Jouissances Avec Mes Nouveaux Objets

Je vie seule, j'ai un ami, heureusement avec qui je m'entends parfaitement. Nous nous voyons presque tous les jours. Presque parce qu'il lui arrive, trop souvent à mon goût d'être en déplacements. Nous passons quelques fois deux semaines sans nous voir. Quelques fois il m'appelle et nous disons des cochonneries pour jouir. Depuis ma plus tende jeunesse j'ai la "sale habitude" de me masturber. Je n'ai jamais cessé, même quand mon ami est avec moi! Il aime me voir couchée, les cuisses écartées, mes doigts dans ma fente qui caresse le clitoris. Il aime aussi se branler devant moi. J'aime quand il jouit sur moi. C'est pour tout cela que j'ai commandé des objets par Internet. Oh des bricoles qui vont me satisfaire j'en suis sure.
Avant d'ouvrir le paquet je le porte dans ma chambre, me déshabille totalement, je me regarde nue dans la glace: je me plais. Assise sur le lit se défait fébrilement le colis, en espérant que rien n'y manquera. Houra, tout y est. Je pose les objet à mes coté et commence par une masturbation normale: j'ai posé trois doigts sut mon bouton. Ils sont mouillés avec ma salive. Ils restent liés jusqu'à mon orgasme qui ne tardera pas. Je caresse tout doucement, sans appuyer au début, je poursuis plus vite en accentuant ma pression. Je sens mon ventre se crisper. Je presse mes mouvements et enfin j'ai une bonne jouissance. Pour ne pas perdre ma jouissance, je pose mes deux mains sur le vagin. Il me semble que je jouis plus longtemps ainsi.
Je choisis le premier objet: des boules de geisha: elles sont assez grosse, autant qu'un bite bandée. Je prends la première que je commence à me mettre dans le vagin. Je dois bien mettre 10 minutes avant qu'elle soit en moi. Je la rentre et la ressort plusieurs fois, comme si je me baisais. C'est sacrément agréable cette sensation d'avoir dans mon ventre cette première boule. Pour la faire entrer totalement je la pousse avec deux doigts au fond de mon vagin. Je prends la seconde pour agir de même.

Je me baise à nouveau avec celle là. Je l'enfonce jusqu'à toucher l'autre. A chaque pénétration je jouis. Je sais que normalement je devrais me lever, marcher avec elles, enfoncées en moi. Je sais que je jouirai ainsi plusieurs fois dans la journée. Pour l'instant de c'est pas mon intention.
Je me remets à nouveau les doigts sur mon bouton pour une autre sarabande. C'est plus qu'agréable d'avoir cette nouvelle jouissance avec ma main et ces deux boules. Je jouis encore.
Je dois être malade de me faire jouir autant à la fois. J'arrête après une jouissance pour me reposer un peu, je me caresse les seins et les fesses. Bien sur je m'excite encore.
J'ai encore deux objets. Je choisis les boules anales fixées entre elles. Je pose la première à l'entre de mon anus. Je n'ai pas à forcer pour qu'elle rentre. Je me sens mouiller encore. J'enfonce la deuxième, plus grosse. Le plaisir monte encore en moi. Je continue à en mettre le maximum: j'ai pu en rentrer 5 sur 6. Ce n'est pas mal pour un début. Je sens dans mes entrailles ces boules. Si je n'ai pas particulièrement apprécié l'entrée, je sais que maintenant je vais avoir un plaisir montant sans commune mesure avec une sodomie classique. Je tire le bout de l'ensemble. Je sens la première boule venir écarter mon cul. Je suis obligé d'arrêter quand elle est encore en moi. C'est encore mieux que les doigts de mon ami quand il veut écarter mes fesses avant de m'enculer. Je tire encore: cette fois ça y est la boule est dehors. Je sens mon sphincter se refermer. Je reste ainsi un moment avant de tirer pour faire sortir la suivante: elle passe trop vite à mon goût. La prochaine fois je rentrerais l'ensemble, sans en laisser une seule dehors. Il n'empêche que je jouis à chaque sortie. Ces boules anales alliées aux boules de geisha sont redoutables.
Quand je raconterai à mon ami, il voudra me voir faire. Je sors également les boules de geisha. J'en jouirai presque encore.
Je prends le dernier objet.
Il est dur, grand et gros. Je n'ai jamais eu quelque objet de cette taille dans mon ventre. Mon vagin devra s'y faire. Ce godemiché range au rang des vieilleries celui que je possède: il est certainement deux fois plus gros, c'est pour ça que je l'ai choisis. Sa longueur importe peu. Il fait simplement le double en diamètre qu'une bite normale: 10 centimètres. Pour me le mettre commodément j'installe mes fesses sur un coussin. Je suis ainsi tendue en avant. Je suce l'engin cime un bite, sauf qu'en réalité, si c'était un organe masculin je n'aurais jamais pu le faire jouir ma bouche n'est pas assez grande.
J'écarte les jambes le plus possible. Je ne pourrai les écarter plus sauf si j'étais une gymnaste. Je tiens fermement le gode dans ma main droite. Tous les doigts de ma main gauche sont mobilisés pour écarter mes lèvres et le vagin; Je pose le bout sur l'entrée de mon sexe. Je force pour le faire rentrer. Miracle de l'adaptation d'une entrée de sexe féminin il s'ouvre sur le passage. Je touche le fond de ma matrice. Je le laisse planté en moi, sans bouger, pour apprécier le plaisir d'avoir ce monstre dans le ventre. Doucement je le bouge pour arriver à le faire aller et venir. Je me fais jouir encore plusieurs fois. Je n'arrive pas à arrêter de jouir.
Pourtant je sens des brûlures autour de l'entrée de mon sexe. C'est avec regret que je sort le nouveau gode. Je sais que celui là je ne le montrerai pas à mon ami. Il me traiterai de cinglée. Il aurait sans doute raison. Pourtant je sais que je me le mettrai encore dans mon vagin.
Je suis plus que satisfaite de mes achats. Si j'avais une proche amie, je le lui recommanderai pour qu'elle jouisse comme moi. En tout cas dès demain en sortant pour aller au travail je porterai en moi les boules de geisha et dans mon sac le nécessaire à mon anus.

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