Mon Maître A Dit (Partie Ii)
MON MAITRE A DIT
(Partie II)
Mon corps tout entier devient mou. Une onde électrique me monte des pieds jusquau cerveau. Là, il me semble que tous mes circuits disjonctent. Je vais
je dois mourir.
« Quoi ?...Mais ?...Que
Comment
»
« Haha ! Cest bon, chéri ! Je déconne ! Je sais bien que tu serais incapable dune telle chose ! Haha ! Regarde ! Tu es toute déconfite ! Haha ! Tes vraiment trop sensible, toi ! »
Il me faut quelques secondes pour que mon cerveau retrouve toute sa capacité de logique.
Je tremble et jai les larmes aux yeux.
« Tes pas drôle Eddy ! Je croyais que tu étais sérieux ! »
« Rhooo, allons ! Si on peut plus rire. Bon ! Alors, cest quoi cette grosse bêtise ? »
Il ne me reste que quelques secondes pour décider de ce que je veux faire demain.
Vouloir rester une petite épouse et mère de famille modèle ou laisser libre cours à mes pulsions sexuelles.
Je prends une grande inspiration.
« Jai planté lordi du cabinet. »
« Ce nest que ca ? Ce nest pas bien grave ma chérie ! »
« Si ! Ca lest ! Ce nest pas la première fois. Lorsque cest arrivé, le docteur a passé son samedi à tout remettre en ordre. Là, cest sur, il va me virer ! »
« Et tu ne peux rien faire pour arranger le coup ? »
« Si, bien sur ! Mais cest très long. »
« Ben vas-y demain ! »
« Non ! Il lui arrive de passer au cabinet pour prendre des dossiers. Non, la seule solution
cest que je répare ma connerie demain soir. Mais ca risque de me prendre la nuit. »
« Allez ! Ne ten fais pas, je suis sur que tu vas assurer ! »
Honteuse, jai évité son regard toute la journée. Je me demande encore si jai pris la bonne décision.
Pourtant, je suis là, dans ma salle de bain, à tricher une fois de plus.
Jai passé un chemisier noir transparent, que je cache avec un vieux gilet défraichi.
Je nai plus quà enfiler mon imperméable pour parfaire ma forfaiture.
« Allez ! Courage chérie ! Je suis sur que tout va bien aller. »
« Oui, jen suis sur aussi. »
Je lui donne un baiser de Juda et je men vais.
Je prends la voiture. Jai mémorisé le trajet et je naurais aucune difficulté à retrouver le domaine de Sir Jefferson.
En chemin, je marrête sur le parking dun supermarché. Discrètement, je retire mon gilet et ma jupe longue, puis jenfile des bas que javais dissimulés dans ma poche.
Dans la boite à gants, je laisse en permanence un petit nécessaire de maquillage. Trois coups de crayon plus tard, je me sens prête, belle et sexy.
Jarrive à lheure. Près du perron, une dizaine de voitures de luxe sont stationnées en épi.
Je range la mienne. Elle semble ridiculement petite. Mais je suis plus préoccupée de savoir à qui appartiennent ses véhicules, quà leurs tailles.
Viola maccueille en haut des marches. Elle est radieuse et très souriante. Pieds nus, dans son vêtement transparent, elle me fait penser aux servantes romaines de lantiquité.
Je lui souris aussi, sans toute fois lui parler, puisque cest inutile.
Elle prend mon manteau quelle accroche avec dautres sur un portant.
Puis elle revient vers moi et à ma grande surprise, elle glisse sa main sous ma jupe et effleure ma vulve.
Sans doute un ordre donné, pour vérifier que je ne porte rien.
Comme si cela ne suffisait pas, elle déboutonne deux boutons de mon chemisier. Mes seins sont trop apparents à mon gout et je mapprête à en reboutonner au moins un, mais elle me linterdit en fronçant les sourcils.
Elle me conduit dans une salle opposée à la salle à manger. Cest un grand salon ou une dizaine dhommes de tout âge, discutent enfoncés dans de grands fauteuils de cuir. Ils fument et déguste ce que je pense être du whisky. Ils sont tous très élégants, très classieux.
Je reste à la porte et personnes na remarqué ma présence.
Viola va rejoindre Sir Jefferson qui, près dune grande cheminée, est en grande discussion avec un jeune homme plutôt mignon. Elle lui glisse un mot à loreille.
« Haaaa ! Chers amis, permettez moi de vous présenter ma dernière petite trouvaille ! Cathy ! Nest-elle pas délicieuse ? »
Il vient vers moi et après mavoir prit la main, me conduit au centre du salon.
Les hommes se lèvent et me déshabille du regard.
Rougir est devenue pour moi une seconde nature et je ny prête même plus attention.
Un homme sapproche de moi et pose sa main sur mes fesses.
« Tu as quel âge belle ? »
« Trente cinq ans, monsieur. »
« Hum ! Cest agréable, tu es polie. »
Un autre, plus jeune, glisse ses doigts dans mon chemisier et énerve mes tétons.
« Tu portes une alliance. Tu es mariée ? »
« Oui, monsieur. »
« Et il tas laissé venir ? »
« Je lui ai menti, monsieur. »
« Bien ! Très bien ! »
Leurs attouchements sont furtifs. Ils ninsistent pas et reprennent leurs places.
Le jeune homme qui discutait avec mon hôte, le plus jeune semble til, mapporte une coupe de champagne. Son regard est pénétrant et il me trouble profondément. Ses doigts effleurent les miens et je ne pense pas que ce soit du hasard.
Sir Jefferson sapproche de moi, passe son bras autour de mes épaules et me serre un peu contre lui de façon très paternelle.
« En répondant à mon invitation, tu fais preuve de courage et de détermination. Vois-tu, jétais certain que tu viendrais. Ce sont des choses que je ressens. Si ce soir jai invité mes amis « Maîtres en soumissions », cest pour participer et jouir comme il se doit, de ton baptême. »
SOUMISSION ! Ca y est, le mot est lâché !
Ho, javais bien compris ce quétait et ce que faisait Sir Jefferson. Mais je ne voulais pas me lavouer. Moi soumise ? Est ce possible ? Ce soir, il me faut bien ladmettre.
« Ce soir, tu vas changer de nom. Pour moi, pour nous, tu ne serras plus jamais Cathy. Mais pour commencer la cérémonie, déshabille toi ! »
Jallais protester, mais je me ravise de le faire. Le jeune homme me débarrasse de mon verre et sécarte.
En cercle, autour de moi, les hommes attendent.
Tremblante, je défais les trois boutons restant de mon chemisier. Je le dégage de ma jupe et le fais glisser sur mes épaules. Il glisse sur mes bras et tombe au sol.
Jai froid. Sans doute par la trouille. Mais ca a un effet immédiat sur mes tétons qui pointent et se durcissent dun coup.
Les yeux des hommes sont plus brillants, plus pétillants. Des bosses se dessinent dans quelques pantalons.
Une certaine excitation sinstalle en moi, à la simple idée que cest moi qui leurs fais cet effet là.
Je passe mes mains dans mon dos. Je fais sauter lagrafe de ma jupe et descend lentement la fermeture éclair.
Un petit moment dhésitation et je lâche tout. Elle chute au sol et me dévoile nue.
Désormais, chez tout les Maîtres, des bosses sont visibles, y compris sur Sir Jefferson.
Je dégage mes pieds de mes chaussures à talons hauts et je me penche pour faire rouler mes bas. Je me rends bien compte que dans une telle position joffre une vue imprenable sur mon fessier et quen ouvrant légèrement les cuisses, ils aperçoivent ma fente rose et humide.
Cette idée mémoustille et lorsque jai retiré le premier bas, je me retourne pour ôter le second, afin que tous profite du spectacle.
Voilà ! Cest fait. Je suis nue comme un vers devant dix inconnus. Ils sapprochent, ils me caressent, ils me palpent. Des doigts me pénètrent, forcent mon intimité anale. Dautres, fouillent ma bouche, caressent mes cheveux. Je me sens étrangement bien, comme transportée par un plaisir nouveau.
Mais soudain ! Tout sarrête. Ils se reculent, laissent de lespace. Ils sont en cercle autour de moi et ils sortent leurs queues presque tous en même temps.
Cest alors que Chastity fait son entrée. Tout comme Viola, elle est nue sous une chasuble transparente. Je vois ses formes charnues, sa poitrine provocante et fière, sa toison brune. Ses cheveux sont coiffés. Plus rien à voir avec la gothique dhier. Elle est
belle !
Elle affiche un sourire narquois qui nannonce rien de bon.
Elle se place près de son Maître et celui-ci prend la parole.
« Cathy ! Nous allons maintenant procéder à ton baptême, à la suite de quoi tu recevras ton nouveau prénom. Mais tu nes pas sans savoir quavant même de faire partie de notre famille, tu as transgressé la loi et que tu dois être punie. Comme je lai dis, jai décidé de laisser Chastity sen charger. Elle ma fait une proposition, que jai acceptée. Par conséquent, à lissu de la cérémonie, elle te fera subir SA punition. »
Tout ce cérémonial me fait un peu peur. Jignore ou je mengage vraiment. Mais le sourire de Viola et lamour de Chastity pour son Maître, me conforte dans lidée quil ne peut rien marriver de grave.
« Cathy ! Agenouille-toi et place tes mains dans ton dos. »
Une fois fait, un premier homme vient se placer face à moi. Je nai pas besoin dexplication pour deviner ce quil attend. Jouvre la bouche et engouffre le membre tendu aussi loin que possible dans ma bouche.
Je mapplique à le sucer et lui donner un maximum de plaisir comme je le ferais avec mon propre mari.
Au moment de jouir, lhomme se dégage et se termine à la main. Son but
Ejaculer sur mon visage. Mes joues sont souillées et de longues coulées sétirent vers mes seins.
Mais pas le temps de les observer touchant leurs buts. Un autre homme se présente déjà.
Il se produit le même scenario et de nouvelles giclées viennent éclabousser ma frimousse.
Très vite, le foutre me dégouline de partout. Jai la sensation que plus une parcelle de peau nest encore visible. Jai un il fermé qui me brule et je respire doucement pour ne pas inspirer les semences grâces qui encombrent le dessous de mon nez.
Le huitième, puis le neuvième.
Je fatigue et jai de plus en plus de mal à la mâchoire. Mais pas question de faiblir et je mapplique à lidentique, sur chaque verges.
Enfin le dixième se libère. Peut être que le meilleur a été gardé pour la fin, car la quantité de jus quil déverse sur moi est vraiment très impressionnante. Longue et presque ininterrompue. Pourtant, lhomme est déjà bien mature.
Je pense quil y en a autant sur mon corps que sur mon visage.
De mon il valide, je vois Sir Jefferson sapprocher. Il me plante son sexe au fond de la gorge. Je suis à la limite de la nausée.
« Cathy ! Ce prénom, je le prononce pour la dernière fois. Désormais, tu répondras au prénom de Léna. Eclat du soleil. Désormais, tu me dois une obéissance et une abnégation totale. Tu mappelleras Maître et tu nauras plus de rapports sexuel sans mon accord, y comprit avec ton époux. Les sous vêtements te sont interdits tout comme le fait de serrer les jambes lorsque tu es assise. Dautres directives te seront données au fur et à mesure. Léna, je te baptise. Bienvenue parmi nous. »
Et à son tour il déverse son plaisir sur mon visage.
« En principe, arrivé à ce stade, nous tapportons eau, savon et serviettes. Mais ce soir, nous te laissons aux bons soins de Chastity pour subir ton châtiment. »
Je vois le visage de ma petite « copine » silluminer.
Elle sapproche de moi avec une sorte de calice à la main et une petite cuillère.
Jai la sensation de savoir exactement ce quelle veut faire. La suite me prouve que javais deviné juste.
Elle saccroupie face à moi et commence à racler mon visage avec la cuillère, prenant bien soin de récupérer la liqueur poisseuse dans le récipient.
Peut être une bonne grâce de sa part, elle dégage mon il encombré rapidement.
Front, joues, menton, tout est soigneusement nettoyés. Puis elle sattaque à mon corps. Mon cou, mes seins et mon ventre sont à leurs tours débarrassés de toutes souillures.
Satisfaite de son travail, elle me tend le calice.
Environs deux cuillères à soupe de semences froides, commence à coaguler lentement au fond du bol.
Pas question que je donne une chance à cette fillette de me ridiculiser.
Japproche le verre de mes lèvres. Je reconnais lodeur caractéristique de la spermine. Certain disent que cest proche de lodeur de la truffe.
Lodeur, peut être, mais certainement pas laspect.
Je prends sur moi et décide de provoquer la gamine.
Jouvre la bouche en grand et penche la tête en arrière. Je positionne le calice et verse tout doucement le liquide blanchâtre. Il sécoule plus ou moins. Parfois lisse et continu. Parfois en paquet gras et gluant, en grumeaux.
Je prends sur moi et sans aucune grimace
javale dun coup.
Pour compléter mon coup déclat, je récupère le fond du calice à grands coups dindex que je lèche ensuite goulument.
Elle semble étonnée et regarde son Maître avec de grands yeux tout ronds.
« Chastity, conduit Léna à la salle de bain et occupe toi delle. Elle a gagné ton respect et le notre. »
Elle se lève, maidant à en faire autant. Pas facile car dêtre restée à genoux si longtemps a tétanisé les muscles de mes jambes.
Elle me prend par la main et nous sortons de la salle entre une rangée dhommes admiratifs.
Pour la plupart, les sexes sont retournés dans les caleçons. Seuls trois hommes se masturbent encore en nous regardant avec convoitise.
Chastity semble plus agréable avec moi. Sa main est douce et tendre sans aucune agressivité.
Nous arrivons à la salle de bain et elle maide à monter dans la baignoire.
Elle retire sa chasuble et me rejoint.
A laide dune grosse éponge elle nettoie mon visage, puis, mes seins, mon ventre. Sans men rendre compte vraiment, je ferme les yeux. Leau tiède qui sécoule sur mon corps mapaise. Léponge frôle et caresse ma peau avec grande douceur.
Soudain, je sens le tranchant dune main glisser sur ma fente. Jouvre les yeux. Elle est rayonnante de beauté. Sa main se fait plus pressante, plus curieuse et je craque.
Je passe mes bras autour de son cou et nous nous embrassons passionnément.
Je suis tellement heureuse de découvrir lautre Chastity. La douce, la tendre, la femme.
Nos seins se touchent, se frottent. Nos tétons se dressent de plaisir. Les miens appellent la bouche de la belle qui les aspire et les mordille tendrement.
Puis, elle continu sa course aux plaisirs et tombe à genoux. Je pose un pied sur le bord de la baignoire pour mieux moffrir. Elle croque à pleines lèvres lentrée de mon puits damour. Je me sens mouiller comme une fontaine.
Leau qui coule sur mon corps, ne peut éteindre le feu qui me consume de lintérieur.
Je jouis comme jamais je nai jouis.
Je crois que je crie
fort.
Tout en me dégustant, la jeune fille sest masturbée et ma jouissance a déclenché la sienne.
Plus discrète, elle létouffe dans un souffle.
Il nous faudra plusieurs minutes pour retrouver un rythme cardiaque normal.
Elle me fait descendre de la baignoire et messuie consciencieusement. Puis, elle ouvre une petite armoire. A lintérieur, une dizaine de chasubles blanches sont pliées et rangées cote à cote. Sur chacune, un collier comme ceux des deux servantes est posé.
Elle glisse une chasuble sur mon corps encore humide, puis, prend un collier et me le passe autour du cou. Ensuite, elle me place devant un grand miroir. Elle pose sa tête sur mon épaule et nous nous contemplons en nous souriant gentiment.
Nous redescendons le grand escalier, sans nous être adressé un seul mot.
Mon Maître est au bas des marches.
« Léna, tu es superbe. Je suis très fier de toi. Je te trouve remarquable, courageuse, pleine dambition et je pense très obéissante. Chastity, je suis ravi de constater que tu as changé de politique concernant Léna. Jai un coup de téléphone à donner. Rejoignez Viola dans le grand salon et offrez vous une coupe de champagne. Un baptême, ca ce fête, non ? Vous êtes autorisées à discuter toutes les trois, juste entre vous. »
Cette autorisation nous apparait comme un cadeau merveilleux et, de joie, nous nous sautons dans les bras lune de lautre.
« Ho Chastity ! Je suis si heureuse que nous soyons devenues amies. Pourquoi men a tu autant voulu dès notre rencontre ? »
« Jaime mon Maître et je suis sa favorite. Quand je lai vu te regarder, jai senti que mon statut était en danger. »
« Quest ce qui ta fais changer davis ? »
« Maître a toujours raison. Sil décide que tu es meilleure que moi, alors, je nai rien à dire. En plus, quand je tai vu boire avec bonheur la coupe de miel, je me suis dis que tu étais surement meilleure que moi. »
« Ca, je ne le pense pas. Et puis je ne suis que de passage et je ne suis pas amoureuse de ton Maître. »
« En es tu sure Léna ? La soumission est comme une drogue et on y prend vite gout. Tu reviendras en rampant dès quil te sifflera. Tu verras. »
Elle me donne un dernier baiser et nous retournons au salon.
En y entrant, la première chose que nous voyons, cest Viola, à quatre pattes sur une table basse, la chasuble remontée jusquà la taille, se faisant prendre en levrette par un des hommes.
« Ca vas être difficile de trinquer avec elle ! »
Mais lorsque nous nous approchons du buffet, deux hommes viennent à notre rencontre.
« Entre nous également dailleurs ! »
Chastity est entrainée dans le fond du salon.
Moi, lhomme me couche sur une table proche et remonte la robe transparente sur mon ventre. Il extirpe sa queue de son pantalon, monte mes jambes sur ses épaules et me pénètre dun coup, sans préliminaires.
Je ne men étais pas rendu compte, mais je suis restée dans un tel état dexcitation que mon vagin sécrète de la cyprine en grande quantité, semble til.
Lhomme senfonce en moi sans aucune gêne physique.
Durant la nuit, jirais de jouissance en jouissance, presque ininterrompues. Je passerais de mains en mains, sen aucune gênes ou complexes.
Je me fais un devoir de faire plaisir au maximum aux hommes qui me choisissent. Et ils me le rendent bien.
A deux reprises on ma demandé de faire lamour avec Viola puis Chastity. Deux grands moments de tendresses.
Puis, les hôtes ont commencés à prendre congé, les uns derrière les autres.
Cinq heures sonnent quand tous sont partis.
« Maître, je dois partir à mon tour. Mon mari doit mattendre. »
« Pas de problèmes. Chastity et Viola rangeront le salon. Elles restent à demeure.
Viola va tapporter tes affaires. »
« Merci, Maître. »
« Écoute bien ces quelques consignes Léna ! Je tinterdis davoir des relations sexuelle avec quiconque, y compris ton mari. Je te téléphonerai et tindiquerais une date, un horaire, un lieu. Tu devras te présenter sans sous vêtement et tu devras arborer ton collier. Tu dois rester dans un état dexcitation permanente. Tu te masturberas en conséquence durant la journée, mais sans jouir. Ta jouissance métant réservée. Je suis très content de toi. Ne me déçois pas. »
Pour la première fois, mon Maître me prend dans ses bras et membrasse. Je me sens toute petite et fragile, mais tellement bien.
« Allez ! Viola tattend dans le vestibule. »
Jenlève ma chasuble et remets mes vêtements à lexception de mes bas.
Jembrasse les filles, sans un mot et je remonte dans ma voiture.
Je marrête sur le parking désert du supermarché et je renfile mon gilet et ma jupe longue.
Fatiguée et inquiète, je rejoins mon domicile.
Eddy dort profondément devant la télé encore allumée. Jenlève mon imper et je le couvre avec.
Grossière erreur ! Ca le réveille.
« Ha ! ca y est ! Tu es enfin rentrée ? »
« Oui, tout vas bien ! Rendors-toi. Je vais prendre une douche. »
« Cest quoi ca ? »
« Quoi donc, chéri ? »
« Ce truc autour de ton cou ? »
Merde ! Jai oublié de retirer mon collier. Me voilà fraiche !
« Ho ! ca ? Cest rien, je te raconterais. Rendors-toi vite mon amour ! »
Je ne lui laisse pas le temps de me poser dautres questions et je fille dans la salle de bain.
Je me déshabille et me démaquille. Le miroir me renvoie mon image portant ce collier de cuir. Je le retire avec regret.
Je laime bien moi, ce collier !
Eddy a rejoint notre chambre et cest couché. Mais il ne dort pas.
« Ou étais tu ? »
« Daprès toi ? Au cabinet médical bien sur ! Je suis contente, jai tout remis en ordre. »
« Jy suis passé à onze heures pour tapporter du café. Il ny avait personne. »
« Ha ! Ho ! Onze heures dis tu ? Ha oui ! Jétais descendue à la brasserie ! Nous avons eu la même idée, tu vois. »
« La brasserie était fermée ! »
« Hein ? Ha oui ! Cest pour ca ! Je suis allée plus loin vers la gare. Tiens ! Cest là que jai rencontré un vendeur à la sauvette. Il ma tellement saoulé que je lui ai acheté le collier de cuir. »
« On dirait un collier pour chien ! Haha ! »
« Oui ! Hihi ! Tu as raison ! Je ne suis pas prête de le remettre ! Hihi. »
Il rit ! Je nen crois pas mes oreilles. Il a cru à mon histoire.
Jen tremble encore. Je reviens de loin.
A SUIVRE
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