Ma Soeur, Son Copain Et Moi Et Moi...

Eh voila, je viens de finir mes études et dans quelques jours je pars faire mon service militaire.
Mes parents, mon petit frère, mes deux sœurs et moi partons donc dans notre maison de campagne.
Nous passons un super moment tous en famille.
Mes parents, ma sœur cadette et mon jeune frère repartent pour notre appartement sur Paris.
Je reste avec ma sœur aînée. Son petit ami a prévu de nous rejoindre pour le week-end.
Nous passons la soirée à discuter tous les deux de choses et d’autres.
Il se fait tard quand nous allons nous coucher chacun dans notre chambre.

Il est 9h00, je me lève et rejoints ma sœur pour le petit déj. Elle est déjà prête à partir : son ami arrive à la gare à 10h00.
Nous bavardons et nous revenons assez vite sur la discussion de la veille au soir : les garçons et les filles. Elle me demande si je veux inviter une amie pour les jours à venir car comme son ami nous rejoint, elle a peur que je ne trouve pas ma place.
Je lui dis que je ne vois personne en particulier car mes amis et amies sont partis dans le sud ou sont restés à Paris.

Ils reviennent pour midi et nous déjeunons longuement et bavardons. Il se présente, s’appelle Pierre et est à la fac avec ma sœur. Ils sortent ensemble depuis deux mois seulement. Pendant que ma sœur s’absente un instant pour aller faire le café et chercher le dessert, il me demande si j’ai une amie. Sa question me trouble mais je lui réponds que non. Il vient s’asseoir plus près de moi et me demande de sorte que ma sœur ne puisse l’entendre de la cuisine si je préfère les garçons. Là je m’énerve un peu et lui répond que non, c’est juste que je me suis consacré à mes études plus qu’au fait d’avoir une petite amie. Il me regarde et me dit que c’est ok.
La journée se passe sans que nous reparlions de tout ça. Nous passons la journée tous les trois à l’extérieur en visite.
Le soir venu, après le repas où la conversation a tourné autour de mes études et de mon prochain départ, nous nous sommes installés tous les trois côte-à-côte sur le sofa.

Le film que nous regardions était moyen malgré les acteurs connus. Nous échangeâmes quelques instants sur leur jeu d’acteur et les derniers ragots people. Le film tirait vers sa fin, ma sœur se leva pour aller à sa chambre. Son ami remit alors sur le tapis, le fait que je n’ai pas encore de petite amie et il me demande si je suis encore puceau malgré tout. Je bredouille que ça ne le regarde pas. Il me dit que je peux lui faire confiance, il ne le répètera pas. Gêné, je lui avoue être encore puceau. Je termine à peine ma phrase que ma sœur revient et s’installe vers son ami, posant sa tête sur son épaule.
Un autre film commence, nous n’y prêtons guère attention au début jusqu’à ce que les sons nous firent cesser notre discussion et regarder vers le poste de tv. Il s’agissait d’une scène torride entre un garçon et une jeune fille qui s’embrassaient et dont la suite semblait évidente : ils allaient se déshabiller et faire l’amour là devant nos yeux sur le petit écran. Après quelques secondes, ma sœur et son ami m’ont jeté des regards et m’ont chambré. Je me suis senti très gêné d’autant qu’une érection naissante sous mon pantalon devait commencer à se voir. Ma sœur embrassa son ami tout en me jetant un regard qui me transperça. Leur baiser durant un moment et je me levais pour aller dans ma chambre et les laisser seuls devant ce film. L’ami de ma sœur lui chuchota quelque chose à l’oreille et se dégageant de l’étreinte de ma sœur, il se leva et me rattrapa avant que j’atteigne la porte pour sortir de la pièce. Je résistai un peu mais ma sœur nous rejoignit et me dit de rester. C’est alors que chose inouïe, elle me prit par la main et son ami de l’autre pour me ramener vers le sofa. Il éteignit la tv, tandis que ma sœur me poussait sur le sofa.
Je balbutiai quelques mots pour sortir de la pièce mais je ne pu finir ma phrase : ma sœur venait de m’embrasser sur la bouche en me plaquant sur le sofa. Sa langue voulut rencontrer la mienne, je résistai un peu mais une sensation de bien-être commençait à m’envahir et mon érection commençait à revenir dans mon pantalon. Son ami nous rejoignit et l’embrassa. Je tentais de profiter ce cette inattention pour me lever et sortir de la pièce. Cette fois, ils ne purent me retenir et j’allais m’enfermer dans ma chambre. Je les entendis venir dans leur chambre et je les entendis faire l’amour cette nuit-là.
Je me sentais bizarre depuis ce baiser avec ma sœur et j’eus du mal à m’endormir.

Le lendemain, je me levais, allais prendre ma douche (en fermant la porte de salle de bain) et revint dans ma chambre. Ma sœur m’attendait assise sur une chaise. Elle voulait s’excuser pour hier soir. Son ami lui avait chuchoté que je n’avais jamais embrassé de fille auparavant et elle voulait me donner un aperçu. Gênés nous en avons ri.
Je voulais rentrer à la maison et les laisser seuls mais elle insista pour que je reste les deux jours restants et je repartirais avec eux.
La journée et le lendemain se passèrent sans anicroche. Le lendemain soir, nous allions nous couchés quand l’ami de ma sœur vint me voir dans ma chambre : j’étais en caleçon et chemise quand il entra.
Il venait me dire que nous partirions vers midi.
Il me regarda, sourit légèrement et allait sortir, quand il fit demi-tour, ferma la porte et vint vers moi. Il me dit d’un ton ferme : tu bandes ! et joignant la parole au geste, sa main souleva un pan de ma chemise et il vit la grosseur de mon sexe au travers de mon caleçon.
Il me demanda qu’est-ce qui me mettait dans un tel état et je n’eus pas le temps de répondre : il m’embrassa et me poussa contre le mur. Plus costaud et plus grand que moi, il me plaqua contre le mur et je ne pouvais me dégager facilement. Il m’embrassa, sa langue rencontrant la mienne. Son corps contre le mien, il sentit mon trouble et une de ses mains vient sur mon caleçon et il agrippa mon sexe au travers du tissu. Il me dit de ne rien dire, de ne pas crier pour ne pas alerter ma sœur qui s’était endormie sur le sofa. Il profitait de cet assoupissement pour venir dans ma chambre me parler. Mais ma tenue lui avait donné une autre idée. Il me dit que dans quelques minutes je ne serais plus puceau…
Sa main qui tenait mon sexe commença à faire un va et vient. De son autre main, il me massait le torse et défit ma chemise. Je me retrouvais torse nu avec sa main qui titillait mes tétons et l’autre qui me tenait mon sexe. Il m’attira ainsi vers le lit et m’y poussa. Allongé je n’osais dire un mot. Il enleva son t-shirt et je vis son torse musclé. Il enleva son pantalon et resta en caleçon. Il avait également une érection. Il s’allongea à côté de moi et m’enleva mon caleçon avant de me sucer la bite. C’était si bon et agréable que je me surpris à avoir chaud et envie de lui rendre son plaisir. Ma main s’approcha de son caleçon, s’y glissa et j’entrepris de le masturber. Il me regarda et m’embrassa. Nous étions bien…Il se leva, pris son portefeuille dans son pantalon et en retira deux préservatifs : un pour moi et l’autre pour lui. Il me mit d’abord le préservatif sur ma queue et me demanda de l’enculer de suite. Je ne savais trop comment faire et il me guida. Quelques instants plus tard, j’éjaculais. Il me demanda alors de lui mettre la capote et de lui montrer mon cul. Il m’encula doucement et il jouit plus vite que moi dans mon cul. Nous nous allongeâmes sur mon lit. Je mis quelques minutes à réagir mais je vis ma sœur assise sur la chaise de mon bureau entrain de nous mater. Il n’avait pas fermé ma porte à clé et nos gémissements l’avaient réveillée. Elle avait entendu des bruits bizarres et entre ouvert la porte. Elle est alors entrée dans ma chambre et s’est assise en nous regardant. Son ami lui tendit alors la main et elle vint vers lui. Elle était en sous vêtements et vint s’allonger entre nous deux. Elle l’embrassa longtemps et je restai tétanisé : c’est ma sœur.
Elle prit alors les choses en main et, me fit une fellation et ensuite voulu que je vienne en elle. Elle prit un préservatif, me le mit et vint se positionner sur mon sexe en érection. Son ami se leva du lit, se rhabilla et sorti de ma chambre. Nous fîmes l’amour.
Je n’étais plus puceau…

Le lendemain avant de partir, ma sœur et son ami me firent promettre de ne jamais en parler. Et nous rentrâmes à la maison.