Moiteur Tropicale
Jenseignais le français à lautre bout du monde.
Jaimais cette île sous les tropiques. Tout était une invitation à la sensualité.
Javais fini par mhabi à la moiteur permanente qui minsupportait tant au début. Je my étais tellement habituée, quelle me manquait alors terriblement à chacun de mes retours en Europe. Je pense aujourdhui que cette suffocante ambiance me plaisait finalement beaucoup.
Jaimais lindécence de mes tenues légères. Ma peau était le plus souvent nue et cela me procurait une ivre sensation de liberté. A la maison, jétais le plus souvent complètement nue sous ma robe, et je ne men rendais pas toujours compte mais il nétait pas rare que lon puisse entrevoir mes seins sous la transparence du tissu. Il marrivait, pressée, de descendre en ville simplement vêtue dune petite robe, et jai surpris plus dune fois, le regard appuyé dun homme sur le creux de mes cuisses au moment de descendre de ma voiture. Je maintenais alors quelques secondes de plus mes jambes écartées. Cela mamusait et mexcitait aussi beaucoup. Je sentais alors parfois une douce chaleur envahir mon bas ventre et je sentais perler mon sexe
Il nétait pas rare quau retour de mon « expédition », jimagine le sexe bandé de linconnu et me caresse avec frénésie pour éteindre le feu de mon entre-jambe.
Un jour, on frappe à ma porte. Jouvre. Je portais alors une mini jupe de coton négligemment nouée sur les hanches et une brassière qui comprimait mes seins. Je sortais de la douche et les tétons dressés par la fraîcheur de leau se dressaient, durs et arrogants, sous le tissu.
Comme à mon habitude, aucun sous vêtement. Jappréciais le contact de la douceur de ma jupe sur la peau de mon sexe entièrement épilé.
Cétait le fils de ma voisine, un jeune homme de 19 ans. Il était venu plusieurs fois pour demander de laide pour ses devoirs. Javais souvent surpris ses regards posés sur mon corps et son trouble dalors mavait amusée.
Je le fais entrer, linvite à sassoir sur un fauteuil du salon et minstalle en face, sur le canapé.
Je prends la copie. La lis, non sans écarter légèrement les jambes, amusée à lidée de son trouble renouvelé. Je finis de lire et lève les yeux pour lui poser quelques questions. Il nécoutait pas. Ses yeux étaient rivés sur le creux de mes cuisses. Je lui demande de sapprocher, ce quil fait sans un mot. Je me repenche sur le document, puis relève la tête pour trouver, juste face à mes yeux une énorme bosse sous son short.
Je lui demande alors sil veut regarder de plus près et, joignant le geste à la parole, écarte franchement mes cuisses. Il bredouille confus, mais son regard ne quitte pas mon entre-jambes. Ma jupe se relève laissant entrevoir mon sexe trempé. Je prends sa main et la pose dautorité dessus. Il commence alors à me caresser, faisant glisser lentement ses doigts. Ses gestes sont un peu maladroits mais terriblement doux et frénétiques. Il titille mon clitoris. Des vagues de plaisir commencent à monter. Je gémis. Il senhardit. Je halète. Il enfonce un doigt, puis deux.
« Lèche-moi ! » Il saccroupit. Je prends sa tête entre mes mains et lattire à moi. Il pose ses lèvres sur moi, fais glisser sa langue entre les plis de mon intimité, lenfonce, la retire, embrasse langoureusement mon petit bouton qui, gonflé, tendu, se dresse. Il ose un coup de langue plus bas. Je lencourage. Mon anus se détend, sassouplit. Jy glisse un doigt et me branle pendant quil ne cesse de me sucer, lécher, manger, dévorer. Moi doigt est comme aspiré en moi dans une douce sensation de succion.
Je jouis dans une vague puissante et violente qui marrache un cri. Mes cuisses sont trempes. Je suis entièrement ouverte. Il approche alors son sexe de ma bouche. Il est dur, doux et, ma foi, plutôt imposant. Je laspire, le suce à mon tour, lenfonçant au plus profond de ma gorge. Il décharge dans un râle de plaisir.
Je me lève, ajuste ma jupe, tente de reprendre sa copie mais il nest pas rassasié et, quelques minutes plus tard, me demande de mettre à genoux. Je mexécute. Cest maintenant lui qui dirige les opérations. Il soulève ma jupe. Ma position est dune indécence folle.
Je suis à nouveau ouverte, offerte. Je sens sa queue glisser entre mes fesses. Il lentre tout dun coup, défonçant mon anus. Il lenfonce jusquà la garde. Je sens ses testicules contre ma chatte, simprégner de mon humidité.
Il entame une série de violentes allées et venues. Je gémis. Jai mal. Cest une délicieuse douleur. Et le plaisir sintensifie encore. Je nimaginais pas quil puisse être aussi entreprenant. Il me défonce.
Je jouis à nouveau très fort. Il se retire et tout son foutre coule entre mes cuisses.
Il se rhabille. Sen va, me laisse chancelante sur le canapé. La dissertation était sûrement un prétexte
Il nest plus jamais revenu. Je lai aperçu parfois.
Et puis un jour, il a frappé à ma porte, accompagné dun copain. Mais cest une autre histoire
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