Nassima Et Ses Filles: Troisième Partie: Amal
NASSIMA ET SES FILLES
Troisième partie
AMAL
Mes relations avec Nawal sont devenues des relations de type épistolaire, mais par téléphone, au lieu que cela soit par écrit. Nous avons établi entre nous une convention que je devais absolument respecter: cest toujours elle qui doit appeler, jamais moi, quelle quen soit la raison. Elle ne veut pas que son mari sache pour nous, ni quil ait quelque soupçon que ce soit concernant sa fidélité. Elle mappelle assez souvent, quand elle est seule et quelle a la nostalgie des moments vécus ensemble. Elle me donne des nouvelles de notre fils au fur et à mesure quil évolue (il sourit ! il rampe ! il se lève ! il a fait quelques pas !il dit maman et papa ! etc.) et de sa maman quelle voit maintenant assez souvent, seule ou en compagnie de son mari.
Avec Nassima, elles parlent souvent de moi ; de limportance que jai eue dans leur vie à toutes les deux. Il ny a plus aucune jalousie entre elles me concernant. Sa maman lui avait raconté notre histoire à tous les deux et lui avait fait part de tout lamour quelle avait eu pour moi. Elle ne regrettait pas de mavoir quitté, sachant que tous les deux nous navions pas davenir commun. Elle ne regrettait pas non plus davoir épousé son actuel mari qui est un homme de bien et qui a beaucoup plus besoin delle que moi. Elle lui avait raconté son aventure avec moi. Il en aurait gardé un peu de jalousie.
- Je crois quelle taime toujours ; de la même manière que moi, je taime encore : dun amour apaisé et sans espoir. Elle vit dans le souvenir de ce qui a été, quelle ne regrette pas, mais quelle pense perdu à jamais. La seule chose quelle regrette, ce sont vos relations au lit ! Mais même pour cela, la ménopause aidant, elle sy est faite. Elle fait de temps en temps lamour avec son mari, pour lui donner du plaisir. Mais elle, depuis quelle ta quitté, elle na plus eu de réelle jouissance.
Jaimais beaucoup ses coups de téléphone qui me replongeait dans la nostalgie des jours passés avec la mère, puis avec la fille.
Elle maccueillit avec le même sourire quautrefois, bien que ses yeux me semblaient plus tristes. Nous parlâmes de choses et dautres, sans oser aborder un sujet qui nous aurait mis sur la pente glissante des souvenirs.
- Jai voulu te revoir, dit-elle, parce que je voulais massurer que tu vas vraiment bien, mais surtout pour te remercier pour tout ce que tu as fait pour Nawal. Tu mas fait retrouver ma fille - une fille aimante et gentille - et tu lui as permis de reprendre une vie normale. Même la relation amoureuse que vous avez eue ensemble ne ma pas choquée. Et je sais pour l !
Elle me fit une bise sur la joue et me laissa partir. Je lai revue encore deux fois dans les mêmes conditions, et puis nos relations se sont distendues. Jusquau jour où elle mappela directement sur mon portable pour que je passe à son bureau, parce quelle avait un service important à me demander. Jallais la voir le jour même, curieux de connaître la raison de cet appel.
Elle me fit la bise en me recevant ; me demanda de masseoir sur lune des chaises disposées devant le bureau, sassit sur la deuxième et me parla longuement dAmal.
- Amal vient de terminer ses études dinterprétariat et depuis, elle cherche vainement du travail. Elle qui pensait trouver facilement du travail au niveau des Affaires Etrangères, a dû fortement déchanter : les places se disputent à coups de connaissances et de réseaux. Ce quelle na pas. Elle veut travailler, mais pas nimporte où et dans nimporte quoi. A défaut de diplomatie, elle voudrait bien travailler dans une des sociétés internationales implantées dans le pays et qui travaillent en langue anglaise. Et cest là que toi tu interviens. Je sais que tu as tes entrées dans beaucoup de milieux. Peut-être pourrais-tu en parler à une de tes relations bien placées. Je peux compter sur toi ?
- Bien sûr que tu peux compter sur moi ! Je ne peux pas te dire tout de suite ce quil sera possible de faire, parce que personnellement je nai pas de contact sérieux au sein des grandes sociétés étrangères, mais je pense quen faisant intervenir quelques amis, nous finirons bien par trouver une solution satisfaisante. Dans une semaine, tu me recontactes ou bien tu menvoies Amal au bureau, je pense que dici là jaurai quelques réponses.
Tout en lui demandant des nouvelles de mon fils, je lui fis la bise et quittai le bureau en pensant aux relations qui pouvaient servir pour le règlement du problème Amal. Je repensai soudain à cet ami denfance, sorti major de promotion à lEcole Centrale de Lyon (après de brillantes études secondaires et préparatoires aux grandes écoles en Algérie) qui est maintenant PDG dune société mixte activant dans le secteur pétrolier. Je savais quil sera très content de me revoir et peut être même de trouver un job intéressant, et davenir, à Amal. Je lappelai donc le lendemain matin.
Après les salamalecs convenus, le rappel de quelques souvenirs communs, les félicitations pour les étapes professionnelles franchies, les nouvelles de la famille et des s (il en quatre !) je lui fis part de ma requête. Il réfléchit un instant puis me dit quà priori il aurait un poste, qui exige de très bonnes connaissances en langue anglaise, qui va se libérer dans quelques temps.
La vie reprit son cours normal. Le samedi Amal sest présentée très tôt à mon bureau. Je nétais pas encore arrivé. Elle trouva Soraya, mon assistante qui la reçut chaleureusement, dès quelle apprit quelle était la fille de Nassima. Elle la fit patienter dans son bureau en lui proposant des rafraîchissements. Quand jarrivais vers neuf heures et demie, je les trouvais en grande discussion, riant de bon cur à propos de je ne sais quoi. Je reconnus du premier coup Amal, la copie conforme, en deux fois plus jeune, de Nassima. Jeus un petit serrement au cur en regardant attentivement cette beauté. Jeffaçais dun coup de main tous les souvenirs qui voulaient remonter en bloc, fit la bise à la fille, considérant quelle était en quelque sorte de la famille, la fit entrer dans mon bureau et la fis asseoir sur le grand fauteuil. Je lui proposai, un rafraîchissement quelle refusa poliment, disant quelle venait den avoir un avec Soraya. Je la dévisageai un moment, essayant de trouver ce qui la différenciait de sa maman, à part lâge ; je ne trouvai rien. Je lui expliquai ce quil fallait quelle fasse pour le boulot, lui demandai de me montrer le dossier quelle avait ramené pour le contrôler, lui fis un mot destiné à mon ami pétrolier, lui dictai ladresse du rendez-vous et lui fis un croquis pour sy retrouver plus facilement.
Le mercredi après midi, dernière demi journée de travail de la semaine, je reçus un coup de fil dAmal qui mannonça que tout sétait bien passé et quelle commencerait à travailler le premier du mois prochain et que si elle donnait satisfaction dans trois mois, elle partait en formation en Angleterre pour une autre période de trois mois. Elle me disait cela dune voix rieuse, cachant très mal sa joie.
- Merci ! Merci ! Merci, mille fois ! Je te revaudrai cela !
Sans même réfléchir, je lui répondis
- Fêtons cela ensemble au restaurant, demain !
Elle ne me laissa même pas le temps de réfléchir à la bêtise que je venais de prononcer et elle cria
- Oui !
Je fus le plus étonné des deux. Rapidement, je repris mes esprits, jaugeai la situation, me dis quil ny avait rien de grave ni dinconvenant dinviter la fille de Nasima et la sur de Nawal au restaurant. Je lui donnai rendez-vous le lendemain à midi au niveau de mon bureau (toujours pour éviter, les complications quune rencontre avec un homme pouvait lui créer au niveau du quartier où elle continuait dhabiter, car elle avait refusé de suivre sa maman dans sa nouvelle demeure).
Je passais le reste de la journée à penser à elle; à ce que je pouvais bien lui dire; aux sujets sur lesquels nous pouvions avoir une discussion suivie. Je ne trouvais rien. Je crois bien que la nuit jai rêvé delle. Le lendemain, contrairement à mes habitudes damateur de grasse matinée, je me réveillai aux aurores et me mit à penser à mon rendez-vous. Je me demandais si Amal en avait informé sa maman et comment celle-ci avait pris la chose. Je me demandais ce quelle-même pensait de cette invitation. Si elle la trouvait normale ou plutôt déplacée. Je me demandais pourquoi elle lavait acceptée avec autant dempressement. Jaurais aimé que Nawal mappelle ce matin pour lui demander son avis. Je savais quelle maurait dit le fond de sa pensée, franchement et immédiatement. Je voulais lui parler de mon cur qui battait la chamade quand je pensais à elle. Je voulais quelle me rassure.
Longtemps avant midi, jétais devant mon bureau à lattendre. Je discutais avec le gardien de service, quand elle arriva en taxi, à midi pile, belle comme un cur, en costume bleu qui mettait en valeur, sans les accen, toutes les formes de son corps. Et des formes, elle en avait ! Elle avait vingt trois ans, mais paraissait plus mûre. Il ny avait pas beaucoup de fantaisie dans son habillement. Tout était simple et classique. Même sa coiffure était simple : ses cheveux châtains foncés, coupés à hauteur des épaules, étaient coiffés sagement et lui recouvraient les oreilles. Une mèche rebelle venait de temps en temps lui couvrir un il. Elle la remettait en place dun élégant mouvement de la main gauche. Elle respirait la bonne santé : ses joues étaient roses comme si elles avaient été exposées longtemps à une brise froide. Sa grande bouche appétissante était entourée de belles lèvres pleines, que soulignait un simple trait de crayon marron clair. Ses grands yeux rieurs de couleur noisette nétaient pas maquillés ; ils nen avaient aucunement besoin.
Jallais à sa rencontre, lui pris les deux mains, y déposai un très léger baiser sur chacune delle et lui pris le bras pour lamener à la voiture.
- Quest-ce que tu préfères un restaurant dans Alger, ou une promenade qui va nous amener jusquà Tipasa ou même Cherchell, si tu nes pas pressée .
- Non je ne suis pas pressée ! Pourvu quon ne rentre pas trop tard la nuit ! Tu sais, ma réputation dans le quartier !
- Va pour Tipasa !
Je mis le moteur en marche et démarrai en trombe, comme si javais peur quelle ne change davis. Je me calmai bien vite et entamai une discussion sur le premier sujet qui me passa par la tête. Je lui demandai si elle voyait Nawal ; si leurs relations à toutes les deux étaient devenues normales ; si elle aimait sa sur ; si elle aimait son neveu. Elle répondait à mes questions presque mécaniquement, comme elle répondrait à un professeur pendant un examen oral. Il me semblait que le sujet de Nawal ne la branchait pas trop. Je changeai de sujet pour lui parler du couple que formaient sa mère et son beau père. Là encore, ce fut le bide complet.
Je restais silencieux un bon moment, cherchant un sujet qui pouvait la brancher. Je lui posai des questions sur elle, sur sa vie, sur ses études, ses amis/amies. Et comme par enchantement, elle devint volubile. Elle me parla de ses études, quelle avait aimée faire ; de la langue anglaise quelle adorait, des ses amies étudiantes avec qui elle avait beaucoup ri, des ses professeurs, des étudiants qui lavaient draguée, dun petit ami quelle avait eu un temps, avant de le plaquer parce quil sintéressait de trop près à une de ses amies.
- Des flirts ?
- Quelques uns, mais jamais rien de sérieux. Tout au plus quelques baisers sur la bouche et quelques caresses innocentes.
- Un petit ami, actuellement ?
- Ni un petit, ni un grand !
- Amoureuse de quelquun en secret ?
A ma grande surprise, elle ne répondit pas à cette question. Je me retournai pour la regarder et je vis quelle était toute rouge. Javais limpression davoir mis le doigt sur son jardin secret.
- Je suis sûr que tu tiens un journal intime ! lui dis-je en plongeant mon regard dans le sien.
- Comment le sais-tu ?
- Cest simple tu nas pas voulu répondre à ma question de tout à lheure, parce quelle était trop intime. Tu ne peux confier ce genre de problèmes quà un journal secret. Jaimerais bien le lire un de ces jours !
- Tu es fou ! Cest trop personnel ! Jamais personne ne le lira ! Jaurais trop honte !
- Pourquoi ? Il y a des choses de type sexuel dedans ? Et puis après, il ny a rien de plus naturel !
- Non ce nest pas cela ! Cest vraiment trop personnel !
- Bien nen parlons plus ! Parles moi de tes attentes dans la vie. Quest-ce que tu veux faire. Comment tu vois ta vie future. A quel âge tu comptes te marier. Combien tu veux avoir ds.
Sans nous en rendre compte, une heure avait passé et nous navions toujours pas mangé. Je lui dis quon allait sarrêter au port de Bou Haroun qui se trouvait sur notre chemin pour y manger de bons plats de poissons frais. Elle accepta avec plaisir et dix minutes plus tard nous étions dans le port grouillant de monde comme à son habitude et nous nous attablâmes dans un restaurant qui paraissait propre et bien fréquenté. Nous mangeâmes avec appétit tous les plats que le serveur nous proposa. Et ils étaient délicieux ! Nous poursuivîmes notre route en continuant de parler de tout et de rien. Les seuls sujets qui, à chaque fois quils revenaient semblaient la plonger dans une profonde mélancolie étaient Nawal et sa maman.
Nous passâmes ainsi laprès-midi à visiter plein de lieux historiques et touristiques quelle navait encore jamais vus: le tombeau de la chrétienne, qui dit-on renferme les restes de Cléopâtre Selenée (la fille des amours de César et Cléopâtre et femme de Juba II, un des princes berbères de lAlgérie Romaine) ; les ruines romaines de Tipasa, quelle voyait aussi pour la première fois et dont létat de conservation, malgré la multitude de tremblement de terre qua connu la région, la étonné ; la Corniche du Chenoua, magnifique route de montagne longeant la mer et donnant sur des paysages et des sites féeriques ; le musée de Cherchell, tout petit mais remplis de pièces rares de lépoque romaine. Je voulais continuer pour lui monter quelques autres paysages splendides au-delà de Cherchell, y compris la curiosité dune région nommée Beni Houa (Filles dEve) renfermant une population comprenant énormément de blonds et dont la légende raconte quils seraient les descendants de religieuses du nord de lEurope, dont le bateau se serait échoué là et qui avaient fini par épouser des paysans de la région.
Mais il était tard et il fallait prendre le chemin du retour. Il commençait déjà à faire nuit. Je lui dis que de toutes les façons on arrivera de nuit à Alger ; autant prendre notre temps, nous arrêter sur le chemin pour y manger et rentrer doucement. Elle ne fit pas dobjection. Nous mangeâmes dans un restaurant sur le port de Tipasa et nous reprîmes la route vers Alger. Je voulais la garder avec moi le plus longtemps possible. Je me sentais vraiment bien en sa compagnie. Je commençais à me sentir triste à lidée de la quitter.
- Comment vas-tu faire pour rentrer chez toi ? Tu ne veux pas que je te dépose ?
- Non ! répondit-elle, dune voix bizarre dans laquelle, il me semblait percevoir de la tristesse.
Une intuition fulgurante me traversa lesprit : elle voulait rester avec moi pour la nuit !
- Je vais te faire une proposition, quil ne faudra par prendre mal, lui dis-je en prenant toute sorte de précaution. Viens passer la nuit chez moi, il y a plein de pièces vides. Et demain, à lheure que tu voudras, je tappelle un taxi pour te ramener chez toi.
Elle ne répondit pas tout de suite, mais je la sentais souriante. Mon intuition ne mavait pas trompé.
- Je nosais pas te le demander ! » répondit-elle dune voix doù transparaissait une grande émotion.
Mon imagination se mit à prendre un envol et alla explorer des territoires interdits. Elle sintéresse donc à moi de la même manière que moi je mintéresse à elle. Elle doit nourrir des sentiments profonds pour moi. Je suis sûr que je suis lhomme caché de son journal intime. Et tant dautres balivernes que même un jeune homme de son âge ne tiendrait pas. Jétais, lespace dun moment, redevenu un jeune collégien amoureux dune camarade et imaginant toutes sortes de choses. Je ne laissais rien transparaître de mon émoi et surtout du bonheur qui mhabitait. Nous arrivâmes à la maison ; je mis la voiture au garage et nous prîmes lascenseur jusquau dernier étage où se trouvait le duplex que joccupais. Elle jeta un regard intéressé sur lappartement, semblait satisfaite de ce quelle y voyait et se retourna subitement pour déposer un baiser sonore sur ma joue. Jen étais resté paralysé un moment qui me sembla une éternité.
- Cest pour te remercier de cette merveilleuse journée. Cétait vraiment magnifique et intéressant. Jen redemande !
- Viens je vais te montrer ta chambre, lui dis-je en lui prenant inconsciemment la main.
Elle ne retira pas la sienne ; au contraire, elle serra la mienne et la garda. Je nosais pas la regarder, de peur de lire dans ses yeux les mêmes pensées que les miennes. Jouvris la porte dune chambre dans laquelle je ne mettais jamais les pieds, mais dont je savais que la femme de ménage la nettoyait et la rangeait régulièrement. Elle y jeta un regard rapide, se retourna pour me regarder dans les yeux et, dun air effronté et coquin, elle me dit dans un souffle :
- Dans ta chambre !
Jétais complètement perdu ! Dune part Amel faisait exactement ce quau fond de moi, je souhaitais quelle fasse. Et de lautre je ne voulais pas quon en arrive là parce quelle était la fille de Nassima et la sur de Nawal. Toutes deux ont été mes amantes. Je les ai aimées toutes les deux très fort. Je ne pouvais pas décemment aimer la troisième et en faire elle aussi mon amante. Dans ma tête et dans mon cur tout se bousculait. Je ne savais que faire. Cest alors quAmal, sentant mon désarroi, prit les choses en main. De la main qui était toujours dans la mienne, elle mobligea à la suivre. Dinstinct elle savait où se trouvait ma chambre et my conduisit, comme un petit garçon obéissant et craintif. Elle ouvrit la porte, sarrêta un instant, se retourna vers moi pour me dire :
- Elle est exactement comme je limaginais ! Si un jour je te montrais mon journal intime tu y liras la description dune chambre analogue à celle ci !.
Elle navait toujours pas lâché ma main et me tira vers le lit. Elle me força à my asseoir et sassit à côté de moi. Elle me tenait toujours la main, que maintenant elle portait à sa bouche pour lembrasser.
- Depuis, le jour du mariage de maman, je suis tombée follement amoureuse de toi. Je voyais comme tu souffrais du départ de maman et surtout de son mariage. Je tai trouvé très touchant dans ta souffrance. Dailleurs tu as dû remarquer que je ne tai pas quitté dune semelle, ce soir là. Et puis cette salope de Nawal est entrée dans ta vie et ta éloigné de moi. Jen ai beaucoup souffert et jen ai voulu à Nawal et je lui en veux encore aujourdhui, même si au fond de moi, je sais que ton aventure avec elle a eu des répercussions heureuses sur elle et sur maman. Mais je lui en veux encore pour tout lamour que tu lui as donné et de celui que je sens encore en toi quand tu parles delle. Jai encore peur aujourdhui quelle revienne et te séduise encore. Elle est tellement belle et expérimentée !
- Moi lui répondis-je, ému jusquaux larmes, ce nest pas Nawal qui me gène. Pour nous deux lhistoire damour est terminée ; il ne reste que de la tendresse, parce quau fond, elle est très différente de la fille vulgaire et provocante dont elle avait toujours donnée lapparence. Elle est très sensible et peut être dune gentillesse absolue, quand elle trouve les conditions de son épanouissement. Regarde comment elle se comporte avec son fils et même avec son mari. Elle a réellement changé. Et puis il y a autre chose qui nous rassemble elle et moi, notre fils. Tu sais que son fils est de moi, nest-ce pas ? Nawal, nest pas pour toi et moi un problème. Le seul vrai problème cest ta maman. Je suis sûr quelle prendra très mal lamour qui nous lie. Et elle aura raison ! Elle a été ma maîtresse et mon amoureuse pendant longtemps et je suis sûr quau fond delle, elle a la nostalgie de nos moments damour et de bonheur. Tu sais que je lai aimée sincèrement et que jai vraiment souffert de notre séparation. Je ne peux pas décemment la remplacer par sa fille. Je mets entre parenthèse lépisode Nawal qui na été quun heureux accident. Mai avec toi, cest damour quil sagit, pas de cul ! Comment feras-tu comprendre à ta mère, dont tu es la prunelle de ses yeux, que tu es amoureuse de son ex ?
- Maman je men charge ! dit-elle presque avec colère. Dis moi seulement que tu maimes ou que tu vas maimer et tout le reste na pas dimportance !
Vaincu et tellement heureux de lêtre, je la pris dans mes bras et lembrassai avec la fougue dun jouvenceau. Je plongeai mes yeux dans les siens pour y rechercher la preuve quelle maimait réellement ; ils étaient si profonds et si pleins de tendresse, que plus rien ne compta plus pour moi. Je lui pris la tête entre les mains et appuyai ma bouche contre la sienne avec dans lidée de lui donner un baiser doux et tendre ; un vrai baiser damoureux. Elle commença par me rendre mon baiser de la même manière que moi je le lui donnai et puis rapidement il dérapa vers un baiser torride damants.
Je lui pris sa grande bouche dans la mienne et lui suça goulûment ses lèvres charnues. Elle se laissa faire un moment et voulut me rendre la pareille : elle prit elle aussi mes lèvres dans a bouche et les suça en avalant ce quelle pouvait avaler de ma salive. Nous reprîmes un peu notre souffle et nos bouches reprirent possession lune de lautre. Je la forçai avec ma langue à écarter ses dents pour y faire pénétrer ma langue qui alla immédiatement fourrager dans sa bouche à la recherche de salive à boire et surtout de sa langue à défier. Elle avait une langue agile et pointue bien préparée au combat de bouches. Elle se défendit pied à pied et rendit coup pour coup. Parfois même elle prenait lavantage et pourchassait ma langue dans ma propre bouche, prélevant au passage toute la salive quelle pouvait prendre. Cétait tellement bon ! Le baiser torride que nous échangions mit le feu à nos corps. Je la sentais qui se collait à moi, qui frottait son opulente poitrine contre la mienne et qui frémissait de désir. Tout en continuant de lembrasser fiévreusement, je la renversai sur le lit et lançait une main à la recherche dun de ses seins que je caressai par-dessus sa chemise. A bout de souffle, nous arrêtâmes le baiser.
Elle releva le buste pour enlever la veste de son costume quelle avait gardée. Jen profitais pour déboutonner son chemisier et ouvrir la voie qui conduisait à son opulente poitrine. Elle maida à déboutonner tous les boutons et à sortir le chemisier du pantalon. Sa large poitrine soffrit à mes yeux. Je tendis la main pour la caresser et la glisser sous le soutien gorge pour prendre possession dun sein volumineux, ferme et dune douceur de soie. Elle gémit quand ma main entra en contact avec son sein. Je le sortis du bonnet qui tentait de le cacher et me mis à le tripoter tout doucement. Sa douceur était divine ! Je voulais les voir tous les deux ensemble et essayai de dégrafer maladroitement son soutien gorge. Elle releva encore une fois le buste pour me permettre datteindre les crochets dans le dos. Après des acrobaties dues à ma maladresse, elle enleva tout dun coup, chemisier et soutien gorge moffrant à voir le magnifique spectacle de deux seins volumineux, qui pointaient comme des obus vers le plafond de la chambre. Jen pris un dans chaque main et, délicatement, je me mis à les palper et les tâter. Je remarquai que la manuvre lui plaisait énormément. Ses seins étaient très sensibles et constituaient pour elle une zone très fortement érogène.
Jappuyai un peu plus mes caresses, insistant sur ses tétons violets, durs et tendus, que je pressais entre mes doigts, faisant attention à ne pas lui faire mal. Je faisais rouler ses tétons de plus en plus vite entre le pouce, lindex et le majeur, tirant de mon adorable amante des petits gémissements de plaisir. Jarrêtai un moment mes caresses sur les tétons et entrepris de les lui téter. Jen introduisis un dans ma bouche et me mis à le lécher et à le pincer avec mes lèvres. Je lavais même mordillé légèrement pour tester sa fermeté. Elle aimait cette façon de jouer avec son téton. Elle me tint la tête de manière à me faire comprendre que je ne devais pas marrêter. Je le suçais goulûment comme un bébé suce le sein de sa maman. Elle narrêtait plus de gémir et de tortiller ses hanches et ses fesses. Je passais à lautre sein à qui jappliquais le même traitement. Elle commençait à ne plus contrôler le mouvement de ses hanches qui essayaient de venir se frotter contre moi. Et en même temps son souffle devenait de plus en plus court.
Jabandonnais sa poitrine et descendis embrasser et lécher son ventre et son nombril. Ma main alla se caller entre ses cuises, à travers le tissu du pantalon de son costume. Elle eut un frisson, tout en relevant son basin pour accroître la pression de ma main sur sa chatte. Je frottai vigoureusement sa chatte. Elle posa sa main sur la mienne et lobligea à frotter encore plus fort, pendant quelle écartait ses jambes au maximum. Elle bougeait ses hanches au même rythme que mes caresses. Ny tenant plus dexcitation, je lui demandais denlever son pantalon et sa culotte et de rester totalement nue. Elle ny voyait aucun inconvénient. En un tour de main elle fut nue comme un ver. Superbe et provocante, elle soffrit à mon regard concupiscent et se laissa admirer avec un plaisir évident.
- Dis-moi que je suis belle et que je te plais ! dis-t-elle en me regardant droit dans les yeux.
- Cest toi la plus belle ! lui dis-je en posant ma bouche sur son pubis dont elle avait laissé pousser un petit triangle de toison affriolant.
Au contact de ma bouche, elle eut un long frisson de désir. Elle me tint la tête pour la pousser plus bas, vers son coin de paradis. Je changeai de position pour venir me placer à ses pieds, lui écarter les jambes, lui soulever les genoux et mettre ma tête entre ses cuisses. Javais tout le paradis sous les yeux! Elle avait une chatte superbe ! Bombée et longue avec des grandes lèvres charnues de couleur sombre ! Pas un poil autour de la vulve en dehors du triangle quelle a laissé sur son pubis ! Je posai ma main légèrement sur sa chatte qui était en attente de caresses. Elle se tendit un peu au contact de mes doigts puis me laissa la caresser tout doucement. Je ne voulais pas leffaroucher en y allant franchement. Je voulais que, par de douces caresses, elle souvre toute seule et me laisse insensiblement pénétrer dans son paradis. Cest effectivement ce qui se passa, mes doigts tout en les caressant pénétrèrent insensiblement entre ses grandes lèvres qui commencèrent à se remplir de mouille. Jécartai plus largement les grandes lèvres pour découvrir lintérieur de sa vulve : des petites lèvres dun rouge vif qui contrastait avec la couleur sombre des grandes lèvres et de lentrée du vagin. Je ne voyais pas encore nettement son clito.
Javançais la tête vers sa chatte et me mis à la lécher. Ma langue se promena quelque temps entre les grandes lèvres quelles léchèrent en suivant le sens de la fente. Puis jy mis toute ma bouche et commençai à embrasser et sucer les petites lèvres. Ma langue se mit à la recherche du clito quelle finit pas découvrir au détour dun pli. Je le titillais un moment avec la langue tirant de mon amante des gémissements de plaisir et des soulèvements de hanches qui cherchaient à la faire pénétrer plus profondément dans le tunnel. Je pris son clito entre mes lèvres, le serrai fort et me mis à le sucer. Il était dur, ferme et très doux. Elle nen pouvait plus dexcitation. Elle remuait de plus en plus fort ses hanches quelle soulevait de plus en plus haut. Ma langue alla à la rencontre de son pucelage quelle rencontra à une très courte distance de lentrée. Elle alla cogner sur lui, histoire de tester sa résistance et surtout sa sensibilité au titillement. Elle se crispa légèrement quand elle sentit ma langue cogner sur la membrane, mais se détendit totalement en reprenant ses gémissements et ses mouvements désordonnés des hanches, quant elle comprit qua ma langue ne pouvait pas la dépuceler : elle était trop courte et pas suffisamment rigide pour le faire.
Je me décidai à la faire jouir une première fois avec ma bouche, avant de passer aux choses sérieuses du dépucelage. Je me mis donc à lui sucer la chatte en lui soulevant les genoux que je lui fis poser sur sa poitrine. Ses cuisses ainsi écartées, laissaient à ma bouche plus de liberté pour la sucer très fortement. Je plongeai donc carrément ma tête entre ses cuisses et à grands coups de lèvres et de langue, je me mis à la sucer, la lécher et la pénétrer vigoureusement. Je faisais faire à ma bouche des mouvements de va et vient horizontaux entre ses grandes lèvres et à ma langue des mouvements verticaux et parfois circulaires à lintérieur de son vagin. Amal commençait à pousser des petits cris de plaisir qui prirent le relais de ses gémissements. Elle narrêtait pas pour autant le mouvement désordonnés de ses hanches, avec cette fois ci une forte pression de ses mains sur ma tête pour la maintenir entre ses cuisses.
Je lentendais vaguement prononcer des paroles de plaisir que ses cuisses sur mes oreilles mempêchaient de comprendre. Je sortis un moment ma bouche de sa chatte pour faire participer son anus à la manuvre. Elle ne sattendait pas à ce que jentreprenne son cul de cette manière. Elle parut un peu déçue mais rapidement, le va et vient de ma bouche et de ma langue entre son vagin et son cul lui plut. Quand je sentis que son anus était suffisamment lubrifié, jintroduisis difficilement un doigt dans son cul. Elle se crispa fortement, refusant inconsciemment de le laisser pénétrer. Je le retirai et recommença à mouiller plus fort son anus, tout en lui suçant la vulve. Jessayai encore une fois dintroduire un doigt dans lanus et cette, fois, malgré la crispation, il pénétra plus facilement. Je le laissai un moment immobile en reprenant le cunnilingus là où je lavais laissé. Avec ma bouche je suçai, léchai et aspirai tout le jus que maintenant elle produisait en quantité. De temps en temps jallai taquiner son clito pour accroître très fortement lexcitation. Parallèlement je faisais faire à mon doigt des mouvements montants et descendants et parfois tournants, dans son cul. Son excitation, déjà grande avant cela, atteignit un paroxysme. Ses cris devinrent plus forts ; la pression de ses mains sur ma tête mempêchait de bien respirer et le mouvement de ses hanches prit encore plus dampleur.
Jaccélérai le mouvement de ma bouche sur et dans sa chatte et celui de mon doigts dans son cul, en en synchronisant le rythme. Au bout dun moment, je sentis que tous ses muscles se tendirent et quelle était sur le point dexploser. Jeus la sensation quelle allait avoir une très forte jouissance et quelle allait décharger des tonnes de jus dans ma bouche. Jétais en attente de lévènement. Il arriva comme un torrent en furie : elle poussa un long hurlement et déchargea longuement, très longuement, dans ma bouche. Jeus limpression quelle avait eu plusieurs orgasmes, lun derrière lautre. Epuisée, elle se relâcha totalement sur le lit et tenta de reprendre sa respiration. Quand tout revint à la normale, elle ouvrit les yeux, me regarda avec un sourire lumineux et dit dans un souffle :
- Tu mas faite jouir très fortement rien quavec ta bouche ! Je ne croyais pas cela possible ! Cétait magnifique !
- Ce nest quun début, mon amour ! Avant le matin tu auras connu dautres jouissances encore plus intenses ! Je ten fais le serment !
Je revins mallonger près delle et lattirai dans mes bras en déposant doucement sa tête sur mon épaule et en lui caressant longuement et tendrement la nuque. Son corps nu et chaud était collé au mien, encore tout habillé. Je passai mon bras libre autour de sa taille pour la coller encore plus fort contre moi. Je sentais sa respiration chaude et humide, légèrement saccadée, comme une caresse sur mon cou. Jétais encore très excité, mais je préférais la garder comme cela dans mes bras, dans cette position protectrice et tendre, plutôt que de la brusquer en voulant tout de suite assouvir ce désir qui taraudait mes entrailles. Je lui parlai doucement damour et davenir pour nous deux. Je lui proposai de venir vivre avec moi, sachant quune telle proposition que je navais jamais faite à personne, allait changer totalement le cours de ma vie. Je lui proposais en sorte dabandonner la vie de liberté que javais toujours menée, et que javais adorée, pour devenir son prisonnier.
Elle avait dû se rendre compte de limportance da la proposition que je venais de lui faire. Elle retira subitement sa tête de mon épaule et me regarda droit dans les yeux avec étonnement.
- Tu te rends compte que tu viens de me proposer daliéner ta liberté pour être avec moi ! Ce nest pas sérieux ! Je sais que tu nes pas capable de supporter les contraintes de la vie de couple ! Tu es un séducteur qui ne peut pas vivre sans papillonner de fille en fille. Je te vois mal, tarrêter un jour, même pour moi. Même si tu tombais fou amoureux de moi, tu ne pourras jamais être lhomme dune femme ! Dailleurs moi je men fous ; il me suffit que tu maimes et que tu reviennes toujours à moi ! Et puis je suis de nature chiante dans la vie quotidienne ; jai beaucoup dexigences insupportables qui te rendront neurasthénique si tu vivais avec moi. Embrasse-moi plutôt !
Je déposai un long baiser passionné sur ses lèvres. Elle y répondit avec autant de passion. Je la retournai sur le dos pour mieux admirer son superbe corps.
- Tu es si belle ! Tu as lair si fragile comme cela ! Jai peur de te faire mal, rien quen te touchant ! Et pourtant jai tant envie de toi !
- Moi aussi, jai envie ! Je veux devenir une vraie femme ! Te donner autant de plaisir que tu men as donnée tout à lheure. Fais-moi lamour ! Déshabilles-toi ! Je veux que tu sois nu comme moi. Je veux te voir !
Elle maida à enlever mes vêtements, en sacharnant sur mon pantalon qui lui donnait du fil à retorde. Quand elle y arriva enfin, mon sexe avait tellement grandi quil sortit du slip par le haut. Tout le gland et une partie de la hampe dépassaient fièrement. Amal, regarda le spectacle avec des yeux brillants détonnement et denvie.
- Quest-ce quil est grand ! » fit-elle un peu émue.
Elle tendit une main mal assurée pour le toucher, le tâter et le palper. Elle hésitait à le prendre fermement dans sa main. Comme si elle en avait peur.
- Cest la première fois que tu vois un sexe dhomme ? » lui demandai-je.
- Non jai vu ceux de quelques flirts. Mais aucun aussi gros et long !
- Embrasse-le ! lui dis-je dune voix presque inaudible.
Elle baissa la tête, toujours de manière hésitante et lapprocha de mon bas ventre. Entre temps javais abaissé le slip pour libérer complètement le membre et le présenter devant sa bouche. Elle déposa un très léger et très furtif baiser et retira vite sa tête. Cétait comme si elle avait peur de lui.
- Recommences, lui dis-je ! Nai pas peur, il ne mord pas ! Il aime être caressé par une main de femme et embrassé et léché par une bouche de femme ! Fais lui plaisir, il te le rendra au centuple un peu plus tard. Tu vas finir par ladorer quand il taura possédée !
Elle recommença la manuvre et cette fois ses lèvres sattardèrent sur le gland. Elles souvrirent légèrement pour laisser pénétrer la pointe quelle serra entre ses lèvres tout en envoyant le bout de sa langue le titiller. Je sentis une légère décharge sur mon membre qui sen alla irradier jusquà lintérieur de mes entrailles. Mon sexe frémit et voulut pénétrer plus en avant dans sa bouche. Il rencontra deux rangées de dents légèrement entrouvertes mais qui refusaient de sécarter plus. Je lui pris la tête entre mes mains et la tint fermement, tandis que jexerçai une forte pression sur sa bouche pour quelle souvre. Elle résista encore un peu, puis céda. Elle écarta ses dents pour laisser passer lengin, qui pénétra dans sa bouche.
Ses dents raclaient la peau du sexe et me faisaient un peu mal. Elle navait encore jamais pratiqué la fellation ! Pensai-je un peu étonné. Je ne dis rien, me contentant dappuyer un peu plus fort pour que mon sexe pénètre plus en avant. Arrivé devant lentrée de la gorge, jarrêtai le mouvement, sachant quil allait provoquer un réflexe de déglutition ou de vomissement. Je fis refaire le chemin inverse à mon sexe qui revint se positionner à lentrée de la bouche.
- Ecarte bien les dents ! lui dis-je cette fois-ci.
Elle obéit, sans rechigner. Je fis pénétrer le membre, toujours avec autant de précaution, jusquà ce quil dépasse lentrée de la gorge, sans ly laisser trop longtemps, uniquement pour lhabi à la présence du monstre. Je refis la manuvre plusieurs fois en prenant soin de ne pas la traumatiser. Quand je sentis que sa bouche et sa gorge avait pris le mesure de mon gourdin et quelles sétaient habituées au mouvement de va et vient, jy allais un peu plus franchement en accélérant la manuvre. Elle comprit très vite ce quil convenait de faire et sappliqua à le réaliser par elle-même. Elle me tint par les hanches et avança et recula la tête à un rythme de plus en plus rapide. Elle essaya même de lenfoncer jusquau fond de sa gorge, comprenant au gémissement de plaisir qui sortaient de ma bouche et à la pression plus forte de ma main sur sa tête, que jadorais cela. Cétait bon ! Et jen voulais encore ! Elle continua longtemps à sucer et pomper. Elle avait même failli plusieurs fois, sans pourtant sarrêter un instant. Elle voulait absolument me donner un maximum de plaisir. Elle finit même par faire entrer sa langue et sa main dans le jeu. Sa langue pour titiller le gland de mon sexe chaque fois quil arrivait à sa hauteur en le léchant et lenveloppant. Sa main pour palper et caresser mes couilles devenues dures comme de la pierre.
Cétait divin ! Je sentais que je nallais pas tarder à exploser dans sa bouche. Je me posai furtivement la question du lieu de mon éjaculation - dedans ou dehors - mais je neus pas le temps de décider de quoi que ce soit. La jouissance arriva tel un torrent. Je déversai une quantité incroyable sperme dans sa bouche en plusieurs giclées. La première alla directement à lintérieur de sa gorge et avait failli l. Heureusement que la deuxième giclée mit un peu de temps pour arriver ; le temps que la première soit totalement avalée. Quand je me retirai, repu et heureux, je laissai Amal sescrimer encore avec tout le sperme qui était encore dans sa bouche. Je la regardai tenter davaler courageusement le tout, sachant combien ce quelle faisait me donnait de plaisir. Je nétais pas sûr quelle aimait le goût du sperme, mais je lui étais reconnaissant de leffort quelle faisait. Je me mis à genoux face à elle lui pris son visage entre mes mains, lui dis que je laimais et lembrassais tendrement sur sa bouche qui avait encore en elle lodeur et le goût de mon sperme.
- Tu es très douée ! lui dis-je. Très rapidement tu vas devenir experte en fellation. Je ne pensais pas quune fille de vingt trois ans, aussi désirable, pouvait être encore innocente de ce côté. Cest la pratique la plus fréquente pour les filles qui se prêtent aux jeux érotiques, tous en restant vierges, conformément aux règles sociales. Nos filles sont en général très expertes en pipes faites aux garçons. Dautres acceptent, parfois difficilement, vu la connotation de péché religieux qui laccompagne, de se faire sodomiser ou pratiquent le coït superficiel (« in ore vulva », comme on dit de façon savante) qui se termine parfois très mal, vu que les accidents arrivent souvent du fait des mouvements incontrôlés du garçon et de la fille pris dans la tourmente du désir et de lexcitation. Lessentiel, étant bien entendu de prendre du plaisir, tout en gardant intact leur hymen. Je pensais que tu avais suivi ce chemin. Or il savère que tu es une vraie vierge, une innocente ! Nest-ce pas ?
- Oui ! Je nai jamais eu de rapports sexuels, hormis quelques flirts sans suite. Je me suis toujours réservée à celui que jaimerai. Je nai rien contre lamour hors mariage, mais moi je veux le faire avec lhomme de ma vie ; celui que jaimerai. Et tant pis si lui ne maime pas autant que moi. A celui-là, je donnerai tout, hymen compris ! Et cet homme cest toi ! Je veux être ton amante, dès ce soir. Je nexige rien de toi, si ce nest de maimer beaucoup. Le mariage ne mintéresse pas, comme il ne tintéresse pas. Je veux passer des moments de bonheur avec toi ; tant pis sils ne durent pas très longtemps ! Je veux un amour fort et passionné ! Un amour plein de sensualité et dérotisme ! Je suis prête à tout apprendre, à casser tous les résidus de tabous qui peuvent encore être en moi ! Je veux être heureuse et te rendre heureux !
Nous étions toujours à genoux, nous faisant face, totalement nus. Je la serrai très fort dans mes bras, pour lui communiquer tout mon amour. Je lembrassais frénétiquement sur tout son visage y déposant des grands baisers bien sonores et mouillés sur les joues, la bouche, le nez, les yeux, le front, le menton, le cou,
Je lui caressais longuement les épaules et le dos. Avec mes doigts je me mis à suivre le sillon de sa colonne vertébrale depuis la première cervicale jusquau coccyx, et retour. Je ne la caressais pas, je la chatouillais du bout des doigts, lui communicant tout le désir que javais delle. Elle aimait visiblement leffet que ces chatouilles avaient sur elle. Elle se serra plus fort contre moi, faisant jouer son opulente poitrine contre la mienne. Elle y écrasa ses seins voluptueux, transmettant à tout mon corps cette sensation de douceur, de fermeté et de sensualité qui mit le feu à mon sang. Mes doigts continuaient à se promener le long de son échine. Chaque fois quils arrivaient au niveau de la dernière vertèbre et quils allaient vers le début de la rainure des fesses, elle se crispait légèrement, comme si elle attendait quils aillent plus loin vers la fente de ses fesses ou plus bas encore, vers sa vulve.
- Tu mexcites ! Montons sur le lit ! murmura-t-elle à mon oreille.
Je me levai et lui pris les deux mains pour la relever du sol. Je la fis allonger en travers du lit, lui écarta les jambes pour me mettre entre ses genoux. Je les lui fis relever jusquau niveau de sa poitrine pour dégager la voie vers les trous du paradis.
- Je vais te caresser la chatte avec mon sexe, lui dis-je. Je vais te faire jouir encore une fois sans pénétration et sans dépucelage. Tu verras, cela va beaucoup te plaire. Mais fais attention à ne pas trop gigoter. Je ne veux pas que ton dépucelage soit accidentel ! Je le veux volontaire et assumé !
Je pris mon engin dressé comme un poteau vers le plafond de la chambre, lapprochai de la chatte de ma mie, introduisis doucement la pointe du gland entre ses grandes lèvres bien ouvertes et me mis à la promener le long de la fente, sur les petites lèvres et la frottant au passage sur son clito. Elle avait fermé les yeux pour mieux apprécier les sensations qui lui parcouraient tout le corps; elle avait des tous petits gémissements de plaisir. Elle souriait aux anges, tellement elle était à son plaisir.
De temps en temps, je tentais une toute petite pénétration dans lentrée de son vagin et en ressortais très vite ; je voulais quelle ressente dès maintenant la sensation que faisait la pénétration dun sexe dans sa chatte. A chaque fois, elle se crispait involontairement et se relâchait, dès que la menace du dépucelage séloignait. Elle adorait les sensations que lui donnaient les caresses de mon gourdin. A un moment elle se mit même à gigoter, me forçant à faire plus attention pour quil ny ait pas daccident. Je lui pris sa main droite et la lui posai sur un sein, lui demandant de le caresser pour accroître son excitation. Elle ouvrit les yeux pour confirmer quelle avait bien entendue ma demande, me sourit et entreprit de caresser un de ses tétons avec deux doigts. Ses yeux brillaient dexcitation, sa bouche était ouverte et la bave commençait à couler depuis la commissure de ses lèvres, le long de ses joues jusquau couvre lit.
Je lui pris sa deuxième main et la porta sur mon sexe. Elle me regardait étonnée de ce que je voulais lui faire faire. Je lui dis de prendre la hampe comme je le faisais juste avant et de guider elle-même les caresses. Comme cela lui dis-je elle pouvait se caresser en fonction des sensations quelle avait ou quelle voulait avoir. Lidée lui plut tellement, quelle na plus refermé les yeux depuis. Elle releva la tête pour suivre le mouvement quelle faisait faire à mon sexe sur la surface de sa chatte. Ce que dévidence elle préférait, cétait le titillement de son clitoris qui la faisait pâmer et la légère pénétration du vagin qui lui tirait des gémissements de plus en plus forts. Sa chatte coulait comme une fontaine. Le terrain devenait glissant. Dans sa main qui le serrait très fort et sur sa chatte mouillée, mon sexe se sentait bien. Mais il avait envie daller au fond. Cétait un combat continu entre la main de Amal qui voulait le maintenir en surface sans dépasser lendroit où était fourré son clito et mon gourdin qui sobstinait à vouloir aller au fond du garage. De temps en temps dailleurs, il lui arrivait davoir le dessus et daller cogner légèrement sur lhymen, avant que la main ne le ramène à la raison. Cétait un merveilleux combat qui nous amena tous les deux au bord de la jouissance.
Je ne voulais pas jouir maintenant, craignant la grossesse. Je me retenais du mieux que je pouvais, c'est-à-dire très difficilement, ayant laissé la direction de la manuvre à ma mie. Elle, encore novice à ce jeu, ne se doutait pas de la difficulté que javais à me retenir. Elle continuait à manuvrer mon gourdin dune main de plus en plus experte, ayant fini par trouver le rythme qui lui convenait le mieux. Au bout dun moment je la voyais qui commençait à avoir le regard qui se voilait progressivement, la bouche qui souvrait, tous ses muscles qui se tendaient et le souffle qui devenait de plus en plus court. Elle explosa dun coup en déchargeant sur le gland de mon sexe et sur sa main. Elle sétait mise à gigoter très fortement mamenant à éloigner le sexe de lentrée de son vagin pour quil ny pénètre pas par accident. Le retrait du sexe la contraria quelque peu, elle le remplaça par son doigt avec lequel elle continua de se caresser jusquà avoir une deuxième jouissance. Jétais content davoir pu résister à la tentation dun dépucelage accidentel.
Je voulais avoir le plaisir de la déchirer et de lui faire aimer cela. Jai en moi, très profondément ancré, le fantasme du dépucelage et des vierges. Probablement un atavisme ou un gène barbare hérité des temps anciens. Mais le dépucelage dune vierge a toujours été pour moi le must de lérotisme. Et Amal, mon superbe amour de vingt trois ans, était encore vierge et moffrait son hymen en cadeau. Je lui dis que jétais heureux quelle soit encore pucelle et quelle me faisait cette nuit le plus beau cadeau quune femme pouvait faire à lhomme qui laime. Elle eut un sourire de femme heureuse de donner du bonheur, mais ne dit rien. Je lui dis que jallais maintenant la pénétrer et faire delle une vraie femme ; ma femme !
- Comment veux-tu que je my prenne : en douceur pour te faire le moins mal possible, mais avec une jouissance tout juste acceptable ; ou alors comme moi je le veux en te faisant mal, mais en transformant rapidement la douleur en plaisir très fort .
- Ce qui te fera le plus jouir ! répondit-elle.
Je lui dis douvrir le tiroir de la table de nuit à côté delle et den retirer la boite à préservatifs qui sy trouvait. Je lui dis que je ne voulais pas quelle tombe enceinte pour le moment. Elle prit la boîte me la donna, jen retirai un préservatif, déchirait la protection et le lui donnai pour quelle me lenfile. Encore une chose quelle navait jamais faite et quelle fit avec délectation. Je lembrassai très tendrement et très longuement pour la détendre, sentant en elle une crispation due à la crainte de la douleur. Je la fis sallonger sur le dos, les genoux repliés sous ses cuisses que jécartai au maximum. Elle se laissa guider docilement Jentrai entre ses genoux et ses cuisses, pris mon sexe dans une main et le guida vers sa superbe chatte, à demi ouverte. Dune légère pression, jouvris plus largement ses grandes lèvres et fis promener le gland entre elles pour le mouiller. Sa chatte était encore très mouillée des suites des caresses antérieures ; je neus donc pas à lubrifier lentrée du vagin pour faciliter la pénétration ; elle létait déjà en excès.
Je fis pénétrer légèrement la partie supérieure de mon gourdin dans le vagin étroit de ma belle. Elle se crispa un peu sattendant à ce que je la déchire tout de suite. Jallai cogner légèrement sur lhymen, mais ne voulut pas encore le forcer. Je ne voulais pas la traumatiser en le prenant comme une brute. En vérité, je prenais mon pied à la faire attendre ainsi ; espérant le coup de boutoir qui allait déchirer son hymen et le craignant en même temps. Je me régalais à la regarder espérer la délivrance, se crisper en croyant y être et se relâcher pendant le retrait de lengin. Je fis la manuvre quatre ou cinq fois, lhabituant ainsi à ce jeu de cache-cache. A la sixième fois, jy allais franchement et la déchirais dune forte pression du bassin. La douleur quelle ressentit à léclatement de son hymen lui fit pousser un long cri strident, suivi dune crispation de tous ses muscles. Je laissai mon sexe enfoncé au plus profond de son vagin étroit, humide et chaud et lembrassai longuement et tendrement pour lapaiser. Je revins vers la sortie en prenant la précaution de ne pas dépasser le niveau de la blessure pour ne pas réveiller la douleur. Je fis ainsi quelque courts mouvement de va et vient tout au fond de son vagin. Elle commençait à retrouver le plaisir quelle avait au début avant la déchirure et se remit à gémir tout doucement. Je continuai un long moment à aller en venir au fond de son vagin, faisant attention à ne pas accroître lamplitude du mouvement.
Elle reprit totalement confiance et se laissa aller. Elle prenait de plus en plus de plaisir à sentir mon gourdin faire des petits allers-retours tout au fond delle. De temps en temps je faisais faire à mon sexe des mouvements circulaires, toujours au fond du vagin ; Elle le sentait encore mieux et gémissait plus fort. Puis au bout dun temps jaugmentais insensiblement lamplitude des va et vient, jusquà arriver à lemplacement de lhymen déchiré et puis jusquà lentrée du vagin. Elle eut encore un peu mal au passage du gros sexe sur la déchirure, mais très vite le plaisir lemporta sur tout le reste. Maintenant, jy allais franchement ; je ne prenais plus aucune précaution. Je lagrippai par les hanches et je la tirai en poussant des hans de bûcheron à chaque fois. Mon gourdin allait et venait dans ce vagin si étroit, si chaud, si visqueux et si doux. Elle le ressentait très fort en elle ; elle aimait la manière vigoureuse dont il la pénétrait et prenait possession delle, en maître absolu des lieux. Elle adorait sa force, sa dureté et en même temps, sa douceur. Elle laimait. Et elle criait quelle laimait ; quil était son maître ; quil était son Dieu. Elle criait quelle allait jouir comme une folle ; que mon zob allait lemmener au paradis. Et quelle voulait y rester, au paradis. Quil ne fallait plus quil quitte sa chatte ; que celle-ci était devenue sa seule maison.
Et puis elle poussa un très long râle et déchargea très fort, plusieurs fois, jusquà ce quelle sécroule sur le lit en détendant tous ses muscles. Je restai en elle, le gourdin encore tendu. Je continuai à la piner plus en douceur, espérant réveiller ses sens rassasiés et la faire jouir encore une fois, avant que moi-même je ne décharge tout le foutre que javais accumulé. Je retournai au fond de son vagin et repris les lents mouvements dallers-retours. Je lui soulevai le bassin pour que mon sexe aille au plus profond delle. Petit à petit, je sentis quelle sanimait et que le désir renaissait. Elle reprit ses petits gémissements et tortillait ses hanches pour accompagner le mouvement de mon gourdin dans son ventre. Elle referma les yeux et remonta dans son monde merveilleux pour savourer son plaisir. Elle souriait de bonheur tout en gémissant, balançant sa tête et bavant
Le spectacle de ma belle enfermé dans son paradis de plaisir accrut mon excitation. Je me mis à donner des grands coups de reins faisant voyager mon engin entre lentrée du vagin et le fond ; de plus en plus rapidement et de plus en plus fort. Elle criait quelle était au paradis et quelle voulait y rester et y mourir ; quelle navait jamais eu autant de plaisir ; quelle était folle dêtre restée vierge jusquà maintenant ; quelle aurait dû venir, il y a bien longtemps pour se faire dépuceler. Moi je ny tenais plus. Mon sexe allait éclater tellement il était gonflé. Jaccélérai le mouvement et nous eûmes en même temps un long râle de jouissance, qui me fit éjaculer une quantité incroyable de sperme à lintérieur du préservatif et la fit décharger une autre quantité de jus à lintérieur et à lextérieur de son vagin. Nous nous affalâmes tous les deux épuisés.
Nous restâmes ainsi longtemps allongés lun sur lautre jusquà ce que notre souffle ait repris son rythme normal. Je me levai de sur elle et je regardais son entrecuisse qui était rouge de sang. Elle avait beaucoup saigné. Je lui demandais de vérifier si elle ne saignait plus. Le sang ne coulait plus. Je lui ai pris les mains pour les embrasser en signe de reconnaissance et damour.
- Je taime tant ! » lui dis-je.
- Pas plus que moi ! répondit-elle.
Nous prîmes une douche bien chaude et nous dormîmes comme des souches. Le lendemain nous passâmes, toute la journée au lit à nous aimer et à parler davenir et de la manière dont on allait annoncer cela à Nassima et Nawal. Je lui suggérai de passer par Nawal pour arranger les choses. Elle accepta, craignant daffronter seule sa mère. Comme je navais pas le droit de lappeler, je lui dis de lui dire de mappeler dès quelle sera libre de le faire.
Nawal mappela le surlendemain, curieuse dapprendre ce que javais de si important à lui annoncer. Je lui racontai toute lhistoire, ne passant sous silence que les instants intimes que, me connaissant, elle pouvait facilement imaginer. Anxieux, jattendis le verdict définitif de Nawal. Je savais dinstinct que la solution allait venir delle.
- Tu laimes vraiment ? Elle, je sais quelle taime depuis très longtemps. Et quelle men a voulu de tavoir pris à elle. Ecoute, moi je crois que cest la plus belle chose qui pouvait tarriver, à toi dabord, parce quAmal est une brave fille qui a toutes les qualités pour rester auprès de toi très longtemps et te donner beaucoup de bonheur. Pour elle aussi, parce que tu es un bon parti et un merveilleux coup. Et même pour maman qui verra « la prunelle de ses yeux » heureuse et casée. Mais il faut que tu décides à te caser. Si cest le cas, je me charge de préparer maman et dans deux ou trois mois ce sera elle-même qui te demandera de lépouser. Et puis pour moi et notre fils, cest une merveilleuse nouvelle, parce que comme cela, devenus proches parents, nous pourront nous rencontrer souvent chez maman et tu pourras voir grandir ton fils et peut-être même lui donner des frères et surs.
Merveilleuse Nawal !Tout se passa comme elle lavait prévu. Amal était partie faire sa formation en Angleterre pendant trois mois. A son retour, tout était arrangé. Nous nous mariâmes très rapidement et nous ne nous quittâmes plus. Je crois que je nai jamais été aussi heureux de ma vie. Même Soraya, mon assistante, qui est certainement, la personne qui me connaît le mieux, a constaté que jétais plus épanoui et plus heureux. Elle était réellement heureuse pour moi. Je pus voir souvent Nawal, plus belle que jamais et enceinte jusquau cou dune fille, Nassima qui jouait à la mamie gâteau avec mon fils, ce dernier qui était un adorable bambin plein de vie et qui grandissait à vue dil. Il sétait attaché à sa tante et venait souvent jouer chez nous. Amel, elle était devenu pour moi le centre du monde. Nous eûmes deux s, un garçon et une fille, et nous nous aimons toujours comme au premier jour. Faisant lamour comme des bêtes, dans tous les lieux et par tous les temps. Amel a pris goût aux jeux érotiques et découvre tous les jours de merveilleuses choses pour corser nos relations amoureuses.
- FIN -
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