1-J'Aime Les Hommes

Cet été-là, je travaillais le matin dans une pâtisserie. L'après-midi j'allais me promener au centre commercial. Une bonne journée, je rentre dans les toilettes pour pisser. Il y avait deux urinoirs. L'un était occupé par un vieux. Je vais à l'autre. Je pisse mais je ne sais pas pourquoi, je suis intrigué par mon voisin. Il avait pas l'air de pisser. Vite fait, je jette un coup d'oeil. Je lui vois la queue sortie du pantalon. Tout un machin et en plus il avait la trique. Il se la caressait comme si il voulait se faire venir. Je me sens tout mal. Je me concentre sur ma bite qui commence elle-aussi à devenir raide. D'habitude elle faisait ça le matin dans ma chambre mais là au centre commercial j'étais pas mal gêné, surtout que le vieux la matait lui-aussi avec un grand sourire. J'aurais dû me la rentrer et puis sortir mais je ne sais pas pourquoi, je restais comme figé. Le vieux a regardé à droite et à gauche et puis là , il a commencé à me toucher les fesses. Après il a passé son bras par dessus mon épaule, a saisi délicatement ma queue pour me masturber. Je ne bouge pas. Je suis tétanisé. Il se tourne vers moi, me prend la main et la pose sur sa bite. Je le laisse faire. Quand il a vu que je ne réagissais pas et surtout que je ne partais pas, il m'a demandé si j'étais seul, si quelqu'un m'attendait. J'étais paniqué. Il m'a proposé d'aller s'amuser chez lui. Nous sommes sortis des toilettes, sa main me serrant l'épaule. J'étais comme une proie dans les serres d'un aigle. Le gardien de sécurité du centre était devant les portes ;il nous a regardé tous les deux avec un petit sourire complice. Je devais être rouge comme une tomate. Plus loin, le vieux a salué des hommes de son âge qui me regardaient avec des yeux d'envie. Nous avons traversé la rue. Il habitait une petite maison en face. Quand il a refermé la porte sur nous, j'aurais dû avoir peur. C'était le contraire. Je me sentais en sécurité. On est allé dans sa chambre. On s'est mis tout nu.

Comme je tremblais, il m'a aidé à enlever mes derniers vêtements. C'est drôle parce que je trouvais cela naturel de me mettre à poil chez un parfait inconnu comme si je savais ce qu'on allait faire. Et puis on s'est allongé sur son lit. C'était un très bel homme même si il était vieux. On sentait qu'il faisait des poids et haltères. Il avait des gros pectoraux et ses abdominaux étaient apparents. En plus sa peau était lisse sans poil et toute bronzée.
Il m'a caressé sur tout le corps. Puis il m'a pris dans ses bras pour m'embrasser sur la bouche. Sa langue a commencé à jouer avec la mienne. J'aimais cela. Il m'a léché la poitrine, le nombril et enfin la queue. J'avais peur mais c'était super, tellement que je lui ai fait pareil. Il en avait toute une grosse. J'aimais cela lui sucer le gland et les couilles. Il était épilé. Après il a recommencé à me manger la queue. Il faisait cela avec tellement de passion que j'ai pas pu me retenir et je lui ai spermé dans la bouche. Je me suis excusé mais il m'a dit que au contraire, il adorait mon sperme. Pour ne pas être en reste, j'ai accepté de faire pareille avec le sien. J'avais une main qui lui enserrait le sac de couilles, l'autre la queue et ma bouche faisait des mouvements de va-et-vient sur son gland. Très vite, il a éjaculé dans ma bouche une grosse giclée de son jus. C'est vrai que c'était bon.
Après on s'est tenu longtemps collé l'un sur l'autre. Il me disait des mots d'amour. J'aurais jamais cru qu'un homme me dirait cela et que j'aimerais les entendre. Puis quand on s'est rhabillé, il m'a demandé si je reviendrais. J'ai dit oui parce que j'avais pas d'amis de mon âge et que même si lui aurait pu être un grand-père pour moi, j'avais aimé mon après-midi. Avant que j'ai eu le temps de mettre ma petite culotte, il me caressa les fesses. Un de ses doigts alla se balader vers mon petit trou. et il me dit qu'il aurait une surprise la prochaine fois.