Nassima Et Ses Filles: Deuxième Partie: Nawal
NASSIMA ET SES FILLES
Deuxième partie
NAWAL
La cérémonie de mariage se déroula simplement dans une de ces salles des fêtes qui pullulaient dans Alger. Nassima me présenta, en tant quami de la famille, à son mari, un petit vieux tout défraîchi, qui était aux anges, puis lenvoya soccuper des invités qui venaient darriver. Elle profita de son absence temporaire pour me présenter les deux filles qui se tenaient à ses côtés : Nawal, une magnifique brune, grande et élancée, le teint mat, de grands yeux noirs, une immense bouche entourée de lèvres pulpeuses, un petit nez droit, un montant volontaire, un cou très long, lisse et brillant et un sourire provocant sur les lèvres. Cétait la sensualité personnifiée ! Il me paraissait évident quelle cultivait cette apparence de sensualité provocante et quelle en jouait pour aguicher le mâle.
Amal, sa deuxième fille était elle aussi très belle, bien que paraissant plus sage. Elle devait avoir vingt et un ou vingt deux ans. Elle était le sosie de sa maman quand elle était plus jeune. La même corpulence, bien que moins prononcée ; la même poitrine envahissante et provocante ; les mêmes rondeurs là où il fallait, la même peau blanche. Javais plus flashé sur Amal que sur Nawal. Elle me rappelait tant sa mère ! Etant au courant de mes sentiments pour sa maman, elle avait été aux petits soins pour moi, tout le temps que je restai là. Nawal, elle, passait le plus clair de son temps à tortiller son popotin au cours de danses lascives et provocantes. Elle neut pas un regard pour moi. Et cest pourtant elle que je revis la première. Devinez où ?
Dans mon bureau, quelques semaines plus tard. Soraya, mon assistante vint mannoncer la visite de quelquun que je connaissais mais quelle, elle ne connaissait pas (cétait sa manière à elle de me reprocher la chose).
- Cest une bombe ! dit-elle ; jai bien peur quelle ne texplose dans les mains. Fais bien attention à elle.
- Cest qui ? » lui dis-je.
- Une certaine Nawal.
Je mis un temps pour me rappeler de qui il sagissait et puis me souvenant de la magnifique plante, à la sensualité torride que javais croisée au cours du mariage de sa mère, jai hésité un moment pour la recevoir. Peut être que cest Nassima qui me lenvoyait pensai-je, feignant doublier quelles ne se parlaient pas.
- Fais la entrer ! lui dis-je.
Soraya avait raison. Cétait bien une bombe qui pénétrait dans mon bureau. Une petite robe blanche très courte et très collante (au moins deux tailles en dessous la normale!) mettant en valeur tout ce quelle voulait montrer : une poitrine volumineuse dont les seins pointaient vers lavant, tels des obus de très gros calibre. Faisant contrepoids à la poitrine, un fessier tout aussi volumineux, rond et bombé. Une taille de guêpe. Des hanches larges. Des jambes longues, fortes et faites au moule. Des genoux ronds qui exciteraient un aveugle. Et son visage qui rayonnait de sensualité : avec ses grands yeux noirs provocants, son immense bouche pulpeuse et son sourire aguicheur, elle était capable de détourner du droit chemin nimporte qui, y compris un saint. Je ne connais personne capable de la regarder sans éprouver lenvie de la tirer. Elle avait, posé sur son bras, un long manteau noir, me faisant penser quelle le portait à lextérieur et quelle navait dû lenlever quau moment dentrer dans le bureau de Soraya. Je mavançais vers elle, le bras tendu devant moi, pour lui offrir une poignée de main franche et amicale. Elle ignora ma main et préféra me faire la bise. Cela commençait bien !
Je la fis asseoir sur le grand fauteuil en faisant une prière pour que sa robe néclatât pas. Elle résista mais remonta tellement haut quelle découvrit et ses cuisses et son entrecuisse. Et le petit triangle de son string rouge qui laissait tout deviner de son jardin parfumé. Jessayais de ne pas regarder, mais mes yeux étaient attirés comme un aimant par le spectacle.
- Je suis belle, nest-ce pas ? Tu as envie de me tirer, là tout de suite ! Je suis venue pour cela. Jai appris récemment que tu as été lamant de maman. Or tous les amants de maman doivent devenir les miens. Les amants précédents, je les lui ai tous enlevés ! Toi, elle ta gardé au secret ! Je ne lai su que pendant la fête, en voyant la manière dont tu la regardais et ton air malheureux. Jai cuisiné Amal et elle a fini par mavouer votre relation, en me disant quelle était heureuse que je naie rien pu faire pour vous séparer. Mais quimporte, elle souffrira beaucoup quand elle apprendra que tu mas sautée, comme mont sautée tous ceux quelle a aimés, son mari y compris.
Jétais totalement abasourdi par cette entrée en matière. Je ne savais absolument pas quoi dire ou faire. Elle continua son soliloque :
- Elle ta raconté pour son mari ? Bien sûr ! Mais cest son histoire à elle quelle ta racontée ; pas la vérité ! Elle ta dit que son mari mavait violée et quà la suite de cela je suis tombée enceinte ; et quelle ma fait avorter. La réalité est toute autre. Tu veux que je te la raconte ? Tu veux que je te raconte comment je me suis fait dépuceler par mon beau père ! Tous les amants de ma mère ont bandé comme des ânes quand je la leur ai racontée. Voila ce qui sest réellement passé : à dix huit ans, jétais une femme. Javais tout ce quil fallait : une belle croupe ; des jambes magnifiques; des seins qui avaient déjà un volume appréciable, la bouche que jai maintenant ! Et par dessus tout une envie très forte de faire lamour ! Toutes les nuits, pendant des années, depuis que javais lâge de quatorze ans, jentendais maman et mon beau père senvoyer en lair comme des bêtes. Jentendais ma mère prendre son pied et crier son plaisir. Je lentendais dire des cochonneries sur la taille du zob de son mari ; sur tout le bien quil lui faisait quand il la pénétrait de partout.
- Arrête, sil te plait, je ne veux pas connaître la suite. Cela ne mintéresse pas. Ma relation avec ta maman a pris fin le jour de son mariage. Il ny a donc aucune raison pour que tu me racontes, ce qui sest passé, il y a si longtemps.
Sans mécouter, elle continua son histoire, semblant prendre un malin plaisir, à décrire les détails les plus scabreux et les plus croustillants.
- Cela mexcitait beaucoup et je mouillais ma culotte en les écoutant. Jessayais même de me rapprocher pour tenter de les voir entrain de copuler comme des bêtes ; je ny arrivais pas, la porte était toujours fermée. Je passai mon temps à me masturber et à jouir en imaginant tout ce quils faisaient. Je rêvais dêtre à la place de ma mère et de me faire enfiler par mon beau père. Je le trouvais beau et superbe ; un étalon qui était fait pour moi, pas pour elle. Et puis un matin, jai décidé de ne pas aller au lycée et de rester à la maison avec lui. Il ne travaillait plus et faisait tous les jours la grasse matinée. Maman partie à son travail, je rentrais dans la chambre à coucher, feignant de chercher quelque chose dans larmoire. Je savais quil ne dormait pas et quil me regardait. Je navais rien sur moi, sinon un grand tee-shirt qui marrivait au dessus des genoux. Je savais quil laissait tout deviner de mon corps. Je savais quil me regardait et quil bandait et quil avait envie de me tirer. Il nosait pas bouger ; il faisait toujours semblant de dormir. Je mapprochais du lit et je remarquais la tente que faisait son sexe dressé avec le drap. Je soulevais doucement le drap pour le contempler à mon aise.
« Il ny tint plus et me tira par le bras et me balança sur le lit. Jétais folle de joie ; jallais connaître les mêmes sensations que celles que connaissait maman toutes les nuits. Il mallongea brutalement sur le lit, déchira mon tee-shirt et se plaça entre mes jambes « tu en veux salope, et bien je vais ten donner ! » ne cessait il de répéter. Il navait aucune douceur ; il avait envie de me défoncer la vulve, sans plus.
« Quand il eut fini, après avoir déversé une tonne de sperme dans mon vagin, il sortit son sexe tout rouge de sang et regarda le drap qui en était rempli. Il prit peur et ne savait plus quoi faire. Je lui ai dit de ne pas sen faire. Je me levais, le sang encore coulant de mon sexe, pris le drap du lit, messuyai avec et alla le porter dans ma chambre. Je changeai le drap du lit de maman en en prenant un autre dans larmoire et allai me recoucher près de mon beau père. Comme si cétait moi sa femme ! Il joua le jeu et me prit dans ses bras. Jétais encore toute nue. Je sentais quil me désirait encore. Moi aussi jen voulais encore ; mais pas par le vagin qui ne pouvait pas supporter une seconde pénétration, ce jour là. Non par le cul ! Je savais quil aimait cela et que maman aussi aimait beaucoup quil la baise par derrière. Moi aussi jen voulais ma part ! Et je le lui dis, aussi simplement »
« Son sexe quil avait entre temps lavé qui le souillait, avait repris sa belle taille danimal en rut. Il frétillait à lidée quil allait défoncer un cul vierge, après avoir éclaté une chatte. Je lui demandais de mexpliquer la position que je devais prendre pour quil mencule, comme il le faisait avec maman. Il me fit mettre à quatre patte au bord du lit, resta debout derrière moi, mécarta les fesses, mit un peu de salive sur son sexe et sur mon anus, y plaça le gland de son énorme gourdin et me lenfonça dun seul coup. Jai hurlé de douleur. Je crois que je navais jamais eu autant mal. Même quand il mavait dépucelée tantôt. Mais il ne sest même pas arrêté un instant, en mentendant crier ; il continua de pilonner mon cul en force en faisant de longs mouvement de va et vient. Mon cul était très serré. Il a fallu longtemps pour que son gourdin lélargisse et quil pénètre plus facilement. Quand mon cul fut bien lubrifié et que son zob y évoluait plus facilement, je sentais monter lexcitation en moi. Surtout quà ce moment là il sest aussi occupé des mes seins quil massait en même temps quil menculait. Le plaisir devenait de plus en plus intense. Je me rappelais les cris de ma mère entrain de se faire pilonner le cul. Je les reproduisis presque inconsciemment. Javais pris sa place ; cétait moi quil baisait; pas elle ! Cela me faisait jouir encore plus fort. Il déchargea dans mon cul aussi fort quil lavait fait dans ma chatte. Jai joui en même temps que lui. Jai rejeté tout son foutre à lextérieur. Heureusement quil était tombé par terre, pas sur le lit ; sinon jaurai dû changer le drap une seconde fois. »
« Cette fois-ci mon beau père membrassa tendrement, comme si jétais sa femme. Je me blottis contre lui et lui dis que maintenant, il mappartenait. Quil nappartenait plus à ma mère ! Cela lavait un peu contrarié. Il mexpliqua que jétais trop jeune ; et que si quelquun apprenait ce qui venait de se passer, cela irait très mal pour lui. Il fallait rester comme cela ; faire lamour de temps en temps en cachette et prendre le plus de plaisir possible. Lui il était content, il avait la mère et la fille en même temps. Cela dura comme cela presque une année. Une année où jétais heureuse et au cours de laquelle, jétais devenue une vraie femme ; sa femme ! Jusquau moment de cette maudite grossesse que maman découvrit, parce que mon amant ne savait pas quoi faire. Il était perdu et paniquait à lidée du scandale. Jai fini par dire à maman que jétais enceinte tout en refusant de lui dire de qui. Elle me fit avorter et puis après mavoir traité de tous les noms de putes qui pouvaient lui passer par la tête, elle mordonna de lui dire qui lui avait fait cela. Elle minsulta tellement pour mhumilier que jai fini par lui dire fièrement que jétais la maîtresse de son mari. Comme une furie, elle ma frappée et frappée encore jusquà ce quelle en tombe par terre, harassée. Et puis la suite tu la connais : elle a chassé son mari et ma chassée de sa vie en menvoyant vivre chez ma grand-mère. Elle ne ma jamais pardonné laffaire et moi de même, je lui en veux encore plus. Nous sommes devenues des ennemies. Jai décidé depuis ce jour que je lui volerai tous ses amoureux. Cest ce que jai fait jusquà maintenant. Tu es le premier qui ait pu méchapper. Son mari actuel, ne compte pas parce quelle ne laime pas et quil est vieux. Elle ne baisera pas avec lui pour prendre son pied. Si elle le fait cest seulement pour lui faire plaisir.
« Mais toi, malgré tout je te veux. Je sais maintenant quelle a été heureuse avec toi. Que tu las faite grimper aux rideaux ! Jen veux ma part ! Soit ici tout de suite ; soit tout à lheure chez toi ! Soit à nimporte quel autre moment ! Tu ne peux pas refuser ! Je ne te lâcherai pas ! Même si tu me fais chasser par le cerbère qui est dans le bureau à côté et qui est certainement entrain de nous épier, je reviendrais et reviendrais encore jusquà ce que jatteigne mon objectif : jouir avec toi, comme tu as fait jouir maman ! »
Pendant tout son récit, je me disais quelle nétait pas normale. Quelle était folle. En vouloir à ce point à sa mère relevait de la psychanalyse, si ce nest de la psychiatrie. Chercher à tout prix à se substi à sa maman dans ses moments de plaisir sexuel, cest soit une espèce de complexe doedipe non encore réglé, soit de la perversité totale. La deuxième partie de léquation me semblait plus juste. Cette fille était totalement perverse. Sa seule manière de prendre son pied, cest de faire lamour avec les amants de sa maman. Je me posais la question de ce que je devais faire.
La fille était superbe et bandante. Et vraiment javais envie delle. Dun autre côté, je me disais que Nassima ne méritait pas cela ; que je la remplace par sa fille, devenue son ennemie. Il y avait bien la solution de la faire mettre à la porte par Soraya qui, bien entendu, surveillait tout ce qui se passait. Mais cela ne servirait à rien ; elle remettrait ça dune autre façon. Je suis sûr quelle ferait le siège de chez moi, jusquà ce que je la fasse monter. La solution, cest elle qui a fini par me la donner : elle enleva son string, me montrant au passage sa superbe chatte velue, et me la donna en me disant :
- garde ma culotte, jusquau moment où tu auras tellement envie de me tirer que tu mappelleras. Cette culotte te rappellera cette chatte que tu viens dentrevoir qui est la garantie des tonnes de plaisir qui tattendent. Je suis sûr que tu ne loublieras pas jusquà ce que tu la possèdes. Même quand tu baiseras une autre fille, ou une autre femme, tu repenseras à cette chatte offerte qui nattend que ton gros zob.
Elle me refila son numéro de portable et sans autre forme de procès, tourna les talons et, en dandinant du cul, elle quitta le bureau, salua Soraya en lui envoyant une illade moqueuse et sen alla.
Soraya vint aux nouvelles. Elle savait déjà tout, puisquelle avait tout écouté et entendu. Mais elle me fit quand même répéter toute lhistoire et me demanda ce que jallais faire de la culotte dune part et de la fille dautre part.
- Garder la culotte et me taper le fille ! lui répondis-je agacé.
En vérité je ne savais pas ce que je voulais faire. La fille mattirait comme un aimant et, par ailleurs, elle me faisait peur. Elle était belle et devait faire lamour comme une déesse. Dun autre côté, cétait une vraie malade. Je ne voulais absolument pas que sa mère apprenne quil sest passé quelque chose entre nous. Car sil se passait quelque chose, elle se dépêcherait de le lui faire savoir. Cétait uniquement cela le but de la manuvre. Je dis à Soraya que je me donnais un peu de temps pour réfléchir et quand jaurai décidé de quoi que ce soit, je len informerai.
- Tu vas la baiser ! dit-elle. Je te connais, tant que tu ne lauras pas sautée, tu ne seras pas tranquille ; et elle non plus. Cest certainement la meilleure des choses à faire : désamorcer la bombe en la faisant éclater ! Le seul problème, cest comment lempêcher de le faire savoir à sa maman. Cest à ça que tu devrais réfléchir, pas à si tu la tireras ou pas. Cela, cest déjà réglé dans ta tête depuis longtemps.
Je laissai passer quelques jours, au cours desquels je narrêtais pas de penser à Nawal et à sa chatte. Jai gardé sur moi son string que de temps en temps je sortais de ma poche pour renifler son odeur. Il navait pas lodeur de chatte en chaleur que naïvement je mimaginais et à laquelle je mattendais; il avait celle de son parfum fort et entêtant, un parfum envoûtant qui collait à ses vêtements et à ses sous vêtements. Cette odeur me remettait en mémoire sa beauté et sa sensualité et me donnait envie de lappeler. Je résistais un temps et puis me décidai à lappeler pour la faire venir chez moi et passer avec elle tout un week-end. Cétait compter sans son côté pervers. Sachant que maintenant elle me tenait, elle me laissa mijoter toute la semaine, en prétextant quelle était très occupée avec son nouvel amant et quelle ne pouvait le quitter tout de suite.
En fait, ce quelle disait était vrai : elle ne travaillait pas et se faisait entretenir par des hommes riches qui bandaient pour elle et qui dépensaient sans compter. Elle habitait un bel appartement que lui avait acheté un industriel, très âgé, qui était tombé amoureux fou delle et, bien que ne pouvant pas faire grand-chose avec elle (malgré une consommation effrénée des fameuses petites pilules bleues), sétait presque ruiné pour lui faire plaisir. Jusquà ce que ses s ayant eu vent de la chose laient obligé à la quitter et à aller laver ses pécher dans un pèlerinage à la Mecque. Elle nen souffrit pas beaucoup et ne tarda pas à mettre le grappin sur dautres hommes âgés et riches, toujours mariés, qui prenaient en charge ses folies, contre quelques instants de plaisir intense, une fois par semaine ou par mois. Nawal était une femme entretenue, et fière de lêtre.
Et là, elle venait de se trouver une nouvelle victime : un de ces rois du conteneur, spécialisé dans limportation, à partir du port de Dubai, de tout ce qui pouvait se vendre en Algérie. Il devait avoir la cinquantaine et était immensément riche. Comme beaucoup des ses collègues importateurs, il avait lallure extérieure du bon musulman : barbe taillée, cheveux coupés très courts, tenue islamique. Cétait en quelque sorte un uniforme ou un signe de reconnaissance de toute une corporation. Politiquement, cette corporation servait au financement des partis politiques de la mouvance islamiste. Dans la réalité, cet homme était un jouisseur invétéré qui avait deux vies parallèles : une vie officielle avec femme et s et une vie plus clandestine avec les putes de toutes sortes. Nawal lavait ensorcelé. Il était prêt à toutes les folies pour lavoir, y compris la plus grande, celle de la prendre pour deuxième épouse. Elle manuvrait dans cette direction, sachant tout le bénéfice quune femme comme elle pouvait tirer de cette situation : de largent à la pelle et une liberté, que son statut de deuxième épouse, lui permettrait (sachant quil vivrait principalement avec sa première famille). Elle calculait aussi quelle aurait un avec lui, ce qui était un gage pour lavenir. Sans compter que cet homme là, était un taureau au lit !
Elle ne vint me rendre visite, quune semaine après mon coup de téléphone. Elle paraissait radieuse. Tout de go, elle mannonça quelle allait bientôt se marier en me racontant toute lhistoire. Je ne savais pas si jen étais content pour elle, désolé pour le mari ou tout simplement jaloux. Ce que je sus par contre immédiatement, cest que la menace quelle allait tout raconter à sa mère tombait delle-même. Elle venait de me donner lantidote : mon silence contre le sien. Si elle avait encore envie de tout raconter à sa mère, je la menacerais dinformer son futur mari de ses relations avec moi et avec dautres hommes. Jen acceptais donc laugure et je décidais de passer aux choses sérieuses ; moccuper du cul de ma belle.
Elle était toujours vêtue de la même manière : robe très courte, très serrée, ne cachant pratiquement rien de ses appâts, quelle avait en abondance. Je la pris par la main et lentraînai vers le grand divan du salon. Je lui dis que je navais pas cessé de penser à elle tout ce temps et que limage de sa chatte poilue métait restée dans la tête. Je lui dis aussi quavant de faire quoi que ce soit, je voudrai la revoir, comme cela sous sa robe. Je voulais quelle enlève sa culotte et quelle ouvre ses cuisses pour me laisser ladmirer à ma guise. Elle eut un rire moqueur, remonta le bas de sa robe encore plus haut, écarta ses cuisses et exposa à ma vue sa superbe chatte poilue. Elle ne portait pas de culotte !
- Je suis venue reprendre mon string ! me dit-elle, en riant de bon cur à sa blague.
Je sentais mon cur battre la chamade. Jétais excité comme un bouc devant le trésor qui soffrait à ma vue, de façon si impudique. Sa chatte était proéminente et longue. Elle était entourée dune touffe de poils noirs, savamment entretenue pour aiguiser le désir de celui ou ceux qui la regardaient. En fait, avec lart consommé de lérotisme qui était devenu son fonds de commerce, elle savait quelle devait accorder à cette partie de son corps une attention particulière. Elle pouvait garder le désir de ses amants à un niveau toujours très élevé, et beaucoup plus longtemps, avec une chatte belle et soignée. Elle savait, dinstinct ou par expérience, quun homme même fatigué, reprend de lénergie à la vue dune belle chatte, poilue juste ce quil faut, laissant entrevoir de grandes lèvres charnues, ouvertes sur des petites lèvres roses et une entrée de vagin sombre et mystérieuse. Pour elle, sa chatte était un trésor quelle devait chérir et entretenir.
Javais envie de la prendre, là tout de suite, sans la déshabiller et sans me déshabiller. Elle comprit mes intentions et cela ne semblait pas lui déplaire. Elle senfonça plus profondément dans le divan, releva encore plus haut sa robe, remonta les genoux de manière à poser ses pieds à plat sur le rebord du fauteuil, me fit le sourire le plus aguicheur qui soit et tendant les bras vers moi, dit de sa voix rauque.
- Viens vite !
Sans plus attendre je retirai le pantalon et le slip et restai en chemise. Mon sexe était devenu énorme. Il frétillait dimpatience daller faire connaissance avec cette superbe chatte. Je me mis bien vite entre ses genoux relevés, lengin tendu comme un sabre pointé vers le ciel. Elle le prit dans une main et le guida vers la fente légèrement ouverte. Elle était encore trop basse. Jappuyai mes mains sur le fauteuil pour avoir une meilleure assise, allongeai mes jambes par terre et mit ainsi mon gourdin au niveau de sa chatte. Jétais ainsi plus à laise pour la pénétrer. Elle me regardait faire avec ses immenses yeux noirs, qui annonçaient mille promesses de jouissance, et un sourire, toujours aussi provocateur, sur les lèvres. Je savais que les préliminaires étaient superflus avec cette femme.
Jexerçai une forte poussée sur ses grandes lèvres pour les ouvrir totalement et surtout ouvrir le passage vers le paradis. Mon sexe entra très facilement dans son vagin qui était déjà bien lubrifié. Elle eut un petit cri de satisfaction et mattrapa les hanches pour mobliger à aller plus au fond. Malgré tous les sexes quil avait accueillis, qui lavaient frotté et limé vigoureusement et certainement beaucoup élargi, son vagin avait gardé toute son élasticité. Il serrait fortement mon membre, donnant une très agréable impression détroitesse. Cétait divin ! Il était chaud, visqueux et dune telle douceur ! Jen bavais de plaisir ! Et je gémissais doucement à chacune de mes pénétrations ! Je goûtais chaque seconde, comme si cétait la dernière qui me restait à vivre ! Contrairement à ce que je voulais lui faire auparavant, la tirer en force comme une brute, cétait en douceur que je la baisais. Jy prenais un plaisir fou. Surtout quelle aussi semblait aimer la manière dont je la traitais. Elle sétait préparée à une pénétration en force, à une charge de taureau ou de bélier. Elle eut droit, bien involontairement il faut le dire, à un coït tout en douceur. Elle gémissait doucement, bavant elle aussi de plaisir, faisant faire à ses hanches de lents mouvements verticaux en accompagnement de mes lents coups de reins. Nous sentions le plaisir monter doucement en nous, au rythme des va-et-vient de mon sexe.
Elle ne parlait pas. Elle avait fermé les yeux pour mieux goûter le plaisir quelle prenait. Elle avait la bouche ouverte et dégoulinante de salive. Et elle gémissait sans bruit, comme si elle avait peur darrêter linstant magique quelle vivait, en disant quelque chose ou en criant. Elle jouissait intérieurement ; presque intellectuellement. Je voulais faire durer ce moment toute une éternité, tellement cétait merveilleux. Le plaisir allait crescendo, mais à un rythme lent. Mon sexe continuait de gonfler en elle. Il était si bien dans ce vagin qui le moulait parfaitement et lui donnait limpression dune très douce masturbation. Nawal se mit subitement à faire faire à ses hanches un mouvement circulaire qui venait augmenter notre excitation à tous les deux. Elle semblait avoir atteint le moment où elle devait absolument décharger et quelle ne pouvait résister plus longtemps. Cétait un appel pour que jaccélère mes coups de rein et que je les transforme en coups de boutoir. Je retirai mon sexe du fond de son vagin dans lequel il tournait doucement depuis un moment, et entrepris de longs va-et-vient de plus en plus forts et de plus en plus rapides. Je les accompagnai dun fort ahanement de bûcheron. Je sentais que mon sexe allait bientôt exploser.
Elle se mit à gémir de plus en plus fort. Ses gémissements se transformèrent en petits cris de plaisir. Tout son corps était tendu vers la jouissance quelle sentait arriver comme une déferlante. Sa tête partait de tous les côtés dans des mouvements incontrôlés, accompagnant les sensations de plaisir qui irradiaient de son clitoris vers tout le reste de son corps. Elle nen pouvait plus, elle voulait jouir. Jouir tout de suite. Jouir très fort. Et soudain elle cria plus fort quelle allait décharger. Que cétait bon ! Que cétait merveilleux ! Quelle adorait jouir et décharger ! Que mon zob était divin ! Et elle arrêta de crier pour pousser un long râle et décharger violemment. Je continuai à aller et venir en elle pour la faire jouir encore une fois et jouir moi-même. Je retins larrivée de ma jouissance autant que je pus, pour lemmener vers un autre orgasme. Le second orgasme vint très vite en même temps que je me vidais en elle. La jouissance que jeus avec elle, je peux la décrire encore maintenant, tellement elle était forte et violente. Elle venait des tréfonds de mon ventre et irradiait sur tout mon corps en vagues successives de plus en plus fortes. Je me sentais défaillir. Quand jexplosai en elle, jeus une merveilleuse sensation de délivrance et de bien être. Tous mes muscles tendus à lextrême se relâchèrent dun coup et mon corps saffala sur le sien. Jétais heureux, de ce bonheur béat qui fait quon ne ressent rien dautre, bien longtemps après lacte.
Au bout dun moment, je relevais la tête pour la regarder. A mon énorme surprise, elle pleurait doucement, silencieusement ! Je mallongeai à côté delle et la pris dans mes bras tendrement.
- Jai fais quelque chose qui ta blessée, lui dis-je, dune voix un peu inquiète ?
Elle essuya ses larmes avec ses mains, me fit un sourire un peu triste, me regarda longuement dans les yeux et me dit :
- Au contraire ! Cest la première fois quun homme a de la douceur et de la tendresse pour moi ! Je croyais que tu étais comme tous les autres ! Que tu voulais me tirer comme tu tirerais une pute ! Je suis réellement surprise, heureusement surprise par ton comportement ! Pourtant je nai rien fait pour te dissuader que je nétais rien quune salope, qui devait être traitée comme une salope ! Je voulais moi-même te traiter comme je traite dhabitude les hommes avec lesquels je couche, les tenir par leur queue et faire deux tout ce que je veux ! Toi tu es différent ! Tu sais traiter une femme sans lui faire sentir quelle est méprisable ; comme une vraie personne humaine. Je comprends pourquoi ma mère est tombée amoureuse de toi. Et je la plains fortement de tavoir quitté pour mener une vie terne et sans couleurs avec son mari.
Je nai pas voulu la dissuader que je nétais en vérité quun salaud comme un autre. Que javais vraiment dans lidée de la traiter comme une salope et que ce nétait quen cours daction, quune forte intuition mavait persuadé dagir avec douceur et tendresse (en fait jai toujours agi selon de fortes intuitions qui mont très rarement trompé). Je me suis mis à lui caresser la nuque de manière à lapaiser un peu plus. Elle se laissa aller contre moi, la tête posée sur mon épaule, goûtant le plaisir simple dune caresse pleine de tendresse. Au bout dun moment, je lui pris le visage entre mes mains, plongeai mon regard dans ses immenses yeux, lui fis un large sourire et lui dis :
- Tu es merveilleuse !
- Non ne dis pas cela ! Ce nest pas vrai ! Je suis une salope ! Jaime faire le mal ! Alors ne me dis pas que je suis merveilleuse !
- Oui, tu es merveilleuse ! Ce nest pas parce que la vie ne ta pas gâtée, ou que tu as fait de mauvais choix, que tu es mauvaise. Tu as un problème avec ta mère à qui tu ne pardonnes pas de tavoir chassée de la maison. Elle a un problème avec toi, parce que tu as brisé lamour de sa vie (qui de toutes les façons se serait brisé tout seul, vu le manque de maturité de lhomme). Tu as eu besoin de te venger delle en lui choppant ses amoureux. Ce nétait pas très fair-play de ta part, mais enfin cest du passé. Il est temps pour toi et elle denterrer la hache de guerre et de reprendre des relations normales fille/mère.
- Mais tu as vu comment je vis ! répondit-elle. Je ne travaille pas et vis aux crochets dhommes riches. Je vais même me marier avec lun deux, en tant que deuxième épouse, rien que pour massurer un avenir matériel, sachant pertinemment que je serais malheureuse avec lui, qui ne voit en moi quune femme de plaisir. Sans compter quil est de tendance islamiste qui nannonce pas que des beaux jours pour moi. Je compte même faire un pour mieux me garantir une place au soleil. Et tu me trouves merveilleuse !
- Oui ! La preuve tu es totalement consciente de tes égarements et tu sais que ce que tu fais ne te ressemble pas ! Tu peux donc remonter la pente, si tu le veux et si tu y trouves ton compte. Le choix que tu as fait dêtre la seconde épouse dun homme riche, beaucoup de jeunes filles lont fait avant toi. La législation le permet et le nombre de filles à marier est tellement immense que cen est devenu une panacée pour ne pas rester vieille fille. Même si moralement la bigamie est condamnable, tant quelle est légale et acceptée par les femmes concernées, pourquoi pas ! Personnellement, je naimerais pas que tu épouses cet homme parce que jaurais peur des conséquences pour toi et ton si tu en fais un, mais si toi tu trouves que cest la solution, pourquoi pas ! Et puis arrêtons cette discussion et cesse une fois pour toutes de te rabaisser. Tu aimes baiser, ce nest pas une tare ! Bien au contraire ! Et puis tu es un si bon coup !
- Je voudrais bien trouver un homme comme toi, pour faire ma vie avec lui ! Je crois que je lui serai fidèle et le chérirai toute ma vie ! Mais pas toi ! Dabord tu as aimé maman et puis, sachant tout de moi, tu finiras un jour par me reprocher ma vie dissolue !
- Le problème nest pas dans ta vie dissolue. Il est dans le fait que je nai pas lâme dun homme rangé. Je ne compte pas me marier et la vie ensemble sans mariage ne permet pas de fonder une famille en Algérie. Il est impossible de faire un et de lélever dans ces conditions. Par ailleurs je ne suis pas sûr que tu tiendras ta promesse de fidélité. Tu aimes trop le sexe pour cela. Tu as lâme dune maîtresse, pas dune épouse ! Et surtout pas dune Pénélope ! Alors vis ta vie ! Prends du plaisir et donnes-en ! Tu es faite pour cela ! Seulement arrête ta vendetta avec ta maman ! Tu y trouveras la paix, je te le garantis !
Elle se serra très fort dans mes bras et me dit à loreille :
- Allons dans la chambre !
Elle se leva dun bond, me prit par la main et me tira vers la chambre et limmense lit qui nous tendait les bras. Elle enleva totalement sa robe et se présenta à moi dans toute sa splendeur ! Cette femme est vraiment une merveille, un monstre de sensualité, un cadeau pour lérotisme ! Elle ferait bander un mort, rien quen passant devant lui ! Il ny a absolument aucune fausse note dans ce corps et dans sa tenue ! Tout en elle est tendu vers lérotisme le plus torride ! Elle appréciait de se faire admirer et désirer ! Elle le montrait en souriant de toutes ses dents, en suivant mon regard, admiratif et salace en même temps, qui se posait sur son corps, sarrêtant longuement sur ses fesses fermes et rebondies. Elle avait remarqué mon intérêt subit pour ses fesses.
- Elles te plaisent ? Tu veux menculer, nest-ce pas ?
- Oui ! fis-je dans un souffle en me débarrassant de la chemise que je portais encore.
Sans attendre elle se mit à quatre pattes sur le bord du lit, offrant ainsi à mon regard concupiscent sa croupe de pouliche en attente de saillie. Sa chatte et son anus me faisaient face, tout aussi désirables lun que lautre. Jaurais voulu avoir deux sexes pour les enfiler les deux à la fois. Pris dune inspiration soudaine, je lui dis à loreille :
- Je vais te baiser par tes deux trous à la fois.
- Oui ! fit-elle, dune voix gloutonne.
Je navais pas besoin de faire un effort quelconque pour bander. Depuis quelle était nue, mon sexe était dressé vers le plafond, comme un étendard. Je mapprochai du fessier de ma belle, introduisis un doigt entre ses grandes lèvres, vérifiai létat de mouille satisfaisant de sa vulve et introduisis le gland de mon sexe entre ses petites lèvres. Je poussai lentement pour introduire tout le bâton à lintérieur du vagin et entreprit en douceur un lent mouvement de va et vient.
- Cest bon dit-elle, cette manière de me baiser en douceur !
- Attends, lui répondis-je dès que çà sera bien mouillé, je changerai de rythme et te tirerai plus en force !
Cest en effet ce que je fis, dès que mon sexe sentit que tout le vagin était bien lubrifié, il sest mis presque seul à aller et venir de manière plus franche et plus puissante. Elle eut un petit soupir (peut être de déception quand jai abandonné le mode douceur) et accompagna le mouvement avec ses hanches que je tenais fermement entre mes mains. Elle commença à gémir et voulut que je moccupe en même temps de son énorme poitrine aux seins si fermes. Dune main je continuai à la tenir par les hanches, tandis que mon autre main alla lui palper un sein et jouer avec son téton. Je me rendis compte soudainement que je ne lui avais encore jamais caressé les seins. Ils étaient dune douceur infinie, en même temps quils étaient fermes et élastiques. La rencontre de ma main avec ses seins et ses tétons a eu comme conséquence de gonfler encore plus mon sexe et de tirer de moi un petit gémissement de plaisir.
Craignant de jouir sans plus tarder, je sortis mon gourdin tout plein de mouille et le dirigeai vers son anus qui attendait en palpitant. Je neus aucune difficulté à le faire pénétrer dun seul coup dans son cul et à le faire aller et venir à lintérieur. Le cul de ma belle nétait plus vierge depuis longtemps, mais tout comme son vagin, il avait gardé une très forte élasticité qui lui faisait serrer mon sexe, le menant à une félicité absolue. Il métait difficile de résister à lenvie de jouir immédiatement dans ce cul. Cest pour cela que je donnais un rythme lent au mouvement dallers-retours de mon gourdin. Elle aima cette sensation dun engin qui se déplaçait doucement dans son cul et me le fit savoir en adoptant le même rythme avec ses hanches et en gémissant doucement, chaque fois que mes couilles venaient cogner sur ses fesses. Cela lui plaisait fortement. Elle balançait sa tête doucement dans tous les sens en bavant de plaisir. Elle ne parlait pas. Elle fermait les yeux et entra en elle, pour se mettre à lécoute de ses sens et du plaisir quelle prenait.
Et puis subitement je sortis de son cul pour retourner dans son vagin que jentrepris doccuper complètement en la tirant fort et en imprimant un mouvement circulaire à mon bassin. Après un très court moment de déception pour mêtre retiré de son cul, elle eut une autre sensation de plaisir, différente de lautre, mais toute aussi forte.
- Tu vas me de plaisir ! dit-elle, en commençant à gémir et à balancer sa tête dans tous les sens tout en laissant passer un filet de salive entre ses lèvres. Cest bon comme tu me baises, devant et derrière en même temps ! Je nai jamais rien senti daussi bon ! Continue à me tirer comme ça ! Je sens que je ne vais pas tarder à jouir !
- Non ! lui dis-je, ne jouis pas tout de suite !
Je ressortis de son vagin et allai immédiatement mintroduire dans son cul. Je refis la manuvre quatre ou cinq fois, jusquà ce que je ne fusse plus capable de tenir. Jaccélérai le rythme des allers-retours de mon membre dans son trou (je ne savais plus dans quel trou je me trouvais !) et très vite je la sentis se raidir sous mes coups de boutoir et éclater dans un long râle de mourante. Elle déchargea très longuement et plusieurs fois, remplissant le lit de jus épais.
Moi-même jexplosai bruyamment, envoyant un énorme premier jet de sperme dans le trou dans lequel jétais. Je sortis immédiatement du trou pour investir le deuxième dans lequel jenvoyais le reste du sperme que je continuais déjaculer. A bout de force, je maffalais sur son dos et je restais ainsi jusquà ce que ma respiration ait repris son rythme normal. Nawal aussi était à bout de force. Elle étouffait littéralement sous mon poids. Je me levai et mallongeai à côté delle, tout en restant collé à son dos. Mon sexe, navait plus la vigueur davant le coït mais était resté debout. Il alla se fourrer entre les fesses de ma belle, tandis que je lembrassai partout sur le dos et la nuque et lui caressai les seins à tour de rôle. Elle se laissa faire en ronronnant, telle une lionne apaisée et repue.
Je la retournai pour quelle soit en face de moi et lembrassai très longuement sur la bouche. Pas un baiser torride, non un baiser apaisé et tendre, comme celui que donnerait un amoureux à son amoureuse. Elle me rendit le baiser en y mettant autant de tendresse que moi.
- Tu es un homme merveilleux ! » dit-elle. Tu ne veux pas rester avec moi et me donner autant de bonheur quaujourdhui ?
Elle connaissait ma réponse. Elle me fit un triste sourire et se blottit dans mes bras. Nous nous reposâmes un moment. Puis nous allâmes prendre une douche ensemble. Nous nous retrouvâmes ensuite dans la cuisine, où à deux, nous préparâmes et dégustâmes un copieux repas. Nous retournâmes dans la chambre pour faire encore lamour ensemble et dormir.
Nous restâmes ensemble tout le week-end. Nous nous revîmes le week-end suivant que nous passâmes en Kabylie (comme avec sa maman !). Puis encore deux week-ends. Et puis, un jour, elle me dit quelle était enceinte (de moi affirma-t-elle !) et que son prétendant, croyant quil était de lui, insistait de plus en plus pour quils se marient. Elle finit par accepter et très rapidement elle devint sa deuxième épouse. Contrairement à ce que je croyais, il était vraiment amoureux delle. Il fut aux petits soins pour elle, jusquà laccouchement. Il vivait pratiquement tout le temps avec elle, dans le grand appartement quil lui avait acheté, soulevant, au passage les protestations de son autre famille. Il nen tint aucun compte et se comporta avec elle et le garçon qui naquit comme un mari et un père modèles. Aujourdhui encore ils vivent ensemble et forment un couple soudé. Cest elle qui de temps en temps me donne de ses nouvelles (et de celles de mon fils !) par téléphone. Le seul accroc quelle fait à sa nouvelle vie dépouse et de femme fidèle !
Aujourdhui encore, jai un très fort serrement au cur quand je pense à Nawal, à ce que lon aurait pu être lun pour lautre. Mais je ne regrette rien, dautant quelle avait repris des relations normales avec sa mère et sa sur. « Grâce à toi ! » me dit-elle chaque fois quelle mappelle. Cest aussi grâce à moi, affirme-t-elle quelle avait pris confiance en elle et quelle avait su quelle était autre chose que cette femme qui aguichait tous les hommes et se faisait tirer comme une chienne.
- Mon mari est bon, généreux, aimant et
il baise comme un Dieu !
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