Comme Une Chatte Au Soleil
A la fin de lété dernier, mon maître memmena passer laprès-midi à la piscine. Il mavait acheté pour loccasion un bikini assez élégant, et en même temps plutôt sexy. Lui portait son maillot sous ses vêtements pour y aller, tandis que moi, comme toujours en été, jétais nue sous la robe légère quil mavait choisie. Je portais pour loccasion un autre collier, moins reconnaissable, mais qui tenait lieu de signe dobéissance lorsque je sortais sans pouvoir porter un foulard sur lautre. Je me dis parfois que lon doit simaginer que jai une horrible cicatrice sur le cou, mais certainement pas ce que je porte en réalité !
Bref. Nous profitâmes de la saison pour y aller à pieds. Paris est une belle ville pour se promener en été, presque déserte parfois, pour peu que lon soit loin des quartiers touristiques. Cétait le cas, nous allions dans un grand centre de loisirs aquatiques, proche des portes de Paris. A un moment, puisque nous étions effectivement seuls dans la rue, mon maître marrêta dun mot. Je le regardai, prête à obéir.
Ouvre ta robe.
Je défis aussi vite que possibles les boutons, pourtant assez nombreux. Une fois les deux pans écartés, je restai là, à attendre la suite. Je ne regardai que mon maître, partagée entre la crainte de voir quelquun dautre arriver, et lenvie de répondre à ses désirs.
Retourne-toi, et att tes chevilles.
Jobéis. Je sentis le tissu de la robe glisser contre mes flancs, puis sur mon dos. Elle pendait tout autour de ma tête, jusque par terre. Je sentis la chaleur du soleil sur mes reins, et cela me fit frissonner dexcitation. Presque aussitôt, je sentis mon maître enfoncer quelque chose entre mes cuisses, sans préambule. Je reconnus la forme, la texture, cétait un de ces ufs vibrants avec lesquels il aimait tant mexciter. Il adorait savoir que javais en moi, où que nous soyons, un jouet quil pouvait faire vibrer dans mon ventre sans que personne dautre ne le sache.
Je sentis luf entrer en moi et se loger dans mon vagin. Sans doute par habitude, je sentis mon corps séchauffer un peu plus.
Relève-toi. On repart. Tu tarrêtes tous les cinq pas, pour fermer un bouton à chaque fois, celui que tu veux. Et ne piétine pas.
Nous reprîmes donc notre promenade, moi de moins en moins nue, mais excitée par ce qui roulait entre mes cuisses. Mon maître me regardait marrêter, sourire aux lèvres. Il profita dune halte pour saisir un de mes tétons et le pincer fort, très fort, jusquà m faire crier. Déjà avant dêtre avec lui, cette douleur-là, localisée, mexcitait beaucoup. Ce que javais envie de lui.
Nous arrivâmes à la piscine. Le vigile jeta un coup dil dans le sac de mon maître, et nous laissa entrer. Nous nous dirigeâmes vers les vestiaires un pour les hommes, un pour les femmes, bien sûr.
Va mettre ta robe à la consigne chez les femmes, et vient me chercher pour avoir ton maillot. Et ne te déshabille pas dans une cabine.
Je sentis ma gorge se serrer. Jallais donc sortir du vestiaire femmes et entrer dans celui des hommes nue, avec juste ce collier.
Oui, maître.
Je fis comme il avait dit, et revins vite le chercher. Personne en vue, mais beaucoup de cabines fermées. Bien sûr, impossible de savoir dans laquelle lui sétait installé. Javais donc le choix entre lattendre et lappeler. Je choisis cette dernière, sans me rendre compte tout de suite de ce que cela impliquait.
Maître ? Maître ?
Une cabine souvrit, et un homme passa la tête, lair étonné. Cest à ce moment-là que je me rendis compte à quel point je venais de me griller toute seule ! Heureusement, la voix de mon maître mappela, et une autre porte souvrit avant celle de lhomme qui me regardait.
Ici. Tu aurais pu penser à prendre ton maillot, au lieu de te balader à poil, enfin
Oui, pardon, maître, répondis-je moins fort.
Il me tendit le bikini, puis referma la porte. Jétais donc dehors, et je mhabillai sous le regard toujours étonné et méfiant de lautre homme. Quand mon maître eut fini de se déshabiller, il sortit de la cabine, mit ses affaires à la consigne, et prit dans une main nos serviettes. De lautre, il claqua des doigts.
Allez, viens.
Je le suivis, les yeux baissés, jusquau bassin. En chemin, je sentis mon uf se mettre à vibrer. Je regardai ses mains
et compris quil devait tenir la télécommande entre les serviettes.
A côté se trouve une sorte de solarium, un endroit où sont disposées des chaises longues. Mon maître en choisit deux, et y étendit nos serviettes.
Allonge-toi sur le dos, une jambe de chaque côté. Ferme les yeux.
Je métendis, avec un couinement quand le mouvement me fit serrer un peu plus luf entre mes cuisses. Une fois allongée, la vibration cessa. Mon maître sortit un livre, et louvrit. Pour ma part, javoue que jappréciais ce moment pour bronzer, et restai immobile pour savourer la caresse du soleil.
Les vibrations vinrent et repartirent, plusieurs fois, et javais le souffle très court. Nous nétions pas seuls en arrivant, javais entendu du passage autour de nous, je ne savais pas où étaient les personnes les plus proches. Je faisais donc de mon mieux pour ne pas gémir, et même éviter de soupirer ou grogner. Cétait très difficile.
Au bout dun moment, mon maître mordonna de me retourner. Je mallongeai donc sur le ventre, les pieds toujours écartés de la largeur de la chaise longue. Très bientôt, je sentis sa main se poser sur mes reins. Je sursautai. Il se pencha pour me murmurer à loreille.
Ouvre ton petit cul, ma putain. Jai quelque chose à y glisser.
Je sentis mon cur rater un battement. Aussitôt, les vibrations reprirent. La main de mon maître descendit sous le maillot, et je sentis un objet froid se glisser entre mes fesses, jusquà mon anus, quil pénétra sans ménagement.
Là encore, mon maître joua à activer ou éteindre luf plusieurs fois, plus ou moins longtemps. Je sentais mon sexe souvrir et mouiller.
Retourne-toi, mordonna-t-il à un moment où les vibrations me coupaient presque la respiration.
Lopération ne fut pas aisée, javais les cuisses dures, mais jy parvins. Il passa une main légère contre ma poitrine, envoyant des décharges dans mes tétons durcis.
Il est très bien, ce maillot, dit mon maître. Il ne cache rien du tout de tes tétons. On dirait même quils vont le déchirer, tellement ils sont durs.
Je me sentis rougir, mais cela ne calma pas mon excitation. Jétais partie, je nattendais que de jouir. Luf ne suffirait pas, il mexciterait encore et encore mais ne suffirait pas à me faire basculer. Et mon maître le savait.
Ecoute, Nathalie, on ne peut pas partir dici avant que tu te sois fait jouir. Ou à la fermeture. Je vais régler les vibrations en aléatoire, et laisser luf allumé jusquà ce que tu te décide à te branler. Quand tu en auras envie, prends le temps que tu veux.
Oh ! Sil mavait demandé de lui faire quelque chose, nimporte quoi, je laurais fait sans hésiter, sans réfléchir. Je voulais jouir, mon corps était tendu de plaisir retenu. Mais ça ? Là, dans un endroit public, sans savoir sil y avait quelquun à côté de moi ?
Je demandai à mon maître lautorisation douvrir les yeux. Il me la donna. Je tournai la tête. Quelques personnes, pas très près, mais quand même. Jen vis une ou deux avec des écouteurs. Cela me rassura un peu.
Daprès la grande horloge accrochée à un mur de la piscine, il me fallut un peu plus dune demi-heure pour me résoudre à me faire jouir.
Si tu enlèves le haut, je taiderai en te pinçant les seins.
Il ne fallait pas me le dire deux fois ! Je nhésitai même pas avant douvrir le haut de mon maillot. Et puis, à Paris, je ne serais pas la première à bronzer seins nus !
Je me rallongeai et remis mon doigt contre mon clitoris. Mon maître passa la main sur ma poitrine, et commença à me pincer un téton, à le faire rouler entre ses doigts, à le tordre et à tirer dessus. Je serrai les dents.
Je jouis en quelques minutes, très fort. Cela faisait pas loin de deux heures que mon corps réclamait cela, je ne pus mempêcher de me cabrer sur la chaise longue lorsque lorgasme vint. Jespère ne pas avoir crié. Je ne sais pas.
Mon maître coupa les vibrations pour me laisser reprendre mon souffle, puis mordonna de me lever. Il ralluma luf, garda mon haut de maillot à la main, et nous repartîmes vers les vestiaires. Les regards quattirèrent mes seins encore tendus pendant la traversée de la piscine me remirent des nuds dans le bas-ventre.
Mon maître nous fit rentrer à pied, sans me retirer luf ou le rosebud. Après cette heure de marche, il me fit le sucer sur notre balcon, et me laissa là, la laisse attachée à la rambarde, jusquà ce que son sperme ait séché sur mon visage. Puis il memmena au restaurant.
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