Exhibition Torride
Je voudrais vous raconter ici une autre aventure que nous avons vécue ensemble, ma collègue Chrsitine et moi, il y a maintenant
douze ans.
Comme je lai dit dans « Chaude partouze », Christine était une collègue de travail, mariée comme moi, très salope : elle ma
avoué plus tard avoir toujours trompé son mari, surtout avec ses employeurs. Je crois quelle avait besoin dun amant attitré
quelle gardait le plus longtemps possible, ce qui ne lempêchait sans doute pas, de temps à autre, daller voir à droite et à
gauche, en plus. Elle venait au travail avec des tenues très excitantes, surtout dès quil faisait chaud (à Toulouse, à partir de mai-
juin, la température peut être très chaude). Dans ces cas-là, elle portait des jupes amples et transparentes (parfois des jupes
courtes) et des chemisiers très échancrés, sans quasiment jamais de soutien-gorge. Evidemment, ça se voyait et je dois dire
quelle faisait tout pour ça. Elle aimait mexciter particulièrement et comme nos deux bureaux étaient lun face à lautre, ce
nétait pas très difficile, si vous voyez ce que je veux dire. Un beau jour, dans un local qui jouxtait nos bureaux, elle membrassa
à limproviste. Jai clairment compris ce quelle voulait bien sûr et après nous être brièvement mis daccord sur la nature de notre
relation (amicale et sexuelle), nous avons commencé une vie érotique particulièrement intense. Tous les matins, nous arrivions
avant tout le monde et nous baisions pendant une bonne demi-heure. Tous les matins pendant trois ans ! Elle singéniait à
mettre toujours de nouveaux sous-vêtements. Elle suçait à merveille, adorait également se faire sucer (comme cétait une vraie
blonde, elle avait une chatte quasiment imberbe, avec un tout petit duvet blond presque invisible), me passait ses longs ongles
dans le dos pendant quelle avalait ma queue, se faisait baiser dans toutes les positions et aimait bien de temps à autre que je
lencule.
voulais. Nous nous sommes souvent déplacés tous les deux pour le travail et là, nous avons baisé un peu partout, très excités par
les caresses que je lui prodiguais et par le fait quelle relevait entièrement sa jupe : dans la campagne, sur des sentiers (parfois à
proximité de la route où continuaient à passer les voitures), deux fois dans des toilettes dautoroute (je suis sûr que ça sest
entendu dans les toilettes dà côté). Une fois, je lai même baisée chez elle, sur son lit (je pensais alors à son mari que je
connaissais et mon plaisir nen était que décuplé) ; une autre fois, ma femme sest absentée pour des raisons professionnelles
durant trois jours : elle nétait pas partie depuis une demi-heure que je baisais Chrsitine sur le canapé de la salle à manger (je me
souviens ; elle était en bottes jusquaux genoux, jupe droite et courte, sans culotte. Je lavais baisée sauvagement et même
donné des tapes assez fortes sur sa chatte et son clitoris).
Avec elle, je me disais que je pourrais vivre des fantasmes que je nétais pas vraiment arrivé à vivre avec ma femme, même si
javais fait avec elle quelques expériences de triolisme et dexhibition.
A Toulouse, comme partout je pense, il y a des endroits de rencontres, dédiés aussi au voyeurisme et à lexhibition. Lun de ces
endroits est les côteaux de Pech-David où je métais arrêté plusieurs fois tard, après le travail, et avais vu des scènes bien
excitantes, notamment un couple qui venait assez souvent et dont lhomme faisait branler sa femme par une multitude
dhommes qui, eux-mêmes se faisaient branler par elle. Je métais dit que jy emmènerais Christine un soir. Je lui en ai parlé et
je vis quelle nétait pas contre. Nous avons donc planifié cela un soir que nous terminions le travail très tard.
juin. Le temps était beau et chaud.
Nous avons pris nos deux voitures pour nous rapprocher du lieu de lexhibition. Là, Christine sest garée, non sans sêtre
changée pour la circonstance. Elle mit une jolie robe légère rouge à pois blancs, entièrement boutonnée sur le devant, qui lui
arrivait à mi-cuisses. Evidemment pas de soutien gorge (comme toujours) et une petite culotte de dentelle, dont je vérifiais létat
humide dès quelle monta dans ma voiture. Quelques centaines de mètres plus loin, nous arrivâmes au lieu de notre exhibition,
une petite aire goudronée qui faisait office de parking, entourée darbres. Plusieurs voitures étaient déjà garées et des hommes
discutaient entre eux tranquillement par petits groupes, en attendant.
Je me garai exprès un peu à lécart et demandai à Chrsitine de me sucer. Elle se pencha et commença une pipe dont elle avait le
secret. Je relevai sa robe et la branlai à travers la culotte. Naturellement, au bout de quelques instants, un homme vint se coller à
la fenêtre, du côté de Christine et, très rapidement, sortit son sexe et commença à se branler. Christine sétait relevée et admirait
cette belle bite tout en me branlant et en se branlant. Je la regardai brièvement et sans rien dire, jouvris la portière. Lhomme
commença alors à caresser Christine et elle sempara de sa bite avec sa main, tout en me suçant. Au bout de quelques minutes à
ce train, je dis à lhomme : « Tu peux la baiser si tu veux ». Ce à quoi Christine immédiatement répondit : « Pas sans préservatif ».
Mince alors ! Javais complètement oublié. Je nen avais pas, ni elle, ni lhomme en question. Alors il na fait que se branler et au
bout de quelques minutes, il a copieusement déchargé sur sa belle cuisse blanche. Entre-temps, tout un attroupement sétait
formé autour de la voiture et dès quil se retira de la scène, il fut remplacé par dautres, qui étaient terribement excités et qui se
jetèrent littéralement sur Chrsitine (qui mavoua plus tard avoir eu un peu peur).
resta très respectueux. Pendant une bonne demi-heure, elle fut malaxée, triturée de partout, des doigts senfonçant dans tous
ses trous, des langues venant remplacer les doigts
Un jeune homme demanda dans un râle qui avait un préservatif
Mais
personne ne put le dépanner malheureusement. Jaurais aimé la voir se faire baiser par tous ces hommes. Elle ne les suça même
pas mais accepta tout le reste sans rien dire, offerte et soumise. Moi, du côté de ma vitre, il y avait quelques belles queues qui
sagitaient et javoue que jen aurais bien pris deux ou trois dans la bouche si javais osé (mais je navais pas encore avoué à
Chrsitine ma bisexualité). Après une bonne demi-heure à ce rythme, elle reçut plusieurs décharges de sperme, copieuses et
violentes giclées, qui dailleurs ratèrent leur cible et vinrent parfois sécraser sur la banquette, ce que jeus beaucoup de mal à
faire partir ensuite
Cest alors que Christine me demanda de partir. Elle en avait assez et voulait que lon se trouve un endroit tranquille pour
terminer tous les deux. Cest donc ce que je fis. Deux ou trois kilomètres plus loin, je marrêtai dans un endroit que je croyais
être désert. Et nous recommençâmes, tout dabord à se sucer. Cest alors que je vis deux hommes, sortis je ne savais doù,
sapprocher de la voiture, sortir leur sexe et commencer à sa branler frénétiquement. Résignée, Chrsitine continua à me sucer.
Puis elle sassit sur moi, tout en regardant ces queues. Jouvris alors la fenêtre de son côté et elle se décida à sucer ces deux
bites alternativement. Magnifique spectacle que celui de cette belle salope totalement offerte, sublime vide-couilles. Je
déchargeai longuement en elle, et les deux hommes en firent autout dans sa bouche (il faut dire que Christine adorait avaler : un
jour, sur le réseau téléphonique, jai donné son téléphone à un homme qui cherchait une femme mariée.
mais elle a reçu cet homme chez elle et ma raconté lavoir sucé jusquau bout et entièrement bu). A la suite de tout cela, je lai
ramenée à sa voiture. Mais avant de descendre, elle ma refait une pipe divine (nous nétions plus que tous les deux cette fois-ci).
Pipe qui sest achevée dans des râles et dans une dernière violente décharge. Elle membrassa (baiser au goût de sperme) et nous
rentrâmes chacun chez nous. Je ne sais pas si elle a osé embrasser son mari en rentrant chez elle, mais elle sentait sacrément le
foutre !
Quelle adorable salope !
Depuis, jai quitté Toulouse et je lai perdue de vue. Et je suis à peu près sûr quelle ma remplacé immédiatement. Heureux
homme que son amant actuel ! Quil ose lui demander toujours plus et vivre avec elle ces moments extraordinaires que lon
garde gravés dans sa mémoire à jamais et auxquels on repense volontiers en se branlant à nouveau. En tout cas, si un jour
Christine lit ces lignes, quelle sache que ma bite est toujours à sa disposition. Et si des femmes, hommes ou couples ont envie
dy goûter, quils ne se privent surtout pas !
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