Fadela, Ma Voisine Du Dessous Première Partie: Fadéla
Fadéla, ma voisine du dessous
Première partie : Fadéla
Mon aventure amoureuse avec Fadéla, ma voisine du dessous, commença curieusement. Je connaissais plus ou moins lexistence de cette femme que je navais encore jamais vue - ou que je navais jamais remarquée - par les cris de colère et de fureur que jentendais pratiquement tous les jours dans lappartement du dessous, à travers le parquet et les murs. Jentendais des voix de femmes et dhommes se disputer sans discontinuer. Il me semblait quune voix dépassait toutes les autres, tant pas son intensité que par les paroles - souvent très méchantes quelle prononçait. De plus cette voix était toujours présente. Cétait, me semblait-il, le dénominateur commun des disputes. En mon for intérieur, je me disais que cette femme devait être une vraie mégère, quil serait dangereux et malvenu de fréquenter.
En fait jétais vraiment à côté de la plaque. Je fis sa connaissance, un matin vers huit heures trente minutes, au moment où je mapprêtais à sortir pour rejoindre mon lieu de travail. Cétait ce moment que choisit Fadéla je sus assez rapidement quil sagissait de la dame des disputes - pour frapper vigoureusement à ma porte. Jouvris pour tomber face-à-face avec celle que je prenais pour une mégère. Cétait une femme grande, brune et mince denviron trente-cinq ans, vêtue dune djebba fine robe dintérieur en coton qui lui arrivait à mi-mollet et qui mettait en valeur, ou plutôt qui suggérait - à chacun des mouvements quelle faisait - un corps superbe.
Elle était venue, me dit-elle, pour signaler une fuite deau dans la salle de bain, qui avait traversé le parterre de mon logement puis le plafond du sien et avait causé des dégâts importants chez elle. Avec les coupures deau presque quotidiennes, javais effectivement oublié de fermer le robinet de la baignoire et celle-ci, au retour de leau vers cinq heures du matin, sétait remplie à ras bord.
Dès que jentendis les coups frappés sur la porte, je sus quil ne pouvait sagir que de cela. Javais donc préparé mentalement toute une série dexcuses pour me faire pardonner ma négligence et, en ouvrant la porte, je me trouvais en face dune superbe plante. Je perdis alors toute mon assurance devant elle et me mis à bafouiller, dans un arabe approximatif, des mots dexcuse inaudibles et incompréhensibles.
Elle se mit à rire de bon cur et me demanda de la laisser entrer pour examiner elle-même les dégâts. Je la fis entrer, sans même réfléchir à linconvenance de la situation : une femme mariée, seule dans un appartement, en compagnie dun homme. Elle entra, promena, avec une curiosité bien féminine, son regard partout. Elle pénétra rapidement dans la salle de bain, puis visita, sans aucune gêne, la chambre à coucher, le salon et, bien entendu, la cuisine.
- Cela se voit que cest un appartement de célibataire ! dit elle. Il y a un désordre indescriptible ; il te faudra une femme pour y mettre un peu dordre.
Jétais estomaqué devant tant de liberté et de sans gêne. Je ne men offusquai pourtant pas ; au contraire, je me mis à la regarder plus attentivement ; elle me plut immédiatement. Dabord physiquement ; elle était réellement agréable à regarder ; aussi bien son visage ovale, avec des traits fins, de grands yeux rieurs de couleur grise, une grande bouche entourée de belles lèvres charnues, un menton énergique, légèrement avancé, qui lui donnait un charme particulier. Ensuite elle avait un corps mince qui dégageait une très forte impression de souplesse (une véritable liane ! pensa-t-il, immédiatement), avec des rondeurs bien placées, que la djebba, mettait en évidence à chacun de ses mouvements.
Elle me plut aussi par son comportement : aucune gêne, aucune hypocrisie ; un langage direct, sans faux fuyants. Elle avait sur les lèvres un sourire permanent, un peu narquois et moqueur. Elle alla sasseoir sur le grand divan du salon, sans même attendre que je le lui propose, et me demanda de lui ramener un verre deau. Un peu gêné par la tournure que prenaient les choses, et nayant que de leau du robinet, je lui proposai un jus ou une limonade à la place; elle refusa et se contenta dun simple verre deau tiède, directement puisé au robinet. Ce jour là elle resta environ une demi heure; temps qui me parut interminable; jespérais pourtant quelle resterait encore plus longtemps, le temps dachever notre discussion et de mieux faire connaissance. Dun autre côté, je commençais à penser au scandale qui pouvait éclater, si la famille de la dame débarquait pour savoir pourquoi elle traînait autant.
- Ne ten fais pas pour cela ; personne ne sait que je suis ici. Je leur ai simplement dit à ma belle sur que jallais chez Attika, une voisine et amie, pour laider à la cuisine.
Elle en profita pour me faire connaître sa technique pour sortir de chez elle, sans avoir rien à demander à personne.
- Il me suffit de provoquer la veille, une dispute de forte intensité et de profiter des fâcheries qui sensuivent, pour me donner la liberté de quitter la maison, au petit matin, sans avoir à demander la permission à quiconque et, bien entendu, sans que personne nait à protester.
Ma surprise ne sarrêta pas là : avant de partir, elle me fit la confidence quelle sintéressait à moi depuis que javais emménagé dans lappartement du dessus et quelle avait toujours été curieuse de voir comment je vivais et qui je fréquentais ; si jétais marié (elle sut rapidement que non !) si javais une ou des maîtresses. Elle mavait même avoué quelle avait lu quelques uns des articles danalyse politique que je faisais paraître assez régulièrement dans la presse.
- Je nai pas toujours tout compris ! En fait je ne mintéresse pas beaucoup à la politique. Mais je suis assez fière de faire la connaissance dun intellectuel courageux.
Au moment de sortir, elle membrassa sur la joue et me dit en menvoyant une illade coquine, quelle allait revenir le lendemain matin, pour rester avec moi un peu plus longtemps.
Je ne mattendais absolument pas à cela. Je me mis à gamberger à toute vitesse. Je me posais toutes sortes de questions sur le type de relations que je pouvais bien avoir avec une femme mariée, mère de famille et voisine de surcroît. Je navais aucun scrupule à avoir comme maîtresse une femme mariée et mère de famille ; je pensais surtout au scandale que cela pouvait causer, si cela venait à sapprendre ; scandale pour elle surtout, qui avait tout à perdre. Mais la joie et limpatience finirent par lemporter, effaçant les pensées sombres qui trottaient dans ma tête.
Je passais la soirée, à mon retour du travail, à préparer la rencontre du lendemain matin : je fis un peu de ménage - vaisselle, parterre et poussière- remplis le réfrigérateur de boissons, yaourts, fruits et fromages et, surtout, changeai les draps du lit. Le lendemain elle frappa à la porte, à la même heure que la veille. Ce matin aussi, elle était vêtue dune djebba en coton, qui nétait différente de lautre que par la couleur : celle daujourdhui était orange avec des motifs à dominante bleue. Comme la veille, elle nétait pas maquillée et avait la même coiffure : une queue de cheval qui sarrêtait entre ses omoplates.
Elle était belle et désirable ; et elle le savait ! Elle en jouait ! Elle pénétra dans lappartement et se dirigea directement vers la chambre à coucher. Elle passa devant moi avec un dandinement provocant des hanches, qui mit immédiatement le feu à mon sang.
- Je ne peux pas rester longtemps ! dit-elle. Jai dit à ma belle-sur que jallais chez Attika, pour laider à préparer des gâteaux et jai informé Attika, à qui je dis toujours tout, que je venais ici.
Je navais cure des explications quelle me donnait ; tout ce que je voulais pour le moment, cétait elle. Je courus presque derrière elle pour la rattr juste à lentrée de la chambre à coucher. Le grand lit se trouvait juste à gauche en entrant. Je lui pris la main et lobligeai à se retourner pour me regarder. Elle avait les yeux baissés et sur les lèvres, un sourire un peu timide, comme si elle nétait pas très fière de ce quelle était entrain de faire. Elle se reprit pourtant très vite, en me lançant subitement un regard provocateur et en approchant sa tête de la mienne pour quémander un baiser. Sa bouche était ouverte, ses lèvres tendues vers les miennes, mais elle avait fermé les yeux, comme pour ne pas voir ce qui allait fatalement se passer ou plus prosaïquement pour mieux apprécier le baiser quelle allait recevoir. Jhésitais une fraction de seconde entre lui donner un premier baiser en douceur ou alors y aller franchement avec un baiser torride et mouillé.
Joptais finalement pour y aller franchement. Je pris ses lèvres entre les miennes en les enveloppant complètement. Je lançais ma langue à lassaut de sa bouche pour forcer la barrière de ses dents, qui sécartèrent immédiatement. Au jeu du baiser mouillé, Fadéla était championne. Elle avait une langue chaude et agile qui narrêtait pas de bouger à lintérieur de sa bouche. Non seulement elle ne fuyait pas devant lintrusion de la mienne, mais allait franchement à sa rencontre pour se colleter avec elle. Nos deux langues saffrontaient en duel, chacune prenant un moment le dessus sur lautre, avant que lautre ne reprenne linitiative et repousse lattaque en pénétrant dans la bouche adverse.
Ce fut un baiser torride, qui dura une éternité et qui nous mena tous les deux au bord de l. Nos salives se mélangeaient et chacun à son tour sen abreuvait. Nos corps étaient collés lun à lautre. Fadéla frottait son ventre contre le bas de mon pantalon, comme pour tâter mon bas ventre et se rassurer quant à mon degré dexcitation. Elle sentit très vite lénorme bosse que faisait mon sexe sur le devant de mon pantalon. Elle montra son contentement en attrapant ma langue entre ses lèvres et en essayant de la sortir de ma bouche. Je fis ce quelle voulait et tirai la langue quelle se mit à sucer et à titiller. Je ressentais une étrange sensation de langue aspirée dans un orifice chaud et humide que venait lécher une autre langue, agile comme une anguille. Cétait délicieux et tellement érotique !
A bout de souffle nous arrêtâmes le baiser. Nos têtes se séparèrent et séloignèrent légèrement pour examiner son effet sur nous. Nous nous regardâmes et vîmes immédiatement le bonheur que lun et lautre avait tiré du baiser. Je la serrai très fort dans mes bras pour lui transmettre tout mon contentement et me mis à lui caresser la nuque sous sa queue de cheval. Elle posa sa tête contre mon épaule et se laissa caresser en ronronnant doucement. Son ventre continuait à se frotter contre le devant de mon pantalon, titillant mon sexe, qui commençait à se sentir à létroit.
Ma main quitta la nuque de ma belle pour aller caresser son dos, ses reins et sattarder sur ses fesses. Mon Dieu ce que son fessier était ferme ! Je caressai et tâtai lune et lautre des fesses, appuyant au passage, mais sans trop insister sur la raie. Fadéla semblait aimer ce que je lui faisais: elle bougeait ses hanches lentement pour mieux ressentir mes caresses. Jétais au summum de lexcitation. Javais envie de la soulever du sol et de la jeter sur le lit à proximité pour la tirer en force. Je voyais à ses yeux brillants quelle aussi voulait que je la baise tout de suite. Quelle en avait vraiment envie !
- Jai envie de te prendre immédiatement ! Je suis incapable dattendre plus longtemps ! On baise tout de suite et on fera lamour plus tard, quand on sera moins excité ! Tu veux ?
- Oui ! Oui ! Baise-moi ! Montre-moi ton zob ! Jai senti quil est immense ! Montre le moi !
Je méloignai un peu delle pour enlever le pantalon de pyjama que je portais et en sortir limmense queue qui frétillait dimpatience.
- Ouah ! ça cest un zob ! Absolument ce quil me faut ! Viens vite !
Je la soulevai du sol et la posai en travers du lit. Je soulevai le bas de sa robe pour dénuder ses jambes et ses cuisses et avoir accès à son paradis. Elle ne portait pas de bas. Ses jambes étaient superbement galbées. Ses genoux étaient ronds et brillants. Et ses cuisses luisaient et semblaient très fermes. Le tout était dune couleur mâte, presque café au lait. Elle tenait ses jambes serrées, comme si un reste de pudeur lui commandait de se comporter ainsi. Je posai une main sur son genou gauche, le caressai un court instant ; puis je fis pénétrer ma main entre les genoux, la forçant ainsi à les écarter pour la laisser remonter jusquà son entrecuisse. Elle souvrit insensiblement, au fur et à mesure que ma main avançait. Je découvris son entrecuisse, encore protégée par une petite culotte rouge. Je me plaçai entre ses jambes et me mit à caresser sa chatte à travers le tissu de sa culote.
Au contact de ma main, tout le corps de Fadéla se tendit. Elle souleva ses hanches pour donner plus de prise à ma main. Je caressai encore un moment la chatte à travers le tissu, puis introduisis un doigt pour écarter le bas de la culotte et dénuder la vulve. Celle-ci apparut devant mes yeux exorbités. Il ny avait aucune trace de poils. Fadéla avait dû sépiler très soigneusement la veille. «Rien que pour moi ! », pensai-je, ému. La chatte, de couleur sombre était fine et longue. Les grandes lèvres étaient très finement ourlées et formaient un triangle super sensuel. Avec un doigt, je forçais les grandes lèvres à souvrir pour laisser apparaître de magnifiques petites lèvres rouge vif, luisantes de mouille et palpitantes de désir.
Je fis pénétrer un doigt, sans trop forcer, rien que pour tester la douceur et lhumidité du lieu. Cétait divin ! Chaud, doux et totalement mouillé ! Il se dégageait de la chatte de ma belle une odeur enivrante de musc ; Une odeur aphrodisiaque ! Il fallait absolument que je fourre mon nez et ma bouche dans le jardin de Fadéla ! Je lui dis que jallais lui embrasser sa chatte. Elle eut lair surprise. Comme si cétait la première fois quelle recevait une telle proposition ! Comme si jamais sa chatte navait été embrassée et sucée ! Elle releva la tête et me lança un regard curieux, en suivant le mouvement de ma tête et de ma bouche sur sa chatte. Je commençai à poser mes lèvres sur ses grandes lèvres pour un léger baiser dintroduction. Avec deux doigts jécartai les grandes lèvres pour prendre possession de ses petites lèvres et de son clitoris que je léchai et suçai avec force.
Fadéla trouva la chose agréable et se mit à pousser de tous petits gémissements tout en relevant ses hanches et en me tenant la tête pour mieux accroître le contact de ma bouche et de sa chatte et pour me faire savoir que cétait délicieux et quil ne fallait pas que je marrête. Jenlevai quelques secondes ma tête dentre les cuisses de ma partenaire, pour lui arracher sa petite culotte et me replonger complètement à lintérieur sans quaucun obstacle ne vint sopposer au cunnilingus denfer que je mapprêtais à lui offrir. Je lui fis relever très hauts les jambes quelle plia et reposa de part et dautre de sa poitrine. Je suçai et léchai les petites lèvres en prenant de temps en temps possession du petit clitoris durci par le désir, que je mordillai et suçai, en tirant des petits cris de plaisir de Fadéla, qui appuyai de plus en plus sur ma tête et relevai ses hanches par de petits mouvements brusques et saccadés. Ma langue essayait daller au plus profond de son vagin et y ramasser toute la cyprine quelle pouvait avaler. Le goût légèrement salé et acidulé de son jus était merveilleux !
Fadéla commençait à manquer dair ; sa respiration devenait de plus en plus rapide et saccadée. Ses petits cris se transformaient en râles rauques qui provenaient de ses entrailles les plus profondes. Elle releva encore plus haut ses hanches et simmobilisa dans cette position, sentant arriver un énorme orgasme. Il arriva tel un torrent en furie. Elle poussa un long cri en déchargeant des litres de cyprine dans ma bouche. Ses mains poussèrent encore plus fort sur ma tête, mobligeant à tout avaler. Au bout dun temps qui me parut une éternité, elle seffondra sur le lit, la bouche grande ouverte, pour reprendre sa respiration. Elle desserra son étreinte sur ma tête, me permettant de reprendre moi-même ma respiration. Je vins mallonger près delle pour la regarder reprendre son souffle. Elle ouvrit les yeux et me fit un petit sourire timide, comme si elle avait eu honte de ce qui sétait passé.
- Ne me dis pas que tu nas jamais pratiqué le cunnilingus ! Ni avec ton mari, ni avec un amant !
- Jamais ! Dailleurs, je nai jamais eu damant ! Tu es le premier !
- Tu as aimé ?
- Oui ! répondit-elle, en baissant les yeux. Cétait merveilleux !
Jétais réellement étonné. Jétais à mille lieues de me douter, en tenant compte du sans-gêne dont elle avait preuve jusque là, quelle navait jamais trompé son mari. Ni eut des expériences érotiques auparavant. Elle mapprit quelle avait toujours été fidèle à son mari, quelle avait beaucoup aimé.
- Je crois même que je lai toujours adoré. Ce nest que ces derniers temps que lenvie de le tromper est entrée dans ma tête. Je suis tellement malheureuse et en colère contre lui ! Il na pas arrêté de me mentir !
- Et avec lui, ne me dis pas que vous vous contentez dun coït rapide, la nuit dans le noir ? A la missionnaire !
- Absolument ! Depuis que nous nous sommes mariés, il y a maintenant huit ans, nous navons jamais eu dintimité réelle. Nous vivons avec toute la famille dans le trois pièces en dessous du tien. Dis-moi où on aurait pu avoir assez de temps libre pour faire lamour, comme toi tu le fais ! Et puis, il y a plein de choses quil nest absolument pas question de faire. Comme ce que tu viens de me faire.
- Te sucer la chatte ?
- Oui cela et bien dautre chose dont jentends parler mais que je ne pourrais jamais faire.
- Et avec moi, tu es prête à le faire ? Promet-moi que tu ne me refuseras rien de ce que je te proposerai de faire ! Au moins une fois. Si après cette première fois, tu naimes pas, tu me le dis et je ne recommencerai pas. Promets !
- Oui, je promets !
Je lembrassai tendrement, un peu pour la déculpabiliser, beaucoup pour lui faire sentir quil ny avait chez moi aucune espèce de jugement de valeur. Je lui dis que je la trouvais merveilleuse et quelle était super bandante. Je lui dis quil fallait maintenant passer aux choses sérieuses ; faire profiter mon manche de sa superbe chatte.
- Regarde-le comme il est impatient ! Il veut te posséder ! Comment veux-tu que je te prenne ? En douceur ou en force ?
- En douceur ! Je veux sentir ton gros sexe me posséder progressivement ! Occuper tout mon vagin ! Frotter contre la paroi ! Me faire sentir sa force et sa douceur ! Mon mari lui, me prend toujours en force et vite. Je nai jamais eu le temps dapprécier ses coups de reins, ni le va-et-vient de son sexe à lintérieur de ma chatte. A peine commençai-je à être excitée et à mouiller, quil éjacule et se retire. Il sendort tout de suite après. Je veux jouir par ton gros sexe ! Je veux le regarder entrer et sortir ! Je veux le voir me posséder, devenir mon maître ! Jen rêve depuis toujours !
Je me positionnai entre les jambes de ma belle que je lui fis écarter, relever et plier pour les faire reposer de part et dautre de sa poitrine. Je posais le bout du gland entre ses grandes lèvres et lui fit faire une série dallers-retours superficiels sur la fente. Rien que pour lhabi à sa présence. Je regardais Fadéla dans les yeux pour voir leffet de mes caresses. Elle souriait en regardant le sexe se promener sur sa chatte. Elle tendit la main pour le saisir. Je la laissai faire. Elle le prit, le tâta un moment, me regarda pour mendier un encouragement, et se mit à lui faire faire des allers-retours sur sa fente à un rythme plus rapide que le mien. Elle commençait à gémir. Des tous petits gémissements ; presque des sifflements. De la salive commençait à couler de sa bouche. Elle ne semblait même pas sen rendre compte, tant elle était à son plaisir de jouer avec lénorme manche. Elle le tirait maintenant pour quil pénètre à lintérieur. Elle ne parlait pas. Probablement une habitude quelle avait prise avec son mari, avec lequel les séances de jambes en lair semblaient avoir été surtout des corvées.
Elle me regardait avec un air suppliant, comme pour me prier de prendre les choses en mains, de la pénétrer et de la faire grimper aux rideaux. Je lui fis enlever la main de sur mon sexe, la pris par les hanches et me mis à la pénétrer doucement jusquau fond ; jusquà ce que mes couilles viennent heurter ses grandes lèvres. Je fis refaire à lengin le chemin du retour, toujours lentement ; je le fis sortir totalement du vagin, pour permettre à Fadéla dadmirer la scène qui lui faisait vivre un de ses fantasmes de jeune fille et de femme : regarder le spectacle dun gros zob entrant et sortant de sa chatte. Elle regardait avec des yeux brillant de plaisir et de désir. Ses petits gémissements prirent de lampleur et devinrent de plus en plus rauques. Ses hanches se mirent à bouger ; ses mains saccrochèrent à ma taille, quelle tirait avec force pour que je pénètre encore plus profond en elle. Elle voulait maintenant que jaille de plus en plus vite et de plus en plus profond.
Elle ne parlait toujours pas. Ne disais pas ce quelle voulait que je lui fasse. Elle parlait avec ses bras qui tiraient très fort sur ma taille ; elle parlait avec ses yeux qui se voilaient de plus en plus ; elle parlait avec ses gémissements et ses sifflements qui augmentaient en intensité ; elle parlait aussi avec sa tête quelle balançait à un rythme de plus en plus infernal. Elle qui voulait que je la tire avec douceur, exigeait maintenant de moi que jemploie toute ma force et surtout la force du sexe qui était en elle. Je ne me fis pas prier et me mis à la pilonner brutalement, en accompagnant chaque coup dun ahanement de boxeur cognant contre un sac de sable. Pour corser le tout, je me mis à faire faire à mes hanches un mouvement circulaire pour lui faire sentir encore plus la force de mon sexe. Le Vagin de ma belle était si accueillant, chaud, visqueux et moulant. Cétait le nid parfait pour mon gourdin. Je sentais que je nallais pas tenir longtemps à ce rythme et que léjaculation allait arriver très vite, parce que je ne pouvais plus la contrôler longtemps. Or je ne voulais absolument pas jouir avant Fadéla. Je voulais lui faire connaître autre chose que les petits coïts décevants quelle avait avec son mari.
Jarrêtais un moment le mouvement de va-et-vient en restant quelques secondes immobile au fond de son vagin. Je la sentais déçue que je ne continue pas à la pilonner en force. Je repris le mouvement de va-et-vient, un peu plus lentement. Je voulais gagner un peu de temps pour introduire mon doigt dans son anus et lui faire connaître une sensation encore plus forte, dont jétais sûr quelle la ferait jouir plus vite et plus fort. Elle se crispa au moment où mon doigt entra complètement dans son rectum (elle essaya même de lexpulser) puis trouva la sensation de ses deux trous bouchés tellement merveilleuse que ses gémissements reprirent de plus belle et de plus en plus fort. Elle semblait surtout aimer les moments où mon engin dans son vagin, croisait mon doigt dans son cul et que les deux se frottaient lun à lautre. Sa tête reprit et accéléra ses balancements et sa bouche laissait passer maintenant des litres entiers de salive.
Pour moi aussi cétait le paradis ! Mon sexe était sur le point déclater ! Jaccélérai le rythme de mes deux pénétrations et je sentis ma belle tendre tous ses muscles. Son regard devint complètement hagard et ses lèvres se serrèrent tellement quelles se vidèrent de tout leur sang. Et soudain, lorgasme arriva, très bruyant, très fort et très long. Elle déchargea en criant et déversa une tonne de cyprine, que les va-et-vient continus de mon sexe rejetaient à lextérieur, sur le drap du lit.
Ce fut identique pour moi. Car une fraction de seconde après elle, je sentis arriver, du fond de mes tripes, une jouissance paroxystique. Je commençai par lâcher une première bordée dun sperme blanc, épais et brûlant au fond du vagin de ma belle. Il alla se mélanger à tout le jus secrété par la chatte de Fadéla. Une grande partie ressortit à lextérieur sous les coups de boutoir de mon engin. Une deuxième, une troisième, une quatrième, et peut être même, une cinquième giclée de sperme vinrent inonder le vagin de ma mie et finirent en grande partie par sétaler sur le drap sous les fesses de ma partenaire. Nous étions aux anges. Nous mîmes longtemps à reprendre notre souffle et à retrouver un semblant de forme. Je sortis de la chatte de Fadéla et vins mallonger à ses côtés en travers du lit.
- Dis-moi que tu as adoré ! lui dis-je, un peu anxieux de sa réponse.
Son sourire radieux (même si elle avait baissé hypocritement les yeux pour ne pas avoir à me regarder en face) mavait donné la réponse, avant que sa bouche ne me le confirme.
- Cétait bon !
- Rien que bon ? Pas plus que cela ? Je suis déçu !
- Très bon ! Oui, cétait merveilleux ! Jen redemande ! finit-elle par avouer dune voix forte ; comme si elle avouait linavouable ; une chose honteuse. Je nai jamais joui comme cela ! Je crois même que je nai jamais réellement joui ! Ni avec mon mari, ni en me masturbant pour éteindre le feu qui de temps en temps métreint le bas ventre et le bout des seins! Tu sais jai honte de ce que jai fait ! Tromper mon mari dabord et prendre autant de plaisir ensuite ! Je culpabilise un peu.
- Il ny a vraiment pas de quoi ! Il ny a rien de plus important dans la vie que de prendre du plaisir. Les hommes et les femmes sont formatés pour le bonheur physique ; pour la jouissance sexuelle. Alors si ton mari ne te donne aucun plaisir au lit, il ne faut pas culpabiliser de le prendre ailleurs. Et puis, il faut dire que tu es un vrai bon coup ! Je ne comprends pas pourquoi tu nas pas connu jusquici de plaisir physique; avant et après ton mariage.
Fadéla se mit alors à me raconter sa vie. Comment elle sétait retrouvée mariée avec un homme qui ne lui apportait pas de bonheur. Avant de se marier, elle travaillait comme infirmière au service ophtalmologique de lhôpital Mustapha Bacha dAlger. Cétait là quelle avait fait la connaissance de Ali, son futur mari, qui accompagnait sa maman, venue pour une opération de la cataracte; il lavait rapidement séduite parce quil était beau, quil parlait bien et quil avait un bon travail dans une entreprise publique de promotion immobilière. Il lui avait fait croire quil allait rapidement disposer dun appartement et quils y vivraient seuls avec les nombreux s quils auront. Elle avait accepté de lépouser et de vivre, quelque temps, avec sa belle famille, en attendant « son logement à elle ».
Elle déchanta très vite. Mais il était trop tard, puisquelle tomba enceinte, tout aussi vite. Elle quitta son travail un peu avant daccoucher de son premier et, depuis, vivait presque recluse, au milieu de cette grande famille, où il ne se passait pas un jour sans quune dispute monumentale néclatât : entre elle et sa belle mère ; entre elle et sa belle sur ; entre elle et son mari ; cétaient ces disputes que jentendais pratiquement tous les jours à travers les murs et le plafond.
- Avec le temps et les déceptions, avec la malvie et la promiscuité, avec un mari qui avait fini par mavouer quil navait absolument aucune intention de trouver un logement et de vivre seuls avec ses s et moi, jai fini par devenir neurasthénique et par détester tout le monde. Même mes s (un garçon de sept ans et une fille de cinq) qui avaient été un temps le centre de ma vie, ont fini par me devenir indifférents ; comme sils étaient responsables du fait que jai fini par accepter cette vie minable. Il marrive même davoir des idées de divorce et dabandon des s.
- Tu as bien raison de te révolter. Tu as un bon métier et tu peux être économiquement indépendante. Tu peux donc divorcer (ou forcer ton mari au divorce en abandonnant le foyer) et refaire ta vie avec tes s.
- Impossible : dune part mes parents ne voudront jamais que je revienne à la maison avec mes s ; dautre part mon mari pourra me laisser partir seule, mais jamais avec les s. Un vrai dilemme. Il ne me reste donc que la solution de lui faire porter des cornes et de prendre du plaisir le plus longtemps possible avec toi. Si tu veux de moi !
- Bien sur que je veux de toi ! Ne crois pas que je vais te lâcher facilement ! Dailleurs, regarde comme je veux de toi !
Je lui montrai mon sexe qui avait repris de la vigueur et qui avait envie de faire son nid quelque part. Elle le regarda avec un sourire gourmand. Elle tendit la main pour le caresser.
- Jai envie de lembrasser. Je peux ?
- Et comment que tu peux ! Tu vas même faire mieux que cela : tu vas le sucer !
- Mais je ne sais pas comment on fait ! Et puis je ne veux pas avaler de sperme ! Cest dégueulasse !
- Qui ta mis en tête de telles bêtises. Fais-le dabord une fois et si tu trouves que cest vraiment dégueulasse, alors on ne le refera plus. Il ne faut jamais dire non, sans avoir essayé.
Je la fis mettre à genoux par terre à côté du lit et massis sur le rebord du lit, le sexe brandi comme un mât de dau. Je lui pris la tête et la fit avancer vers lengin en le dirigeant vers sa bouche. Je sentis une résistance ; elle avait peur de ce qui allait se passer. Jappuyais plus fortement sur la nuque pour lobliger à savancer en lui intimant lordre dembraser le gland et toute la hampe. Elle le fit avec précaution. Les baisers étaient furtifs. Jexigeais quelle recommençât avec plus denthousiasme. Elle recommença effectivement en appuyant un peu plus fortement ses lèvres. Je lui dis de refaire encore une fois, puis encore une fois. Elle se prit au jeu et finit par remplir mon sexe de baisers de plus en plus chauds et mouillés et de plus en plus appuyés.
- Lèche-le ! ordonnai-je.
Elle obéit sans broncher. Elle sortit sa langue et se mit à lécher mon membre depuis le gland jusquaux couilles et retour. Elle vit rapidement le plaisir que je prenais et recommença plusieurs fois, en relevant à chaque fois la tête pour voir comment jaccueillais ses coups de langue. Elle semblait très fière du résultat. Mais je voulais maintenant quelle ouvre la bouche et quelle laisse lengin y pénétrer pour y faire son nid. Je le lui dis. Elle releva la tête, me regarda et vit à mon regard que jétais très sérieux. Que je voulais jouir dans sa bouche. Elle hésita une seconde, puis écarta ses lèvres et ses dents. Elle tenait toujours lengin dans sa main. Elle avança la tête et fit pénétrer le gland entre ses lèvres. Ses dents nétaient pas totalement écartées. Elles ne permirent pas au gland dentrer complètement dans la bouche. Je lui demandai de plus les écarter. Elle le fit et je pus enfin connaître la chaleur et lhumidité de sa bouche. Elle me faisait un peu mal avec ses dents qui raclaient la hampe de mon sexe. Je le lui dis. Elle les écarta un peu plus. Je pus alors faire pénétrer une grande partie de la hampe jusquau fond de sa bouche.
Elle navait encore jamais connu cette sensation, à la fois douce et désagréable, dun corps étranger qui prend possession de sa bouche et qui cherche à faire son chemin jusquau fond de la gorge. Elle étouffait un peu parce quelle ne savait pas encore comment soctroyer des moments de repos pour respirer, en profitant des allers-retours du sexe. Elle faillit même vomir. Mais Fadéla était courageuse et ne voulait pas me décevoir. Elle supporta donc les premiers désagréments de la fellation et en suivant les indications que je lui donnais, elle finit par sy prendre comme une professionnelle. Cétait maintenant elle qui menait le bal : elle tenait le manche dans une main quelle faisait aller et venir sur lui en laccompagnant dans sa course à lintérieur de la bouche jusque dans la gorge.
De temps en temps, elle levait son visage vers moi pour vérifier que je prenais du plaisir. Je voyais ses yeux qui larmoyaient, ses narines qui coulaient et de la bave qui sortait des deux côtés de sa bouche. Le spectacle de cette femme qui sescrimait ainsi sur mon engin était super excitant. Je sentais que je nallais pas tarder à jouir. Je sentais le besoin de prendre les choses en main, de la prendre par sa queue de cheval et de lui enfoncer le membre jusquà la glotte et même plus loin. Je sentais lenvie de la baiser par la bouche comme je lavais fait avec sa chatte : brutalement. Je mabstins pourtant de le faire, me disant quelle nétait pas encore prête pour cet extrême. Ce sera pour demain ou un autre jour.
Pour le moment je laissai faire Fadéla qui continuait imperturbablement à pomper, attendant le moment où je jouirai dans sa bouche. Je lui fis accélérer le mouvement de sa tête et de sa main sur mon sexe de manière à faire arriver la jouissance plus rapidement. Elle sentit, à ma crispation et au râle de mourant que je poussai, que jallais éjaculer. Elle essaya de retirer sa tête pour éviter que je le fasse dans sa bouche mais je lui maintins le crâne de manière à ce quelle ne puisse pas senfuir. Je voulais éjaculer au moins une partie dans sa bouche pour quelle puisse goûter au sperme et décider en connaissance de cause de continuer ou de refuser léjaculation buccale. La première giclée arriva très forte. Elle se répandit dans le fond de sa bouche. Elle eut une première réaction de rejet, tant la viscosité et le goût du liquide lui paraissait bizarre. Je len empêchais en laissant mon sexe enfoncé dans sa bouche. Elle fut obligée davaler une grande partie du foutre pour ne pas . Je sortis alors mon sexe de sa bouche et me mis à le masturber pour éjaculer le reste du sperme sur son visage et sur son cou. Je ne savais pas ce quelle avait ressenti réellement de cette première fellation. Le regard quelle me lança à la fin de lopération était un regard de fierté davoir réussi quelque chose dimportant.
- Tu as aimé ?
- Pas au début ! Mais je crois que jai bien appris à sucer ! Nest-ce pas ?
- Tu es très douée ! Est-ce que tu as aimé avaler mon sperme ? Comment as-tu trouvé son goût ? Dis-moi la vérité !
- Jaime assez son goût, mais pas sa viscosité ! Je pense que je my ferai vite. Jadorerai toujours tout ce qui vient de toi !
Je lui pris la main et lui fis essuyer avec le sperme quelle avait sur le visage et le cou. Je lui dis que jaimerai la voir le lécher et lavaler en me regardant. Elle hésita un petit moment, puis fit ce que je lui demandai. Elle passa sa main partout où il y avait encore des traces de sperme et la porta à sa bouche pour lécher et avaler. Ses yeux ne quittaient pas les miens. Ils étaient malicieux et moqueurs. Ils semblaient me dire : « Tu vois, tu nas quà ordonner et moi jobéis ! Tu veux que je boive ton sperme ! Je le fais sans hésitation ! Tu veux que jaime ton sperme ! Alors jaime ton sperme ! »
Merveilleuse Fadéla ! Femme superbe que le destin avait mise sur mon chemin pour me rendre heureux et pour que je lui donne la part de bonheur que jusque là la vie lui avait refusée. Je lui dis quelle avait été créée rien que pour moi. Et que moi jétais sur terre rien que pour la rendre heureuse. Elle était heureuse dentendre ces mots, qui étaient réellement sincères. Elle voulait connaître lamour et pensait quelle lavait enfin rencontré, juste à côté de chez elle. Cest le moment que choisit Attika, son amie et sa complice, pour lappeler et lui annoncer quun avis de recherche avait été lancé par sa belle-sur. Elle lui avait répondu quelle était entrain de descendre pour rentrer à la maison. Fadéla, neut que le temps de se débarbouiller et de filer en vitesse, en me donnant rendez-vous pour le lendemain.
Nous nous revîmes ainsi pratiquement tous les matins pendant deux mois. Je nallais au travail quà partir de midi (mais je restais tard le soir pour combler les heures non travaillées du matin). Jétais mon propre patron ; je pouvais donc me permettre de choisir mes horaires de travail. Avec Fadéla nous passâmes des matinées torrides à jouir comme des bêtes, à pratiquer lamour vraiment libre et sans tabous. Un ange gardien, Attika, protégeait nos amours. Fadéla, sous ma conduite, se libéra très vite de ses inhibitions culturelles : elle accepta tout de moi, y compris mon côté sexuellement pervers. La seule chose que, jusque là, je nétais pas arrivé à lui faire, cétait de la sodomiser. Malgré toute mon insistance elle refusa toujours de se faire enculer. Elle mêlait toutes sortes darguments : moraux, religieux et même médicaux. En fait il sagissait dun atavisme social et dun tabou, quelle avait beaucoup de mal à dépasser. Cela dura ainsi jusquà lintervention heureuse de Attika, qui deux mois après ma rencontre avec Fadéla, vint prendre sa place entre nous. Et quelle place !
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