nous avoua le lendemain matin quelle avait dû avoir une bonne vingtaine d'orgasmes durant la nuit, et que coucher avec deux jeunes hommes l'avait rendue plus heureuse quelle ne l'était même si je suis son gendre.

Cela fait maintenant presque un an que cela a commencé, et nous continuons toujours avec mon copain Pascal à faire l'amour à ma belle mère même si ma femme ne le sais pas, et quand mon épouse est de nouveau absente on se retrouve chez belle maman pour des parties à trois, il est vrai que cette aventure est peut être malsaine, mais notre plaisir sexuel est chaque fois au summum! Qu'en pensez vous ?

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